À la Recherche de la Nymphe

-- On dirait que quelqu'un a gardé des vêtements, je peux t'en débarrasser, souffla Avi.

-- Je ne demande que ça.

Le caleçon de Mirilius vint rejoindre la couverture, dévoilant une bite déjà dressée entourée d'un léger duvet blond.

-- Ooooh, voyons voir si je peux aider avec ça, fit-elle en glissant le long de son corps.

Ses mains la prirent alors qu'elles commençaient à émettre une douce lueur verte, à chauffer doucement la peau sensible. Elle fit de légers va et

vient, la bite et son propriétaire réagissant avec de petits sursauts mignons à chaque stimulation. Mirilius senti tout à coup une chaleur plus humide envelopper sa bite, baissant les yeux, il fût accueilli par ceux D'avi, un grand sourire alors que la moitié de son sexe disparaissait dans sa bouche, ses cheveux bleus s'étalant tout autour d'elle sur le torse et les jambes du mage. Avi fit tourner le bout avec sa langue, avide des petits bruits excitants qui s'échappaient de son mage. Puis, après s'être un peu amusé elle passa aux choses sérieuses. Elle prit entre ses mains le reste de la verge et commença à se concentrer sur la structure interne de son sujet. Oui, ça marchait! La bite grossissait dans sa bouche, centimètre par centimètre, ses lèvres s'écartèrent, le sexe poussant contre le fond de sa gorge, chaud et palpitant. Mirilius, incrédule mais ravi, posa les mains sur la tête de la nymphe qui le suçait et conscient d'une énergie nouvelle qui parcourrait son corps depuis son sexe, s'appliqua à rendre la pareille. En utilisant les quelques conseils d'Avi qu'il arrivait à se rappeler dans cette position, il utilisa sa magie de manière plus instinctive, alliant sa connaissance physique de celle qui lui léchait activement le membre à sa volonté que tous deux en profitent davantage. Avi sursauta quand le fond de sa gorge s'élargit, laissant descendre le membre agrandi profondément en elle.

-- J'ai... j'ai supprimé ta nausée, je ne sais pas si j'ai bien...

Il ne put finir sa phrase, sa bite engloutie jusqu'à la garde par le grand sourire espiègle d'Avi, sa gorge se serrait autour de lui, le pressant, comme massé par des dizaines de langues expertes. Il ne put se retenir, et vint en elle en criant son nom, caressant la peau changeante de ses épaules amoureusement.

Avi sentait le sperme couler dans son estomac, une petite touche personnelle aux organes internes de son partenaire lui en faisant produire un bon litre de plus que la normal. Elle ressortit la verge juste assez pour en goûter la saveur sur sa langue, un jet continu descendant directement dans son ventre.

Enfin, elle la retira et se lécha les lèvres pour ne pas en perdre une goûte.

-- Tu as très bon goût, tu sais?

Sans lui laisser le temps de répondre, elle se jeta sur lui, et l'embrassa à pleine bouche. Mirilius senti son goût sur la langue, les lèvres et les joues de la nymphe, mais était-ce vraiment le sien?

-- Je ne crois pas avoir lu que le sperme avait un goût de fraise des bois, Avi.

-- Petite modification de ma part, tu aurais préféré un autre goût?

Pour répondre, il la serra plus fort, ses mains pétrissant son petit cul, et il l'embrassa de plus belle.

-- Dis-moi, mon petit mage, te souviens-tu de ce que je peux faire de toutes la matière organique dans mon ventre?

-- Hmmm, si je me rappelle bien mes cours de la personne merveilleuse qui me tient actuellement le euh... tu vois, je dirais que tu peux le changer très facilement en n'importe quoi qui a un rapport avec le vivant. Et, euh... tu n'es pas un peu plus lourde qu'avant? Je veux dire, qu'il y a quelques secondes?

-- C'est parce que j'ai beaucoup mangé, lui dit-elle avec un clin d'œil qu'un barbare bourré aurait pu qualifier de subtile.

-- Non, je veux dire, maintenant, et sa continue ... oh!

Il venait de mettre le doigt dessus, ou plutôt la main. Les seins d'Avi, auparavant petits et fermes, changeaient de consistance sous sa paume. Ils devenaient plus souples, plus lourds. Sa bite redevint instantanément raide, il éprouvait le nouveau poids de ses seins qui grossissaient à vu d'œil. Les prenant à deux mains, la chaire gonflait, remplissait ses doigts avant qu'il ne puisse plus les couvrir du tout. Avi était concentrée sur son sort, un grand sourire aux lèvres, ajoutant des terminaisons nerveuses à sa nouvelle poitrine, ressentant le moindre mouvement de sa chaire souple, la moindre caresse du vent ou de son amant. Sa croissance continuait, ses seins maintenant assez grands pour que les motifs colorés de sa peau viennent s'y former, dessinant des arabesques dansantes. Mirilius ne pouvait que subir son excitation alors qu'il profitait du poids, du velouté de sa peau en croissance et de la vue presque comique d'une poitrine si volumineuse sur un corps si mince.

