Alain, Sylvio, Camille et Moi

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
SamBotte
SamBotte
6 Admirateurs

- Eh! Oh! Attends un peu, merde!

- Tu viens de dire que tu voulais qu'on te baise tous les trois et que tu prennes ton pied, non?

- C'est vrai, mais attends un peu...

- Non, j'attends pas! Je veux te défoncer la chatte, je veux t'en mettre plein la culotte!

Elle avait beau rouspéter, on voyait bien qu'au fond, ça l'excitait au plus haut point de sentir trois hommes chauffés à blanc autour d'elle. Elle me lança tant bien que mal un haut de maillot de bain en disant :

- Y avait pas de soutien-gorge avec la nuisette, juste la petite culotte. Mais peut-être que si tu joues sur les ficelles, il pourra t'aller...

Ce soutien-gorge était constitué de deux triangles de polyamide rose fuchsia reliés entre eux en bas par une ficelle (à attacher dans le dos) et par deux autres à la pointe de chaque triangle (à relier entre elles derrière la nuque). J'acceptai l'aide qu'Alain me proposa et le laissai faire. Il demanda où il pourrait trouver de quoi rembourrer ma poitrine. Sylvio était trop occupé à pistonner sa femme pour parler, mais entre deux coups de boutoir, elle trouva le moyen de lui répondre par bribes.

- Dans la buanderie... à côté de la cuisine... il y a une panière... à linge... Y a les culottes... que j'ai portées... hier et avant-hier.

Il revint deux minutes plus tard, la mine dépitée.

- J'en ai trouvé qu'une! Ça doit être Sylvio qui a déjà pris l'autre. Et pourtant, la petite Sam, elle est censée avoir deux seins, pas un seul!

- C'est pas grave... prends en une là... dans le tiroir de droite... une propre...

- Tais-toi un peu, merde!

Sylvio manifesta son mécontentement, mais elle n'en avait cure.

- Fais pas chier, Sylvio. Je veux que Sam puisse vivre son fantasme autant que vous. On était bien d'accord, non? Sam veut se sentir femme, donc, cette après-midi, Sam va être Samantha, point!

Elle força son mari à se retirer d'elle et pendant qu'Alain "faisait pousser" ma poitrine, elle se dirigea vers la salle de bains. Elle en revint quelques secondes plus tard et paracheva ma féminisation en ajustant sur ma tête une perruque auburn. Elle fit deux pas en arrière et revint m'embrasser à pleine bouche.

- Bonjour... Samantha. Je suis Camille, mais tu peux m'appeler Cam'.

Elle rit à gorge déployée et reprit :

- T'as vu, là, avec mes quinze centimètres de talons, je suis aussi grande que toi...

- Tu pourrais me filer du rouge à lèvres? J'ai envie... Tu veux bien?

- Bien sûr... Mais, avant de passer dans la salle de bain, on va faire un tout petit détour. Quand vous êtes arrivés, tu m'as parlé que tu aimais aussi la fourrure, non?

J'acquiesçai d'un hochement de tête et elle poursuivit :

- Si on a un peu de chance, tu pourras peut-être rentrer dedans...

- Dans quoi?

- Dans mon manteau de fourrure, idiote!

Elle m'entraina par la main tandis que la voix de Sylvio retentissait :

- Eh! Vous y passez pas deux heures!

- Juste une minute. On arrive... Vous avez qu'à vous caresser mutuellement, c'est pas les ingrédients qui manquent, non?

Lorsque nous revînmes dans la chambre, elle se planta derrière moi, ses deux mains posées sur mes hanches et les apostropha "Les garçons, je vous présente ma copine Samantha".

Alain arborait un sourire ravi, dont je devinais qu'il était autant dû à l'effet que je lui faisais qu'au fait qu'il savait à quel point cette situation était exaltante pour moi.

