Valérie - Téléphone Interdit

BÊTA PUBLIQUE

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Le lit craque si fort qu'il pense qu'ils vont le faire tomber en morceaux. Sous les impulsions de son étalon, Valérie cogne sa tête contre l'armature. Elle doit s'en éloigner. Elle prend possession des tubes de fer froids, renvoyant un frisson supplémentaire.

Cette fois-ci ce, il ne sera pas nécessaire de lui passer les menottes. Lorsque Marc n'arrive pas à l'exciter suffisamment, ils jouent à ce petit jeu dangereux qu'est la soumission.

Les bras écartés de Valérie, reposant sur le dos, montrent son corps féminin étendu et tendu. Son ventre plat est assailli par Leroy et sa poitrine étrangement aplatie continue de virevolter sous le regard ébahi du directeur.

- Baise-moi Franck!

Ça brasse, ça surchauffe dans la chambre! Le lit bondit presque autant que les seins de Valérie. M. Leroy donne son maximum à chaque fois qu'il loge sa trique dans les tréfonds sinueux de Valérie. Il n'a que si peu d'amplitude car elle l'a cadenassé en passant ses jambes autour de ses fesses. Il choisit donc de donner des petits coups rapides.

- Tu aimes ça te faire sauter par le patron de ton copain, dit-il essoufflé?

- Ohhh oui!

- Tu aimes mes avantages marginaux?

- J'aime ta grosse queue!

Ses seins voguent sur son torse et son visage est écarlate. Les deux corps exultent un arôme sucré salé. La rousse le regarde les yeux enduits de passion et Leroy n'a qu'une envie : la clouer au lit jusqu'au lever du jour. Si seulement son cœur pouvait résister jusque-là!

Si Marc entre à ce moment, il ne réagira même pas d'un iota. Valérie aussi, elle continuerait de crier le nom de Franck, de le supplier de la lui mettre encore et encore, même sous le regard de son fiancé cocu.

Ils sont près du summum et tous les deux peuvent le percevoir l'un dans l'autre. La tension charnelle régne dans la chambre. La chatte de Valérie se contracte de plus en plus autour de la queue du président. Sa respiration irrégulière ne trompe personne. Leroy fait tout pour contracter sa verge, empêchant pour quelques minutes encore sa jouissance d'inonder la chatte de Valérie.

Les ongles de la jeune rouquine percent la peau du patron de son mari. Valérie halète continuellement. Contre son corps, Francis Leroy sent et voit le corps de la rousse vibrer et se secouer dans tous les sens dans une merveilleuse épiphanie incontrôlée. C'est dans un orgasme merveilleux qu'elle tache les draps du lit à Marc et à elle.

Avec ça, Franck expulse profondément sa troisième salve de la journée dans le fourreau accueillant de Valérie. Sa verge pulse et émet ses dernières onces blanches de vie dans un réceptacle divin.

- Ahhhhh Valérie!

Alors qu'il vient dans la chatte la plus chaude qu'il ait connue, le directeur reçut sur lui le liquide chaud et transparent de Valérie. Elle vient de vivre sa première expérience fontaine. Tout son corps, intensément paralysé, a atterri dans les bras de Francis Leroy qui l'embrasse tendrement. Dieu qu'il s'ennuierait de celle femme et des sensations qu'elle lui avait procurées.

Le téléphone sonne et Leroy étire la main qui caresse tendrement Valérie.

- Allo?

- Bonsoir patron.

- Es-tu presque arrivé?

Il tutoie toujours ses employés et demande à être vouvoyé. Il a encore son pénis ramollissant dans le vagin de Valérie.

- Oui, cinq minutes encore.

- Ok, à tout de suite.

- Ok bye.

Regardant Valérie, il regrette de devoir la quitter si tôt ce soir. Francis l'aurait bien prise une dernière fois, sans se presser. Malgré tout, il ne se gênera pas pour initier une nouvelle rencontre avec la fiancée de son employé. Il est au rez-de-chaussée quand la porte s'ouvre; il finit de boucler sa ceinture.

Valérie essaie tant bien que mal de mettre sa robe de soirée fripée. Elle entend les hommes discuter entre eux et un coup d'œil au miroir pour vérifier qu'il ne reste plus de traces. En bas de l'escalier, elle se rue sur Marc pour l'embrasser, vraiment excitée.

