A la merci d'un sexagénaire

BÊTA PUBLIQUE

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« Ta sœur, elle méritait une punition pour ce qu'elle a fait avec le frère de ton beau-père. »

« Et toi, tu mérites une punition encore plus sévère pour ce que tu as fait à ta propre fille. Tu t'exécutes immédiatement ou je demande à Robert de venir me donner un coup de main? »

« Non! Je t'en prie, n'appelles pas Robert »

« Alors obéis. »

La femme s'assoie sur le lit, puis s'agenouille.

Elle se dirige vers sa fille.

Elle écarte ses jambes et s'avance au-dessus du dildo.

« Écartes tes lèvres vaginales avec tes mains et places toi pour que le gland du dildo soit vis à vis de l'entrée de ton vagin. »

En larmes, la femme écarte ses lèvres vaginales. Elle se baisse pour que le gland du dildo touche à l'entrée de son vagin.

« Empales-toi. »

La femme plie lentement les genoux. Le dildo s'enfonce dans son vagin. Elle s'arrête.

« Continues : je veux que le dildo pénètre au complet dans ton vagin. »

La femme continue à plier lentement ses genoux jusqu'au moment ou ces derniers ne peuvent plus supporter son poids.

On entend alors un bruit :

« Sluuussshhhhm! »

La mère s'empale au complet sur l'engin.

Elle laisse échapper :

« Aaaahhhhhh! »

« Tu vois, Maman! Ce n'est pas si terrible. »

« Tu es maintenant satisfait, mon garçon? »

« Pas tout à fait, Maman!

Maintenant penches toi par en avant et couches toi sur Hélène. »

Sa mère se penche et se couche sur sa fille ; leurs visages se font faces.

« Embrassez-vous comme deux perverses que vous êtes. »

La mère pose ses mains de chaque coté du visage de sa fille.

Elle entrouvre sa bouche, humidifie ses lèvres et les approchent de celles de sa fille.

« Maman! »

« Hélène! »

A son tour, Hélène entrouvre sa bouche ; elle humidifie ses lèvres.

Les deux femmes commencent par s'embrasser tendrement puis le tendresse se change en passion.

Pendant que sa mère se penche au-dessus de sa fille et qu'elle s'apprête à l'embrasser, le fils se place derrière sa mère.

Il baisse le fermoir éclair de la braguette de son pantalon et en dégage une verge en pleine érection.

Alors que la mère et la fille sont couchées l'une sur l'autre et qu'elles s'embrassent avec passion, Maurice ordonne à sa sœur :

« Passe tes bras derrière la tête de ta mère.

Tout en continuant à embrasser sa mère avec fougue, Hélène passe ses bras derrière la tète de sa mère et la maintient, sa poitrine collée contre la sienne.

« A mon signal, tu la retiendras de toutes tes forces pour l 'empêcher de se redresser. »

Son frère se positionne de façon à ce que le gland de sa verge soit à quelques millimètres du sphincter du cul de sa mère.

Il laisse couler un filet de salive sur sa verge.

Dès lors, Hélène comprend les intentions de son frère. Elle Ie dévisage, les yeux marqués par l'incrédulité et l'effroi.

Son frère la dévisage également. Son regard ne laisse aucun doute sur la perversité du geste qu'il s'apprête à poser.

D'un signe de tête affirmatif, il laisse savoir à sa sœur que le moment est venu.

La fille serre ses bras contre la nuque de sa mère et la retient de toutes ses forces.

De ses deux mains, le fils écarte les fesses de sa mère. Il place le gland de sa verge directement sur le sphincter de son cul. Il agrippe fermement sa mère par les hanches. Il pousse le gland de sa verge contre la corolle du sphincter du cul de sa mère.

Incapable de se défaire de l'emprise des bras de sa fille, la mère tente de résister à l'intrusion anale que son fils tente de lui faire subir.

« Ne résistes pas, Maman, sinon la douleur va être pire! »

Lentement, le gland vainc la résistance du sphincter et franchit le seuil du rectum.

Le fils contemple le spectacle qu'il lui est offert : le gland de sa verge dans le cul de sa mère.

« Maman, tu te fais enculer par ton fils! »

D'un puissant coup des reins il projette son membre en entier dans les entrailles de sa mère.

