Anecdoctes 02

BÊTA PUBLIQUE

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Après la douche commune qui efface les vestiges de leur sommeil, elles se vêtent de micro shorts en jean et de courtes brassières blanches, un choix de leur grand-père. La paille fraîche craque sous leurs pas alors qu'elles entrent dans l'écurie, un parfum terreux et réconfortant emplissant l'air. En nourrissant les chevaux, leurs mouvements sont empreints d'une douceur et d'une attention méticuleuse. Les étalons, sensibles à cette affection, répondent par de doux hennissements et des mouvements de tête affectueux, reconnaissant les caresses et les soins prodigués par les jumelles.

Cassandre, avec un rire qui éclaire son visage, lance l'invitation à l'aventure, à laquelle Clémence répond par un sourire radieux, affirmant leur préparation joyeuse à embrasser une nouvelle journée. Ce rituel, bien plus qu'une simple routine, est une célébration de leur soumission, un moment précieux insufflé par leur grand-père, devenant le cœur battant de leur existence.

Peu après avoir quitté l'enceinte rassurante de l'écurie, Clémence et Cassandre se retrouvent dans l'immensité ouverte des champs, où l'horizon semble s'étendre à l'infini. Alors que le soleil commence doucement à dissiper la fraîcheur matinale, elles galopent côte à côte. Leurs montures, puissantes et gracieuses, répondent avec une précision quasi télépathique aux moindres sollicitations, comme si une danse silencieuse se déroulait sous leurs directives expertes. Cependant, cette symbiose est tempérée par le frottement incessant de leurs cuisses nues contre le poil rêche des chevaux. La nature les entoure de sa splendeur tranquille, les champs se déroulant autour d'elles dans un kaléidoscope de verts et de bruns, parsemé ici et là de taches colorées où fleurissent les fleurs sauvages. Le seul son est le rythme apaisant des sabots sur la terre meuble.

À mi-journée, le soleil, maintenant haut dans le ciel, filtre à travers le feuillage dense d'un sentier boisé, créant un jeu d'ombre et de lumière mystérieux sur le chemin devant les déesses blondes. L'aventure du matin les conduit à un ruisseau sinueux, caché comme un trésor au cœur de la forêt. L'eau claire murmure des secrets anciens, invitant les jumelles à accorder une pause bien méritée à leurs fidèles compagnons et à elles-mêmes. Tandis que les chevaux s'approchent du ruisseau, leurs naseaux frémissants d'appréciation, Clémence et Cassandre s'installent sur l'herbe tendre. Le pique-nique devient un moment de partage et de réconfort. Entre deux bouchées, elles entreprennent de se caresser mutuellement, effaçant avec douceur les tensions accumulées dans leurs muscles à force de galoper.

La poire juteuse avalée, les sœurs se déshabillent. Le bruit apaisant de l'eau courante et le chant mélodieux des oiseaux créent une atmosphère de tranquillité absolue. Cet instant, en communion avec la nature, leur offre une pause, un moment pour se reconnecter non seulement l'une à l'autre. Les caresses lascives, empreintes de tendresse mutuelle, sont un baume pour l'esprit autant que pour le corps. La bouche de Cassandre fusionne avec celle de sa sœur. Leur langue joue une danse connue. Les mains caressent leur peau nue et chaude. Clémence s'allonge sur la nappe de pique nique et écarte son compas pour accueillir sa jumelle qui plonge vers son sexe offert. Sa langue fouille tous les replis de sa sœur. Pendant que ses doigts effleurent l'intérieure des cuisses, le bout de sa langue titille sporadiquement le clitoris de Clémence avant de revenir à ses pérégrinations sur la vulve humide.

A côté, les deux étalons broutent l'herbe calmement. Ils s'abreuvent tranquillement au ruisseau. Leur robe luisante brille aux rayons du soleil. Leurs oreilles frémissent quand les jeunes filles gémissent.

Quand elle perçoit la montée de plaisir chez sa jumelle, Cassandre accélère sa succion du bouton et pénètre deux doigts dans la chatte. Clémence décolle, tend son corps sur la nappe et enfonce ses doigts dans le sol. La blondeur de ses cheveux tranche avec la noirceur du sol. Elle pousse enfin un très long gémissement qui contraste avec la quiétude de ce coin de campagne.

