Alice in Wonderlands? Ch. 08

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Elle alla prendre quelques gorgées d'eau, son ventre la tiraillait et elle rêvait d'un copieux petit déjeuner. Elle prit la peine ensuite de tester la porte qui restait désespérément bouclée. Une bouffée de rage la traversa et elle donna moult coups de pied à cette porte qui la séparait de la liberté en tirant comme une folle sur la poignée.

Défoulée, elle rejoignit le lit et s'assit sur le matelas en tailleur. Elle regardait la fenêtre dont la crémone avait été enlevée quand elle eut l'idée de la briser. Peut-être arriverait-elle ensuite à ouvrir le volet. Elle fouilla alors la chambre et la salle de bain de fond en comble dans l'espoir de trouver ne serait ce qu'un tout petit projectile pour servir ses plans. Mais rien ne traînait, les deux pièces étaient désespérément vides. Même le pommeau de douche était soudé, les pieds du lit indémontables et la robinetterie trop bien vissée !

De rage elle balança son oreiller dans la vitre et retourna s'asseoir sur le lit. Rien ne se passait, ses ravisseurs la laissaient en paix et elle avait fini par somnoler lorsque la porte s'ouvrit assez brutalement. Trois blacks entièrement nus comme la veille venaient de rentrer dans la pièce. En les découvrant, Amélie se recroquevilla en haut du lit en serrant fort le second oreiller contre sa poitrine.

- Qu'est-ce que vous me voulez, qu'est-ce que vous me voulez bordel finit-elle par répéter sans cesse alors que les hommes encadraient le lit.

Elle n'eut, comme hier, aucune réponse et c'est de son oreiller comme futile projectile qu'elle tenta de mettre en fuite ses agresseurs lorsque deux d'entre eux montèrent sur le lit pour l'attraper. Ils l'allongèrent cette fois sur le ventre en mettant sous celui-ci l'oreiller pour relever ses fesses. Elle se débattait comme elle pouvait malgré la fatigue. Même si elle n'avait aucune chance de retourner la situation elle ne voulait pas s'avouer vaincue et surtout leur montrer le moindre signe d'acceptation de leur barbarie.

Un des hommes lui tenait les bras alors que le second badigeonnait son anus de lubrifiant et que le troisième munit d'une petite caméra filmait ses tourments. Un "nonnnnnnnnnnnnnn" sans fin résonna dans la pièce lorsque le majeur de son futur violeur s'introduisit entre ses fesses. Amélie n'avait pas imaginé que son calvaire passerait par là et elle gigotait des fesses comme une folle pour leur éviter le pire.

Elle n'était pas adepte du tout de la sodomie, cela ne l'avait jamais vraiment attirée. Elle avait cependant accepté de tester l'an dernier sur l'insistance de Karl, un des ses partenaires réguliers fréquentant la même école quelle. Il n'était pas très bien équipé, mais compensait son petit gabarit par une résistance assez étonnante et un coup de langue qui la faisait chavirer à chaque fois.

C'est sa petite taille qui l'avait convaincue d'essayer. Karl y avait mis les formes en préparant longuement ses fesses à l'introduction et en la prenant avec douceur. Mais malgré toutes ses attentions, elle n'avait ressenti aucun plaisir, juste de la douleur et du dégoût ! Devant l'insistance de Karl ils avaient quand même tenté de nouveau l'expérience une quinzaine de jours après sans une réelle réussite. Cela lui avait définitivement confirmé son dégoût pour ce côté sombre du sexe.

Lorsqu'elle sentit le gland se positionner contre sa corolle, elle revint à la réalité du moment et son angoisse redoubla. Elle serait les fesses instinctivement tout en sachant qu'elle ne gagnerait pas cette bataille et que cette défense risquait de lui causer plus de souffrance. Mais elle n'y pouvait rien, son corps refusait cette invasion ennemie. Son agresseur prenait son temps. Il badigeonnait son anus entre deux essais d'introduction et testait son élasticité d'un ou deux doigts inquisiteurs.