Il se couche aussitôt sur le dos de sa mère, et tout en la maintenant fermement par les épaules, il va et vient sans aucun ménagement dans ses entrailles.

La mère voudrait hurler de d'égout et de douleur, mais sa fille l'en empêche en maintenant ses lèvres fermement collées aux siennes.

Sentant son éjaculation imminente, le fils se retire presque entièrement des entrailles de sa mère et se propulse à nouveau avec violence jusqu'au fonds de ses entrailles.

Il y éjacule.

Le film m'excite au plus au point.

J'ai commencé à me masturber quand la mère a commencé à s'empaler sur le strap-on dildo qui est fixé aux hanches de sa fille.

Quand je réalise l'extrême avilissement que le fils projette de faire subir à sa mère, je me mets à me masturber plus rapidement.

J'éjacule par terre au moment même où le fils éjacule dans les entrailles de sa mère.

Je suis rompu de fatigue.

Je reprends des Kleenex et je m'essuie.

Je remets mes vêtements.

Sans même attendre la fin du film, je sors de la cabine, je quitte le Peep Show et je retourne au bureau.

A suivre

A la merci d'un sexaqgénaire

Auteur : Faucon

Chapitre 4

Auberge pour hommes.

Ma journée de travail du lundi se termine sans que j'aie réellement pu me concentrer sur mon ouvrage.

J'arrive à la maison, songeur. Je me demande :

« Vais-je y aller ou non? »

Je prends un copieux souper car je sais que je ne pourrai plus manger avant que je n'aille au rendez-vous.

Après souper, je passe à la salle de toilette pour prendre une pilule que notre médecin de famille a prescrite à mon épouse alors qu'elle souffrait d'un très douloureux mal de ventre.

C'est une pilule très efficace : une seule suffit à dégager rapidement les intestins.

Prétextant un douloureux mal de tête, je me couche tôt mais je ne réussis à m'endormir qu'après minuit.

Le lendemain matin, je me lève à 6h30.

Je passe à la toilette pour vider ce qui pourrait être resté dans mon intestin.

Je prends ensuite une douche et je me fais la barbe avec un rasoir à lame.

Je m'habille très proprement et je quitte sans déjeuner, prétextant assister à une importante réunion qui sera précédée d'un déjeuner.

J'arrive au bureau vers 8h15.

Je surveille l'arrivée de mon patron.

Quelques minutes après son arrivée, je demande à sa secrétaire pour le rencontrer.

Elle me fait signe qu'il est libre.

Je me présente à son bureau :

« Bonjour François! »

« Bonjour Charles! »

« Cette après-midi, je dois présider une importante réunion au sujet de la convention internationale de l'association qui doit se tenir à Montréal en septembre de l'année prochaine. »

« Je n'ai aucun problème avec ca! »

« La réunion ne devrait pas se terminer avant 16h00. Puis-je retourner directement à la maison après qu'elle se sera terminée? »

« Parfait, nous nous reverrons demain! »

« Merci François! »

Je sorts du bureau de mon patron et je retourne à mon poste de travail.L'avant midi n'en finit plus de passer.

Finalement, midi arrive. Je quitte le bureau en emportant avec moi mon porte-documents.

A 12h25, je me présente devant la porte de la bouche de métro St.Laurent.

René s'y trouve ; il vient à ma rencontre.

« Bonjour Charles! »

« Bonjour René! »

« Fidèle au rendez-vous? »

« Oui, mais après avoir beaucoup hésité! »

« J'ai parlé de toi à mon ami Marc ; il nous attend à une auberge pour hommes qui n'est pas très loin d'ici. »

« C'est à quel endroit? »

« Sur la rue Mackay. Tu m'accompagnes? »

« Le Marc en question, il est correct? »

« C'est un médecin à la retraite. »

« Quel âge a-t-il? »

« Soixante-cinq ans! »

« Je veux bien t'accompagner! »

« Parfait, emmènes-toi! »

Nous nous approchons du trottoir ; René hèle un taxi.

Il s'arrête.

René ouvre la porte arrière et me fait signe de monter.

Je monte dans le taxi ; il me suit.

Il s'assied sur le bord du banc et il s'adresse au chauffeur :

« Chauffeur, rue Mackay! »

« À l'auberge, Monsieur? »

« Oui! »

« Très bien, Monsieur! »

René se replace au fond du siège

La voiture taxi se met en marche.

