Anecdoctes 02

Informations sur Récit
3 courtes histoires.
4.5k mots
4.39
4.1k
0
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
APVapv
APVapv
17 Admirateurs

Dans cette série, je vous propose une diversité d'anecdotes. Chacune offre une immersion dans des situations et des atmosphères distinctes.

Mon objectif est de vous offrir une expérience, capturant différentes nuances de récits pour stimuler votre imagination et vous transporter à travers des scènes mémorables.

- Anecdote 4 : Au seuil de l'autel

- Anecdote 5 : Sa première fois

- Anecdote 6 : Cœur de cheval, âme de famille

Anecdote 4 : Au Seuil de l'Autel

L'AUBE CARESSAIT A PEINE les vitraux de l'église quand Marie, rayonnante dans sa robe de mariée, fit son entrée. Arrivée en avance avec son père, la jeune femme marchait précautionneusement avec ses escarpins vertigineux. Elle était comme une vision, marchant au bras de son père dans la nef encore baignée d'une lumière douce et sereine. L'église, d'ordinaire si imposante, semblait ce matin-là envelopper la scène d'une quiétude presque solennelle. Marie, dont la silhouette fine et élancée trahissait à peine l'émotion, avançait avec une grâce qui ne lui était pas coutumière, ses longs cheveux blonds captant les premiers rayons du jour.

Au seuil de ce sanctuaire silencieux, le père Philippe les attendait. Son accueil, empreint d'une chaleur sincère, contrastait curieusement avec son allure. Grand et imposant, il arborait un large sourire qui illuminait son visage, dominé par un nez rougeoyant. Cependant, son calme apparent et sa calvitie naissante conféraient à sa personne un air de dignité et de sérénité.

- Marie, mon enfant, tu es resplendissante, dit-il d'une voix à la fois douce et ferme, révélant une pointe d'émotion.

La robe blanche était recouverte ici et là de dentelles élégantes. La longe traînait derrière la mariée. Le tissu moulait le corps svelte de Marie et sa poitrine volumineuse emprisonnée laissait constater leurs rondeurs par le décolleté important.

- Ce jour restera gravé dans les mémoires comme le début d'une merveilleuse aventure.

L'église encore vide accueillait en son sein un nouveau chapitre. Marie, au bras de son père, avançait lentement vers l'autel, comme une répétition, sous le regard attendri du père Philippe. Baignée d'une lumière presque divine, la scène semblait suspendre le temps, en ce matin où tout commençait.

Peu après, devant l'église, l'atmosphère avait imperceptiblement changé. Les invités, élégamment vêtus, commençaient à se regrouper par petits cercles, échangeant des regards interrogateurs. Le chuchotement de leurs voix se mêlait désormais à un sentiment d'urgence palpable. L'absence du marié, Abdel, semait un trouble croissant. Quelques-uns, impatients, sortirent leurs téléphones dans une tentative désespérée de percer le mystère de cette disparition inopinée. Ils composaient son numéro avec une frénésie grandissante, espérant contre toute attente qu'il répondrait, dissipant ainsi le voile d'inquiétude qui commençait à s'étendre.

Les yeux bleus de Marie, habituellement si pétillants, trahissaient une angoisse croissante. Ses amis et sa famille se pressaient autour d'elle, lui offrant des paroles de réconfort.

- Il doit y avoir une explication logique, murmurait-on, tentant de maintenir une lueur d'espoir dans ce moment d'incertitude.

Malgré leurs efforts, le visage de Marie était désormais marqué par l'angoisse. Le contraste était saisissant entre la lumière joyeuse qui avait baigné l'église quelques instants auparavant et l'ombre d'inquiétude qui s'était désormais abattue sur le parvis.

SUR UNE ROUTE DE CAMPAGNE DESERTE, le contraste avec l'effervescence du parvis de l'église ne pouvait être plus frappant. Abdel, seul au milieu de nulle part, faisait face à un adversaire silencieux mais implacable : sa voiture en panne. Le capot ouvert révélait les entrailles mécaniques de son véhicule, muettes et indifférentes à son urgence. Son front perlait de sueur, non pas à cause de l'effort physique, mais du poids écrasant de l'angoisse qui l'étreignait. Son téléphone, qu'il consultait frénétiquement, ne lui offrait aucune échappatoire, aucun signal ne venant briser l'isolement de cette route oubliée.