Sylvio s'approcha de moi, puis il colla son pubis contre le mien tout en me pelotant les fesses. Je sentais son sexe tout raide sous la robe en cuir de Béa qu'il avait enfilée, et pendant que son majeur cherchait à fouiller mon anus à travers mon pantalon d'agneau, je me tortillai sous ses caresses. J'étais tellement dans mon fantasme qu'en fait, cette situation ne me gênait absolument pas. Pas plus que je ne cherchai à me défiler quand il retroussa sa robe en disant "Je voudrais que tu me suces".

Je m'agenouillai devant lui, provoquant un déplacement des mains de sa femme de mes hanches vers mes épaules. Je commençai par caresser le phallus tendu de ma main gantée, puis je l'introduisis dans ma bouche. J'entamai de lents mouvements d'avant en arrière, puis demandai à Alain de me passer un des gants de son épouse. Je fourrai son sexe dedans et me mis à le branler ainsi. Alain venait juste de se positionner à genoux derrière moi afin de pouvoir "me humper" quand Camille lui proposa de lui "faire subir le même traitement", ce qu'il accepta bien évidemment avec enthousiasme. Calquant alors mon attitude sur la sienne, je recommençai à sucer Sylvio tout en caressant son entrejambe avec le cuir. Il avait posé ses mains sur ma tête et ne tarda pas à lui imprimer un rythme de plus en plus rapide. Puis il s'arrêta et chercha à enfoncer sa bite dans ma gorge le plus profondément possible. Je résistai pour lui signifier mon désaccord, mais acceptai néanmoins de la faire coulisser à l'extérieur de mon palais

- Putain, tu suces bien...

"Aussi bien qu'elle" me dit-il en désignant son épouse du menton.

- Hummmmmmmmm! C'est bon, nom de Dieu! T'es une vraie petite salope, toi aussi, hein? ... T'inquiète, tout à l'heure, c'est ton joli petit cul que j'aurai... Salope! Hummmmm... Ça m'excite de voir ma queue déformer tes joues comme ça... Oh putain! Continue, continue, ne t'arrête pas!!!

Sa femme intervint alors :

- Oh là! Ça suffit. J'en ai marre que tu te comportes comme ça, Sylvio.

- Comme ça quoi???

- Tu veux toujours tout, tout de suite. Non, non, ça suffit... Maintenant, on va se faire un câlin elle et moi, et après, vous pourrez nous toucher. Mais pour le moment, vous regardez juste! T'es OK, Sam?

- Et comment!!!

- Super. Alors, viens, monte avec moi sur le lit.

Elle me prit par la main et nous nous agenouillâmes toutes les deux, face à face. Elle écarta les pans de mon manteau --même si je me retrouvais légèrement engoncé, j'avais pu rentrer dedans-, tendit nos bras vers le bas et, tout en plaquant sa poitrine contre la mienne, elle emmêla ses doigts dans les miens. Elle frotta ses tétons durcis par le désir contre ma fausse poitrine, tandis que je fouillai sa bouche avec ma langue. Puis j'enfouis mon visage dans la fourrure qui ornait son col tout en caressant sa minijupe sous le manteau. Elle répondit à mon élan en plongeant sa main libre dans l'échancrure de ma petite culotte et en sortit ma bite. Je bandais tellement fort que j'en avais mal. Doucement, elle me fit m'allonger sur le dos. Toujours à genoux, elle s'avança alors et me chevaucha. Alain lui demanda doucement si elle voulait bien lui prêter son manteau. Elle lui répondit avec un sourire provocateur.

- Je veux bien, mais à une condition...

- Tout ce que tu veux!

- Je te le passe si tu me prouves que tu en as vraiment envie...

Il retroussa alors sa robe et exhiba sa queue fièrement dressée.

- Là, est-ce que ça te prouve que j'en ai vraiment envie???

- C'est assez prometteur, mais j'en voudrais encore plus!

Décontenancé, il resta planté, bouche bée.

- Non, je déconne! Tu es notre invité, tu peux demander ce que tu veux, je te suis soumise! Mais...