- Je t'aime mon amour.

- Tu sens bon, chérie. Je suis content de te ravoir dans mes bras!

- Moi aussi!

Ils s'assoient à table quelques instants. Valérie croise et décroise ses jambes quelques fois. Parfois c'est pour le patron, parfois pour son fiancé. Tous deux savent qu'elle n'a plus ses sous-vêtements. Marc vient de voir sa chatte et le patron cache sa culotte sous le divan.

Valérie se sent vraiment excitée par tout ce manège. Elle fait parfois des signes de pipe à Francis Leroy lorsque Marc ne regarde pas vers elle. Quand le patron fut prêt à partir, elle l'embrasse sur la joue, se collant davantage sur lui. Il sent contre lui ses sa poitrine généreuse et ses pointes ardentes.

- J'ai passé une belle soirée, il faudrait que vous repassiez.

- Moi aussi Valérie. Appelez-moi Franck, je crois qu'après cette soirée on peut se le permettre...

- D'accord Franck!

- Et que diriez-vous de passer visiter le nouveau bureau de Marc?

- Un nouveau bureau! Merci M. Leroy!

- Après tout, il a mérité cette promotion au sein de notre entreprise.

- J'en serais flattée!

Avec ça, le directeur quitte, laissant au couple le soin de fermer la porte. Sur laquelle Marc plaque Valérie et l'embrasse longtemps. Cela faisait des jours qu'il ne l'a pas vue. Il la retourne, face à la porte vitrée, s'appuyant fermement sur sa conjointe. Grand amoureux, elle lui a manqué profondément.

- Marc, mais tu reviens de l'avion...

- Je m'excuse, j'aurais voulu arriver plus tôt.

- Ce n'est pas ça...

- Tu sais, tu as su m'attendre et t'occuper ici. Moi, j'étais dans un taxi. J'ai désespérément besoin de te sentir contre moi.

Valérie hésite, elle vient de faire l'amour avec son patron. Mais, elle ne peut refuser sans qu'il ne se doute de quelque chose. Et puis, sa robe est déjà au sol et Marc triture son clito...

- J'aime ça quand tu t'habilles sans tes sous-vêtements. Surtout quand on a un invité comme mon patron.

Il lui bécote la peau du cou tendrement et se frotte contre les fesses. Valérie sent bien le sexe de Marc durcir contre son cul retroussé. Les sons de la fermeture éclair et de la boucle de sa ceinture ouverte laissent présager de bons moments. Marc laisse tomber ses pantalons et ses boxers au plancher, fin prêt à reprendre possession du con de sa femme. Il la fait se pencher par en avant; Valérie se maintient les mains appuyées au cadre de la porte, les jambes espacées. Elle aussi est prête à accueillir son futur époux. Quand Marc pose ses mains sur sa croupe, elle se retourne et le fusille d'un de ces regards sensuels. Il guide son membre vers la moule humide de Valérie, cachant son anxiété!

- T'es toute chaude mon amour.

- J'ai pensé à toi toute la semaine.

Elle a à l'orée de sa chatte de gland rouge de son copain. Marc, sans le savoir, est le deuxième à pénétrer Valérie aujourd'hui. Il pousse fort et la trique glisse sans délicatesse dans le vagin. La rousse ne cache pas son plaisir! Tout va bien pour le moment, aucun doutes chez Marc.

- Hmmm t'es déjà au fond!

- Valérie, tu es vraiment chaude. T'as vraiment aimé faire cela au téléphone...

- C'était tellement excitant d'avoir ton patron dans la maison!

Sa copine est si excitante! Elle ne porte plus que ses talons aiguilles noirs au bout de ses longues et fines jambes. Alors qu'il la pistonne contre la porte de leur maison, son collier et ses petites boucles d'oreille valsent et scintillent de mille feux. Ça ne fait pas cinq minutes que Marc la baise langoureusement qu'elle lui crie d'accélérer.

- Vas y plus fort Marc!

Ses sens ont failli sous cajoleries de Marc. Elle crie presque le nom de son patron, Francis!

- Je t'aime tellement mon amour.