Vu comment ils s'étaient occupés d'elle la veille, elle savait pertinemment que ses intentions n'étaient pas de limiter ses souffrances, mais plus de lui faciliter la première introduction sans mettre sa queue dans tous ses états. Une énième poussée finit par faire rendre les armes à sa corolle. Amélie criait son désespoir et sa douleur en répétant inlassablement des "non" de toute sorte pendant que ce sexe se frayait un chemin jusqu'aux profondeurs de ses intestins.

Une fois arrivé à destination, l'homme prit quelques secondes pour ajuster sa position et très certainement apprécier d'avoir vaincu ce fessier résistant. Il ne laissa pas à Amélie le temps de s'habituer à sa queue et commença à pistonner ses fesses vigoureusement. Comme la veille c'est dans un style brutal et violent qu'il la prenait. Elle hurla sans cesse jusqu'à ce que l'homme dans un dernier coup de rein de hardeur porno vint déverser son foutre dans ses profondeurs anales.

Elle accueillait presque ce sperme tout chaud avec plaisir, car il était signe d'une rapide délivrance. Une fois son sexe sorti de cet anus enflammé, son sodomisateur échangea sa position avec son compère.

- Nonnnnnnnn, pourquoi? Pourquoi me faites-vous ça? interrogeait Amélie l'homme qui lui tenait fermement les bras. Baisez-moi plutôt, baisez-moi, s'il vous plaît baisez-moi répétait elle en sentant une nouvelle queue se présenter aux abords de sa corolle.

Malgré son sexe encore bien endolori des assauts de la veille, elle aurait préféré le leur donner en pâture plutôt que de sentir son anus violé à nouveau. Mais elle parlait à des murs et c'est une queue un peu moins épaisse, mais tout aussi dure qui lui déclencha un grand cri strident en s'introduisant entièrement d'une seule traite dans son fondement meurtri.

L'assaut fut à nouveau sans pitié et laissa Amélie toute pantelante, le visage crispé par la douleur enfoui dans l'oreiller. Cette fois le troisième homme ne participa pas à la fête et ne s'occupa que de gérer la caméra tournant autour du lit pour capter moult plans diversifiés.

Après leur départ, elle se précipita sous la douche pour tenter vainement de faire disparaître les traces et les odeurs de ces violeurs sous des trombes d'eau. Ses fesses n'arrêtaient pas de palpiter et la faisaient horriblement souffrir. Ses illusions et son optimisme du réveil avaient disparu et c'est un nuage noir qui entourait la suite de sa journée.

Elle eut ensuite une bonne heure pour récupérer un petit peu et faire redescendre la pression avant que la porte ne s'ouvre et qu'un autre couple de blacks vienne lui rendre visite. La thématique de la journée avait été fixée et c'est à nouveau ses fesses qui furent l'objet de toute leur attention.

Amélie était au bord de la crise de nerfs, cette nouvelle épreuve lui paraissait insurmontable. Les duos accompagnés du cameraman se succédaient et l'heure de pause qui lui était accordée entre chaque s'est vite avérée insuffisante. Ses fesses la faisaient atrocement souffrir et chaque nouvelle queue qui se présentait aux abords de sa corolle était une véritable torture. Elle eut rapidement l'horrible impression que son anus ne se refermerait jamais !

Elle avait encore par moment un regain d'énergie pour insulter copieusement ses tortionnaires, mais était le reste du temps pantelante et avachie, subissant soumise les assauts de ses partenaires. Lorsqu'en fin de journée elle aperçut enfin, à travers les quelques larmes qu'elle avait lâchées pendant sa dernière rencontre avec une queue un peu plus imposante, les hommes en blouse blanche, elle eut un petit rictus ressemblant à un sourire.

Après l'osculation et la douche, la douceur du matelas changé de frais l'accueillit.

---------------

Lorsqu'elle se réveilla, Amélie découvrit un document posé sur le bas de son lit. Sa nuit avait été très agitée, remplie de sombres cauchemars et d'anus douloureux et elle se sentait un peu vaseuse. Malgré sa forte curiosité, elle prit le temps d'une douche avant de consulter le document. Elle se sentait très fatiguée et les bienfaits de l'eau tiède n'eurent aucun effet revigorant. Elle grimaça en constatant l'apparition de quelques bleus aux endroits où l'avaient maintenue plus fortement ses agresseurs lorsqu'elle s'était parfois débattue.

