J’ai fait la pute sur l'autoroute !

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Travestie en fille obligée de faire la pute sur l'autoroute.
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Je suis un homme de 48 ans, assez frêle et timide.

J'ai pris l'habitude de me travestir, assez régulièrement chez moi, et depuis quelque temps j'ai eu envie de pousser le délire en portant parfois des sous-vêtements ou de la lingerie féminine sous mes habits de mec, quand je vais travailler.

Je m'épile complètement et soigneusement, je déambule dans mon appartement, je prends des poses suggestives, je me reluque dans le miroir en montrant mon cul.

Ma minceur me donne une silhouette de femme crédible, visuellement très agréable et sexy.

Je n'ai jamais eu de relation avec un homme, mais m'habiller en femme me procure vraiment un plaisir très très intense, obsessionnel.

Dernièrement, j'ai eu envie de pousser encore mon plaisir, mon délire de femme, en "m'exhibant" - en me disant que je pourrais, en plus de ma lingerie sous mes habits d'homme, prendre avec moi une tenue complète dans un sac de sport, et que je pourrais me changer sur la route de retour du travail, pour rouler complètement en femme. J'avais envie de sentir les bas sur mes cuisses, le string me rentrer dans la raie, le satin sur mon ventre et une jupe courte me remonter le long des cuisses pour découvrir mes jambes, tout en conduisant. Me sentir belle ainsi et, qui sait, me faire reluquer un peu...

Un jour, j'ai donc préparé ma tenue dans un sac, et toute ma journée de travail ne fut qu'impatience de terminer ma journée, pour accomplir mon fantasme. J'ai pris l'autoroute du retour à mon domicile, et me suis arrêté à la première aire de repos. Garé ma voiture sur le parking, pris mon sac de sport sorti du coffre, fermé mon auto avec le module électronique et, toujours en mec (mais avec, dessous, déjà mes sous-vêtements féminins), me suis dirigé vers les WC de l'aire. Je suis entré dans les toilettes des dames, un peu plus spacieuses, et souvent en meilleur état et dotées de miroir, que celles des hommes. Dans la cabine, je me suis changé, retirant mon costume d'homme, pour soigneusement revêtir la tenue de femme que j'avais apportée : déjà en bas Dim-up autofixants, string, soutien-gorge pas trop volumineux (il ne fallait pas que ça se voie sous le costume), j'ai enfilé une guêpière très ajustée, puis une jupe noire en laine, et un top en satin de couleur rouge-bordeaux avec un joli col de type chemisier, échancré. J'ai revêtu une perruque brune, mi-longue, assez discrète (je ne voulais pas du truc de carnaval blond platine, qui tout de suite vous démasque le travelo...), que j'ai ajustée assez facilement devant le miroir, lui donnant une coupe et un "tombé" très naturel. Enfin, j'ai terminé en enfilant des talons aiguilles de 8 cm, mis de petites boucles d'oreilles et un sac à main de femme avec mon portefeuille et mes clés.

Je me trouvais pas mal du tout, féminine, une sorte de MILF mince et bandante, en me regardant dans la glace de la cabine des femmes. Je me réjouissais de faire le reste du trajet ainsi...

Toutes mes affaires d'homme dans mon sac de sport, un dernier coup d'œil de vérification de mon look, et je suis ressortie des WC.

Naturellement, sans vraiment m'en apercevoir, j'ondulais du popotin ; peut-être que les escarpins n'y étaient pas étrangers, forçant la démarche à balancer les hanches et accentuant la cambrure. Cette sensation de marcher en femme, sur cette aire d'autoroute, de sentir l'air sous ma jupe, sentir mes fesses dodeliner de gauche à droite, moulées dans la courte jupe, entendre le délicat claquement des talons, je me sentais vivre, et femme... J'eus envie d'en profiter un peu en restant un peu dehors, à marcher, à me poser - je suis donc allée ranger le sac de sport dans le coffre de ma voiture, et pris le petit chemin qui montait vers les tables de pique-nique. J'adorais marcher ainsi... Je me suis assise sur un banc, croisant et décroisant mes jambes, la jupe remontant un peu, je me caressais les cuisses et admirais mes talons aiguilles.

Au bout de 20 minutes, je me décidais à rejoindre ma voiture, commençant à craindre un peu qu'il y ait des gens et du passage - même si me me trouvais belle, je n'avais pas (encore) vraiment assez d'assurance, et encore moins d'expérience de ce genre "d'exhibitionnisme". Arrivant à la hauteur de mon auto, j'allume le module d'ouverture des portes..... Mais!? Les clignotants ne s'allument pas, et pas de "clic". Je réessaie - toujours rien. Je secoue le module et réappuie sur le bouton - troisième essai, toujours rien. Quatrième, cinquième, sixième, nada. Alors là, c'est la méga guigne!

