CFNM à l'université Chapitre 11

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Virginie recommence son stratagème avec Arno.
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Partie 12 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/05/2018
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Chapitre 11

Elle me laisse dans la salle de bains et retourne dans le couloir. Je n'en peux plus, c'est trop excitant. Je brûle, et j'ai des difficultés respiratoires, mes terminaisons nerveuses deviennent folles et pas uniquement dans le bas, partout. Je pourrais presque me masturber, mais Virginie entre dans la salle de bains. Et comme d'habitude maintenant, elle ne fait aucune remarque sur ma nudité et sur mon excitation.

— Bonsoir mon bel Arno, vient-elle me dire en venant m'embrasser. Tu prends une douche?

— Non, j'allais sortir dans ma chambre.

— Tu veux bien venir dans la mienne?

— Pourquoi?

— Parce que je te le demande.

— Euh oui.

Elle recule et je regarde prudemment s'il y a quelqu'un dans le couloir. Sandrine est partie. Je vais donc rapidement dans la chambre de Virginie, au moment où j'entends la porte s'ouvrir. J'ai dû me faire voir, mais j'entends Stéphanie aller dans notre chambre. Elle n'a pas dû me voir.

— Voilà, c'est encore pour la même raison, il faudrait que tu me prennes le gros album photo rouge.

— Tu aurais pu me le dire dans la salle de bains, j'aurais pris le tabouret.

— Dis donc... tu veux me contredire? Je t'ai demandé de l'aide.

— Ce n'est rien, je vais chercher le tabouret, ne t'en fais pas.

— Merci.

Je sors, et je vois Anne-Sophie qui entre dans le couloir au moment où j'entrais dans la salle de bains.

— Oh, mais quel beau spectacle... Encore tout nu.

Je ne dis rien, je ne sais quoi dire d'ailleurs, elle entre à ma suite.

— Que fais-tu tout nu? Tu aimes cela, tu veux me faire plaisir?

— Oui, dis-je je le fais pour toi et Stéphanie.

— Tu es génial. Tu peux préparer le repas? Tu avais dit ce matin que tu allais t'en occuper!

— Oui d'accord.

— Super. Et j'adore que tu oses enfin te promener tout nu.

— C'est un concours de circonstance, déclaré-je bêtement.

Elle m'embrasse et va dans sa chambre. Je sors avec le tabouret au moment où Stéphanie ouvre la porte de notre chambre.

— Arno, sourit-elle, encore tout nu dans les couloirs. Que fais-tu?

— Euh... Stéphanie, je vais aider Virginie. S'il te plait, arrête-moi.

— Pourquoi?

— Quand je me retrouve tout nu, je perds ma volonté avec les filles.

— Mais c'est très bien ça, je le sais. Je peux te demander ce que je veux, et je vais le faire. Allez, va aider Virginie, et ensuite, tu t'occuperas du repas.

— Oui Stéphanie, parviens-je à répondre.

Elle m'embrasse et me caresse doucement le sexe.

— Tu es si sexy... J'adore te voir tout nu. Ce soir, j'ai très envie de toi.

Elle me laisse. Je pense tout à coup à Annick qui devrait revenir rapidement. Et j'entre dans la chambre de Virginie au moment où j'entends Sandrine entrer dans le couloir. Je vais devenir fou.

— Tu en as pris du temps, constate Virginie.

— Désolé.

Je place le tabouret et monte prendre l'album puis le lui tends.

— Merci. Tu veux aller rapporter le tabouret et revenir? Je voudrais te demander ton avis!

Je sors encore de la chambre. Cela commence à bien faire, je ne râle pas, au contraire, je suis très excité. Evidemment, en sortant de la salle de bains, je tombe encore sur Marie-Dominique.

— Tu ne sais pas où est Stéphanie?

— Elle est dans le salon, non? Elle vient de quitter notre chambre.

— Je ne l'ai pas vue, bon, je t'attends sans faute après le dîner, n'est-ce pas?

— Oui, promis.

Elle promène un moment sa main sur mon torse.

— J'aime beaucoup quand tu es là, tu sors ce soir?

— Non.

— C'est bien, je préfère quand tu passes du temps avec nous.

— Oui, moi aussi.

Merde, me dis-je, je raconte n'importe quoi. J'aime aussi sortir, même si ce mois, c'est un peu bizarre, et depuis quelques jours, depuis que Virginie m'a appelé nu dans sa chambre, je suis comme un drogué, je ne veux plus vivre que ces aventures.