C'est à deux mains qu'il lui tient les hanches. À l'instar de son patron, c'est sans protection qu'il la ramone rapidement. Marc laisse à peine sortir sa trique de la chair sulfureuse de la fiancée. Son trou brulant lui serre le pénis alors qu'il se joue de ses cris. Valérie la tropicale respire comme un ouragan sous l'effet des attaques de son copain.

Marc l'admire. Il n'a d'yeux que pour elle en regardant le miroir de l'entrée. Sa poigne sur les hanches de Valérie laisse des marques rouges et profondes. Elle aime que Marc lui donne des petites claques sur les fesses. Lui aussi, il se sent plus supérieur. La réflexion dans la glace, Valérie la voit aussi. Ses seins retombent merveilleusement sous elle. Ils s'agitent pesamment d'avant arrière. Il est certes moitié moins bien muni que M. Leroy, mais Marc sait où la stimuler.

Entre ses seins, Marc voit luire les éclats du collier de petits diamants qu'il lui a offert à Noël. Les auréoles durcies de sa grosse poitrine qui l'avait immédiatement séduit quand son ami Ben les avait présentés. C'était il y a quatre ans. Aujourd'hui, elle est sa fierté. Lui qui n'avait jamais vraiment eu de femme si belle avant.

Marc commande grâce à son pieux une splendide jeune rousse empalée sur lui. Il s'est penché pour joindre ses cheveux rebelles et en faire une tignasse. Enroulant autour de sa main les longs cheveux de Valérie, il lui chuchote des mots doux à l'oreille.

- Je t'aime mon amour.

- Moi aussi chéri.

Leur baiser dure longtemps, scellant un mensonge. Sans qu'il ne bouge davantage, Valérie ondule son derrière. Pliant ses genoux et collant ses cuisses ensemble, la jeune femme montre ses talents en contractant ses muscles pelviens. Marc frissonne de joie. Quand il veut reprendre le contrôle, Marc tire soudainement la tignasse et la plaque de tout son corps contre la porte. Il se sent puissant, enfin! Elle lui manquait tellement.

- Continue de te frotter contre moi.

Il l'a brusquée. Valérie est prisonnière entre Marc et la porte froide qui écrase ses seins. Elle est de nouveau couverte de sueur. Contre-plaquée, elle se soumet à ce petit homme. Quelques pensées vont à Francis Leroy.

Il retient sa toque improvisée et lui ordonne à nouveau de bouger son arrière train contre sa queue. Leur position, la chaleur du souffle de son copain et l'électricité dans l'air la rendent folle. Valérie s'arque boute et va à la rencontre du membre de son futur mari. Lentement, puis rapidement, Valérie se rosse contre Marc.

La fraicheur de la soirée ne réussit jamais à calmer ces deux amoureux. C'est par des coups de bélier durs et secs qu'elle cogne son cul contre les abdos de Marc. Une main aux cheveux cuivrés, l'autre sur sa croupe, Marc conforte son emprise sur la femme qui lui a tant manqué. Dans le couloir, les échos de leurs ébats résonnent.

Sentant sa jouissance monter, Marc stoppe net et tourne face à lui Valérie. Elle saute dans ses bras et son amoureux la prend par les hanches contre la porte. Ils s'embrassent à pleine bouche! Elle a la queue de Marc profondément enfouie et elle sent son gland rudoyer ses chairs.

Dans cette nouvelle position, Marc se frotte si fortement contre Valérie que son bouton magique en est sur stimulé. Pendue à son fiancé, Valérie rayonne de sensations sans cesse renouvelées en cette folle journée.

Alors que Marc pistonne Valérie tel un déchainé, Leroy est chez lui devant l'écran de son ordinateur. Devant ses yeux, les clips vidéo qu'il a capturés sur son portable le rendent amoureux, fou! Il ne s'est pas gêné pour prendre plusieurs clichés de la belle rousse en train de le sucer et de le chevaucher.

Valérie est à nouveau excitée en son sein. Une décharge se prépare, gonflée par les assauts soignés de son amoureux. Son gros gland vient exiger son dû en cognant ardemment contre sa matrice surchauffée. Ainsi prise pour une troisième fois en cette même journée, elle se sent mille fois comblée. Son fiancé sera le deuxième homme à la faire trembler en quelques heures.