Tout en feignant de regarder par la vitre de coté, René place sa main gauche sur ma cuisse droite.

Je n'ose réagir pour écarter sa main de peur que le chauffeur de taxi ne s'aperçoive du manège de René.

Je tourne la tête et feints de regarder par la fenêtre de mon coté.

Les doigts de sa main gauche tentent difficilement de se frayer un passage entre mes cuisses.

Je lui facilite la tâche en écartant légèrement les jambes.

Il glisse sa main entre mes cuisses.

Il applique le cote de sa main gauche contre ma verge.

J'écarte les jambes un peu plus.

Il fait lentement aller et venir le coté de sa main sur ma verge.

Je bande.

Je prends une profonde respiration.

Le chauffeur de taxi semble deviner ce qui passe à l'arrière de son véhicule.

Tout en jetant un coup d'œil dans son rétroviseur, il fait un non de la tête et dit :

« Il ne faudrait pas que je sois obligé d'essuyer le siège arrière. »

Tout en continuant à me masturber, René lui répond :

« Ne sois pas inquiet pour ton siège ; mon compagnon est capable de se retenir et pour rien au monde, je voudrais le faire éjaculer en ce moment. »

Tout en jetant un coup d'œil dans son rétroviseur, le chauffeur réplique :

« J'aimerais bien être assis à la place de ton compagnon! »

« Donnes-moi une carte d'affaires, il se pourrait qu'un jour, je te contacte. »

Le chauffeur de taxi tend une carte d'affaires à René.

« Merci! »

Quelques secondes plus tard, le véhicule s'arrête :

« Vous êtes rendus! »

Ma verge est toujours en pleine érection.

René tend un billet de vingt dollars au chauffeur :

« Gardez le change! »

« Merci! »

René descend du véhicule ; je le suis.

Une fois hors du taxi, j'essaie tant bien que mal de dissimuler la bosse qui ressort du devant de mon pantalon. Heureusement, il n'y a personne dans les environs.

René et moi, nous nous dirigeons vers la porte de l'Auberge.

Il ouvre la porte :

« Entres! »

Le cœur me débat ; pendant un court instant, je réprime une forte envie de me sauver.

J'entre. René me suit.

La porte se referme derrière nous.

René se dirige vers le comptoir d'enregistrement :

« Bonjour Joseph! »

« Bonjour Monsieur René! »

« Joseph, est-ce que Marc est arrivé? »

« Oui, Monsieur René! »

« Même chambre que d'habitude? »

« Oui, Monsieur René, la trente-deux ; voulez-vous une seconde clé? »

« Non merci, Joseph! »

Joseph tend à René deux robes de chambre blanche, deux grandes serviettes et deux paires de mules en papier.

« Merci Joseph! Est-ce que je te dois quelque chose? »

« Non, Monsieur René ; Monsieur Marc m'a payé pour trois personnes. »

« Tiens Joseph, prends ceci. »

René tend un billet de vingt dollars à Joseph.

« Merci beaucoup, Monsieur René ; passez du bon temps. »

« Merci Joseph! »

René me tend une robe de chambre, une grande serviette, une débarbouillette et une paire de mules en papier.

« Suis-moi! »

Je suis René.

Nous arrivons à la porte de la chambre 32.

René frappe à la porte ; une voix se fait entendre de l'intérieur :

« Entrez! »

« Entres » me dit René.

J'entre.

René me suit.

« Bonjour René! »

« Bonjour Marc! »

« Je présume que c'est Charles qui t'accompagne? »

« Exactement »

« Charles, je te présente Marc »

L'homme se lève du fauteuil d'où il est assis et il s'avance vers moi. Cet homme doit faire 1m85 et peser environ 80kgs.

Il a les cheveux blancs, et son visage inspire confiance.

L'homme porte une robe de chambre blanche Elle est ouverte sur toute sa longueur sur le devant laissant voir que l'homme est torse nu. Sous sa robe de chambre, l'homme a gardé un pantalon gris foncé, des bas rouge vin et des souliers noirs.

René et moi déposons notre robe de chambre, notre serviette et notre paire de mules en papier sur le dessus du bureau situé près de la porte d'entrée de la chambre.

