CFNM à l'université Chapitre 12

La surprise que j'ai eu le mardi matin, c'est qu'Arno s'est entrainé tout seul tout nu sur la terrasse. Il s'est levé, et il est parti se préparer. Il n'a même pas ouvert son armoire, il est parti tout nu dans le salon alors qu'il aurait pu passer par la fenêtre et je l'ai vu sur la terrasse. Evidemment, les filles sont arrivées dans la chambre pour le regarder. Nous étions toutes les six sur le lit.

— C'est trop génial, disait Sandrine, regardez ça, quel beau garçon.

— Fascinant, les muscles qui bougent ainsi sous cette peau toute lisse, ajoutait Marie-Dominique. Dire que je le trouvais trop jeune, trop enfantin avant.

— C'est parce que tu ne regardais que son visage, je lui ai dit, moi j'adore son côté jeune garçon, mais son corps est vraiment devenu très beau.

Nous aurions pu baver. Moi, je le regardais s'entrainer depuis longtemps. J'adorais le voir soulever des poids, mais faire ces exercices sans poids, c'était encore plus érotique. A nouveau, il s'était placé juste devant ma fenêtre, pour que je puisse jouir du spectacle.

Enfin, il a arrêté, peut-être une heure de spectacle. Il a alors fait du streching. C'était aussi très excitant, et comme il pleuvait, son corps nu et humide était encore plus beau, surtout dans la lumière de l'aube. Il est alors retourné vers le living et les filles sont allées se cacher chez Virginie. Pendant qu'il prenait une deuxième douche, elles sont vite retournées chacune dans leur chambre. Après tout, il n'était pas encore 6h.

J'ai attendu, mais il n'est pas revenu. Alors, je me suis levée, et je l'ai surpris seul dans la cuisine.

— Quelle agréable surprise. Tu vas rester nu toute la journée?

— Oh non, il s'est exclamé en paniquant. Juste maintenant, je suis seul tout le monde dort, je voulais te faire plaisir.

— Tu me fais très plaisir. Mais les filles vont bientôt arriver, tu vas pouvoir les saluer dans cette tenue.

Je l'ai pris dans mes bras et je l'ai embrassé.

— J'aime te voir tout nu, te prendre nu dans mes bras.

— Euh, je ne peux pas, il a répondu.

— Pourquoi? Hier, il me semble que toutes t'ont vu complètement nu, tu as passé toute la journée tout nu, c'était très bien.

Il était à nouveau très excité.

— C'était... enfin, un concours de circonstances, mais...

— Mais tu aimais bien, sinon tu serais allé t'habiller. Viens.

Il a suivi docilement.

— Hein? Tu aimais bien? Tu l'as dit.

— Quand?

Il était tellement ému et excité qu'il ne pensait plus très bien.

— Hier, plusieurs fois, j'aimerais que tu me le redises.

Nous avons pénétré dans le couloir, Anne-Sophie s'y trouvait, juste devant notre porte de chambre.

— Oh Arno, bonjour, que fais-tu tout nu.

— Il préparait le petit déjeuner pour nous.

— Excellent, elle a dit, ainsi tu passes enfin à la vitesse supérieure, bravo.

Elle l'a pris dans ses bras.

— Tu restes nu toute la journée? Si tu veux, je m'habille comme la fois passée, et je te fais travailler.

Il a encore eu peur.

— Non merci, il a réussi à dire. C'est euh... Enfin c'est fini.

— Vraiment? Si je vais dans le living, tout est prêt et en ordre. Tu es prêt à la jurer?

— Euh oui.

— Et si je vais voir, et que ce n'est pas fait, je peux te fesser devant les filles?

— Non! Il s'est écrié épouvanté.

— Donc, tu admets que tu n'as pas fait ton travail correctement. Mais tu vas en tout cas venir ranger ma chambre. Tu as promis. Et bien sûr, tu le feras tout nu.

— Oui, je le ferai, il a promis.

— Je compte sur toi.

Nous nous sommes collées à lui. Il était nu, et nos corps étaient peu recouverts de nos chemises de nuit et déshabillés. Il ne savait que faire, tout perdu entre nous, toujours intimidé, de plus en plus intimidé en fait par les événements.

— J'aime quand tu es nu, a dit Anne-Sophie, tu es tout calme.

