Valérie - Téléphone Interdit

BÊTA PUBLIQUE

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- Tourne-toi! Je ne veux pas que tu me suces!

Valérie vire. Elle est maintenant face à la télévision et accoudée sur la table à café. Leroy s'agenouille aussi derrière elle et le téléphone toujours à l'oreille et s'appuie sur le corps de la jeune femme. Il étend la copine, à moitié nue, de son employé pour qu'elle repose complètement sur la table du salon. Il adore la levrette!

Le défiant patron s'approche de plus en plus de la mire de la rouquine, penchée et sexy avec sa fine robe noire ramenée à la taille. M. Leroy s'extasie de voir la réflexion des seins blancs suspendus sous la silhouette de Valérie. Elle porte encore ses talons aiguilles noirs, enfilés au bout de ses fines jambes ivoirines et élancées. L'image de la luxure illumine toute la pièce. Ses cheveux rebelles montrent encore plus son côté animal.

- Vas-tu me pénétrer!

Le patron dépose le combiné sur la table et appuie sur speaker. Le bruit du trafic autour de Marc cracha hors du téléphona.

- Oh! pervers!

À peine a-t-il positionné d'une main son gland, rouge d'envie, vis-à-vis les lèvres suintantes de Valérie qu'il foudroie sa conquête d'une entrée rapide et totale!

- OHHHhhhhhhhh

C'est si bon d'être de retour dans son fourreau. Il ne recule pas pour la baisser tel un pic-bois. Non, Monsieur Leroy faisait à présent des cercles avec son axe. Son ventre dodu est accolé aux fesses de Valérie. Il joue avec son immense trique en fouillant de droite à gauche la moule de sa jeune maitresse.

La pression du patron contre les parois de sa matrice fait effet. Valérie roucoule quand il frotte contre son point G. Malgré l'épaisseur de son ventre, le boss atteint des zones hautement plaisantes. Bien appuyé sur sa chérubine, le sous-marin du patron explore les abysses de Valérie. Son sonar de gland sonde profondément et avec acharnement, émettant les plus foudroyants influx nerveux libidineux.

Marc, à l'autre bout du fil, ne saisit pas vraiment ce qu'il entendait. Parfois un grognement, bizarre, car il lui semblait que Valérie est de retour avec son patron. D'autres fois, les voix de Valérie et de Leroy? Où est-ce la télévision? Jamais il ne se serait douté que Francis Leroy promenait ses mains sous le tissu du déshabillé de sa fiancée pour la saisir fermement à la taille et la pieutée comme pas un.

Cette taille mince s'élargit vers des hanches et un cul rêvé. Que dire de ces cuisses, en chaires et si actives, entre lesquelles il s'immisce? Tant de sources d'envies, il ne lui reste plus qu'à étudier la poitrine de la femme de son employé. Valérie est maintenant prisonnière entre ses paumes qui l'assujettissent au membre dense du vénérable directeur.

- Arrête les douceurs Frank... mets le paquet!

Et avec ça, il recule pour sortir de la chaude Valérie pour... BANG! Rentrer dedans à nouveau.

- HAaaaaaaa!

- Ça va chérie!?

- Mhhhhh oui... je me suis cognée...

- C'est étrange notre conversation —

- Ouch! uhhhh!

- Encore?

- Non, ce n'est que mon petit orteil qui est douloureux.

Il s'agrippe férocement à ses hanches et assaille la belle rousse. Elle demande à être sautée, il la baise! Son cul frémit contre son sexe et la table à café se met à branler sous ses charges. Valérie lui rend chacune de ses poussées avec autant de ferveur, empalant rêche son sexe étroit sur celui, costaud, du patron. Il est bien content de la tenir contre lui par les hanches tellement elle vient cogner fortement sa moule contre son pieu. Elle aurait pu facilement le faire chavirer. Alors que le soleil se couche sur le pays, les deux amants s'embrassent.

Le couple fortuit porte peu d'attention aux paroles de Marc. Toujours au bout du fil, il parle de l'augmentation et du bonus qu'il obtiendrait. Le silence de son patron lui semble être celui de l'intérêt et du calcul de n'importe quel gestionnaire. Avant de remettre sur mute, M. Leroy laissa entendre à Marc une hausse de 7 %. Valérie doit vraiment bien s'occuper de lui!

