Affaires Vicieuses Vol. 02

BÊTA PUBLIQUE

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- Bonjour, Aline ! Comment tu vas ? Pas trop triste de tes défaites à la tour infernale ?

Bordel Marco ! Qu'est-ce tu me fais là ! Et l'autre qui lui fait des clins d'œil. Je vais lui enfoncer son repose limonade dans la gorge, ça ne va pas tarder !

- Non Marki. J'ai bien vu que je ne pouvais rien faire face à ton doigté expert. J'avais l'impression que ta tour allait monter jusqu'au plafond.

C'est moi qui ai l'esprit mal tourné, ou cette pétasse lui fait des allusions sexuelles...

- Salut Marco ! s'exclame Mélanie en faisant rayonner son visage.

- Salut Mélanie ! Comment s'est passée ta semaine de travail en tant que nouvelle responsable de domaine ?

- ça va. Beaucoup de choses à rattraper à cause de l'absence prolongée de l'ancienne responsable, mais je devrais m'en sortir.

- Et Alexis, comment va-t-il ? demande le responsable du développement de chez Archimat.

Pourquoi il me parle de cet abruti ?

- Très bien, répond sèchement Mélanie.

Le trio quitte l'appartement et prend l'ascenseur pour accéder au parking souterrain de l'immeuble. À l'approche de l'Audi de Marco, celui-ci la déverrouille et Aline s'empresse de s'installer sur le siège passager avant.

- Hop, hop ! Tu vas derrière, intervient Mélanie qui lui agrippe le bras avant qu'elle ne referme la porte.

- Mais, non ! Marco m'a promis que je pourrais me mettre devant.

- Dégage derrière, lui murmure Mélanie les dents serrées en lui enfonçant les ongles dans l'avant-bras pendant que Marco s'installe derrière le volant.

- Haaa, tu me fais mal ! Markiii !

Je t'en foutrais des Marki !

- Mélanie, je suis désolé. Je ne pensais pas à mal, mais c'est vrai que je lui ai promis...

L'air renfrogné, Mélanie la relâche pour s'installer à l'arrière les bras croisés. Sans un mot, elle passe les trente minutes de trajet à bouder pendant qu'Aline commente avec jovialité tout ce qu'elle voit sur le trajet faisant sourire Marco à quelques occasions.

À la réception du parc aquatique, Marco offre l'entrée aux deux jeunes femmes et le trio part se changer dans les cabines. Il est presque 10 heures, quand ils sortent des vestiaires pour s'engager sur la grande pelouse centrale du parc aquatique entourée de grands bassins, de piscines à vagues et de bains à remous chauffés.

- On se met sous l'arbre, là-bas? propose Marco qui transporte une petite glacière préparée par Aline.

- Bonne idée, Marki !

Ils étendent leur serviette et Aline s'empresse de saisir une bouteille de limonade dans la glacière.

- Ahhh, j'avais trop soif !

Elle a toujours soif celle-là...

Sous un brillant soleil de juin, les trois jeunes gens commencent leur aventure aquatique en se trempant dans la rivière artificielle qui forme un circuit tout autour du parc. Chacun sur une bouée, ils se laissent entrainer par le courant. Les deux femmes sont côte à côte et Marco les devance de plusieurs mètres.

- Il te va bien le maillot que je t'ai offert, dit discrètement Aline.

Mélanie acquiesce, sans la remercier.

- Qu'est-ce que tu penses du mien ?

Elle regarde le bikini noué rouge brillant qui met en valeur les courbes parfaites de la jeune beauté.

- Très joli ! Au moins, on ne te perdra pas de vue.

Poussés par l'enthousiasme d'Aline, les trois compères parcourent le parc, essaient chaque toboggan et s'épuisent dans la piscine à vagues. Un bref déjeuner sur la pelouse leur donne l'énergie de poursuivre la journée et ils enchainent les parties de tennis de table à l'extérieur. Tous les trois se débrouillent bien, mais le jeune homme semble plus concentré sur les rebonds de la poitrine de la belle blonde que sur ceux de la balle.

Poursuivant leur journée de divertissement, Mélanie essaie à plusieurs reprises de s'éloigner avec Marco, mais la fausse cousine ne les lâche pas d'une semelle et ne manque pas une occasion de se coller à Marco. Mélanie s'agace de plus en plus et la boule au ventre, elle se retient pour ne pas passer pour une pauvre femme jalouse et aigrie devant l'homme qu'elle convoite.