Nous sortons ensemble de la salle de bains. Marie-Dominique retourne donc vers le salon, et j'attends qu'elle soit partie pour retourner chez Virginie. C'est dingue, personne ne dit un mot sur ma nudité.

— Ah, me dit Virginie, viens t'asseoir près de moi.

Je la rejoins sur son lit. Elle pose l'album sur nos genoux et l'ouvre. Il n'y a que des photos de moi tout nu, depuis la première, des photos « volées », celle où je ne sais pas que quelqu'un a un appareil, et nous avons les événements d'octobre, quand j'avais posé avec des femmes noires. Je me vois nu au milieu des femmes, discutant et marchant, je me rappelle de mon plaisir à le faire pour exciter Stéphanie, qui me regardait sans arrêt de ses yeux brillants. Elle m'avait presque violé ensuite.

— Je suis sur un nouveau projet, comme je te l'ai dit, et j'ai besoin de sélectionner quelques photos dans le genre. J'ai une commanditaire, qui est intéressée par l'idée du reportage ethnique, tu sais, un bel homme blanc nu avec des femmes d'autres origines, des femmes courantes, pas des modèles.

— Et tu vas me présenter?

— Si tu veux, je mettrai du marqueur sur ton visage, mais si elle veut le projet, elle te verra puisque tu es mon modèle.

— Euh oui, réponds-je un peu indécis. Que veux-tu de moi?

— Aide-moi à choisir quelques photos.

Je regarde l'album. Toutes ces photos sont spéciales, et contrastées. C'est bizarre de me voir ainsi nu au milieu de plusieurs femmes noires. Et en même temps, cela m'excite encore plus, je me remémore les moments passés dans le studio de Virginie. Il y a quelque chose de spécial à être nu au milieu de femmes habillées, même si elles sont moches et de plus de trente ans.

Virginie m'observe. Je lui désigne quelques clichés que je trouve très excitants, pas tellement au niveau de l'art et de la lumière, mais plutôt la scène.

— Tu as bon goût, ce sont celles que je préfère aussi. Tu devras refaire d'autres photos dans le même genre.

— Euh oui, réponds-je, quand?

— Je ne sais pas, quand et si j'ai un contrat.

— Tu peux compter sur moi, lui réponds-je en continuant de regarder les photos.

— Bien, allons au salon, comme ça tu pourras préparer le repas.

Nous nous levons ensemble, elle garde son album en mains et nous sortons de sa chambre. Personne.

Oui, mais il faut aller au living. Et les autres doivent s'y trouver. Je ne peux pas y aller. Elle est derrière moi, je ne peux qu'avancer vers la porte, je ne pense même pas à m'arrêter dans ma chambre.

— Allez, ouvre la porte.

Je prends la poignée et tire la porte, je ne vois personne, Virginie me pousse les fesses pour me faire entrer dans le salon. Je m'attends au pire, elles sont toutes là, mais il n'y a personne. Ouf!

— Allez, prépare-nous un bon repas, et ensuite, dresse la table. Tu es un amour.

Je vais à la cuisine pendant qu'elle laisse son album sur la table du salon et s'en va ensuite dans l'autre couloir. Je commence à préparer.

— Tu es complètement à poil dans l'appartement, me dis-je tout bas. Et les filles sont toutes présentes, tu es complètement inconscient, réveille-toi!

Au bout d'un moment, je décide d'aller m'habiller. Je laisse cuire les légumes et les pommes de terre et vais vers ma chambre.

— Où vas-tu? Me demande Stéphanie lorsque j'ouvre la porte de mon couloir.

— M'habiller.

— Tu es occupé de cuisiner, il fallait y penser avant.

Elle me pousse dans le living.

— En avant. Et je vais te regarder.

— S'il te plait, elles vont arriver, je ne peux aller nulle part.

— Arno, à la cuisine!

Elle me suit. Je dresse la table et elle vient me prendre dans ses bras.

— Tu ne veux pas faire plaisir à ta Stéphanie adorée.

— Oui... mais...

— Shht! Ne dis rien. Ton sexe est tout dur, il va exploser, ne me dis pas que tu n'apprécies pas la situation.

— Elles m'ont toutes vu tout nu, cela n'arrête pas.

— Et il y en a une qui s'en est offusquée?

— Non, elles n'ont rien dit. Elles ont fait comme si c'était normal.

— Donc, tu as ta réponse, elles ne disent rien, c'est donc normal.