— Je ne suis jamais énervé, il a répondu

— Non, mais tu es beaucoup plus calme, mignon. C'est pour ça aussi que j'aime te voir nu, et le fait que tu es super canon. Mais quand tu es tout nu, tu es gentil, docile, tu fais ce que je te demande.

Nous entendons un peu de musique, cela vient de chez Virginie et Arno tente de sortir de notre étreinte.

— Vite, il a dit Virginie va arriver.

— Et alors?

— Je suis tout nu, il ne faut pas qu'elle me voie.

— C'est bon, a dit Anne-Sophie, mais il me faudra une compensation, je te la rappellerai.

Il s'est vite caché dans la chambre, à temps, Virginie arrivait.

— Bonjour.

Elle nous a embrassées.

— Le petit déjeuner est prêt, a dit Anne-Sophie.

— Super, je meurs de faim. C'est Arno qui a préparé?

— Qui d'autre?

Nous sommes allées toutes les trois manger dans le living pour manger, nos trois amies attendaient derrière la porte.

— Dis donc, quel début de journée! Annick a dit extasiée.

— Il faudra qu'il fasse du sport comme cela souvent, a dit Marie-Dominique, il n'y a rien de plus sexy! Quel corps!

— Et il y est allé tout seul, je ne lui ai pas dit de faire du sport tout nu.

— Oui, et en plus, il est resté dans la cuisine pour tout préparer... a commenté Anne-Sophie. Comme s'il voulait se faire prendre.

— Tu avais raison, Stéphanie, il adore cela, m'a dit Virginie. Il faut continuer. Il est prêt à aller plus loin.

— Je le veux aussi, nous a rappelé Sandrine. C'est mon tour, vous avez toutes joué sans moi.

— Dès ce soir, nous pourrons passer à deux filles à la fois, j'ai dit. Il en meurt d'envie, nous allons le submerger, plus aucun moment de répit.

— Ce sera plus fun, a dit Marie-Dominique.

— Et gardons le nu jusque vendredi.

— En tout cas, il a tout fait de lui-même ce matin, a dit Virginie, c'est un progrès.

— Si nous jouons bien, il sera tout nu jusqu'à vendredi, et nous ne devrons même pas lui dire de se déshabiller.

Nous avons mangé en continuant à parler d'Arno et de ce que nous allions lui faire. Puis, nous sommes allées nous préparer pour laisser le champ libre à Sandrine. Arno était dans notre chambre, il lisait tout nu sur le lit.

— Encore nu?

— J'attends pour prendre une douche, vous êtes toutes dans la file. J'attends une accalmie.

— Tu as déjà pris une douche après ton sport.

Il a rougi un peu.

— Bon, c'est vrai, je voulais prendre une autre douche, c'est tout.

J'ai souri, je ne voulais pas le contrarier.

— Aujourd'hui, je vais à la bibliothèque, j'ai besoins de quelques références pour mon examen de juin. Je déjeune avec Laetitia. J'espère que je te verrai encore tout nu.

— Puisque tu aimes cela.

— Vrai? Je te verrai nu?

— A quelle heure rentres-tu?

— Je ne sais pas... dans l'après-midi.

— Je t'attendrai ainsi dans la chambre.

— Génial.

Il m'excitait. Il me semblait qu'il en voulait et que tous ces moments avaient changé quelque chose en lui. Je me suis apprêtée, il m'a aidée en me coiffant et en m'habillant, j'adorais ses mains sur mon corps quand il me passait mes vêtements, ses mains sur mes pieds quand il me passait mes chaussures. Bientôt, je lui demanderai aussi de me vernir les ongles. Je l'ai embrassé fougueusement, je l'aimais tellement, et en même temps, il était mon partenaire de luxure.

J'ai vu les autres dans le living, elles étaient toutes prêtes à partir.

— Il est mordu, prêt à tout. Sandrine, tu vas avoir une belle journée.

Elle était impatience, elle nous a presque mises dehors.

— Ce soir, Sandrine sera la dernière à jouer toute seule, dès que nous revenons, nous pouvons commencer par groupe de deux. Il m'a promis qu'il allait m'attendre tout nu dans la chambre.

— Et moi, je l'empêcherai de s'habiller jusqu'à votre retour, nous a promis Sandrine.