L'après-midi passe vite et avant de rejoindre le vestiaire, le trio s'accorde une dernière relaxation dans un grand bassin musical. Debout dans l'eau, Mélanie regarde Marco qui se prélasse les yeux fermés, en faisant la planche. Les oreilles immergées, il profite de la musique qui est diffusée sous l'eau. Délicatement, Mélanie s'approche du bel homme. Le regard fixé sur son visage assoupi, elle lui sourit. Les lèvres de la bouche entrouverte de Marco l'attirent comme un aimant. Avec des picotements dans le bas ventre, Mélanie se penche sur son visage. Elle se sent comme dans la belle au bois dormant, mais elle s'imagine être la belle qui va réveiller le prince charmant endormi avec un baiser volé. Marco est là, devant elle, les yeux clos. Il ne l'a pas remarqué. Émoustillée, elle approche ses lèvres et ferme les yeux pour les derniers centimètres. Le temps se fige pour Mélanie... Mais c'est le contact flasque de l'eau battante sur son visage qui la surprend. Ouvrant les yeux, elle se retrouve seule face aux carreaux blanchâtres qui tapissent le fond du bassin. La voix aigüe d'Aline résonne dans ses tympans, brisant irrémédiablement le fugace espoir de bonheur de Mélanie.

- C'est mon Marco ! s'écrie Aline qui vient d'éloigner le jeune homme de Mélanie en le tirant par les pieds jusqu'à ce que son entrejambe flottant sur l'eau vienne s'amortir sur sa généreuse poitrine.

Marco, sorti de sa rêverie par le contact suave de la paire d'Aline sur ses cuisses, ouvre les yeux et voit le sourire rayonnant de la jeune blonde debout dans l'eau et, amusé, il lui tend les bras pour qu'elle l'aide à se redresser.

Derrière lui, Mélanie les regarde et pleure intérieurement. La tristesse qu'elle ressent en les voyant rire avec complicité la brise en mille morceaux. Mollement, elle sort du bassin, remplie d'amertume. Les rires des deux blonds qui s'amusent encore dans l'eau sans même remarquer son départ la font se sentir encore plus minable.

Je m'en fous. Je suis comme je suis. Et si Marco préfère cette greluche, qu'il aille se faire voir..., se dit-elle avec aigreur.

Elle récupère rapidement ses affaires laissées sur la pelouse et rejoint le vestiaire. Dans la cabine, la jeune femme retire le haut de son maillot et se regarde à moitié nue dans le miroir.

Soudain, elle imagine le regard sadique d'Alexis s'imprimer dans le reflet du miroir. Un frisson parcourt son corps. La vision malaisante s'estompe, mais les paroles rapportées par Aline, lors de leur conversation au Valexior, résonnent dans sa tête.

« ... ton caractère de brute insoumise l'obsède et il a fait le pari qu'il ferait de toi sa chienne... »

Elle sort son téléphone de son sac et écrit un message à Aline.

« Je rentre en taxi, j'ai une course à faire avant la fermeture des magasins. Bonne soirée à tous les deux. »

Elle éteint son téléphone et se rhabille à la hâte.

À nous deux, Hoffmann ! Je vais te faire regretter ce que tu as fait et jamais je ne serai ta chienne...

***

Chapitre 10 : « Bon rétablissement... »

Dimanche matin. Mélanie se lève à l'aurore et enfile son tailleur-jupe de travail. Elle traverse le salon et jette un œil sur le canapé du salon. Plus d'Aline. Pas de nouvelle de Marco non plus.

Dans le taxi qui lui fait traverser la ville, elle tripote un objet métallique enfoui dans son sac avec un sourire diabolique.

***

À l'hôpital de la ville, une infirmière ouvre la porte de la chambre 124.

- Monsieur Hoffmann, votre amie vous rend une visite, annonce la vieille infirmière aux cheveux grisonnants.

Sur le lit et couvert de bandages, Alexis respire avec difficulté dans un masque à oxygène.

- Il est conscient, mais il est encore très faible. Ne le brusquez pas trop, demande gentiment l'infirmière en faisant entrer la femme en tailleur noir.

- J'y veillerai, répond sommairement Mélanie.