Avi s'arrêta quand ses seins avaient au moins la taille de sa tête. Elle roula sur le dos, emportant facilement Mirilius grâce à son nouveau poids et tapota la vallée formée par son décolleté impressionnant.

-- Vient glisser ta magnifique bite améliorée dans mes seins de nymphe, mon métamorphe préféré.

-- Je peux?

-- Tu dois!

Il s'exécuta, sa bite presque douloureuse de désir. Pendant qu'il s'accroupissait au-dessus d'elle, elle tira la langue, lui léchant prestement son long membre avant qu'il ne l'enfouisse entre ses deux gros seins, seul le bout en dépassant. Il prit un sein dans chaque main du mieux qu'il put, et après quelques poussés timides commença à accélérer. Avi tremblait sous lui, ses nouveaux seins lui envoyant des ondes de plaisir dans tout le corps, secousse après secousse, elle gémissait son nom et des mot inarticulés. Ta voix faisait vibrer son plexus solaire, ajoutant à la stimulation de la bite du mage qui se perdait dans une douceur presque insoutenable. La nymphe la voyait sortir régulièrement du haut de son décolleté, environnée de chaire secouée et tremblante, luisante de liquide pré-éjaculatoire à la fraise des bois qu'elle avait désespérément envi de sucer, mais ses nouveaux seins engloutissaient tellement bien cette belle verge qu'elle ne voulut pas la faire grandir d'avantage, pas tout de suite.

Mirilius accéléra encore, les claquements de chaire obscènes résonnant dans la forêt combinés à la sensation du cœur battant d'Avi qui envoyait des ondes supplémentaires dans ses seins le poussèrent à bout. Il voulut la prévenir, mais trop tard, un premier jet de sperme aromatisé jaillit, atterrissant sur le visage en extase d'Avi, la couvrant du front jusqu'au coup. Avi cria, sa langue attrapant le plus de semence possible. Son orgasme la fit lâcher le contrôle sur sa magie pendant un instant, celle-ci se dispersant dans sa poitrine, ses seins bondissants vers l'extérieur en doublant de taille, le surplus se réfugiant dans les couilles du mage. Mirilius enfonçait son membre crachant du sperme en continue sur elle, la noyant presque alors qu'elle n'arrivait pas à suivre le rythme. Il se recula pour lui donner de l'air, et rempli son décolleté de pâte blanche, recouvrit ses énormes seins éclatants de couleurs vives, avant de se reculer encore et de peindre son ventre, sa chatte et ses jambes de foutre sucré.

Les deux amoureux s'allongèrent l'un à côté de l'autre sur la couverture ruinée, profitant de la sollicitude post-orgasmique, flottant dans cette clairière paisible, dans cette forte odeur de fraise des bois qui donnait l'eau à la bouche. Ils s'endormir rapidement, blottis dans les bras l'un de l'autre, jouant à se nettoyer mutuellement.

Mirilius se réveilla quand il senti un vide à son côté, les yeux mi-clos, il voyait Avi qui avait retrouvé ses seins normaux, les bras écartés dans le soleil couchant. Le sperme collé au sol et à son corps se levait doucement, formant une sphère blanche dans les airs.

-- Que va tu en faire?

-- Les fleurs se fanent vite en hiver, elles ne sont pas faites pour survivre dans ces conditions.

-- Certaines y arrivent, il me semble.

-- Exactement! Et cette magnifique boulette de fraise va leur donner naissance!

La sphère grossit d'avantage, Mirilius compris l'intention de la nymphe, et joignit sa force à la sienne. La sphère grossit, encore, les dernières goûtes la rejoignant. Elle émettait une douce lueur, comme celle de l'aube, pulsant doucement alors que les deux métamorphes la façonnait de l'intérieur.

Enfin, la sphère éclata, des myriades de petites graines fusant dans tous les sens. Elles s'enfoncèrent dans la terre, suivant leurs commandes muettes. Et fleurirent.

1. nombre plus ou moins constant en fonction des accidents, recrutements et aléas provenant du bâtiment des hautes énergies temporelles

2. Effet secondaire du dernier cours de Mme Chouquette, de la section météorologique. En réalité, on était en plein mois de janvier.

3. En espérant si possible que les créatures susmentionnées soient carnivores.

4. Par zone de niveaux bien défini pour contrer les assurances. Bah oui, si Machin était mort en zone 5 alors qu'il n'était qu'en troisième année, c'était uniquement de sa faute, l'école l'avait prévenu pourtant.

5. Un étudiant dissipé de Mme Chouquette avait rétabli la cohérence météorologique en jouant au scrabble dans son dortoir.

6. Des mauvaises langues affirment que c'est là son seul et unique intérêt.