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Cliquez iciRené détache le bouton de mon pantalon : le fermoir éclair de ma braguette étant déjà baissé, l'avant de mon pantalon s'entrouvre.
« Laisses-moi voir ce que dissimule ton caleçon et qui le fait bomber de la sorte. »
René baisse le devant de mon caleçon.
« Tu es bien membré et en plus tu es circoncis! »
« Elle te plait? »
« J'aime beaucoup les verges circoncises! »
« Je te l'offre! »
René baisse encore plus mon caleçon ; il y introduit sa main gauche à l'intérieur et il la glisse sous mes testicules :
« Elles sont grosses et fermes. »
René les place entre ses doigts.
Je prends une profonde respiration.
« Tu vas te masturber pendant que je vais te serrer les couilles. »
Je passe ma main droite autour de ma verge ; je la referme légèrement et je débute un lent mouvement de va et viens.
« Tu ne veux pas que je me fasse éjaculer tout de suite? »
« Je te défends bien de te faire éjaculer. »
Tout en me serrant les couilles de plus en plus fort, René me regarde me masturber.
Ma respiration se saccade sous la douleur, mes testicules me font de plus en plus mal.
« J'ai mal! »
« Je la sais! »
« Si je continu à me masturber, je ne serai plus capable de me retenir ; je vais éjaculer. »
« Arrêtes de te masturber. »
J'obéis à l'ordre! »
« Je vais maintenant dégager ton torse. »
René sort sa main gauche de mon caleçon. Il commence à détacher un à un, les boutons de ma chemise ; il tire sur les pans de ma chemise et sort la queue de ma chemise de mon pantalon. Il en écarte les pans dégageant ainsi mon ventre et mon torse.
Il s'approche de moi ; il appuie fermement le bas de son ventre contre ma verge toujours en pleine érection.
Il fait glisser ses mains sur mon ventre puis sur ma poitrine. Il fait tournailler ses doigts sur mes mamelons avant de les pincer légèrement. Il se penche ensuite au-dessus de moi ; il approche son visage de mon torse et pose ses lèvres sur mon mamelon gauche.
Il le lèche puis il le titille lentement du bout de sa langue.
Mon mamelon devient aussitôt en érection.
« Tu me rends bien! »
Il continue de le titiller mais plus rapidement.
« Ouuuuiiiiii! »
Il passe à mon mamelon droit.
Il le titille rapidement et avec beaucoup plus de vigueur que le mamelon gauche.
Mon mamelon atteint une pleine érection.
Je réalise pour la première fois de ma vie combien les caresses d'un homme peuvent être intenses et jouissives.
Il aspire mon mamelon avec force entre ses lèvres.
« Oooohhhh oooouuuuiiiiiiii, c'est bon! »
Je sens les dents de René se poser contre mon mamelon.
Ses dents se resserrent.
Il le mord avec force.
La douleur est atroce.
Tous les muscles de mon corps se contractent.
« Aaaaiiiiieeeee! »
René applique rapidement une main sur ma bouche pour étouffer mon cri de douleur.
Sa langue vient titiller mon mamelon endolori.
La douleur s'atténue lentement.
Il retire sa main de sur ma bouche.
« Tu m'as fait très mal! »
« Je sais! »
Convaincu que je vais me soumettre à toutes ses perversions, René veut me faire atteindre l'orgasme avant de m'avilir en me faisant sodomiser par son partenaire.
René s'écarte de mon entrejambe.
Il prend ma verge dans sa main gauche et l'entoure de ses doigts de sorte que seul le gland de ma verge soit dégagé.
Il serre ma verge.
Le gland grossit sous l'afflux de sang qui y est poussé.
Il pince délicatement le méat de ma verge ; il s'ouvre.
René baisse sa tête ; il approche sa bouche de ma verge et il passe sa langue tout autour du gland.
Mes muscles se contractent sous la caresse.
« C'est bon! »
Il introduit le bout de sa langue dans l'ouverture du méat. »
« Oh ouuuuuiiiiii! »
Il appuie lentement ses dents sur mon gland et le mord de plus en plus fort.
« Ahhhhhh! »
Il desserre ses dents.
« La jouissance des caresses que tu me prodigues n'a d'égal que la souffrance des tortures que tu me fais subir. »
René relève la tête : il fixe mon regard et sourit sadiquement.