L'infirmière qui la chambre et referme la porte. Mélanie, son sac plaqué contre l'abdomen s'approche de l'homme alité qui ne semble pas avoir entendu son annonce.

- Alexis, Alexis, lui murmure Mélanie dans l'oreille. C'est ta Banane qui est là.

Alexis entrouvre légèrement les yeux, et surpris, cligne plusieurs fois.

- Tu veux un petit bisou? lui susurre-t-elle tendrement.

L'homme en convalescence ne répond pas et fixe le regard perturbant de sa rivale.

- Attends ! Ne bouge pas ! commande gentiment Mélanie en lui retirant doucement son masque à oxygène.

La confusion semble envahir l'homme sans force. Mélanie le regarde dans les yeux et pose son pouce gauche sur la lèvre inférieure d'Alexis pour lui faire ouvrir la bouche. Dans une torpeur provoquée par les antidouleurs, il semble hypnotisé par les gestes de la jeune femme qui approche son visage du sien.

- Regarde-moi ! Regarde ta Banane adorée !

Alexis ferme les yeux pour recevoir ce baiser inattendu quand sa gorge se tend brusquement et sa respiration se coupe. Mélanie écrase ses narines d'une main et lui enfonce un morceau de tissu dans la gorge.

- Tiens connard ! Tu voulais ma petite culotte, et ben, la voilà ! lui crie Mélanie en enfonçant de toutes ses forces le sous-vêtement dans la gorge de l'homme sans défense.

Alexis suffoque. Il tente de lever un bras, mais sans force, il n'est pas de taille face à l'assaut de Mélanie qui lui bloque la respiration. Son visage devient rouge et ses yeux écarquillés appellent à l'aide. Le regard d'Alexis dévie vers la gauche de son lit. Mélanie comprend aussitôt et décroche rapidement la sonnette d'urgence de la tête de lit qu'elle jette par terre.

- Dommage ! s'écrie-t-elle avec un sourire sadique.

Alexis se bat pour chaque filet d'air, mais sa tête tourne de plus en plus.

- Écoute-moi bien ! Je ne vais peut-être pas te tuer, mais je te conseille de bien fermer ta bouche, parce qu'au moindre son qui en sort, je transforme ton visage en compote. Est-ce que c'est compris ? Cligne des yeux si tu as bien compris !

Les yeux rouges et humides du patient clignent frénétiquement avec les dernières forces qui lui restent. Mélanie sur ses gardes relâche doucement la pression sur son nez et sa bouche.

- Très bien, mon grand ! Pas un mot. Ça, c'était pour les coups de téléphone que tu m'as donné sur la tête l'autre jour dans ton bureau. Tu te rappelles ou t'as perdu la mémoire ?

Terrifié, Alexis la regarde et acquiesce sans un mot.

- Tu attends de la visite ? demande Mélanie.

Alexis hoche lentement la tête de droite à gauche.

- Très bien. Bon ! Tu te rappelles ce que je viens de dire? Tu restes sage.

Alexis acquiesce.

Mélanie saisit rapidement une chaise qui traine et coince la poignée de la porte de la chambre avec le dossier.

Levant péniblement son bras gauche, Alexis se met à parler d'une voix rauque et peu sonore.

- N... non, qu'est-ce que... tu fais ?

Mélanie se précipite de nouveau vers le lit et lui pince le nez furieusement. Alexis étouffe un cri de douleur.

- Qu'est-ce que je t'ai dit ! Tu fermes ta bouche. La prochaine fois, je t'écrase mon coude en pleine face.

Une larme de douleur coule le long de la joue du blessé qui regarde silencieusement sa tortionnaire avec effroi.

- N'aie pas peur, mon grand tigre. Tu me fais de la peine, lui murmure-t-elle à l'oreille. Tu devrais m'être reconnaissant, je viens d'assouvir un de tes fantasmes. La petite culotte que je t'ai enfoncée dans la gorge, je l'ai enlevée il y a quelques minutes dans les toilettes avant de venir te rendre visite.

Il la regarde, toujours en silence et apeuré, dans l'attente de ce qu'elle lui réserve. Mélanie s'assoit les jambes croisées sur une chaise à côté du lit.

- Tu as peux être envie de jouer avec moi, lui dit langoureusement la jeune femme. Je suis nue sous ma jupe maintenant.