La forêt autour d'elles, avec ses arbres séculaires et son tapis de feuilles et de mousse, les enveloppe dans une étreinte végétale. Les jeunes filles s'embrassent longuement, mêlant leur long corps svelte. Les mains cherchent des parcelles de plaisir inconnu. Les longues jambes s'entremêlent. Leur bouche explore les lèvres et les seins. Rien n'est plus beau que cette parenthèse saphique et incestueuse. Ce cadre idyllique est un chapitre de plus dans leur livre d'amour.

À MESURE QUE LE SOLEIL entame sa descente, teintant le ciel de couleurs chaudes, Clémence et Cassandre achèvent leur périple à travers champs et forêts pour revenir à l'écurie. Les chevaux sont accueillis avec toute l'attention et l'affection qu'ils méritent. Les deux grandes blondes se consacrent à les brosser avec soin, vérifiant avec une attention méticuleuse chaque muscle, chaque sabots, assurant leur bien-être après l'effort fourni.

Leur grand-père, Martial Bascoul, un homme au regard dur, fait son apparition dans l'écurie. Sa silhouette droite est un symbole de pouvoir et d'ordre. Observant ses petites-filles s'occuper des chevaux, un sourire de fierté éclaire son visage. Ce moment, simple en apparence, est la quintessence de sa domination.

Clémence et Cassandre, sous le regard de leur grand-père, terminent leur journée non seulement en tant que cavalières mais aussi en tant que gardiennes d'un héritage familial. Les gestes qu'elles accomplissent, empreints d'une délicatesse et d'une précision héritées, sont une preuve de leur obéissance absolue à leur Maitre et grand-père.

Martial observe leur petit cul enveloppé dans le micro short. Cassandre se penche sous son étalon pour y passer la brosse. Elle a bien remarqué la présence de son grand-père. Comme, il lui a ordonné le matin même, alors qu'elle le réveillait en le suçant, la grande blonde svelte saisit le sexe de sa monture. Elle cesse de le brosser, elle commence à le branler. L'animal claque un sabot sur le sol.

De son côté, Clémence a terminé de soigner son cheval et elle le conduit dans son box pour la nuit. La grande blonde rejoint son grand-père qui admire Cassandre réussir à faire bander l'étalon. La queue s'allonge sous le corps de l'animal et la jeune fille utilise ses deux mains pour la tenir. Clémence ôte son micro short en jean et sa fine brassière. Nue au milieu de l'écurie, à côté de son maitre, elle s'agenouille en croisant ses bras dans le dos.

- Branle-moi, salope!

Tout comme sa sœur qui longe en rythme le long et épais pénis de l'étalon, Clémence branle son grand-père avec amplitude. Cassandre connaît son cheval et sent qu'il est très excité. Elle se penche pour atteindre l'extrémité de son sexe et embrasse la corolle du gland. L'animal hennit.

- Suce-moi, salope, lance Martial Bascoul.

Comme la bouche de sa jumelle, Clémence pénètre le bout du pénis gonflé et l'enfonce entre ses lèvres. Est-ce par télépathie ou par les nombreuses heures d'entraînement sexuel ensemble, mais les jumelles suce et branle au même rythme en soignant régulièrement les testicules qui pendent.

Debout au centre de l'écurie, Martial admire la fellation de sa petite-fille sous le majestueux animal et apprécie celle qu'on lui prodigue. Le maitre a formé d'abord sa belle-fille et maintenant ses petites-filles. La perversité est son énergie.

C'est l'étalon qui défaille en premier. Il tape le sol avec son sabot et le jus éclate puissamment sur le visage de Cassandre. Du sperme est entré dans sa bouche. La forte odeur de la semence équine envahit le nez de la jeune fille qui gémit. Martial Bascoul a prit les cheveux de sa petite-fille et s'enfonce tout au fond de la gorge pour lâcher son jus de plaisir épais et abondant.

La journée se clôt dans un sentiment de plénitude, chaque action reflétant la profondeur de leur relation non seulement avec leurs chevaux mais aussi entre elles et avec leur grand-père. L'écurie, remplie d'échos de jouissance et d'ordres, est plus qu'un lieu de retour ; c'est un sanctuaire où les valeurs familiales et la domination se perpétuent.

(Personnages vus dans la série « Emprise sur la ville »)

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3 Commentaires
trouchardtrouchardil y a environ 1 mois

Toujours aussi bien décrit, toujours aussi bien écrit. Merci !

AurailiensAurailiensil y a environ 1 mois

Excellent... des perles de perversité

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