Tout en maintenant ma verge entre ses doigts, il tourne
son poignet gauche, il force ma verge en pleine érection à se diriger ,vers mon entre jambe.
La douleur se fait aussitôt sentir.
« Aiiiiieeeeee! »
Il donne un violent coup de poignet ; le temps que ma verge aille toucher au-dessus de ma cuisse droite. Je me redresse pour éviter que la douleur soit trop intense.
Je ne peux pas entièrement refouler une plainte :
« Ahhhhhh! »
Tout en libérant ma verge encore gonflée de sang, il me dit :
« Dépose ta tête contre le dossier du fauteuil ; reposes-toi un moment. »
Je dépose ma tête contre le dossier du fauteuil.
« Je vais maintenant baisser ton pantalon et ton caleçon : soulèves tes fesses! »
J'appuie mes mains contre le siège du fauteuil et je soulève mes fesses.
Il tire sur mon pantalon et le fait glissé jusqu'à mes genoux.
Il procède ensuite de la même façon avec mon caleçon et il le fait glisser jusqu'à mon pantalon.
« Reposes tes fesses sur le siège. »
Je m'exécute.
« Je vais maintenant t'enlever ton pantalon et ton caleçon. »
René se lève d'entre mes jambes ; il s'agenouille à coté de ma jambe droite.
Il descend mon pantalon jusqu'à la hauteur de mes chevilles puis il fait de même avec mon caleçon.
Il soulève mon pied gauche et dénoue la boucle du lacet de mon soulier.
« Tu as de beaux souliers! »
« Merci! »
« Es-tu propre des pieds? »
« Je me lave les pieds tous les soirs et je me les poudre tous les matins. »
Il retire le soulier de mon pied.
Il porte mon soulier à son nez et le hume.
« Il sent bon. »
« Merci! »
« Tu as dédains des pieds? »
« Les pieds d'homme ne m'attirent pas. Par contre, je fantasme fortement sur les beaux pieds de femmes et sur les souliers à talons hauts. »
« Moi, je fantasme particulièrement sur les pieds d'hommes qui sont beaux, propres et bien entretenus. »
Il fait glisser de mon pied, la jambe gauche de mon pantalon et une partie de mon caleçon qu'il laisse glisser par terre.
Tout en se penchant vers l'avant, il soulève mon pied gauche et retire mon bas.
« Ton pied est très beau ; je vais le lécher. »
Tout en maintenant mon pied soulevé, René pose ses lèvres sur le dessus de mon pied et le lèche avec sa langue en se dirigeant vers mes orteils.
Il lèche mes orteils une à une puis il introduit mon gros orteil dans sa bouche.
Il le mouille et le suce avec ardeur.
C'est la première fois que je me fais caresser les pieds de la sorte.
« René ; j'aime ça! »
Au bout de quelques instants, il guide mon pied et me le fait déposer sur le sol. Il prend ensuite mon pied droit et le soulève de terre. Il dénoue la boucle du lacet de mon soulier.
Il le retire de mon pied et tout comme pour mon autre soulier, il le porte à son nez :
« L'odeur de tes souliers m'enivre! »
René dépose mon soulier par terre et tire sur mon pantalon. Ce dernier glisse de mon pied droit et choit par terre. René m'enlève mon caleçon. Il les dépose sur le fauteuil à mes cotés.
René soulève mon pied droit et retire mon autre bas.
Il pose ses lèvres sur le dessus de mon pied droit et le lèche de la même façon que mon pied gauche : tout le dessus du pied et chacune des orteils.
Il introduit ensuite tout le bout de mon pied droit dans sa bouche et le suce avidement.
Au bout de quelques instants, il interrompt son manège et me fait déposer mon pied droit par terre.
« Je suis capable du meilleur comme du pire et le pire est à venir. »
« René, c'est la première fois que quelqu'un me fait jouir de la sorte. Si le pire est en comparaison de la jouissance que tu viens de me procurer, ça doit être terrible : je l'accepte à l'avance! »
Comme tout vêtement, je ne porte plus maintenant que ma chemise.
René s'approche de moi et il vient s'agenouiller entre mes jambes.
« Tu veux que je te masturbe et que je te fasse éjaculer? »
« Oui! Mais seulement après que tu m'auras fait endurer le pire. »
René agrippe fermement le gland de ma verge entre trois doigts de sa main gauche. Il tire dessus et colle ma verge contre mon ventre.