Elle eut peur que l'appel du lit soit trop fort et qu'elle replonge dans les bras de morphée, alors elle s'assit le long d'un mur, la tête calée avec un oreiller et commença à lire tranquillement le document.

Elle fut surprise de découvrir que celui-ci était à entête de l'entreprise de ses parents et qu'ils lui proposaient un poste de directeur adjoint dans leur boite ! Elle avait déjà évoqué avec eux son avenir et n'avait pas mis de côté l'idée d'un début de carrière dans l'entreprise familiale pour se faire la main. Elle avait en plus brillamment terminé ses études et était prête à assumer un poste à responsabilité. Mais pourquoi tout ce cirque pour un contrat, pourquoi autant de violence?

Elle parcourut rapidement les premières pages du document sans relever de chose particulière, il ressemblait en tout point à un contrat standard. Les derniers paragraphes l'intriguèrent beaucoup plus. Elle ne comprit pas tout de suite à quoi ils faisaient référence, tout était décrit avec des sous-entendus, rien n'était vraiment clairement exprimé. Il lui fallut le relire plusieurs fois pour en saisir le contenu.

En résumé, si elle avait bien interprété le sens, il lui faudrait se vouer corps et âme à l'entreprise et à son dirigeant ... au sens premier de la chose ! Elle n'imaginait pas tout ce que cela pouvait sous-entendre dans la tête du rédacteur de ce torchon, mais le concept la fit frissonner de peur.

Un des hommes en blouse blanche entra avant qu'elle n'ait eu le temps d'approfondir la question et de se faire des films sur les conséquences du contrat.

- Vous n'avez pas signé? lui demanda-t-il en récupérant le document.

Son esprit de contestation reprit le dessus et sans même lui poser une seule question Amélie leva rageusement son majeur en sa direction en guise de réponse. L'homme fut un peu étonné, il avait imaginé que la séance de la veille aurait suffi à la décider. Elle n'avait peut-être pas encore fait la corrélation avec la fin de ses tourments.

L'homme quitta la pièce sans lui donner plus d'explication. Un trio de tourmenteurs ne tarda pas à venir le remplacer. Dans une colère bouillonnante, c'est avec les deux majeurs relevés cette fois qu'Amélie les accueillit en leur criant folle de rage les pires insanités.

Elle se retrouva rapidement sur le lit. Elle n'était plus du tout en mesure de combattre. Elle se mit sur le dos et écarta presque naturellement les jambes tellement elle craignait de subir à nouveau les affres de la sodomie. Son violeur la prit sans le moindre préliminaire lui déclenchant quelques couinements de douleur.

Le grand black laissa la place à son partenaire après l'avoir longtemps besogné. Ce nouveau sexe ne fit que quelques aller-retour dans le sien gorgé de la semence du premier. Il lui releva ensuite les cuisses pour glisser son chibre vers l'anus tuméfié de sa victime. Épuisée Amélie n'eut pas la force de se débattre et lâcha un long cri de douleur lorsque la verge la pénétra sans ménagement.

Elle n'eut pas cette fois droit à une très longue pause avant qu'un nouveau couple de blacks ne viennent utiliser ses deux orifices. C'est à la fin de cette seconde sodomie qu'elle percuta sur le contrat. Elle n'avait plus la force de supporter une autre journée de viol. Il fallait que cela s'arrête et le contrat semblait en être la clé.

Lors du troisième couple, elle le réclama à corps et à cris entre deux sanglots pendant les deux rapports. Elle fut entendue, car c'est l'homme en blouse blanche qui pénétra ensuite pour son plus grand bonheur. Elle parapha toutes les pages du document d'une main tremblante et signa la dernière sans une once de retenue.

À peine eut-elle fini qu'une main vint poser fermement un chiffon imbibé de chloroforme sur son visage pour la ramener en quelques secondes au pays des songes.