La pile du module électronique est sans doute morte, me plantant là, dehors de ma voiture, sur une aire de repos, avec l'impossibilité d'ouvrir les portes. Mais ce qui ne serait qu'une banale aventure ennuyeuse en temps normal, prend à cet instant une tournure de cauchemar - car je suis en femme, mon sac de sport avec mes vêtements d'homme étant dans le coffre! Mon portable est dans le véhicule aussi, mais de toute manière, ainsi habillée, qui aurais-je bien pu appeler?

Accoudée à mon auto, je réfléchissais à la situation... c'était vraiment la galère.

Une voiture est alors arrivée sur l'aire de repos, se dirigeant vers le parking où j'étais. L'automobile s'est lentement approchée de la mienne. S'arrêtant à ma hauteur, moi toujours accoudée à la portière, l'automobiliste a descendu son carreau de vitre, c'était un sexagénaire qui me dit :

— Combien tu prends?

J'eus un instant de surprise, puis rapidement, en colère je lui criai :

— Je suis pas une pute!

La voiture est repartie aussitôt. Je me rendis compte alors de ma tenue pour le moins suggestive (en même temps, c'était le but de mon délire, mais c'était censé se jouer uniquement en roulant dans ma voiture... pas du tout comme ça) : mon décolleté bordeaux à boutons était relativement profond, ma jupe était légèrement remontée si bien que l'on voyait le haut de mes Dim-up, en escarpins..... Forcément!

Les voitures n'étaient pas nombreuses à passer et il me fallut attendre un quart d'heure avant qu'une autre voiture s'arrête. Je rajustai ma tenue et m'approchai du carreau entrouvert. C'était deux hommes habillés en chasseurs, et avant même que je dise un mot, le chauffeur dit :

— Combien tu prends pour une pipe?

Son copain dit aussitôt :

— Mario, t'es con, elle est en panne, c'est pas une pute!

Moi, penaude... :

— Oui, mon module de clés est HS et donc je suis coincée dehors...

Mario rigola :

— Alors tu nous sucerais pour une pile neuve? Dommage, on en a pas là.

— Emmenez-moi à la première station.

— D'accord, mais tu nous suces avant! dit Mario sur un air sérieux.

— Sûrement pas, barrez-vous, bande d'obsédés!

La voiture repartit, les gars rigolaient. L'horloge tournant, il devait être gentiment sept heures et demie passées, et aucune autre voiture ne s'est arrêtée. En plus d'êtres rares, elles roulaient vite. Le froid et même le début de nuit commençaient à tomber. Je me suis dit : "Ma vieille, le prochain tu le suces et t'en fais pas toute une histoire..."

Une dizaine de minutes après, un petit camion s'est arrêté plus loin, puis a reculé. Je suis montée sur le marchepied, la vitre était ouverte. L'homme à l'intérieur devait avoir à peine trente ans, il avait les cheveux rasés, un piercing au nez et des boucles d'oreilles ; il ne me plaisait pas.

Je lui dis :

— Monsieur, je suis...

— Combien vous prenez madame?

Il était poli, je n'aurais pas pensé ça en voyant son look. Je me précipitais de répondre :

— Si tu m'emmènes à la prochaine station-service, je te suce.

— Et tu reviens à pied? Si je te ramène ici après, je pourrais te baiser?

J'avais un peu honte de ce que j'avais proposé, mais il me proposait ce que je n'avais pas envisagé - le retour de la station! Certes oui avec une pile neuve, mais combien de kilomètres à pied en talons aiguilles et jupe, dans la nuit et le froid... Je lui répondis par un signe de la tête, mes mots restaient au fond de ma gorge.

Il me dit :

— C'est d'accord, on fait l'aller et retour.

Je montai dans le camion. Il m'a fait la conversation, j'essayais de l'amadouer en lui racontant ma journée, ma mésaventure des clés, mais il m'a dit qu'on avait un accord, alors je me suis résignée. On a bien fait quinze bornes avant de trouver une station. J'achetai une petite pile ronde et plate pour ma clé électronique, et pris des capotes. J'étais un peu honteuse devant la jeune caissière. Ça m'a couté vingt-cinq euros.