Il baisse sa tête et me regarde dans les yeux. Il pose le bout de sa langue sur mon scrotum.
Je ferme les yeux et prends une profonde respiration.
Il fait glisser sa langue du scrotum jusqu'au bout du gland de ma verge.
« Aaaaahhhhhh! »
Il serre fortement le gland de ma verge entre ses doigts pour éviter une montée rapide de sperme.
Il refait glisser sa langue sur toute la longueur de ma verge.
Ma respiration se saccade ; je ne peux retenir un nouveau soupir de jouissance :
« Ooooouuuuuuuuiiiiiiiiiiiiii! »
« C'est bon? »
« Ohhhhh ouiiiiiiiiii! »
« J'aime bien faire jouir mon partenaire. »
« Tu me rends tellement bien! »
« Mais j'adore aussi le faire souffrir. »
« Je m'en doute! »
« Tu te sens assez en forme pour te faire mordre les couilles? »
« Fais-moi ce que tu veux! »
« C'est bien ; lèves tes jambes, plies tes genoux et pose tes pieds sur le bord de fauteuil. »
Je m'exécute.
René se rapproche à nouveau de mon entrejambe
« Écartes tes pieds pour que j'aie pleinement accès à ton entrejambe. »
J'obéis tel un automate.
Je lui offre ainsi ma verge, mon scrotum, mes testicules et mon cul.
René s'assied sur ses talons, son visage à la hauteur de mon sexe.
Il resserre à nouveau ses doigts sur le gland de ma verge. Il la tire fermement et la maintient contre mon ventre.
Il entoure mon scrotum avec les doigts de sa main droite. Il le serre.
Mes testicules jaillissent vers l'avant.
René approche sa bouche de mes testicules.
Je sens sa langue les effleurer plusieurs fois.
« Ooooouuuuiiiiiiii! »
Je ressens maintenant mon scrotum et mes testicules fortement aspirés.
Je ferme les yeux et jouis en silence.
Je sens mon scrotum en entier dans sa bouche.
Je sens des dents se poser dessus. Elles se resserrent.
Je sens la morsure.
« Ahhhh, ça fait mal! »
Les dents se relâchent quelque peu.
La douleur s'amenuise.
Je sens maintenant que les dents recherchent mes testicules.
Je suis pleinement conscient que c'est le moment fatidique et que René va me mordre les testicules.
Pendant que les doigts de sa main droite compriment fortement mon scrotum, ceux de la main gauche entourent ma verge qui est toujours en pleine érection.
Il me masturbe lentement pendant que ses dents s'agrippent à mes couilles.
L'étau se resserre ; mes couilles me font de plus en plus mal.
René accélère le mouvement : je sens que je vais éjaculer.
« Je viiiiiiiieeeeeeennnnnnssssss! »
Mon sperme gicle et se répand sur mon ventre.
L'orgasme ressenti fait aussitôt place à une douleur atroce
Je ne peux la supporter ; je m'évanouis.
A suivre
A la merci d'un sexagénaire
Auteur : Faucon
Chapitre 3
Je visionne un film d'inceste.
Je reprends tranquillement mes sens.
J'ignore pendant combien de temps je suis demeuré sans connaissance.
J'ouvre les yeux.
Je suis étendu sur le fauteuil.
J'entends des voies et des gémissements.
Je me redresse.
Je me souviens vaguement de ce qui s'est passé.
Je passe une main sur mon ventre et je constate qu'il est mouillé.
Je me rappelle que René m'a fait éjaculer juste avant que je m'évanouisse.
Je prends des Kleenex et je m'essuie.
Je passe ensuite une main sur ma verge puis sur mes testicules. Ils me font encore terriblement souffrir.
Je constate qu'il y a toujours des marques de dents.
J'examine mon sexe plus a fond : il ne semble pas y avoir de traces de sang.
Je jette un coup d'œil à ma montre : il est 13h 45. Je réalise que ca fait plus d'une heure et trois quarts que je suis entré dans cet endroit.
Je sens une autre douleur venant de mon pied gauche. Je me penche pour voir ce qui me fait mal à cet endroit.
Je porte des marques de dents sur le coté extérieur du pied gauche. Je présume que René m'a mordu le pied pendant que j'étais évanoui.