D'un signe de tête, elle manifesta son approbation et ajouta " Viens le chercher toi-même...". Il sauta alors sur le matelas comme un enfant et s'empara du Pellissimo dont il plaqua aussitôt le côté cuir contre sa virilité. Elle lui demanda de "juste bien vouloir se pousser un peu sur le côté pour lui laisser la place" et se dandina quelques secondes pour s'empaler lascivement sur mon sexe érigé. Je ne pus réprimer un gémissement de plaisir en le sentant s'enfoncer lentement en elle. Je posai mes deux mains sur ses hanches encuirées et accompagnai ainsi ses mouvements. Puis je caressai ses jolis petits seins; de temps en temps, je pinçai entre mes doigts ses mamelons. Manifestement, Camille adorait faire l'amour, elle connaissait son corps et savait comment s'en servir pour maintenir au plus haut le désir de ses partenaires!

- Oh Sam... c'est bon! Ça fait mal, mais c'est tellement bon! Je t'en prie, continue... Oh putain, j'ai l'impression que mes tétons vont éclater...

Je m'arcboutai pour m'enfoncer en elle au plus profond, j'avais l'impression que ma bite touchait le fond de sa chatte... et ce n'était en fait pas qu'une impression!

Elle ouvrit toute grande sa bouche et me demanda en riant :

- J'ai l'impression que ta queue va me sortir par la bouche... Tu la vois pas, là???

Pour toute réponse, je soulevai encore un peu plus mon bassin, lui arrachant un cri de plaisir. Elle réussit à s'allonger sur moi sans nous désaccoupler et nous nous roulâmes à nouveau une galoche monumentale.

Pendant qu'elle ondulait doucement sur moi, je glissai ma main droite sous sa mini en agneau et me mis à masser "son petit trou d'amour". Elle était tellement excitée qu'elle mouillait de partout et que je pus rapidement enfoncer mon doigt ganté dans son anus sans cesser de la pistonner. Mais la tension en moi était telle que je finis par inonder son vagin de longs jets de sperme.

Bien que l'orgasme ait été aussi fort pour elle que pour moi, elle ne resta effondrée sur moi que quelques courts instants. Sans attendre que j'aie complètement débandé, elle se dégagea doucement de mon emprise, baissa un peu plus mon pantalon, me fit écarter les cuisses et engloutit progressivement, mais finalement intégralement, mon phallus luisant de cyprine et de sperme mélangés dans sa bouche. Tout en me suçant, elle écarta un peu plus l'échancrure de mon boxer short et agaça à son tour mon anus.

Complètement subjugué, Sylvio se positionna alors au bout du lit et, saisissant sa femme par les hanches, pointa sa queue sur sa petite rondelle brune. Mais mon doigt avait un diamètre inférieur à sa bite et malgré ses efforts, il n'arriva pas à la pénétrer.

- Alain, prends-la en levrette pour continuer à la chauffer, je vais chercher de la vaseline et je reviens... Là, ça y est, c'est parti pour la grande éclate à quatre!!! Sam, enlève ton pantalon, s'il te plaît...

Alain ne te fit pas prier et une minute plus tard, son chibre allait et venait dans le ventre de Camille. Il avait recouvert le dos de la jeune femme du manteau en cuir (parce qu'à son grand dam, il n'avait pas pu rentrer dedans) et il le caressait tout en la pistonnant.

"Ça te plait? Ça te plait?" lui demandait-il sans cesse.

Après que j'aie -à regret- ôté le pantalon (mais remis mes bottes), elle recommença à me sucer avec passion et poussa juste un grognement de plaisir en guise de réponse. Régulièrement, elle délaissait mon sexe pour lécher mon anus. Sylvio fit son retour et s'exclama :

- Qu'est-ce que je t'avais dit? Elle aime ça, le cul, et pas qu'un peu!

- C'est vrai qu'en voyant ce que je vois, là, j'ai envie de dire qu'elle n'est pas farouche et qu'elle a une sexualité débridée.

- Sexualité débridée! Ah, ah, ah! Tu es bien trop politiquement correct, mon vieux! Tu peux dire que quand elle est partie comme ça, c'est une vraie salope, oui! En fait, elle adore les partouzes en petit comité, voilà, c'est tout! Ses "sexcapades", qu'elle appelle ça!n Elle se tire comme ça, une après-midi, et elle va se faire troncher...