Marc me tend la main :

« Bonjour Charles! »

Je lui tends la main :

« Bonjour Monsieur! »

« Mon prénom est Marc! Je peux te tutoyer? »

« Absolument! »

« Tu veux me tutoyer? »

« Je me sentirais plus à l'aise de vous vouvoyez! »

« C'est comme tu veux, Charles. René m'a beaucoup parlé de toi! »

« En bien j'espère? »

« Si nous nous assoyions, nous serions plus à l'aise pour discuter! »

« Je veux bien! »

« Assis-toi sur le bord du lit! »

Je m'assois à l'endroit indiqué.

Marc approche un fauteuil près du bord du lit.

René s'agenouille à mes pieds et me dit :

« Enlèves ton veston et déposes le au pied du lit. »

J'obéis.

« Maintenant, retires ta cravate. »

Je retire ma cravate et je la laisse choir sur mon veston.

« Déboutonne le col de ta chemise. »

Je m'exécute.

Marc retire les deux oreillers qui se trouvent sous le couvre-lit et les déposent derrière moi, et me dit :

« Couches-toi sur le dos et poses ta tête sur les oreillers. »

Je m'exécute.

René écarte mes jambes et se glisse entre elles. Il pose une main sur la braguette de mon pantalon. Ma verge reprend aussitôt son érection.

Marc ne fait aucun cas de ce que me fait René. Il s'assied dans le fauteuil qu'il a approché du lit.

« J'espère, Charles, que tu seras à la hauteur de la réputation que René t'a faite. »

« Je m'en voudrais de ne pas y être! »

« René m'a assuré que tu serais prêt à te laisser faire n'importe quoi ; c'est exact?

« C'est exact, à l'exception de ...! »

« Je sais, à l'exception d'un Brown Shower! Je te promets qu'il n'est absolument pas question que je te fasses subir une telle dépravation. »

« Alors, j'accepte me laisser faire tout ce que vous voudrez. »

Pendant que Marc me parle, René baisse lentement le fermoir éclair de ma braguette ; il l'écarte. Il glisse une main sous ma verge et la dégage de mon caleçon.

Il passe ses doigts autour de ma verge de façon à ce que seul le gland de ma verge soit dégagé. Il baisse sa tête au-dessus de mon sexe et passe le bout de sa langue contre mon gland et son méat.

« Ahhhhh! »

« Tu aimes te faire lécher? » questionne Marc

« Ouuuuiiiiiiiii! »

René continue à me lécher. Il introduit le bout de sa langue dans le méat de ma verge.

« Oouiiiiii ; C'est bon! »

« Ça va être encore mieux, je vais te sucer. »

René ferme sa bouche sur ma verge et la fait aller et venir lentement contre sa langue à l'intérieur de sa bouche .

« C'est booonnnnn! »

« Tu aimes te faire lécher et sucer? » commente Marc

« Ouuuuuiiiiiiiii! »

« Tu voudrais que René te fasse éjaculer avant que je passe à des choses beaucoup moins jouissives pour toit? »

« Nooonnnn! »

René a sortie ma verge de l'intérieur de sa bouche. Il tient maintenant ma verge avec deux doigts par le bout du gland et il passe la lèche de la racine jusqu'au bout du gland.

« Arrêtes René ; je vais jouir! »

René cesse aussitôt son manège ; un peu de liquide pré-séminal coule de mon urètre et perle au bout du méat.

René l'essuie avec sa langue.

Il s'écarte ensuite légèrement d'entre mes jambes. Il se relève et il vient s'asseoir sur le bord du lit à coté de moi.

Petit à petit, je commence à reprendre mes esprits.

Marc me dit :

« Maintenant, relèves-toi et assieds-toi. »

René replace ma verge dans mon caleçon, ferme la fermoir éclair de ma braguette et m'aide à me relever, et à m'asseoir.