Je remarque aussi une empreinte de talon de soulier sur le dessus de mon pied droit.
Je me dis : René fantasme autant sur les pieds d'hommes que moi sur les pieds de femmes. Je vais accepter qu'il assouvisse son fantasme sur mes pieds tant et aussi longtemps qu'il ne voudra pas me mutiler.
Je continue à regarder autour de moi : mon linge est toujours accroché aux crochets fixés au mur.
La projection du film est en cour.
Il y a un papier de fixé sur le coin supérieur gauche de l'écran. Je m'avance pour le lire :
« A bientôt, Charles!
Prends le temps de te reposer tout en visionnant le film avant de partir ; il en vaut la peine.
Pour la suite des événements, Marc et moi, nous pensons qu'il est préférable que nous la reportions.
A 12h30, mardi prochain, je t'attendrai devant la porte de la bouche de la station de métro St Laurent.
Marc souhaiterait que nous allions dans un endroit où nous serions plus à l'aise et plus confortable. »
Soulagé par ce message, je remets mon caleçon et mes bas et je me rassis dans le fauteuil pour visionner le film.
Une femme dans le début de la quarantaine, entraîne de force dans une chambre, une autre femme qui semble à peine être âgée de vingt ans.
La jeune femme est poussée vers un lit pendant que l'autre femme pousse la porte de la chambre.
« Déshabilles-toi! »
« Mais, maman......? »
« Déshabilles-toi sinon je t'arrache ton linge! »
La jeune femme déboutonne les boutons de sa blouse.
« Enlèves ta blouse! »
Elle enlève sa blouse et la dépose sur un fauteuil qui se trouve à coté d'elle.
« Baisses ta jupe et laisses-la choir par terre! »
« Que veux-tu me faire, Maman? »
« Je vais te punir pour ce que tu as fait avec le frère de Robert! »
« Je n'ai rien fait avec le frère de mon beau-père! »
« Je vous ai vus : vous étiez tous les deux dans ta chambre et tellement concentrés sur ce que vous faisiez que vous ne vous êtes même pas rendu compte que j'étais dans l'encadrement de la porte à vous regarder faire. Il te léchait la vulve pendant que toi, tu lui faisais une fellation. »
La jeune femme rougit ; elle est piégée.
La jeune femme enlève sa jupe et la dépose au même endroit que sa blouse.
« Je veux te voir complètement nue : enlèves ton soutien-gorge, ta culotte, tes bas et tes souliers. »
La jeune femme obéit : elle dégrafe son soutien-gorge et le dépose sur le fauteuil. Elle baisse ensuite sa culotte jusqu'à terre puis, elle la ramasse et la lance sur le fauteuil.
La jeune femme s'assied sur le lit : elle enlève ses souliers. Elle baisse ensuite ses bas, les retire de ses pieds et les laisse par terre.
« Couches-toi sur le dos! »
La jeune femme n'offre aucune résistance à sa mère. Elle se couche sur le dos.
« Lèves tes bras de chaque coté de ta tête et tiens-toi après les barreaux de la tête du lit. »
La jeune femme obéit sans manifester la moindre résistance.
« Maintenant, écartes tes jambes et ferment tes yeux. »
Quel magnifique spectacle offert par le corps de cette splendide jeune femme! Elle est couchée sur le dos, les bras et les jambes écartés, le pubis entièrement épilé.
Elle est à la merci de sa mère.
Cette dernière s'approche du lit : elle se penche et ramasse un des bas de sa fille. Elle s'approche de la tête de sa fille et lui bande les yeux avec le bas.
« Maman, que vas-tu me faire? Tu me fais peur! »
« Je te défends de bouger. »
La mère se déshabille rapidement. Elle ne porte ni soutien-gorge ni culotte sous sa robe.
Un énorme strap-on dildo est fixé à ses hanches.
Elle monte sur le lit et se met à genoux entre les jambes de sa fille.
« Ne résistes pas! »
La mère lève les jambes de sa fille et les ramène sur son ventre. De la main gauche, elle les tient par les chevilles.
La mère se positionne maintenant de façon à ce que le bout du gland du dildo soit vis à vis l'entrée du vagin de sa fille.
Avec les doigts de la main droite, elle écarte les lèvres vaginales de sa fille.