- J'aimerais bien qu'elle me suce moi aussi...

- Et bien, mets-la lui directement dans la bouche. Tu n'as même plus à prendre de gants, elle est partie, là, je te dis, ça y est. Crois-moi, plus on lui en fera, plus elle jouira!

- Tu sais, Sylvio, j'ai pas vraiment l'habitude des orgies, moi.

- Lâche-toi, mon ami, lâche-toi! Regarde Sam, fais comme elle... ou comme lui, je sais même plus ce qu'on doit dire maintenant, moi! Mais elle aussi en tous cas, elle a l'air de bien prendre son pied.... Tu trouves pas?

En effet, oubliant toute retenue, j'accompagnai de mes hanches les mouvements de doigt de ma partenaire d'un jour en gémissant mon plaisir comme une vraie femme. La sensation qui montait était en fait quasiment identique à celle que je ressentais quand c'était ma verge qui allait et venait dans un sexe féminin! Je ne voulais plus qu'une chose, la sentir en moi, et je le lui dis :

- Oh oui, c'est bon... Enfonce-le... Oh oui, je veux que tu me baises... Baise-moi!!!

- Putain! J'y crois pas comment elle aime ça! T'étais au courant, toi?

Sans même attendre sa réponse, il poursuivit à mon intention :

- Puisque ça te plait tant de te faire enculer, tu vas y avoir droit. Je te l'ai dit tout à l'heure, je vais te la mettre à toi aussi... Mais d'abord, je m'occupe d'elle!

Pendant que Sylvio enduisit son gland pour sodomiser son épouse, Alain s'approcha sur le côté du lit. Sans cesser de me masturber l'anus, Cam' tourna la tête vers lui et prit en bouche la verge qui pointait vers son visage. Mais elle se redressa brutalement et ne put réprimer un cri à l'instant où la queue de son mari franchit complètement la barrière de ses sphincters.

Tel qu'il était placé, Alain avait une vue plongeante sur mes mains qui caressaient ma fausse poitrine, sur le doigt qui me pénétrait, sur la langue de la jeune femme qui s'enroulait autour de son gland quand ce n'était pas sa bouche qui engloutissait entièrement son phallus, ainsi que sur celui de Sylvio qui s'enfonçait entre les fesses de la belle. Était-ce dû à cette position dominante ou tout simplement au fait qu'elle était ce qu'on appelle vulgairement "un sacré bon coup", toujours est-il qu'il ne réussit pas à se retenir aussi longtemps qu'il l'aurait souhaité et que je sentis soudain s'immobiliser le doigt qui fouillait mon intimité. Je vis ses joues à elle se gonfler. Parallèlement, les ahanements de Sylvio se transformèrent en grognement de plaisir; il se raidit et juta finalement dans le rectum de sa femme. Celle-ci avait à peine fini d'avaler le sperme dans sa bouche qu'il lui mettait sa pine sous le nez et l'exhortait à la "nettoyer". Elle retira doucement son doigt de mon fondement, provoquant de nouveaux frissons de plaisir de ma part et engloutit le sexe encore raide. Sa tâche accomplie, elle se rallongea lascivement sur moi et me susurra à l'oreille :

- Tu veux que je te prenne, ... je veux dire, vraiment?

- Tu as un gode?

- J'ai mieux que juste un gode, ma belle, mieux que ça...

- Alors oui, oh oui, je veux que tu me fasses l'amour. Prends-moi... S'il te plaît...

- Très bien, ne bouge pas, je reviens tout de suite.

Elle se dirigea à nouveau vers la penderie et revint une minute plus tard, un gode-ceinture attaché aux hanches et un grand sourire aux lèvres. Ce genre de vision me faisait toujours un effet bœuf, et là, j'étais carrément au septième ciel! Sylvio avait saisi le Pellissimo et après avoir fait asseoir Alain au coin du lit, les caressait alternativement tous les deux avec. Pendant ce temps, elle vint se positionner debout au pied du lit. Son regard planté dans le mien, elle écarta délicatement mes jambes avant de s'agenouiller entre mes cuisses. Je sentais ses cuissardes contre ma peau tandis qu'elle glissa le gode dans l'échancrure de mon boxer short. Involontairement, je me raidis un peu.