Je retournai au camion, il m'attendait et je savais que je n'y échapperais pas. La route du retour s'est faite en silence, cette fois la nuit tombait vraiment. À peine avait-il arrêté le camion qu'il s'est rapproché de moi :

— Commence par me montrer tes nichons!

Ça y est j'y étais, et sa politesse avait disparu. Je dégrafai deux boutons en dessous du décolleté, laissant mon top rouge s'ouvrir sur ma guêpière et le soutien-gorge noir... Ce n'était pas gros, et pour cause (!) - mais ça semblait lui suffire.

— Montre-moi ta culotte maintenant!

Je relevai ma jupe, dévoilant mon string noir... Je n'osais pas écarter les cuisses, craignant qu'il ne démasque la supercherie.

— Eh bah putain, t'es timide toi, j'vais t'la bouffer ta chatte.

Mon Dieu... Que va-t-il se passer, comment va-t-il réagir en découvrant que je ne suis pas une "vraie" femme, un travesti?

Blafarde, j'ai appuyé mon dos à la portière, et j'ai prié que la pénombre de la nuit retarde l'échéance, les cuisses ouvertes, advienne que pourra... Il est allé directement coller son nez sur mon string, puis sa bouche, roulant sur mon sexe...

Étrangement, malgré la trouille, la sensation de cette bouche roulant sur mon string me fit tressaillir, et un drôle d'effet. Ça m'a excité. Rapidement, avec mon excitation grossissant mon sexe, il s'est rendu compte que mon mont de Vénus était... une queue!

Il eut deux secondes d'arrêt, interloqué, puis continua son manège. Sans doute, sur des aires d'autoroutes, entre les putes et les exhibitionnistes, un chauffeur devait déjà en avoir vu de toutes les couleurs et ne pas en être au premier travelo...

Il tira de côté mon string, et là bien évidemment ma bite jaillit, en semi-érection. Il l'a léchée goulument, du haut, du bas, sur les côtés, et engloutit ma verge jusqu'à la garde au fond de sa bouche. Je bandais complètement! Ce cochon me léchait et me pompait bien, et cela faisait plusieurs semaines qu'on ne m'avait pas fait ça, c'était agréable. Puis il a gobé mes couilles avant de ré-engloutir ma bite avec des va-et-vient ; là je n'ai pas pu cacher le plaisir qu'il me donnait.

Il est descendu plus bas, vers mon anus tout lisse, qu'il lécha.

— Tu mouilles, ça te plait?

— Oui, continue!

— Crois pas que je vais te faire jouir, salope, suce-moi la queue!

Il baissa son pantalon et sortit son attirail du caleçon. Il bandait, sa bite n'était pas énorme, il avait rasé tous ses poils. Je me suis penchée sur sa petite queue, le cul en l'air. Je lui mis la capote pendant qu'il me tripotait le cul.

Il me dit :

— T'es pas douée, c'est vrai que t'es pas une pute, allez, ça va bien, suce!

Je pris sa bite dans la bouche, la capote avait un goût de plastique pas terrible. Je le fis grossir un peu plus et je sentais que je pourrais le faire éjaculer rapidement.

Il continuait à me caresser le cul, et il entra son index dans mon trou de balle.

La position n'était pas confortable, il me dit :

— Allez, donne-moi ton boule.

J'étais vierge avec les hommes, bien sûr je me godais régulièrement, mais je ne m'étais jamais fait enculer pour de vrai par un mec.

J'ai enlevé mon string et me suis allongée sur le dos, un pied sur le tableau de bord et l'autre sur l'appui-tête.

Il s'avança, posa sa queue contre l'entrée de mon anus, cracha sur sa queue pour la lubrifier, et me pénétra.

J'étais excitée, je l'avoue, bien mouillée du cul, et cela me plaisait en fin de compte.

Il fit quelques allers et retours avant de se coucher sur moi. Il m'embrassa dans le cou, ses coups de boutoir n'étaient pas assez précis et réguliers pour me donner du plaisir ; il était plus endurant que je ne l'avais pensé. Il me regarda dans les yeux, posa la bouche sur la mienne. Il força sa langue dans ma bouche. Il sentait la clope, je n'aime pas ça, mais il forçait trop alors j'ai mis la langue ; ça lui a plu et rapidement il a joui :

— Ah, salope, t'es bonne pour une vieille.

Je n'ai rien répondu, j'ai ramassé ma culotte et mon sac, le paquet avec la pile et le paquet de capotes.

J'étais frustrée, il m'avait chauffée, mais je n'avais pas pris mon pied.