Abdel lançait des regards désespérés aux alentours, comme si la solution pouvait surgir de cette étendue champêtre. Les champs à perte de vue, bordés çà et là de haies et d'arbres solitaires, étaient baignés d'une tranquillité qui contrastait cruellement avec l'urgence de sa situation.

LE CLIMAT DANS L'EGLISE atteint son paroxysme. C'est dans cet air chargé d'expectative que le père de Marie, un homme à la stature aussi solide que son caractère, prit une décision résolue. Il annonça son intention de partir à la recherche d'Abdel.

- Je vais le trouver, lança-il, d'une voix empreinte d'une assurance qui semblait défier les circonstances adverses.

Marie acquiesça à la décision de son père, ses yeux bleus reflétant un mélange complexe d'espoir et d'appréhension. Avec une force puisée au plus profond d'elle-même, Marie choisit de se retirer au fond de l'église, seule. Ce geste était une quête de sérénité dans un moment où le monde extérieur semblait conspirer pour lui voler sa joie. Avec ses murs épais et son silence presque tangible, l'édifice religieux offrait un refuge contre les regards curieux et les murmures incessants des invités.

DANS LA SACRISTIE, enveloppée d'une atmosphère de calme et de recueillement, Père Philippe fit preuve d'une délicatesse et d'une compréhension dignes de son rôle spirituel. Il invita Marie à le rejoindre dans cet espace à l'écart, lui offrant ainsi un répit loin du tumulte des invités.

- Votre robe est véritablement magnifique, Marie. Elle reflète la lumière d'une manière tout à fait exceptionnelle, lui dit-il en fixant les seins gorgés de vie de la jeune femme de 21 ans.

Dans sa bure blanche, le prêtre s'engagea dans une conversation empreinte de profondeur. Avec une voix teintée d'expérience et de sagesse, il aborda des thèmes universels tels que l'amour et la fidélité. Ses paroles, choisies avec soin, visaient à distraire Marie, mais aussi à lui offrir des perspectives réconfortantes en ce jour si chargé d'émotions. Marie l'écoutait. Ses beaux yeux maquillés, par moments perdus dans le vague, trahissaient une âme en quête de réponses, tandis que les notions d'amour éternel et de dévouement inconditionnel résonnaient en elle avec une intensité nouvelle.

Alors que le dialogue avec le père Philippe tissait autour de Marie un voile de sérénité, un changement soudain et inattendu frappa. L'anxiété, tel un courant souterrain qui avait couvé sous la surface de sa contenance, éclata avec une force irrésistible. La pièce, jusqu'alors un sanctuaire de calme, fut soudain emplie de la lutte silencieuse de Marie contre ses propres souffles saccadés. Elle commença à hyperventiler, chaque respiration devenant un combat, son visage pâlissant à vue d'œil alors que la réalité autour d'elle semblait vaciller.

Père Philippe réagit avec une rapidité et une assurance qui trahissaient son expérience dans la gestion des crises. S'approchant d'elle, il l'aida à s'allonger doucement sur le sol frais de la sacristie.

- Respirez lentement, ma fille, concentrez-vous sur votre souffle, lui conseilla-t-il avec une voix calme mais ferme.

Dans un geste précis, il s'attela à dégager la guêpière de Marie, comprenant que le vêtement, bien que magnifique, contribuait à sa détresse respiratoire. L'ecclésiastique parvint à dégrafer le haut de la robe. La guêpière se relâcha. Les deux seins furent expulsés des couches de tissus qui les comprimaient. Père Philippe eut un mouvement de recul. A genoux, auprès du corps étendu de la mariée, le vieil homme écarquillait les yeux devant le spectacle mammaire. Deux jolis globes plein, massif ornés de mamelons bien dessinés et bruns surmontés de petits tétons : une image violente pour le vieil abstinent.

La main fripée du prêtre emprisonna un sein. Il le malaxa. Dans sa gorge, une contraction d'excitation vrilla jusqu'à son ventre et son sexe. Une pulsion de folie l'envouta. Dans son état second, Marie n'assimila pas tout de suite que le vieux curé relevait les tissus de sa longue robe blanche. C'est au moment où la main calleuse se posa sur sa cuisse, au-dessus de sa jarretière, que la jeune mariée se réveilla. Ses profonds yeux bleus fixèrent le regard fou du prêtre au-dessus d'elle. L'ecclésiastique plaqua sa main sur la bouche de la jeune femme.