Alexis écoute les propositions coquines de sa rivale. Sa face semble s'éclairer à chaque allusion sexuelle, mais après le sale coup qu'elle vient de lui jouer, il reste sur ses gardes.

Mélanie fait passer son regard du visage d'Alexis à l'entrejambe de celui-ci qui est recouvert d'un simple drap.

- Tu sais que c'est très excitant pour une femme de se retrouver sans dessous à côté d'un héros comme toi. Alors mon grand tigre, tu viens la caresser. Regarde...

Mélanie décroise ses jambes et écarte légèrement ses cuisses, laissant apparaitre sa fine fente dans la pénombre sous sa jupe.

Alexis sent que quelque chose ne va pas dans le petit jeu soudain de sa rivale. Elle veut prendre le contrôle de la situation. Mais, avide, il ne peut s'empêcher de river ses yeux sur l'entrejambe de Mélanie. Il observe ses grandes lèvres pleines entourées d'un triangle de poils brun et court, à peine échancré. Il s'imagine déjà la tête de cette BCGB qui joue la provocation quand il lui demandera de se raser entièrement si elle ne veut pas que la petite vidéo qu'il a d'elle fuite. C'était bien la première tâche qu'il allait lui annoncer lors de leur discussion au Valexior, mais la rencontre imprévue avec l'ex d'Aline en a voulu autrement. Peu importe, se dit-il, elle peut profiter de sa situation de faiblesse, mais c'est toujours lui qui la tient par le chantage et il compte bien lui faire regretter amèrement la violence qu'elle vient de lui faire subir.

Mélanie le regarde avec attention. Elle voit le corps d'Alexis se tendre progressivement sous l'effet de son petit jeu.

Malgré l'endolorissement de son corps, Alexis sent une chaleur envahir son membre. Peut-être est-elle déjà en train de se soumettre à lui? se demande-t-il, en la voyant les jambes entrouvertes. Mais ça parait trop facile ! Il ne veut pas qu'elle contrôle la situation, il veut qu'elle la subisse, qu'elle se plie à des choses qu'elle ne voudrait jamais faire. Et pour qu'elle comprenne qu'elle est son objet, ce n'est pas elle qui s'occupera d'épiler son intimité. Il le fera faire par sa complice Aline, cette jeune fille d'à peine dix-huit ans qui vient de lui voler, sur sa demande, le mec qu'elle convoitait.

Alexis frémit à l'idée de voir l'arrogante Meister obligée de laisser la jeune Aline lui raser sa petite chatte sans ménagement. Il se demande déjà si elle encaissera la double humiliation sans broncher ou si elle le suppliera de ne pas lui faire ça. Un rictus pervers illumine son visage. Les idées perverses se bousculent dans sa tête. Elle veut faire la maligne avec lui. On verra bien, si elle aura toujours autant d'assurance quand il la fera passer pour une salope dans tout le bureau, progressivement, par petits jeux.... Peu importe ce qu'elle finira par accepter, il la poussera toujours plus loin, jusqu'à ce qu'elle ne soit plus qu'une chienne pour lui et pour les autres.

Mélanie regarde de nouveau l'entrejambe d'Alexis et vient glisser sa main sous les draps. Toujours surpris par l'audace inattendue de Mélanie, Alexis esquisse un mouvement gêné. La jolie brune saisit sa verge à moitié en érection.

- Alors Hoffmann ! Je t'ai connu plus vigoureux, lui lance-t-elle en faisant glisser sa main le long de son sexe.

Bien que tous les muscles de son corps soient en léthargie, son membre viril gonfle sous les mains fines et chaudes de la jeune femme.

Inquiet par la tournure que prennent les événements, Alexis ne peut cependant pas s'empêcher de respire profondément sous les caresses que Mélanie prodigue à sa verge turgescente.

- Je suis contente de voir que cette partie de ton corps se réveille !

Mélanie tire délicatement le prépuce pour sortir entièrement le gland et vient en titiller la base de la pulpe de ses doigts. Les jambes d'Alexis se tendent et ses fesses se serrent.

- C'est ça, oui. Laisse-toi aller, mon grand. Tu es un héros qui vole au secours des jeunes filles en détresse. Tu mérites bien que l'on s'occupe de toi.

