A la merci d'un sexagénaire

BÊTA PUBLIQUE

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Tout en demeurant par-dessus mon pantalon, avec ses mains, il place ma verge toujours en érection de façon à ce quelle soit appuyée contre mon ventre et positionné directement sous ma braguette.

Il positionne la sienne de la même façon.

Il pose ensuite l'intérieur de ses mains contre mon ventre, puis tout en se penchant vers moi, il fait glisser ses mains sur mes pectoraux, puis sur mes mamelons. Il les titille avec le bout de ses index puis les pince délicatement avant de venir placer ses mains contre mes aisselles.

Son ventre se s'appuie contre le mien ; il se masturbe en frottant son membre en pleine érection contre le mien.

Tout en se masturbant, cet homme se penche encore un peu plus sur moi ; son torse effleure mon torse, ses mamelons se touchent.

Il approche son visage du mien ; sa bouche n'est plus qu'à quelques centimètres de la mienne.

Il fixe mon regard en me disant :

« J'aime me masturber contre ton sexe en érection pendant que je m'appuie sur tes aisselles. Elles sont très douces et sans aucun poil. C'est avec un extrême plaisir que je vais les torturer dans quelques minutes. »

« Tout comme le reste de mon corps, elles sont à vous. Faites-en ce que vous voulez! »

« J'y compte bien! »

Les lèvres du médecin effleurent maintenant mes lèvres.

« Je vais t'embrasser! »

« Je n'ai jamais été embrassé par un homme! »

« Je vais donc être le premier homme à te violer par cet orifice? »

« Violez-moi si c'est votre bon plaisir! »

Tout en s'appuyant fermement sur mes aisselles avec l'intérieur de ses mains, le médecin appuie fermement son torse contre le mien.

Il ouvre légèrement la bouche et il passe sa langue sur ses lèvres pour les humidifier.

Il passe ensuite sa langue sur mes lèvres avant de poser ses lèvres sur les miennes.

J'ouvre légèrement la bouche. Nos lèvres prennent contact de façon très lascive.

Sa langue pénètre lentement dans ma bouche à la recherche de ma langue.

Nos bouches se soudent l'une à l'autre.

Sa langue glisse contre la mienne et fouille un peu partout à l'intérieur de ma bouche.

Sa salive se mêle à la mienne et je sens un liquide chaud atteindre le fond de ma gorge ; je l'avale.

Il retire très lentement sa langue de l'intérieur de ma bouche ; avec sa bouche, il aspire ma langue vers l'intérieur de sa bouche.

Je devine qu'il veuille que j'introduise ma langue dans sa bouche.

Je m'exécute : j'introduis ma langue dans sa bouche.

Je sens aussitôt ses dents se poser contre le dessus et le dessous de ma langue et la retenir dans sa bouche.

La pression de ses dents se fait de plus en plus forte et la douleur de plus en plus vive. Je me dis :

« Pourvu qu'il ne me morde pas la langue au point de la mutiler! »

Je prends de rapides respirations par le nez pour m'aider à supporter la douleur et je me cramponne après les barreaux de la tête du lit.

Ça fait très mal, mais je supporte la douleur sans offrir la moindre résistance.

Il maintient la pression de ses dents sur ma langue pendant quelques secondes encore.

Finalement, l'étau se desserre. Les lèvres de cet homme glissent très lentement en suçant ma langue pour en atténuer la douleur.

« C'est bon de te faire souffrir! »

Il glisse maintenant ses lèvres sur le coté gauche de mon visage jusqu'à ce qu'elles atteignent le lobe de mon oreille. Il le lèche puis il l'introduit dans sa bouche et le suce avec force.

Je sens maintenant sa bouche plaquée contre mon oreille.

Le bout de sa langue pénètre à l'intérieur de mon canal auditif et je sens sa salive couler à l'intérieur. Ça me rend bien et je lui laisse savoir.

« Je suis bien! »

Je sens le bout de sa langue profondément entré à l'intérieur de mon canal auditif.

Je sens son souffle chaud irradié jusqu'au plus profond de mon oreille.