Marc continue :

« Maintenant, ça va être à mon tour de m'occuper de toi. Ce que René t'a fait subir la semaine dernière, dans une cabine de Peep Show, n'est rien à coté de ce que je vais te faire subir aujourd'hui. »

« Je m'en doute! »

« Mes connaissances en médecine me permettent de repousser les limites de la résistance humaine à la douleur! »

« Vous êtes médecin? »

« Médecin à la retraite. Tu acceptes donc, en pleine connaissance de cause, de te livrer à moi? »

« J'accepte! »

« Tu veux que je te donne des sédatifs avant que je commence? »

« Non! »

« Tu veux que j'anesthésie les parties de ton corps que je me propose de torturer? »

« Non! Je ne veux pas être anesthésié. Je veux pouvoir être pleinement en mesure de ressentir la douleur causée par les actes que vous allez poser sur moi. »

« Je voudrais te prévenir d'une autre chose : tu ne seras absolument pas en mesure de retourner chez toi quand j'en aurai terminé avec toi. Je te propose donc de passer la nuit ici. Je t'offre cette la chambre ; tu acceptes? »

« J'accepte! »

« Tu es marié? »

« Oui, Docteur! »

« Tu peux trouver un prétexte pour justifier ton absence pour la nuit? »

« Je peux téléphoner chez moi? »

« Certainement! Je t'approche le téléphone. »

Marc approche le téléphone et le dépose à coté de moi.

Je prends l'appareil téléphonique et je compose le numéro de téléphone de la maison :

« Allô! »

« Bonjour chérie, c'est moi! »

« Y a-t-il quelque chose de spécial? »

« Oui! Mon patron vient de me demander de le représenter à une réunion qui va se tenir à Sherbrooke en fin de journée. Je dois coucher sur place. Je vais occuper la chambre d'hôtel qui a été réservée à son nom. Tu n'avais rien de spécial pour ce soir? »

« Non, mon chéri! »

« Je vais donc te dire à demain. Je devrais être à la maison à l'heure habituelle. Bonjour mon trésor! »

« Prends soin de toi, mon chéri! »

Je raccroche l'appareil de téléphone.

« Je suis à vous! »

A suivre

A la merci d'un sexagénaire

Auteur : Faucon

Chapitre 5

Avilissement total.

C'est maintenant au tour du médecin de s'occuper de moi. Ce dernier s'adresse à René :

« Laisses-moi seul avec Charles. »

« Bien sur, Marc! Je vais passer au sauna puis au bain tourbillon avant de me rendre au local spécialement aménagé pour notre invité et ses semblables. »

René quitte la chambre en emportant sa robe de chambre, sa serviette et ses mules.

Je suis maintenant seul avec Marc.

Quand j'ai accepté de me livrer pieds et mains liés à cet homme, j'étais loin de se douter du degré de perversité dont ce médecin à la retraite pouvait être capable.

Marc pose ses mains sur mes cuisses ; nos regards se croisent.

Il fixe son regard dans le mien ; je baisse les yeux.

« Tu es prêt à souffrir? »

« Je suis prêt! »

« Tu as besoin de passer à la salle de toilettes? »

« Non! »

« Ton corps est propre? »

« J'ai pris ma couche ce matin et j'ai mis du linge propre. »

« Je veux te voir torse nu! »

Je déboutonne un à un les boutons de ma chemise, je la sors de mon pantalon, je la retire de sur mes épaules et je la dépose sur le lit.

« Tu as un beau torse. »

« Merci! »

« Lèves-toi et tasses-toi un peu du lit. »

Je m'exécute.

Marc tire sur le couvre lit et replace les oreillers à la tête du lit. Il enlève ensuite le couvre lit, il le plie et le dépose par terre.

« Couches-toi sur le dos et poses ta tête sur l'oreiller. »

Je me couche sur le dos, la tête contre l'oreiller.

« Lèves tes bras et tiens les barreaux du lit avec tes mains de sorte que tes aisselles soient dégagées. »

Je prends la pose que Marc me demande.

Ce dernier se rend vers le bureau où il a auparavant déposé son porte documents. Il l'ouvre et en sort un étui en cuir brun fermé sur trois cotés par un fermoir éclair. Il ouvre l'étui et il vient le déposer sur le lit à la hauteur de mon aisselle droite.

Je jette rapidement un coup d'œil sur le contenu de cet étui ; j'aperçois plusieurs aiguilles très fines, de différentes longueurs, qui sont emballées séparément dans des cachets stérilisés. En plus des aiguilles, il y a une seringue qui est également emballée dans un cachet stérilisé.

Le médecin s'approche du centre du lit ; il retire sa robe de chambre et la dépose sur la chaise sur laquelle il était précédemment assis.

Il monte sur le lit, il enjambe mon corps et se positionne de façon à ce que ses genoux soient à la hauteur et collés contre mes genoux.