---------------

Il était tout juste quatorze heures lorsque Valérie Harchambault, la mère d'Alice, gara sa voiture le long d'une haie de sapin bien entretenue. La maison était située dans un petit quartier résidentiel d'une des communes de la 1ere couronne de leur ville. Elle était assez classique, entourée d'une belle pelouse arborée très bien entretenue. Un petit plan d'eau avec petite cascade et une belle diversité de plantes aux couleurs harmonieuses rendaient l'endroit fort accueillant.

Elle franchit le portail et salua un petit monsieur au large chapeau de paille accroupi occupé à tailler minutieusement l'un des petits arbustes. Le jardinier pensa-t-elle, indispensable pour avoir un jardin de cette qualité. Quelques instants après son coup de sonnette, c'est une femme qui vint lui ouvrir, une Asiatique très fine au début de la cinquantaine habillée en tenue de servante.

- Bonjour, j'ai rendez-vous avec Mr Klansky.

- Bienvenue, Mme Harchambault, je vous attendais. Monsieur vous prie de l'excuser, il aura un petit peu de retard, une réunion qui s'éternise. Suivez-moi au salon s'il vous plaît.

Valérie Harchambault, son petit sac de voyage à la main, engagea ses pas dans celui de son hôte jusqu'à une vaste salle à manger dont la décoration aux couleurs asiatiques la plongea dans un autre univers.

- Voulez-vous boire quelque chose en attendant, proposa la servante lorsque Valérie eut posé ses fesses sur le bord d'un grand fauteuil canapé, café, thé ou alcool, whisky, bourbon, scotch ...

Valérie avait déjà pris plusieurs expressos après le léger repas du midi, elle opta donc plutôt pour un scotch histoire de se donner un peu de peps pour "affronter" son hôte. Son mari ne lui avait pas donné beaucoup d'information sur lui. Il ne l'avait d'ailleurs prévu que la veille du rendez-vous envisagé, ce qui l'avait énormément agacé.

Non pas par la rencontre ils étaient très libres sexuellement et avaient parfois recours à ce style de stratégie pour faciliter certaines négociations de contrat. Elle dirigeait, d'une main de fer, avec son mari leur importante entreprise florissante et était prête à tout, ou presque, pour que cela fonctionne. Elle avait soif de pouvoir et savait se donner tous les moyens pour atteindre toutes ses ambitions.

Mais lorsque cela arrivait, ils avaient pour règle de planifier et de préparer dans les moindres détails ces petits extra. Ils allaient même jusqu'à discuter des tenues ou des attitudes à avoir avec leur futur client. Rien n'était laissé au hasard pour atteindre leurs objectifs.

Cette fois tout semblait se faire dans l'urgence. Elle l'avait même senti gêné de lui présenter la chose et d'en discuter avec elle. Lui qui était généralement plutôt fin psychologue n'avait pas réussi à cerner cette nouvelle relation d'affaires. Il semblait même presque en avoir un peu peur et cela l'avait étonné. Ce n'était pas dans ses habitudes de se laisser impressionner.

Elle savait qu'ils traversaient une passe difficile et que les derniers importants investissements qu'ils avaient réalisés ces deniers mois n'avaient pas porté leurs fruits. La situation était tendue et compliquée et ce nouveau partenaire financier qui tombait du ciel pouvait leur sauver la mise. Ce Mr Klansky sortait de nulle part, mais il avait, leur de la dernière entretenue avec son mari, laissé sous-entendre qu'un week-end en sa compagnie pourrait fortement faire pencher la balance de leur côté. Elle n'allait pas rater l'occasion !

Sans informations particulières elle était restée dans du classique pour se tenue. Chemisier en satin, tailleur pour appuyer sa silhouette longiligne un peu fine, talon aiguille, bas et porte-jarretelle qui font toujours leurs effets avec des sous-vêtements dentelles. Elle avait laissé détaché son imposante chevelure rousse ondulée pour compenser le petit côté strict du tailleur.

Tout en détaillant les différents objets de décoration, elle se demanda à quoi ressemblait son hôte. Elle n'avait pas participé aux premières rencontres et là-dessus aussi son mari était resté discret. Même si elle n'était pas fan de la culture asiatique, l'agencement était de bon goût et elle espéra, pour passer un week-end agréable, que son hôte soit aussi raffiné que sa maison !