« Ouiiiiii, c'est bonnnnnn! »

L'homme cesse ; il lève légèrement sa tête et me chuchote à l'oreille :

« Profites au maximum de ces quelques instants de jouissance. »

Il se relève, il s'agenouille et il s'avance à la hauteur de mes hanches. Il s'assied sur mon ventre.

De la main droite, il prend l'étui qu'il avait auparavant déposé sur le lit, près de mon aisselle droite.

Il sort de l'étui un sachet contenant une longue aiguille. Il déchire le sachet et prend le bout de l'aiguille qui s'adapte à la seringue. Il fixe l'aiguille au bout de la seringue.

« Je ne veux pas que tu offres la moindre résistance à l'introduction de cette aiguille dans ton aisselle. »

« Je vous promets de n'offrir aucune résistance»

Le médecin dirige la pointe de l'aiguille sur le muscle Coraco-brachial de mon aisselle droite.

Il appuie fermement l'intérieur de sa main gauche contre l'intérieur de mon coude droit pour maintenir fermement mon aisselle droite contre l'oreiller.

« Prends une profonde respiration! »

Je bombe mon torse en prenant une profonde respiration ; je ferme les yeux et attends la douleur.

Je sens la pointe de l'aiguille se poser contre la peau de mon aisselle.

Ça va te faire très mal! »

L'aiguille pénètre très lentement dans le muscle de mon aisselle.

La douleur est horrible. J'empoigne fermement les barreaux de la tête du lit pour m'aider à supporter la douleur sans offrir la moindre résistance.

Je ne peux cependant pas m'empêcher de laisser échapper une plainte :

« Ahhhhhhhhhh! »

« Ouvres tes yeux et fixe mon regard! »

J'ouvre les yeux et je fixe le regard de l'homme : ses yeux brillent d'une lueur sadique.

« Prépares-toi à souffrir encore plus. Je vais enfoncer l'aiguille en entier dans tes muscles. »

Je prends plusieurs courtes respirations rapides avant de prendre une profonde respiration et de gonfler d'air mes poumons au maximum et je m'agrippe de toutes mes forces aux barreaux.

Je fais signe à l'homme que je suis prêt.

« Ça y est! »

Le médecin introduit brutalement la totalité de l'aiguille dans les muscles de mon aisselle.

La douleur est horrible. Je laisse échapper une seconde plainte :

« Noooooonnnnnnnnnn! »

L'aiguille est entièrement entrée dans mes chairs

« Je jouis de te voir souffrir. De voir ton corps se crisper de la sorte et de t'entendre te lamenter de douleur me fait capoter. »

« Je n'en peux plus Docteur, je vais perdre connaissance. »

« Je connais un moyen infaillible pour empêcher quelqu'un de perdre connaissance. Cependant, pour l'instant, je n'userai pas de mes connaissances en médecine pour te forcer à supporter des douleurs que normalement le corps humain ne peut supporter.

Le médecin retire lentement l'aiguille du muscle de mon aisselle et dépose la seringue sur la table de chevet. Un peu de sang perle du trou laissé par le retrait de l'aiguille. Pour que le sang ne tache pas l'oreiller, le médecin applique un diachylon sur la plaie.

« Avant d'en avoir complètement terminé avec toi pour l'instant et te permettre de récupérer et de reprendre des forces pour subir sans défaillance la prochaine étape de ton avilissement, je vais te forcer à me faire une fellation. »

A genoux, le médecin s'approche de mon visage. Il dénoue la boucle de sa ceinture, il déboutonne le bouton supérieur de la braguette de son pantalon et baisse son fermoir éclair. L'odeur qui se dégage de l'intérieur de sa braguette est loin d'être désagréable. Il baisse le devant de son caleçon et dégage sa verge de bonne dimension et en pleine érection. Tout comme la mienne, elle est circoncise. D'une main, il guide sa verge vers ma bouche.

« Ouvres ta bouche! »

J'ouvre la bouche

« Lèches le bout de ma verge! »

Je salive le bout de ma langue, je le sors et je lèche le bout de sa verge. Je force même le bout de ma langue à l'intérieur du méat de sa verge.