- N'aie pas peur, je vais faire doucement. Tu me fais confiance?

- Oui...

Elle se recula un peu et vint frotter sa bouche sur ma petite culotte.

- Hummm... J'aime trop l'odeur de ta mouille...

Elle se mit en devoir de lécher ma bite par-dessus le doux tissu, et je m'imaginai avec délice que c'est moi qui avais effectivement déposé cette odeur de femme en chaleur sur le satin... Elle força alors un peu plus sur mes abducteurs pour glisser sa langue dans l'échancrure et me refaire une feuille de rose.

- Super... Maintenant, tu mouilles suffisamment par cet orifice là aussi, on n'aura même pas besoin de vaseline, toutes les deux!

Elle repositionna le gode et poussa lentement, m'arrachant un cri à l'instant où le gland de latex entra pleinement en moi. Elle entama alors de lents mouvements de va et vient, s'interrompant parfois quelques secondes quand mon plaisir se transformait en douleur. Elle était si attentionnée que la jouissance montait inexorablement en moi. Je bougeai ma tête d'un côté à l'autre en lui disant "Oh oui, c'est bon... Continue! Fais-moi l'amour! Ouiiiii...". Elle amplifia et accéléra ses allers-retours au plus profond de moi. Ma queue avait retrouvé sa vigueur et déformait outrageusement ma lingerie de satin, pourtant, je ne m'étais jamais senti autant femme qu'à cet instant. A tel point que, sans éjaculer, je poussai un long gémissement de plaisir et atteignis un véritable orgasme.

Même après qu'elle se soit retirée de moi, je continuai à être la proie de moments de tremblements.

- Waôw! Je suis une vraie pile électrique! Merci...

- Ça t'a plu, c'est vrai?

- Oh oui, crois-moi.

J'ajoutai en riant :

- Et j'ai pas simulé, promis!!!

La tension retombait peu à peu. Au bout de quelques minutes, Sylvio rompit le silence en pointant son menton dans ma direction.

- Putain, c'est con, j'en peux plus, là. J'aurais pourtant vraiment voulu pouvoir te la mettre!

- C'est pas grave, mon chéri. Alain et Sam reviendront demain et on finira ce qu'on n'a pas eu le temps de faire aujourd'hui.

- Euh... Je sais pas... Il faut que je voie, je ne sais pas si Béatrice a prévu quelque chose pour nous...

- Et bien, demande-lui! Peut-être même qu'elle pourrait vous accompagner, non? En tous cas, moi, ça ne me déplairait pas cette idée. Tu nous tiens au courant?

- Et toi Sam, t'es OK?

- Oui, je suis OK. Je dirais même "je suis partante"!!!

- Bon, alors, on fait comme ça. Je vous rappelle ce soir.

Dix minutes plus tard, nous nous séparâmes après avoir trié et rangé tous les cuirs qui nous avaient permis de vivre une après-midi débridée...

SamBotte
SamBotte
6 Admirateurs
12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
trouchardtrouchardil y a environ 7 ans

Ce n'est pas trop ma tasse de thé ce genre d'histoire.

Mais bravo car c'est imaginatif, c'est bien écrit, bien raconté. C'est vraiment agréable à lire.

Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Solange, Mon Esclavage Pt. 01 Comment j'allais devenir esclave à mon corps défendant.
J’ai fait la pute sur l'autoroute ! Travestie en fille obligée de faire la pute sur l'autoroute.
Chien en Devenir Soumission et humiliation d'un mâle alpha déchu.
Premier contact avec Maitre K Un mec bi tombe sous l'emprise d'un MÄLE ALPHA.
Casa Sola Un joven descubre cosas de si mismo que nunca imaginó.
Plus d'histoires