Il s'allongea sur elle et termina de remonter les jupons. Il remonta également son aube et sortit sa queue. Marie commença à se débattre mais que peut faire un corps si mince et délicat sous celui d'un homme massif et ventru dont l'unique dessein était de jouir de la chair qui lui était offerte.

Le cri étouffé de Marie ne sortit pas de la sacristie. Personne ne serait témoin du viol. Père Philippe avait profané le sexe de la jeune femme. Son gland gorgé d'un sang pervers et violent, s'enfonçait dans le vagin sec de la mariée. Elle avait beau serrer ses cuisses, la puissance du curé interdisait toute échappatoire. La seconde main du vieil homme saisit à nouveau l'un des seins découvert. Il tritura durement le téton qui durcissait malgré le viol. La queue s'enfonçait et ressortait à un rythme rapide. Les coups de reins étaient violents. Le visage du curé rougissait.

Marie sentait son sexe déchiré. Son téton maltraité faisait à son corps ce que sa tête ne voulait pas. Le cauchemar la saisit quand les fluides inondèrent son vagin. Le poids du prêtre lui interdisait toute fuite, les pincements sur son téton bannissaient toute réserve de pudeur, la queue dans son ventre la condamnait à frémir.

Bras tendus au-dessus de la paroissienne qu'il avait autrefois baptisée, le curé ne la bâillonnait plus. Il balançait d'amples et violents coups de rein. Sa queue coulissait agréablement dans le velours humide de la chatte. Des signaux de plaisirs lui parvenaient. Il plongea sa bouche sur l'un des gros seins. Marie ne bougeait plus. Sa bouche se taisait. Son cerveau était figé. Elle sentait uniquement les coups réguliers qui la faisaient tressauter sur le sol de la sacristie.

Soudain, Père Philippe se redressa la queue dans la main. Un épais jet s'étala sur le tissu en dentelle. Une seconde éjaculation, plus puissante, jaillit sur l'un des seins. Le vieil homme grognait de plaisir en regardant le si beau et si jeune corps étendu devant lui. Après, le vertige de son orgasme, le curé essuya sa queue avec la robe remontée sur le ventre de la jeune mariée. Il se leva et sortit tranquillement de la sacristie en ajustant son aube blanche et son écharpe ecclésiastique.

Marie commença peu à peu à reprendre le contrôle de sa respiration. Le flux de l'air devenait moins erratique, plus rythmé, tandis que le monde autour d'elle reprenait sa consistance. Le viol, aussi soudain qu'il fut, laissait place à une récupération, chaque souffle profond la ramenant un peu plus vers la stabilité. Ce moment d'intense vulnérabilité, loin des regards, entre les murs séculaires de la sacristie, devenait un témoignage silencieux de la fragilité humaine. Elle se releva doucement, prenant un moment pour rassembler ses esprits, encore ébranlée par le viol. Sa robe, symbole de ce jour censé être empli de joie, gisait défaite autour d'elle, témoin muet du viol. Elle ajusta aussi bien qu'elle pu, la robe en dentelle. Elle maniait le tissu avec une attention particulière, veillant à ce que chaque pli, chaque courbe de la robe épouse à nouveau parfaitement sa silhouette. Elle enfonça sa poitrine dans la guêpière. Avec des gestes méthodiques, elle commença à se remaquiller, corrigeant les marques de l'épreuve qu'elle venait de traverser. Chaque touche de pinceau sur son visage était comme un acte de réaffirmation, une façon de reprendre le contrôle sur les événements de la journée.

À L'EXTERIEUR DE L'EGLISE, un frémissement d'espoir parcourut la foule des invités. Les visages tendus se tournèrent vers l'arrivée tant attendue d'Abdel, escorté par le père de Marie. L'atmosphère, lourde d'inquiétude jusque-là, se mua en un souffle de soulagement. Son entrée fut accueillie par des regards soulagés et quelques applaudissements discrets, mais empreints de chaleur.

- Je suis désolé pour l'attente, dit-il, sa voix portant à la fois l'embarras et le soulagement.