« Tu me rends bien ; continues! »

J'introduis un peu plus profondément le bout de ma langue dans son méat.« Ouiiiiii ; encore plus loin! »

Je donne un brusque coup de langue et je me rends compte que le bout de ma langue atteint un endroit sensible. Je sens un léger filet d'urine couler sur ma langue. Le goût en n'est pas si désagréable.

« Siphonnes l'urine qui se trouve dans mon urètre. »

Un filet d'urine coule dans ma bouche. Je l'avale.

« Mouilles tes lèvres et poses les sur ma verge pour que je puisse la faire aller et venir du bord de ta bouche jusqu'au fonds de ta gorge jusqu'à ce que j'éjacule et que tu avales mon sperme. »

Excité au plus haut point par les caresses que je viens de lui prodiguer, Marc ne tarde pas à se cabrer.

« Ouuuuiiiiiiiiii; je viens! »

Il éjacule dans ma bouche.

J'ai peine à réprimer un haut le cœur. J'avale les deux giclés consécutives de sperme qui atteignent le fonds de ma gorge.

« Tu es une vraie pute ; tu vas maintenant lécher ma verge et avaler tout le sperme qui puisse être resté dans mon urètre. »

Il semble que je m'exécute à la perfection puisque le médecin me lance :

« Très bien ; ca suffit! »

L'homme se recule quelque peu ; il remonte son caleçon en réintroduisant sa verge toujours en érection à l'intérieur. Il réajuste son pantalon, remonte son fermoir éclair et renoue la boucle de sa ceinture.

Il me regarde ensuite dans les yeux et me dit :

« Tu m'as maintenant convaincu de ton très haut niveau d'asservissement. Je vais maintenant t'aider à t'asseoir confortablement dans le lit et t'informer de ce qui va suivre. »

Le médecin débarque du lit et s'approche de mes épaules.

Encore étourdit à cause de l'énergie que j'ai dû déployer pour satisfaire ses fantasmes, le médecin m'aide à me soulever et à m'asseoir sur le lit.

Le médecin replace les oreillers derrière mois pour que je puisse m'appuyer confortablement.

Je m'appuie sur les oreillers.

Le médecin se dirige vers la salle de toilette. Je l'entends faire couler de l'eau et le voit en ressortir avec un verre d'eau à moitié rempli. Il s'approche de moi et me tend le verre.

Je prends le verre d'eau.

« Attends avant de boire l'eau! »

Le médecin se tourne vers son porte documents. Il en sort un contenant de plastique. Il ouvre le contenant et en sort une capsule. Il me la tend :

« Avales ceci. C'est un puissant purgatif qui va te faire aller à la selle et dégager entièrement ton intestin. »

« Vous allez me sodomiser? »

« Tais-toi et prends cette capsule. »

Je prends la capsule et je l'avale avec une gorgée d'eau. Je lui tends le verre vide.

Le médecin dépose le verre sur la table de nuit puis il s'assied sur le bord du lit.

Ce n'est qu'un peu plus tard que je réaliserai que cette capsule en plus de contenir un puissant purgatif, elle contient également un calmant qui limitera pour ne pas dire éliminera tout pouvoir de résistance que ma raison pourrait normalement vouloir manifester.

« Tu vas maintenant te lever du lit. »

Je me lève.

« Mets sur tes épaules, la robe de chambre que l'on t'a remis en arrivant. »

Je prends la robe de chambre et je la pose sur mes épaules.

« Assieds-toi sur le bord du lit. »

Je m'assied au coté du médecin.