— Oui, mais ce n'est pas normal de se balader à poil.

— Définis le normal. D'abord, tu ne sais pas ce qui se passe dans les maisons des autres, et ensuite, moi, je trouve cela très bien. Ecoute, si l'une d'elles fait une remarque comme quoi tu ne devrais pas te promener tout nu ici, et bien je vais tout de suite te chercher des vêtements. D'accord?

— Oui. Mais... Une fille ça va, mais j'ai peur que tout le monde arrive. Je serais à poil au milieu de vous toutes.

— Ne t'en fais pas. Ne pense pas à ça. Attention, l'eau déborde.

Je vais encore m'occuper des casseroles. Stéphanie me laisse et va dans le couloir de Marie-Dominique. Deux secondes... Et Annick entre par la même porte.

— Voilà, j'ai ma petite brosse. Excuse-moi, Sandrine m'a demandé quelque chose et cela a pris du temps. Oh, je vois que tu es occupé de préparer le repas, c'est très gentil. Mm, cela a l'air bon. Tu as bientôt fini?

— Je cuis la viande, réponds-je toujours perturbé par sa présence trop proche de moi.

— Dès que tu as fini, je te soigne.

— Il faudra manger, sinon ce sera froid.

— Soit, je te le ferai après le repas.

Je termine de cuire et apporte le tout sur la table.

— C'est prêt, dis-je, je n'ai pas faim, je vais dans ma chambre.

— Non, pas question, viens dans la mienne, je ne veux pas que tu disparaisses.

Elle me prend la main et me mène à son couloir. Personne heureusement. Elle me laisse devant sa porte.

— Attends, je dois dire quelque chose à Sandrine.

Elle entre chez son amie, et tout de suite, Stéphanie sort de la chambre de Marie-Dominique.

— Que fais-tu là?

— C'est prêt, réponds-je.

— Appelle tout le monde.

— Non, s'il te plait, laisse-moi aller m'habiller.

— Il me semble que ce soit trop tard, j'entends Virginie et Anne-Sophie dans le living. Bien, je vais manger, rejoins-nous.

Elle sort et Virginie entre.

— Merci pour le repas. Tu viens manger?

— Non merci.

— Et tu as prévenu les autres?

— Oui.

— Merci, tu es formidable, comme toujours.

Elle vient près de moi et caresse mon ventre, frôlant mon sexe dressé et descend jusqu'aux cuisses.

— J'ai hâte de refaire des photos avec toi!

Elle retourne au salon et Marie-Dominique sort de sa chambre.

— Tiens, tu es ici? Tu as préparé le repas?

— Oui, c'est prêt.

— Merci.

Tout comme Virginie, elle me fait une petite caresse et m'embrasse en même temps.

— A tout à l'heure pour mes cheveux.

Et enfin, Annick arrive.

— Oh, tu peux aller dans ma chambre.

Elle me pousse dans la pièce et je me retrouve près de son lit. Elle laisse la porte ouverte et je vois Sandrine passer, qui curieusement ne regarde pas dans la chambre son amie.

— Couche-toi sur le lit, me demande-t-elle, je ne vais quand même pas m'agenouiller devant toi.

Encore dans le lit d'une fille de l'appartement. Je n'en peux plus. Il faudrait que quelque chose se passe, je suis trop dur, je vais exploser, Je n'ose même pas toucher mon sexe devant elle, mais j'ai une envie dingue, je pourrais presque la violer, heureusement mon cerveau m'en empêche, je sais que je deviens con en érection, mais pas jusqu'à violer une fille. Surtout pas mon amie.

Heureusement d'ailleurs, j'ai toujours détesté forcer une fille, mais il est vrai que l'on ne m'a que très rarement refusé, pendant ma période collège avant Stéphanie.

Annick s'assied et prend la lotion. Elle en verse un peu sur mon ventre et commence à masser doucement avec les mains puis avec sa petite brosse. Elle fait cela minutieusement et puis soudain prend délicatement mon sexe en main et commence à le masser.

— Je suis désolée, mais il vaut mieux prévenir toute brûlure.

Je suffoque presque. Je n'en peux plus, et Annick joue à l'ingénue infirmière pour une blessure inexistante.

— Ca va? Tu n'as pas trop mal?

— Non, gémis-je en m'étranglant. Arrête.

— Non, il faut bien te soigner. Je ne veux pas être responsable d'une blessure. Que dirait Stéphanie si cela devient inutilisable?

