C03 - La vie d'Abella

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Les queues se dévoilèrent et Abella dû les masturber tandis qu'Albert forçait sa bouche dans un long et profond baiser. La langue de l'acteur envahissait la bouche, celle du producteur léchait les tétons durs comme des cailloux. La jeune fille sentit la queue de Victor gonfler enfin. Elle n'était pas longue comme celle d'Albert mais assez épaisse.

- A genoux et suce!

- Monsieur Leclerc, se plaignit Abella en pleurant. Je ne...

- Obéis sale pute sinon tu retourneras d'où tu viens!

Les pantalons des deux hommes tombèrent à leurs chevilles tandis que la donzelle, à la hauteur de leur sexe, observait en branlant. Elle commença avec la courte et épaisse. Le bout de la langue s'accoutuma au goût de la verge épicée et âcre. Puis, entre ses lèvres pulpeuses, elle accueillit le sexe dur tandis que le producteur caressait gentiment sa longue chevelure brune. Trois heures chez le coiffeur avait elle dû payer pour suivre les conseils de Camille Dubois. Trois heures pour être prise pour une pute, se dit-elle.

La queue longue et large d'Albert Descourt palpitait au creux de la main de la jeune comédienne. La star internationale remarquait la dextérité de la petite pute à ses pieds qui suçait correctement une queue et branlait une autre avec agilité. Le soixantenaire tourna la tête et observa dans l'immense miroir, la scène digne d'un bon film pornographique soft. Un de ceux des années 70. Une jouvencelle à genoux devant deux hommes mûrs. La pilosité de la petite ne faisait que renforcer l'impression.

Les deux hommes se regardèrent un instant avec complicité. Ils l'avaient pour eux maintenant. Une jeune naïve qui voulait percer dans le septième art et qui serait tributaire à vie. Une poupée, un trou à bite pour ces pervers.

- Change de queue sale pute!

Abella recrache la petite bite et voulut se plaindre mais la main du producteur claqua violemment ses seins. Elle hurla.

- Si je dis que tu es une pute. Tu es une pute. Ok?

- Oui Monsieur Leclerc, souffla la jeune fille se massant les globes mammaires.

Mais déjà, Albert Descourt poussait sa grosse queue sur les lèvres fermées de la comédienne rétive. Son cylindre s'enfonçait doucement entre les joues en longeant la longueur de la langue. Impuissante, Abella subissait sans pouvoir sucer. Le gland perçait la bouche et cheminait lentement sans résistance jusque là. La jeune comédienne sentaient une angoisse monter en elle comme à la merci d'une puissance qu'elle ne contrôlait pas. Le gland arriva au fond. Il s'immobilisa. Presqu'étranglée, la jeune fille leva des yeux implorants vers la star.

- Reste calme ma petite, dit-il. Je vais baiser ta bouche. Tu sais pourquoi?

- Gcrrooonnn, s'égosilla Abella Chopou incapable d'articuler.

Victor s'était installé sur le fauteuil Voltaire, entre sa cravate, le nœud papillon de l'acteur, en se branlant d'une main pour regarder la prestation de la star et reposant l'autre sur la boule en chêne de l'accoudoir.

- Parce qu'il le peut! dit Albert Descourt qui parlait de lui à la troisième personne.

Soudain, le puissant soixantenaire saisit la tête de la comédienne pour qu'elle ne puisse se soustraire à la pénétration de sa monstrueuse queue dans la gorge. Passée le pharynx, le gland s'enfonça encore un peu puis reflua avant de perforer encore.

Abella se débattait. A la douleur dans sa gorge, à l'impression de vomir s'ajoutait la peur de mourir d'étouffement. Sa raison disjoncta. Mû par des réflexes archaïques, les membres de la jeune fille partaient dans tous les sens. Le pantin fou qu'elle devint cherchait la délivrance. Mais Albert Descourt imprimait de petits mouvements à sa puissante queue forçant toujours plus loin le gosier de la petite. Un voile inhumain passa dans le regard de la victime. Ses bras tombèrent le long du corps nu.

- Albert! cria Victor confortablement installé sur le fauteuil Voltaire.

Le producteur connaissait bien l'acteur. Une fois, au Maroc, il y avait eu un accident. Albert Descourt décoinça son mandrin. Propulsée en avant, Abella vomit sur le tapis épais au milieu de la chambre.

- Elle est bien la petite... s'amusa l'acteur en tenant son gros sexe.

- Tu as un peu forcé quand même, protesta le producteur en observant sa comédienne reprendre ses esprits à quatre pattes sur le tapis souillé.

- Faut bien qu'il la teste pour la suite?

Victor Leclerc se leva du fauteuil aux hauts accoudoirs et poussa du pied la jeune fille qui haletait.

- Ça va mieux?

- Vous... vous êtes, êtes des fous....

Abella ne vit pas arriver le coup de pied dans ses seins. Elle tomba à la renversé en hurlant. Elle se prit la poitrine dans les mains pour se protéger mais déjà, les cheveux tirés, on l'allongea sur le lit.