Alexis ferme les yeux et sa bouche se détend pour laisser échapper des soupirs discrets. Elle fait glisser l'ongle de son pouce le long du gland gonflé de plaisir.

- Tu les sens les griffes de ta lionne le long de ton gros sexe.

Mélanie est surprise de l'épaisseur de l'engin qu'elle tient dans la main. Et dire qu'en début de semaine, cette verge faisait des va-et-vient sans relâche dans son bas ventre, lui arrachant à chaque pénétration des cris de jouissance. Elle resserre ses jambes pour retenir la chaleur humide qu'elle sent poindre à l'orée de ses petites lèvres.

Non, du calme Mélanie. Tu n'es pas venue pour ça, se dit-elle, pour combattre l'excitation naissance.

Elle voit qu'Alexis est maintenant complètement pris dans le plaisir ordonné par sa verge stimulée. Elle se lève et tire d'un coup sec le drap qui se retrouve par terre. La chemise d'hôpital est déjà tirebouchonnée autour de son abdomen, laissant à l'air libre le bas de son corps. Mélanie accélère les va-et-vient. Alexis, incapable de bouger, halète en silence la bouche entrouverte.

- Tu veux jouir, mon cochon ! lance la jolie brune en accélérant encore la masturbation.

Alexis mord ses lèvres. Mélanie le sent venir et maintient la cadence. Discrètement, elle sort son téléphone.

- Allez ! C'est bien, t'aimes ça que je te branle !

- Attends ! attends ! balbutie péniblement Alexis en essayant de tirer sa chemise devant son sexe avec son bras encore valide.

Mélanie presse aussitôt son genou dessus pour bloquer son bras et retrousse les pans de la chemise sur le torse de l'alité. Immobilisé, à la fois par ses blessures et par Mélanie, il est à sa merci, le sexe cajolé par les douces mains de la jeune femme. Sa sève se presse dans sa verge, ses fesses se contractent intensément. Mélanie le voit tirer son bassin en avant, comme pour retenir l'expulsion de son jus. Habilement, elle oriente la verge vers le visage de l'homme au bord de l'orgasme. Sa jouissance entraine une éjaculation puissante qu'elle contrôle et oriente malicieusement d'une main pendant qu'elle filme de l'autre. Le sperme abondant, chaud et laiteux, qu'elle avait reçu dans son antre est maintenant ridiculement projeté sur le corps et le visage de son propriétaire.

Oui ! Oui ! Oui ! Dans ta gueule, connard !

Mélanie exulte en voyant la scène et n'en perd pas une miette avec sa caméra. Elle fait de gros plans sur les gouttes de sperme qu'elle est parvenue à faire atterrir sur le visage et les coins de la bouche de l'ordure qui a abusé d'elle.

Les muscles éjaculatoires se contractent encore quelques fois, faisant sortir les dernières gouttes de semence sur l'abdomen d'Alexis. Son bassin retombe lourdement sur le lit d'hôpital.

Déjà épuisé par les sédatifs et maintenant achevé par l'orgasme forcé que vient de lui donner sa rivale, Alexis respire profondément sans se soucier de l'éjaculat répandu sur son corps. Mélanie, un grand sourire aux lèvres, le regarde avec un air moqueur.

- Dis-moi Hoffmann ? Ce n'est pas très viril un homme couvert de sperme.

Alexis réagit à peine, mais ouvre les yeux avec un air de dégout.

- Je crois qu'on a tous les deux une vidéo intéressante maintenant, lance Mélanie avec défi. Tu croyais vraiment que j'allais vivre dans la peur de ton chantage? Tu croyais vraiment que tu allais faire de moi ta « chienne ». Et si tu penses nuire à ma carrière en faisant circuler la vidéo, alors je n'hésiterais pas à faire de même. Et pour un respectable homme d'affaires et un macho comme toi, ça ne se fait pas de se retrouver avec du sperme jusqu'au visage ! Qu'est-ce que tu en penses, mon grand?

Alexis la regarde, sans un mot, le visage crispé.

- Ah ! Et puis j'en ai pas encore fini avec toi... Tu m'as vraiment fait vivre un enfer avec ta pétasse blonde... Cette salope m'a piqué le mec que je voulais par ta putain de faute. Et ça, crois-moi, enfoiré ! Je vais te le faire payer maintenant.

Mélanie fouille dans son sac et en sort un objet métallique en forme de pénis au repos.