Je ne parviens même pas à répondre, son autre main commence à masser mes testicules. Je ne vais plus tenir longtemps.

Mais soudain elle arrête.

— Bon, je vais aller manger ton excellent repas. Ne bouge pas, je viens dès que j'ai fini.

Elle me laisse dans un état! Elle quitte la pièce et je l'entends entrer dans le living, elle n'a même pas fermé la porte.

Journal de Stéphanie

Annick était la dernière. Nous nous amusions comme des folles, nous étions toutes excitées. Chacune racontait ses moments avec Arno qui n'en menait pas large. Emmené partout tout nu comme si c'était une tenue normale, personne ne lui disait rien sur sa nudité et son érection, et il tombait chaque fois sur une seule fille.

— Vous auriez dû voir sa tête, a ri Annick.

— Où est-il?

— Sur mon lit, je viens de lui mettre de la lotion, ventre et son sexe. Il va exploser.

— Et s'il explose dans ton lit? Tu vas avoir de la gelée partout. Tu vas encore dormir dans tes draps après ça? A rigolé Sandrine.

— Cela pourrait arriver.

— Il se retiendra, j'ai confirmé, je suis certain que si nous l'avions laissé dans sa chambre ou dans l'autre couloir, il aurait déjà été jouer tout seul. Il est à bout, pire que lors de nos deux premiers mois.

— Il a dû jouer tout seul quand même, tu ne crois pas? M'a demandé Marie-Dominique.

— Certainement. Mais je ne m'en inquiétais pas trop à l'époque, en tout cas, je n'ai jamais rien vu chez moi.

— Tu l'avais quand même bien mené à bout. Personne n'en revenait, Sandrine s'est remémorée.

— Oui, et aujourd'hui, Stéphanie est celle qui a la sexualité la plus débordante. Ton fantasme est génial, nous en profitons toutes.

— Tu n'as pas peur qu'une d'entre nous ne se tienne plus?

— Je ne serais pas trop fâchée. Je me suis retenue pendant deux mois il y a cinq ans. Mais nous verrons.

— Oui, a dit Virginie, il faut une solution, parce que je ne me suis jamais sentie aussi excitée que ces derniers jours, et je ne me vois pas m'exciter ici et ensuite sortir trouver le premier connard venu.

— En tout cas, il cuisine bien, a coupé Annick.

— Il nous préparera et servira bientôt tous nos repas, a annoncé Anne-Sophie. Une fois que nous aurons notre vitesse de croisière, nous serons de vraies princesses avec un bel esclave.

— Mais nous devrons continuer à jouer nos jeux, Marie-Dominique a dit, de toute façon, nous devons avoir un dîner avec le groupe de Sophie, et je pourrais toujours les inviter ici pour un thé.

— Attendons pour cela, j'ai dit. En dehors de nous, nous devons être certaines des filles que nous mettons au courant.

— Je réponds d'elles, vous auriez dû voir leurs têtes quand elles l'ont pris chez elles.

— Ne débarrasse pas, Anne-Sophie a dit à Sandrine, Arno viendra le faire dès qu'Annick l'aura renvoyé de sa chambre.

— Vivement demain, j'aimerais aussi m'amuser.

— Dès demain matin, je lui ai confirmé. Tu seras seule avec lui, et vous avez de la chance, vous êtes les dernières vous avez tout la journée.

— C'est vrai, a constaté Virginie. Annick tu totalises le plus grand nombre d'heures et ce n'est pas fini ce soir.

— Et tu l'as touché, j'ai aussi envie de prendre son sexe en main.

Les filles riaient et s'excitaient. Nous avons tout laissé sur la table, et nous sommes allées dans le couloir d'Annick. Nous sommes passées devant la porte ouverte, Arno était couché sur le lit, il tremblait, son sexe était énorme, dressé, il souffrait. Je ne sais pas comment est la sensation d'un garçon, on dit qu'ils ne savent plus s'arrêter.

Nous nous sommes réparties dans la chambre de Marie-Dominique, pour voir comment cela se passait. Annick est entrée.

— Comment vas-tu? Tu n'as plus mal?

— Je n'ai jamais eu mal, il a répondu d'une drôle de voix.

— Tu es tout rouge, tu trembles, tu as peut-être de la fièvre, c'est un produit toxique.

— Non, il a répondu, je vais très bien. Est-ce que le living est libre?

— Sans doute. Pourquoi?

— Je veux aller prendre une douche et me coucher.

— Il ne faut pas le laisser seul, j'ai dit, sinon il va jouer tout seul.