Les cuisses écartées, elle observa impuissante Victor la prendre comme une vulgaire prostituée. Il força le sexe sec et s'enfonça à fond avant de la fourrager. Bras tendus sur le lit, le gros bonhomme embrassait de force la jeune comédienne et la baisait sans ménagement.

Albert Descourt s'était installé sur le fauteuil Voltaire et caressait les boules aux extrémités des accoudoirs en chêne. Avec le tissu de son nœud papillon, il avait noué la base de son pénis pour le maintenir en érection. Il admirait la beauté du corps de la petite. Les cuisses étaient admirablement galbées pour souligner des jambes fines et musclées. La belle poitrine se balançait témoignant de la fermeté des globes. La bouche ouverte pour maintenir sa respiration était un appel constant à l'embrasser.

Les gémissements de Victor précédèrent son éjaculation. Il se leva et regarda la comédienne inerte allongée sur le lit de la chambre.

- Pour ton rôle dans le film, il faudra que tu sois entièrement épilée.

Abella gardait les yeux fixés sur la riche moulure du plafond sans rien dire. Le producteur répéta mais la jeune fille semblait enfouie dans son mutisme. Le gros bonhomme s'assit sur le lit à côté d'elle et lui parla gentiment en lui caressant doucement le ventre, les cuisses et les jambes.

Elle cilla des paupières et sentit la main du producteur enfermer sa vulve. Résignée, elle plongea ses yeux dans les siens. Deux doigts se frayèrent entre les lèvres. D'un coup d'œil, elle vérifia que la star internationale la regardait. Effectivement, à l'autre bout de la chambre, assis sur un fauteuil Voltaire, Albert Descourt l'observait avec beaucoup d'intérêt. La queue du soixantenaire avait à peine dégonflée constata-t-elle en se disant qu'il allait la prendre pour se soulager lui aussi.

Abella revint à son corps. Victor pénétrait deux doigts dans sa chatte. Il allait doucement. Tout doucement. Trop doucement et avec subtilité. Putain, il sait y faire ce salop, se dit la jeune comédienne qui sentait un début de moiteur en elle. Elle constata que le gros bonhomme en conçut une certaine fierté. Il continuait en crochetant habilement ses doigts sur la partie antérieure du vagin. Abella lâcha un gémissements malgré elle. Son sexe s'inonda de cyprine.

- Albert! Elle mouille, dit Victor qui continuait son savant doigtage.

Abella tourna la tête refusant d'avoir du plaisir. Elle ne vit pas qu'Albert Descourt s'approcha du lit.

- Tu mouilles de plus en plus ma belle, constata malicieusement Victor Leclerc.

La comédienne ferma les yeux pour mieux se soustraire à cette abomination. Non, elle ne pouvait pas aimer cela. Ce n'était pas possible de ressentir ces sensations pendant que ces horribles hommes la violaient. Mais le gros bonhomme accentuait son doigtage de mieux en mieux.

- Tu es une salope en plus d'être une pute. TU VAS JOUIR! hurla le producteur.

- NOOONNNNNN, se redressa Abella comme pour se soustraire à l'horrible plaisir qui montait en elle.

Mais à ce moment-là, Albert Descourt pinça ses deux tétons fortement et les vrilla brutalement en lui sussurant à l'oreille qu'elle allait jouir. La douleur fit hurler la jeune fille et, quand les doigts de l'acteur lâchèrent soudainement ses tétons, l'orgasme monta. Telle une crue gigantesque, la petite fut submergée. Une lave incandescente corroda son ventre et son sexe. Jamais un tel orgasme fut si fort, plein et envahissant. Victor continuait de la branler vigoureusement et là, Abella éjacula. Un puissant jet gicla loin dans la chambre, puis, accompagnant son cri d'orgasmes continus, elle éjaculait.

Elle ne s'aperçut même pas que Victor avait cessé et qu'Albert Descourt caressait gentiment ses seins en les embrassant. Sur une nappe flottante, son esprit divaguait loin du lit, de la chambre, de l'hôtel particulier, de son viol.

Elle reprit doucement ses esprits alors que les deux hommes la portaient. Les bras sous ses aisselles, les vieux la transportaient à travers la chambre. Elle ne réalisa pas qu'ils l'installèrent au-dessus du fauteuil Voltaire. Toujours l'esprit vaporeux après les immenses orgasmes qu'elle avait subi, la pauvre fille ne sentit pas que son sexe était forcé.

- Doucement ma petite, doucement, répétait Victor Leclerc.

- Ne t'inquiète pas mon ami, elle est complètement dilatée.

Une violente douleur cissailla le sexe et le ventre d'Abella. Elle se réveilla enfin. Les monstres l'avaient empalée sur la boule en bois de l'accoudoir. Distendue, son sexe avalait la boule de chêne. Elle gueula comme une bête, la douleur la rappelant à la réalité. C'est Albert Descourt qui gifla à plusieurs reprises ses seins pour qu'elle ne bouge pas.

Puis, Victor prit sa cravate et attacha les deux poignets de sa comédienne à l'autre accoudoir. Fermement maintenue, Abella ne pouvait plus s'échapper de la douleur et de l'humiliation. Le string fut bourré dans la bouche d'Abella qui gueulait et attaché par le nœud papillon.