Marc se démène comme un diable. Sa fougue a redoublée durant les dernières minutes et Valérie crie ses émotions dans toute la maison. Son voyage d'une semaine, son abstinence d'une semaine peut enfin se terminer dans le corps magnifique de sa jeune femme.

Entre ses mains, il tient la femme la plus fantastique qu'il ait connu. Lui la pénètre, elle lui serre si jouissivement la queue. Les joues rougies de Valérie montrent leurs efforts et leur passion commune. Elle aime être ainsi prise contre la porte vitrée, sachant que les voisins d'en face peuvent percevoir l'action torride des deux silhouettes.

- J'avais tellement envie de toi.

- Moi aussi mon amour. Je n'ai pas cessé de penser à toi.

- À l'hôtel, il y avait cette chambre qui donnait sur la mer, comme celle de notre voyage de noces.

- Ah oui Marc!

- Tu verras qu'au lieu de te prendre ici, tu seras dans mes bras sur le lit, dans le vent chaud portant le son des vagues.

- J'ai tellement hâte.

- On regardera tous les deux le soleil se coucher sur l'océan.

- Raconte...

- Je t'aurais enlevé ton bikini et tu danserais avec ton corps tout bronzé.

- Tu me prendrais comment?

-Dans le lit, face au large en cuiller.

- Amène moi en haut.

Soulevée par les bras de Marc, il transporte sa princesse dans leur chambre nuptiale. Sans réellement être sorti de la belle rousse, il la dépose délicatement sur le bord du lit conjugal. Les draps en bataille passent inaperçus et il ne se doute pas qu'elle l'a trompé ni qu'elle était déjà souillée. Ses cuisses charnelles et ruisselantes l'attirent comme jamais, elle n'a d'yeux que pour cet homme devant elle. L'étincelle dans ses yeux lui rappelle leur première fois dans son modeste logement.

- Tu te souviens chez moi, l'après-midi avec le lunch?

-J'aimerais revivre cette journée mille fois encore. Mon cœur battait si fort! Je ne me souviens pas comment j'ai trouvé les mots pour te dire que je t'aimais.

- Tu l'as fait et on ne s'est plus jamais quitté depuis.

- La vie est si douce avec toi Valérie.

- J'ai envie de la passer avec toi.

C'est en se penchant sur elle qu'il rentra, gracile, dans sa fiancé. Leur poitrine battant à l'unisson. Ses ondulations la bercent, la font vaciller de l'allégresse à la frénésie. Marc caresse si tendrement la déesse sous lui, le tempo de son roulis la secouait à peine. À la différence de tout à l'heure, la chaleur émanant d'eux est providentielle et sereine. Un profond amour exulte de leur harmonieuse union nocturne.

Ses courbes épousent la cadence donnée par son amant légitime. L'intimité permet un abandon que Valérie avait difficilement accepté. Secrètement, c'est ce qu'elle cherchait depuis toujours et ses écarts réguliers lui faisaient si mal ce soir. Elle se sent obligé d'en rajouter pour se rassurer elle-même.

- Je t'aime Marc.

- Dis-moi pourquoi tu pleures.

- C'est que... je t'ai... Je t'ai Marc... Tu m'aimes tellement fort.

- Toi aussi chérie tu m'aimes, je le sens tout le temps.

- Mais...

- Tes messages, tes petites attentions. Ça fait presque quatre ans qu'on est ensemble et ce que tu me donnes vaut mille fois ce que je ne te donnerai jamais.

- Tu es la femme de mes rêves! Arrête de pleurer. Je te connais tellement souriante.

Sur ce, Marc l'embrassa amoureusement.

- C'est juste au lit que je trouve que tu pourrais t'améliorer. Ce n'est pas si extraordinaire que ça.

-Va te faire foutre mon gros minet!

L'action reprit au sein du couple infidèle sous le clair de Lune.

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2 Commentaires
CocuforeverCocuforeveril y a plus de 9 ans
Va -t-elle lui avouer?

Savoureux, excitant et puissamment bandant: à consommer sans modération!!

Vivement les suites!!

AnonymousAnonymeil y a environ 10 ans
A continuer

Toujours aussi bien vos histoires.

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