Quant à Francis Leroy, il est d'opinion que Marc aurait pu doubler ou tripler son salaire ce soir. Mais, le fiancé de Valérie n'a pas idée de toute la reconnaissance qu'il a envers lui et Valérie. Quelle soirée merveilleuse! Mais Marc n'en saura jamais rien et n'en aura aucun doute! C'est le regard béat et consentant de Valérie qui l'en assurait. Elle est sienne.

Alors que son fiancé parle toujours, Valérie smashe son petit corps contre celui du patron, faisant rapidement glisser en elle la pleine verge de Francis. Profondément, la pointe de l'employeur électrise la substance merveilleuse de la rousse.

Tant que le bouton noir est pressé, Marc ne peut entendre les cris des deux amants. Quand il perçoit quelques sons, il croit que c'est la télévision à travers le vacarme de la circulation automobile. Les grincements de la petite table à café ou les gémissements de sa fiancée, pénétrée, ne lui parviennent pas clairement.

Entre les mains du directeur, la peau chaude de Valérie est couverte de rosée, mais bien moins que sa chatte rougie. Ses paroles crues demandent toujours plus de l'homme, les quarante dernières minutes sont passées en un coup de vent pour Valérie.

Le haut parleur du sans-fil émet encore la voix de Marc parsemée de quelques moments de silence. Pauvre gars... pense Leroy alors qu'il s'enfonce une fois de plus entre les cuisses tendres de la fiancée de son employé. S'il savait écouter, il aurait criée ou raccroché depuis longtemps. Valérie n'est plus du tout silencieuse et cela ne fait qu'augmenter!

- Hmmmmm Plus encore! hm! hm! hm! hm!

Ses seins balancent l'un contre l'autre et cognent parfois sur la table. Tantôt elle s'appuit sur celle-ci et le verre froid la fait frémir. Dans ces cas-là, on voit à travers la vitre les auréoles empourprées s'aplatir joliment. Quelques fois, elle en prend un sein et le froisse délicieusement. La voir ainsi émoustille l'employeur qui les a eus dans le visage peu de temps avant. Les tétons raides rouges, comme le côté de sa cuisse droite où Leroy donne plusieurs fois de la paume.

- Aye! uh! uh! uh! uh! Aye!

- T'aimes ça hein!

- Oui!

- Je t'adore aussi, moi aussi Valérie.

Alors, au lieu de rester simplement derrière son trophée, Francis se penche au dessus de Valérie. L'angle très scientifique de pénétration change et inonde la jeune femme de nouvelles sensations. Se guidant par sa réflexion dans l'écran de tv, le patron prend possession des seins dans le creux de ses mains.

- Allez! Parle à mon employé.

Une petite gêne anormale accapare le cœur de Valérie. Avoir immédiatement le corps du boss au cul, son fiancé au téléphone et une queue prodigieusement longue et épaisse dans son fondement la tourmente un peu.

- Fais-le, insista-t-il en accélérant la cadence.

- Hfmmm oui! Oh oui!

Leroy continue de jouer de son bassin pour l'imprégner à tout jamais de ce souvenir endiablé. Il sonde avec sa verge la trame de Valérie. Elle a les yeux clos et le visage masqué de plaisir. Refermant ses doigts fortement contre la peau lisse et rose des seins, il lui intime de nouveau de parler.

- Oui... Marc! ugh... Ton patron me...

- Dis-le!

Il serre ses mamelons et pénètre violemment en elle pour la convaincre. Cela suffit à la convaincre.

- Mppffff! Monsieur Leroy me BAISE!! Je me fais saute par TON patron!

Elle entend quelques bruits venant du taxi, mais ce qui excite son ouïe est surtout la respiration frénétique de Francis Leroy. Contre sa tête est placée celle de son amant âgé qui y va de ses plus belles estocades.

- Ce n'est pas tout Valérie...

Alors qu'il se faufile une énième fois dans sa gaine animée, il lui comprime les seins l'un contre l'autre, la peau si sensible devient blanche entre les doigts. Sous lui Valérie a la tête couchée, étampée, contre la table et les bras allongés aux coins pour s'y maintenir. Le cœur des deux chauds lapins bond dans tous les sens.

- Ça faisait humf tellement longtemps que — ouuuuuh! Je n'avais pas été baisée comme ça! Oui Oui Oui Oui Oui

Leroy sourit et relâche les seins, sans diminuer les attaques de son membre lourdaud. Les gémissements féminins emplissent le salon, occasionnellement entrecoupés par une phrase de Marc.