La dose de scotch que la servante lui avait ramené était assez musclée et elle la dégustait à petite gorgée tout en consultant les messages qui avaient envahi son téléphone pendant son trajet en voiture. Après avoir rédigé quelques réponses, sa vue commença à se brouiller. Un petit coup de fatigue pensa-t-elle, avec le rythme effréné de ce dernier mois rien de surprenant, il lui arrivait fréquemment de faire des micros sieste après le repas du midi pour rester opérationnelle. Elle posa son téléphone sur le rebord du fauteuil, s'enfonça confortablement dedans et plongea rapidement dans un profond sommeil !

---------------

Lorsqu'elle se réveilla, Valérie Harchambault avait la bouche pâteuse et l'esprit au ralenti. Elle était allongée sur un large matelas posé à même le sol. Elle se rappelait le rendez-vous avec Klansky, la servante, le scotch, drogué certainement pour qu'elle tombe de sommeil aussi lourdement. Puis sortant de ses réflexions elle ouvrit les yeux. Elle était encore un peu dans le brouillard. Elle réalisa quand même rapidement qu'elle n'était plus dans le salon, mais dans une grande pièce toute blanche éclairée d'une lumière très vive par deux ampoules nues.

Elle se rendit compte qu'elle aussi était nue comme un ver, allongée sur ce grand matelas posé dans un coin de la pièce. Lorsqu'elle voulut relever la tête, son mouvement fut vite arrêté. Elle était attachée bizarrement par les cheveux ! Une corde lui entourait la taille, une seconde passait entre ses fesses et les lèvres assez fines de son sexe. Ses deux mains attachées entre elles étaient reliées à cette dernière limitant ainsi ses mouvements. Sa bouche accueillait un bâillon boule qui empêchait le moindre mot d'en sortir.

Lorsqu'elle tourna la tête, elle aperçut le jardinier et la servante qui se tenaient debout au milieu de la pièce en attendant très certainement qu'elle revienne à la réalité. Elle découvrait le visage de l'homme au large chapeau de paille, un asiatique également. Elle avait du mal à lui donner un âge, le même que la femme probablement.

Elle jeta un œil également à cette grande pièce dont l'aspect glauque et la froide blancheur de ses murs la firent frissonner. Ces derniers étaient garnis d'anneaux à différentes hauteurs, même le plafond en était décoré avec pour certains des cordes attachées à des petites poulies. Seule une grande armoire contre le mur opposé complétait ce mobilier très particulier.

En la voyant se réveiller, les deux Asiatiques se rapprochèrent du matelas.

- Bonjour, Mme Harchambault, nous vous souhaitons la bienvenue dans notre humble demeure, annonça l'homme en se penchant avec sa compagne à plusieurs reprises les mains jointes devant eux.

Valérie Harchambautl n'en revenait pas. Elle était encore un peu dans les vapes, mais la scène qui se déroulait sous ses yeux était tout bonnement surréaliste. Ils l'accueillaient comme un invité normal alors qu'elle était là allongée nue comme un ver devant eux ! D'un geste un peu brusque elle tenta de ramener ses mains vers son visage pour leur montrer le bâillon boule qui l'empêchait de leur parler. Le mouvement fut vite arrêté par la corde qui tira violemment sur celle fichée entre son sexe. L'insertion de la corde un peu plus profonde entre ses grandes lèvres lui provoqua un petit rictus de souffrance.

- J'espère que vous passerez un agréable séjour en notre compagnie et que, malgré la sobriété du confort dont elle fait preuve, votre chambre vous convienne, enchaîna l'homme sans se soucier de sa réaction. Nous sommes Mr et Mme Lee. Je suis maître dans la pratique du Shibari et ma femme dans celle de la fessée. J'espère que vous apprécierez notre savoir-faire que nous serons au niveau de vos attentes.

Sans la petite douleur causée par la corde placée entre les lèvres de son sexe Valérie pourrait croire qu'elle est en train de rêver ! Les deux Asiatiques quittèrent ensuite la pièce en la laissant à ses questions. Malgré la situation si particulière, elle n'avait pas peur, aucun stress pour l'instant ne l'avait envahi. Elle s'attendait même à voir apparaître Klansky.