Sans s'attarder davantage, Abdel se précipita à l'intérieur de l'église, poussé par l'urgence de rejoindre Marie et de reprendre le fil d'un scénario qui avait failli être altéré par les caprices du destin. Sa démarche, rapide et résolue, était celle d'un homme qui, après avoir affronté l'imprévu, était plus déterminé que jamais à sceller son union.

Dans l'église maintenant comblée d'invités et d'une atmosphère de célébration recouvrée, l'air solennel de la marche nuptiale de Mendelssohn s'éleva, enveloppant l'assemblée d'une majesté émotionnelle. Marie, au bras de son père, entama sa marche vers l'autel, chaque pas mesuré résonnant sur le sol de pierre ancien. Sa robe, ajustée et parfaite, captait la lumière et les regards, faisant d'elle le centre incontesté de cette journée. Au-dessus, la dentelle et les frous-frous pour les invités, en-dessous, le sperme qui coulait sur les cuisses nues pour sa honte.

Alors qu'elle s'avançait, ses yeux se levèrent vers le prêtre, le père Philippe, qui l'attendait. En croisant son regard, une onde de choc traversa son expression. Le visage du prêtre, éclairé par la lumière filtrant à travers les vitraux, semblait soudain porter un poids ou une signification qui ébranlait Marie au plus profond d'elle-même.

Marie se tourna vers le visage radieux et heureux d'Abdel puis se posa sur celui du curé.

Anecdote 5 : Sa première fois.

SA JUPE FEND L'AIR. La marche est vive et rapide. Les talons des escarpins claquent sur les pavés de la place. Elle traverse à vive allure laissant ses longs cheveux bruns balayer l'air. Les bruits de la ville, les passants, les voitures ne parviennent pas à sa conscience. Elle file vers son rendez-vous.

La possibilité qu'elle l'ait rencontré, lui, cet homme si connue, était si improbable que c'est là l'origine de son excitation. Tourmentée dans sa lutte entre ses pulsions et sa résistance : l'un pour l'irrépressible besoin de volupté et de reconnaissance, l'autre de résister à la peur de se donner.

Son téléphone indique le parcours, le chemin vers son désir, le désir d'approcher une étoile. L'adresse de l'hôtel lui est inconnue. C'est en sortant d'une avant première, qu'elle l'a rencontré. Lui, la vedette internationale depuis tant d'année. Il lui a parlé. Il la fait rire. Il a gagné sa timidité. La soirée qui avait suivi, une parenthèse romantique dans son existence ordinaire et banale. Au moment de se quitter, quand il payait l'addition, le couperet était tombé.

- J'aimerais vous revoir et vous faire l'amour.

Sa respiration fut coupée. Ses joues et sa gorge rougirent. Le bout de ses petits seins durcit. Mais le profond regard de l'homme renversa ses défenses et le rendez-vous fut donné.

Le hall de l'hôtel huppé résonne d'activités. L'ascenseur monte vers sa destinée. Elle sait bien qu'aucune relation sérieuse ne pourra aboutir mais elle ne peut pas louper l'occasion de sa vie. Elle, petite femme ordinaire, sans atout particulier rencontrer et faire l'amour avec Lui. Sa mère et sa grand-mère l'adulent.

Son cœur tambourine dans sa poitrine. Le sang cogne à ses tempes. La porte 357 est face à elle comme une décision déterminante. « Pourquoi moi?», se demande-t-elle. Les jours d'avant, elle est passée chez l'esthéticienne. La première fois qu'elle est sans poil, même son sillon fessier. Elle a dépensé un tiers de son salaire de caissière, en lingerie, string, bustier, porte-jarretelle, bas en soie. Le coiffeur et la manucure ont fini de grever son budget mensuel.

Devant elle, une opportunité extraordinaire ; en elle, l'écho d'une vie ordinaire. La porte ne s'ouvre pas. Elle a cogné. Elle cogne à nouveau. De la simplicité de son quotidien à la complexité éblouissante de l'opportunité devant elle, un gouffre d'extraordinaire s'ouvre. Le vertige creuse son ventre. La porte bascule. Là, remplissant l'embrasure de son charisme, il la regarde. Elle se tient humblement magnifique, une énigme ordinaire à l'aube d'une rencontre extraordinaire. Il sourit.

Avec la discrétion pour voile, et lui, l'audace pour couronne, les coupes de champagne sont vidées rapidement. Il indique la chambre de la suite. Elle le suit enfouie dans sa timidité. La célébrité a ôté sa veste qu'il dépose sur le valet.