La douleur trop forte, la jeune comédienne n'osait pas bouger de peur de s'ouvrir le sexe. Mais quand, derrière elle, Albert posa ses mains sur ses hanches nues, elle comprit intimement au fond de ses entrailles le traitement qui l'attendait. Victor se posta devant elle, le corps penché sur l'accoudoir pour que le fauteuil ne bouge pas. Le gros moustachu léchait les seins meurtris qui se balançait sous l'effet de la gravité.

- Vas-y quand même doucement Albert.

- Il ne va pas casser ton jouet, dit l'orgueilleux en écartant les deux globes du petit cul de la jeune fille.

Comme une bête prise au piège, Abella tenta de se débattre mais ses mains accrochées à l'accoudoir du fauteuil que Victor maintenait de tout son poids et la puissante prise d'Albert sur sa taille ne permit pas à la bête de bouger.

Le gland dur s'immisça entre les fesses rondes et fermes. Butant sur l'étoile brune, le soixantenaire commença à pousser avec ses hanches et sentait l'extrémité de sa verge distendre le sphincter. Il jugea de la virginité anale de la petite et en conçu un plaisir malsain.

Abella était folle. Malgré qu'elle est compris qu'elle ne pourrait pas se soustraire à la prise de ses tortionnaire, elle continuait de se débattre au risque de blesser son vagin empallé sur une boule en bois. Le comble... la jeune comédienne sentait son trou être forcé. Elle tentait de le refermer mais la dureté du gland et l'opiniatreté de l'acteur l'ouvrait.

- Plus tu vas résister, plus tu vas souffrir petite, dit Albert Descourt avec sa voix assurée. Laisse toi faire. Il va te déflorer.

Et d'un coup de rein, il pénétra son gland. Étouffée avec son propre string dans sa bouche, Abella hurla. Victor admirait le visage déformé par la douleur. Les yeux exhorbités semblaient réclamer une pause mais Albert Descourt poussait toujours et, maintenant, son gland était entièrement avalé par l'anus.

Victor triturait les tétons durcis par la douleur. Tout en maintenant le fauteuil au sol, il se pencha pour lécher les seins qui se balançaient au rythme des pénétrations. Du bout de l'index, il titillait le clitoris qui se pressait sur la boule'en chêne de l'accoudoir.

Abella avait le cul en feu. Un glaive incandescent la fendait en deux. Ses entrailles hurlaient des plaintes inhumaines. La jeune fille pleurait et hurlait derrière son bâillon de dentelle bien enfoncé dans sa bouche.

- Il va jouir maintenant. Tu peux être fière que Albert Descourt daigne te oindre de sa précieuse semence.

Et l'acteur lâcha un long râle arrosant les intestins de la pauvre comédienne.

Revenus dans le couloir, les deux hommes soutenaient Abella Chopou qui titubaiit. À ce moment-là, Ella Doucet sortit d'une chambre, les cheveux en bataille, un peu ivre. Les deux comédiennes se regardèrent et, dans leurs yeux bleus, elles surent.

- Ah.... s'exclama Victor Leclerc. Je te présente ta collègue de travail. Vous jouerez ensemble dans le prochain film.

Les deux filles sourirent à peine. Comme un homme sortait de la même chambre que Ella, le producteur continua.

- Et voici le réalisateur Abel Criche.

-Bonjour Abella, dit le réalisateur en bisant la comédienne.

Ella et Abella étaient chacune escortées par deux hommes. Toutes les deux, leurs cheveux et leur toilette étaient défaits. Le réalisateur prit les deux jolies comédiennes par les épaules pour les accompagner dans les escaliers. Albert Descourt et Victor Leclerc descendaient déjà.

-Bon... les filles vous avez le rôle. Maintenant faudra qu'on travaille tous les trois en amont car, il y a des scènes lesbiennes dans le film.

Les deux filles se regardèrent.

-Et comme vous êtes des salopes et des garages à bite... Faudra que je vous brife pour votre rôle de gouines.... À bientôt.

Abel Criche les laissa sur place. Ella Doucet et Abella Chopou se fixent un moment. Un petit sourire...

Elles sont prises dans un film.

FIN

(Ou plutôt le début de la Vie d'Abella)

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
3 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 9 mois

Terrible et très excitant... J'en aurais voulu encore

On peut imaginer que leurs pratiques seront dénoncées et que ces histoires resteront fiction... pour notre plus grand plaisir

AnonymousAnonymeil y a 9 mois

super jouissant

Alexandre1965Alexandre1965il y a 9 mois

Excellent texte, très excitant, dont la perversité n'est sans doute pas très éloigné de la réalité de ce milieu....

Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Quatre à Quatre Ch. 01 Nous rencontrons nos voisins pour un dîner étonnant.
La Voie d'Isabelle : Ch. 01 Isabelle accepte les sollicitations d'un inconnu.
La Déchéance de Caroline - 01 Séjour en Afrique - 1ère partie
Erika : Dresseuse De Couple – Ch. 01 Un homme marié rencontre une femme mystérieuse dans le train.
Plus d'histoires