— Il va aller faire la vaisselle, Anne-Sophie a dit, tu vas voir, je vais l'emmener très vite.

Un peu plus tard, Frédéric est sorti, nous avons poussé la porte, et regardé. Annick a fermé la sienne et au moment où il allait regarder dans le salon, Anne-Sophie est entrée en jeu.

— Que fais-tu la? Elle a presque crié.

Il a sursauté, apeuré.

— Euh... j'allais prendre une douche.

— J'espère que tu as fait la vaisselle et rangé le salon.

— Euh non, il a répondu penaud.

— Et bien dans ce cas, au travail.

Elle a approché, et lui a donné une bonne claque sur les fesses, puis l'a poussé dans le living. Peur pour rien, nous n'y étions pas.

— La vaisselle, et débarrasse. Nous devons pouvoir compter sur toi!

Il a été dompté. Je crois que sa volonté était partie quelque part très loin. Nous l'avons regardé par la porte légèrement ouverte, il a obéi tout de suite. Anne-Sophie l'a houspillé un moment, il a débarrassé et commencé la vaisselle, puis elle a changé.

— Tu sais ce que j'aimerais? Que nous recommencions comme en novembre.

— Quoi? Il a demandé apeuré.

— Tu sais bien! Ton rêve, tu en avais parlé à Stéphanie qui me l'avais dit, et j'ai mis une belle tenue de cuir, j'ai pris ma cravache et je t'ai fait travailler tout l'après-midi. Cela me manque.

— Je ne sais pas...

— Il faudrait. Tu veux m'aider? Cela m'aide, je me sentirai si bien après cela, dis-moi oui!

Elle l'a pris dans ses bras. Je n'ai pas compris ce qu'il a murmuré, mais elle a paru satisfaite.

— Promis, nous ferons cela tous les deux. Tu verras, tu ne le regretteras pas. J'adore que tu sois tout le temps nu, tu ne t'habilles plus?

— Euh... si, mais...

— Ne t'embrouille pas, j'apprécie que tu vives nu, tu ne dois pas te sentir gêné, au contraire.

— Non, il a répondu, mais...

Il ne savait plus parler.

— Je te le dis, ne sois pas timide, c'est génial, je suis certaine que si tu demandes, elles diront toutes oui.

Nous n'avons pas entendu.

— Ah, s'il pouvait dire oui, a soupiré Virginie.

— C'est ce qu'il désire, j'ai répondu, mais il n'ose pas.

— Ce n'est pas plus mal, nous pouvons jouer... a conclu Marie-Dominique qui adorait ce jeu.

Frédéric a eu fini de laver la vaisselle et Anne-Sophie lui a dit qu'elle allait dans sa chambre. Il a voulu suivre, mais Virginie est entrée.

— Arno, tu es là, tu n'as pas dîné avec nous? Nous avons adoré, c'était simple, diététique et si bon. Je t'adore. Oh, tu n'as pas encore rangé le salon?

— J'allais le faire, il a dit.

— Et bien fais-le il ne faut pas faire les choses à moitié.

— Oui Virginie, il a répondu assez docilement.

Elle l'a embrassé, il a rangé ce qui restait et Virginie est partie dans sa chambre, mais pas de répit, Marie-Dominique est entrée.

— Ah, mon chéri, je vois que tu as fini de nous aider ici, viens vite, tu as promis de me brosser les cheveux.

Il était encore perdu. Marie-Dominique l'a pris dans ses bras, et lui a mis sa grosse poitrine sous son nez.

— Viens. J'ai envie de t'avoir un peu pour moi toute seule.

Nous sommes vite allées chez Annick et nous les avons vus passer. Elle s'est arrêtée pour qu'il lui entre dedans avec son sexe.

— Oh... que fais-tu?

— Excuse-moi, il a dit tout confus.

— Ce n'est rien.

Elle s'est retournée et a touché légèrement son sexe.

— J'espère que tu n'as pas eu mal. Bon, autant me mettre à l'aise, retire mes chaussures.

Récit d'Arno

— Retire mes chaussures.

Je n'en peux plus, tout est trop excitant. Je m'abaisse et retire les lanières de ses jolis escarpins, elle a de très beaux pieds.

— Merci.

Quand je me relève, je constate qu'elle a retiré son chemisier, son opulente poitrine est comprimée dans un joli soutien blanc. Elle retire ensuite son pantalon et elle m'apparait en sous-vêtements.

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