- Déshabille-toi, ne sois pas timide, sourit-il de ses belles dents blanches.

Couche par couche, elle s'effeuille et ses joues rougissent. Elle aime son regard calme et désireux sur son corps qui se dénude. Dans ses yeux, elle perçoit, croit-elle, de l'admiration quand elle est vêtue que de lingeries dispendieuses. Il avance vers elle et l'embrasse avec chaleur. Ses mains chaudes et puissantes parcourent la peau dénudée et jouent avec les dentelles. Les fesses plates sont malaxées, le dos est caressé, les petits seins sont empaumés. Elle fond comme un iceberg au milieu du désert. Sa bouche répond au baiser, ses mains n'osent pas déboutonner la chemise.

- Viens, dit-il en s'approchant du lit.

La petite brune baisse les yeux. Elle grimpe à quatre pattes sur le dessus de lit. C'est lui qui la dirige. Elle trouve la position impudique. Elle n'a jamais... Son cœur naïf bat la musique de son excitation. Quand elle entend la ceinture se déboucler, sa gorge se serre. Les deux mains masculine ses posent sur ses hanches ornées du porte jarretelle dont elle est si fière. Il joue avec les dentelles.

Soudain tout son corps s'électrise. Elle ne voit rien mais sent tout. La chair du pénis s'est posée sur sa fesse droite. Des doigts écartent le string trempé de mouille. Elle pense défaillir dès que le gland joue avec l'entrée de son vagin. Son désir : qu'il s'enfonce en elle pour la délivrer de l'insupportable attente. Sa pudeur a disparu. Comme une chienne sur un lit et un homme derrière elle, jamais elle n'aurait pensé accepter cela de sa vie.

Le bout de la queue s'amuse dans les replis humides de la vulve. Les doigts de la femme s'enfoncent dans les draps et malgré elle, malgré sa pudeur, elle écarte encore plus ses jambes pour inviter son amant à la remplir.

C'est à ce moment là, qu'elle se raidit. Tout son corps crie sa révolte. Le gland s'est posé sur la rondelle et rapidement, le sexe a poussé. La résistance est forte. La pression également. La femme tente de se dégager. Mais les puissantes mains serrent les hanches. Elle se plaint. Il gémit lorsqu'enfin l'anneau brun cède sous la pression. La colonne de chair s'enfonce en dilatant douloureusement l'anus de la femme qui hurle de douleur.

Aucune sensation aussi violente que celle-ci n'est supportable si en plus, elle se sent humiliée. Cisaillée en deux, la pauvre geins, pleure, grogne. Mais la célébrité revient en arrière et s'enfonce à nouveau, perforant encore le petit cul sans fesse. La queue taraude lentement l'anus qui n'est pas encore dilaté quand l'éjaculation remplie le ventre de la pleureuse.

Elle s'effondre quand l'homme se rhabille. Le sperme sort de l'anus. Elle pleure et n'ose pas le regarder.

- Tu peux rester toute la journée, la chambre est payée, lance-t-il en sortant de la suite.

Anecdote 6 : Cœur de Cheval, Âme de Famille

TÔT LE MATIN, ALORS QUE L'AUBE PEINT LE CIEL d'une palette de couleurs douces, l'écurie du grand-père, baignée dans une atmosphère paisible, s'éveille à la vie. Clémence et Cassandre, jumelles blondes au tempérament obéissant et tendre, quittent le confort de leurs draps avec une hâte joyeuse, poussées par le confort de suivre les ordres sans opposition. Leur dévouement et leur respect pour leur grand-père se reflètent dans chaque geste, chaque décision, notamment dans la manière dont elles abordent leur routine matinale : un rituel sacré qu'elles perpétuent.

Cassandre rejoint sa sœur dans la salle de bain après avoir quitté la chambre de son grand-père. Un filet de sperme coule sur sa joue. L'eau de la douche ruisselle sur leur corps de déesse. Elancées, sveltes, les jumelles se lavent ensemble. Elles s'attardent sur leur poitrine, deux belles poires pleines, arrogantes face à la gravité. Complètement identiques, Cassandre et Clémence se frictionnent le dos et les fesses en prenant soin de bien savonner leur raie des fesses.

APVapv
APVapv
17 Admirateurs
12