Elle guide le bout du gland du dildo pour qu'il soit entre les lèvres vaginales de sa fille. D'un puissant coup de reins, la mère l'enfonce brutalement jusqu'au fonds du vagin de sa fille.
« Mamannnnn! »
« Fermes-toi, espèce de dévergondée. C'est la punition que tu mérites! »
Tu t'es laissé pénétrer et pistonner le vagin par mon beau-frère.
Tu lui as même léché la verge alors qu'elle était souillée de tes sécrétions vaginales avant de le sucer jusqu'à ce qu'il éjacule dans ta bouche et tu avale son sperme. »
Les plaintes et les paroles en provenance de la chambre de sa sœur intriguent Maurice qui s'adonne par hasard à passer devant sa chambre. Sans faire le moindre bruit, il entrouvre la porte de la chambre et jette un coup d'œil a l'intérieur.
Il est estomaqué par ce qu'il aperçoit :
« Maman! »
Surprise, la femme tourne la tête en direction de son interlocuteur en même temps qu'elle donne à nouveau un violent coup de rein pour enfoncer le dildo au complet dans le vagin de la fille.
« Maurice! »
« Maman! Qu'est-ce que tu fais? »
« Sors de la chambre immédiatement! »
Maurice ne tient pas compte de l'ordre de sa mère. Il s'approche du lit.
« Mais c'est ma sœur Hélène! Maman, tu es en train de violer ma sœur, ta propre fille? »
« Je t'ai dit de sortir de la chambre tout de suite. Ceci ne te regarde pas! »
« Je vais aller dire à Robert que tu es en train de violer ta fille. »
« Non, Maurice! Je t'en supplie, il ne faut pas. »
Maurice réfléchit pendant quelques secondes. Son regard fixe intensément celui de sa mère.
« Maman! Je ne dirai rien à mon beau-père, mais à une condition : que tu acceptes de te laisser faire! »
La mère est effrayée par le regard que son fils porte sur elle. Elle lui demande tout de même :
« Que veux-tu faire de moi? »
« Débarques de sur ma sœur et agenouilles-toi. »
Lentement, la mère se retire du vagin de sa fille et s'agenouille, le strap-on dildo visqueux fixé à ses reins.
« Enlèves ton machin. »
La mère commence à dénouer les attaches qui retiennent le strap-on dildo à ses hanches.
« Je ne veux pas que tu le déposes sur le lit. Tu vas le tenir dans tes mains. »
La mère finit d'enlever les courroies et le dégage de ses hanches. Elle tient l'appareil dans ses mains.
« Mets le dans ta bouche et nettoies le avec ta langue. »
« Maurice! Pas ca? »
Le fils se jette aussitôt sur sa mère Il la prend par les épaules et la projette sur le dos.
Il s'agenouille de sorte que ses jambes soient de chaque coté du bassin de sa mère. Il lui arrache le dildo des mains.
Sa mère veut se débattre mais son fils est beaucoup plus fort et pesant qu'elle. Il lui ferme les narines avec le pouce et l'index de sa main gauche.
La mère ouvre la bouche pour respirer.
Le fils lui introduit alors le dildo jusqu'au fond de la gorge. Il le fait tourner sur sa langue pour enlever les sécrétions laissées par le vagin de sa fille.
Pendant que le fils s'occupe de sa mère, Hélène, sa sœur, se lève et débarque du lit.
Elle regarde faire son frère.
Le fils sort un dildo immaculé de la bouche de sa mère. Il le tend à sa sœur en lui disant :
« Fixes-le à tes hanches. »
« Pour faire quoi? »
« Je te dis de le fixer à tes hanches. »
Cette dernière prend le strap-on dildo et l'installe autour de ses reins.
« Maintenant, couches-toi sur le dos et d'une main, tient le dildo en position verticale »
Hélène s'exécute.
S'adressant ensuite a sa mère, il lui ordonne :
« Lèves-toi et va t'agenouiller en plaçant tes jambes de chaque coté du bassin de ta fille. »
La mère réalise ce que son fils va lui demander de faire. En pleurs, elle s'adresse à lui :
« Tu ne veux pas que je m'empale sur cet engin? »
« Absolument! »
« C'est ignoble, Maurice, ce que tu me demandes de faire! »
« Ce n'est pas plus ignoble que ce que toi, tu as fait à Hélène. »