Le camion est reparti alors que je remettais mon slip, il faisait frisquet, je réajustai ma jupe et mon chemisier, et mis la nouvelle pile dans mon module de clés.

Alors que je me dirigeais vers ma voiture, les phares d'une voiture garée cinquante mètres plus loin se sont allumés.

Le moteur a démarré et le véhicule s'est approché. La vitre était ouverte, dedans il y avait un jeune homme d'une vingtaine d'années.

— Combien vous prenez madame?

J'étais estomaquée, je faisais autant pute que ça???

En même temps, il m'avait vu sortir du camion la jupe relevée, puis remettre mon slip...

Le gamin était mignon et j'avais encore envie... alors, après un temps d'hésitation j'ai dit :

— Trente, je te suce, et cinquante, tu me baises.

— D'accord, on va où?

— À l'arrière de ta voiture, elle est grande.

Il s'est garé devant ma Clio.

Ma tenue de pute (lol) et moi sommes montés dans son break, j'ai ôté mon top bordeaux et ma jupe, ne gardant que mes Dim-Up et mes talons aiguilles, mon string, mon soutien-gorge et ma guêpière.

Il a sorti un billet de cinquante euros.

Il n'avait gardé que son t-shirt. Je lui ai mis une capote, c'était facile ce coup-ci, il était très dur. Sa bite était beaucoup plus grosse que celle de l'autre, je l'ai mise dans ma bouche et malgré le préservatif au goût plastifié, je me suis régalée. Le gamin m'a laissé faire, je l'ai sucé longtemps en me caressant doucement la queue à travers mon string.

Puis je me suis mise sur le dos et j'ai délicatement écarté mon string tout en gardant mon sexe caché - je craignais qu'un gosse de 20 ans ne soit pas si "ouvert et tolérant" que le trentenaire chauffeur du camion - je l'ai guidé jusqu'à mon petit trou encore tout chaud et trempé.

Il s'y est glissé sans difficulté vu sa dureté et mon excitation. Il a mis un temps à prendre un rythme satisfaisant, il devait être puceau, même pas vingt ans.

Je le regardais, il était beau.

Il me plaisait, alors j'ai commencé à gémir, il m'a prise un long moment comme ça avant de changer de position, me retournant en levrette.

S'il avait continué comme ça, moi à quatre pattes le cul en l'air, offerte, son gros sexe loin dans mes entrailles, j'aurais eu un orgasme, mais la position ne lui convenait pas, il se cognait la tête dans le plafond.

Alors je me suis remise comme avant, il se coucha sur moi et me besogna à nouveau, il n'osait pas me regarder, en tendant la nuque je lui ai donné un baiser sur les lèvres. Puis j'ai mis la langue, il mit un moment avant de me donner la sienne, il ne savait pas embrasser. Son gros sexe me remplissait bien le ventre, je sentais sa queue remplir mes parois anales, ses mouvements tapaient au fond de mon trou, j'allais jouir du cul comme une chienne en chaleur...

Mon plaisir montait, montait, je bandais dans mon string et mon anus était trempé ; son baiser m'excitait, j'ai senti partir mon orgasme, j'ai retiré ma bouche pour laisser échapper un petit cri. Il m'a embrassée à nouveau avec la langue, puis il a retiré sa bite de mon petit trou qui était devenu grand ouvert...

J'ai pris son sexe dans la bouche, le préservatif avait le goût de mon cul, je trouvais ça tellement cochon et excitant. J'ai retiré la capote et l'ai sucé tout en le branlant. Quand j'ai senti monter sa jouissance, je ne me suis pas retirée et son sperme a jailli au fond de ma gorge. Ma bouche était remplie de sa semence généreuse et épaisse, il me regardait ; j'ai tout avalé.

Il m'a dit merci, je lui ai dit merci aussi.

Je suis redescendue de sa voiture, on s'est regardés quand il est parti.

Après avoir enfin pu ouvrir mes portes, je suis remontée dans ma voiture, les jambes un peu flageolantes et la rondelle élargie ; heureuse, je suis rentrée chez moi.

Bien calée dans mon siège pour conduire, ma jupe remontait sur mes cuisses et mon oeillet humide palpitait.

Je suis surprise, ça a été facile en fin de compte, et en plus j'avais pris beaucoup de plaisir et cinquante balles.

Je me suis branlée les jours suivants en pensant au jeune homme et à sa belle queue, je revivais la situation, mais je ne connaissais pas son prénom.

Il faudrait que je pense quand même à toujours avoir une pile de rechange avec moi en voiture!

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