« Dans une heure environ, tu vas quitter cette chambre escorter par deux hommes et vous allez vous diriger vers un local qui a été spécialement aménagé et équipé pour les traitements que nous faisons subir aux personnes qui comme toi ont acceptées de se livrer à nous. Tout ce que tu vas y subir sera filmé par des caméscopes qui sont disposées de telle sorte que tous les gestes posés soient enregistrés et puissent se retrouver sur la production d'un film pornographique. »

« Quand j'ai accepté de me livrer à vous, il n'était absolument pas question que je sois vu dans un film pornographique par des gens qui puissent me reconnaître. »

« Sois sans crainte ; avant de quitter cette chambre, tu vas porter un masque sur les yeux. Personne ne pourra te reconnaître. »

« Vous me le garantissez? »

« Je te le garanti! »

Le médecin se lève ; il sort de son porte-documents, un masque en satin noir. Il me le tend : le masque est fait pour couvrir la moitié du front, les yeux et le dessus du nez. Il possède une large bande élastique qui, en passant derrière la tête, maintien le masque fermement en place.

« Tournes ton visage vers le mur. »

Je me tourne

Le médecin me place le masque devant les yeux ; il passe la bande élastique derrière ma tête.

« Prends ce miroir, »

Il me tend un petit miroir ; je le prends et je m'y regarde.

La partie du masque qui se trouve devant mes yeux est finement tressé de sorte que je puisse discerner les gens qui se trouvent devant moi sans que ceux-ci puissent voir mes yeux. Le masque dissimule également une partie de mon front et le dessus de mon nez.

« Je suis d'accord que l'on ne puisse absolument pas me reconnaître avec ce masque. »

Le médecin me retire le masque et me le tend.

« Tu le remettras quand le moment de quitter cette chambre sera venu.

Le calmant que m'a fait prendre le médecin commence déjà à faire effet. Mes intestins commencent à gargouiller. Je réalise également que je commence à me sentir de plus en plus dans un état second.

« Je sens que je vais devoir aller aux toilettes avant longtemps! »

« Comme te l'a demandé René, tu as apporté avec toi un caleçon et des bas de rechange? »

« Oui! »

« Tu vas donc passer par la chambre de bain : vides ta vessie et tes intestins puis prends selon ce que tu préfères, un bain ou une douche. Tu trouveras dans la salle de bains tout les produits d'hygiène dont tu as besoin ainsi que ce qu'il te faut pour te faire la barbe. Comme vêtement, tu ne mettras que ton caleçon, des bas propres et tes souliers. Ensuite, tu poseras sur tes épaules, ta robe de chambre sans en attacher les boutons. Une fois le tout terminé, tu reviendras dans la chambre, pour y mettre ton masque et attendre que l'on vienne te chercher. »

« Je peux connaître ce que vous me réservez? »

« Il serait préférable que tu l'ignores! »

« Une simple idée pour que je m'y conditionne? »

« Tu vas être escorté au sous-sol dans un endroit sans aucune fenêtre et parfaitement insonorisé. On va t'enlever ta robe de chambre, on va baiser et enlever ton caleçon avant de te faire coucher sur le dos sur une table d'examen gynécologique.

On va ensuite t'enlever tes souliers et retirer tes bas. On va t'écarter les jambes et t'attacher solidement les pieds par des sangles fixées autour de tes chevilles. On va ensuite te prendre par les épaules pour tendre les muscles de ton corps puis relever tes bras de chaque coté de ta tête et les faire maintenir dans cette position par des sangles fixées autour de tes poignets. Tu veux en connaître davantage? »

« Oui! »

« Je vais procéder à un examen médical visuel de ton corps, de tes membres et surtout de tes parties génitales. Je vais prendre ta pression artérielle ainsi que ton pouls. Si je ne détecte rien d'anormal, je vais ensuite injecter dans les muscles de ta verge, un liquide qui facilitera la dilatation des vaisseaux sanguins de ta verge pour que l'apport supplémentaire de sang poussé dans ces vaisseaux maintienne son érection malgré les traitements qui lui seront infligés.

Ensuite, ce sera des acolytes qui prendront soin de toi.

Ils vont t'escorter de la table d'examen médical vers une croix de saint André. Ils vont t'y adosser, ils vont écarteler tes jambes et les attacher par les chevilles afin de pouvoir être capable d'assouvir tous leurs fantasmes.

Le seul rôle qui me sera alors dévolu, en sera un de médecin pour veiller à ce que tu demeures toujours capable de résister aux sévices qu'ils t'infligeront ».

A suivre

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