- Quel idiot, pensa le patron.

Les cris rendent compte de l'énergie du quinquagénaire. Le maitre sent son orgasme poindre, ce ne serait pas très long. Cela fait une heure qu'il partage son plaisir avec Valérie. Il se complait:

- Mlle Montarville...

- Umm — iii! Oui mon gros loup.

- Valérie! J'vais venir dans ta moule...

- Ahhhh!

- Plus loin — plus creux que Marc ne pourra jamais le faire! Je vais te tartiner les ovaires.

- Ohhh!

Le directeur masse une dernière fois les gros seins blancs et s'époumone en augmentant le rythme. Il perd l'équilibre un court instant, mais il continue de pilonner Valérie. Puis, il change d'avis et s'avance chercher une poignée de la tignasse rousse. Plus du tout gentil, le patron cogne sans vergogne son ventre contre le cul rebondi de la femme. C'est un animal.

- Plus fort! Oui! Plus fort Monsieur Leroy! OUI!

Tirant les cheveux cuivre, Leroy gronde à présent. Valérie se retient à la table pour ne pas être arrachée par le patron. Le visage écarlate, sa médication contre les crises cardiaques se doit de faire effet car son vieux cœur bat si rapidement. Même si la pensée ne lui traversa pas l'esprit, il aurait pu décédé de la plus belle mort possible : en jouissant en Valérie. Sur l'écran de télévision, il voyait du coin de l'œil l'arc torturé des nichons virevolter sous ses assauts car elle est recourbée et renversée vers lui.

- Venez! hmmmmffff en moi! Oh Mon Dieu!

L'entendant dire ces mots, toute la situation, sentir son long membre glisser à répétition dans le ventre fin et coulissant de Valérie rend ses bourses dures et elles se libérèrent d'un coup. Il jouit finalement dans la belle et jeune femme rousse de son subalterne après avoir attendu si longtemps. Tirant à nouveau les cheveux de Valérie, elle crie.

- Tu vas bientôt jouir?

- Mouiiouioui

- Tu veux que je vienne?

- OUI!

- Baise-moi!

Maintenant sur les coudes, la poitrine ondulante et les jointures blanchies par l'extase, Valérie halète, le visage en direction du ciel. Le patron peine à investir les quelques secondes de plus. Il laboure la déesse clouée à sa queue depuis si longtemps. Il ferre plus fort encore la toison rubis et fait se relever sur les mains la jeune. Ils accrochent le téléphone qui tombe sur le tapis. L'image est saisissante dans le reflet de la télé : un corps uni par deux extrémités, l'un dans l'autre; aux seins battants le pavillon de l'euphorie. Le directeur bute une dernière fois son sexe faste dans la chatte serrée de Valérie.

- Je ne t'entends plus Valérie, ça va?

- Oh mon Dieu, trembla-t-elle.

- C'est ça bébé! Tu vas me sentir venir!

Arrachant ses dernières forces d'on ne sait où, il ramene par les cheveux Valérie contre lui, la soulevant et agrippant un sein de sa poitrine dévêtue.

- Uhhhh Ouuuuuuuiiiiiiii! Ohhhhhhh

Le choc d'être ainsi prise est tel qu'elle ne sent pas immédiatement le boss venir, lui aussi. Leroy se déleste de sa charge par à-coups dans la mince fente de Valérie.

- Oh oh ohhhhh!

Valérie exulte à mi-mot son extase pendant que derrière elle, le gros patron gicle des cuillerées blanches entre ses cuisses mesquines. La verge de Francis continue de se vider dans les abysses sexués et embrasés. Autour de son pieu et entre ses bras, le patron sent le corps de la jeune fiancée se convulser et s'ébranler de remous orgasmiques. Dans sa paume, un téton risquait d'éclater tant il est gonflé de jouissance. Contre son visage, Francis Leroy a celui de la femme sidérée qui conserve une bouche aux lèvres mi-closes.

- Putain...

Vacillant lui aussi, M. Leroy descend ses doigts au niveau du bas ventre surchauffé, accrochant au passage l'anneau d'or au nombril, cadeau de Marc. Le président conserverait pour toujours son sexe dans celui de la tendre rouquine. Il y jetterait son ancre en tout temps, sachant très bien qu'il a la capacité d'atteindre toute profondeur possible chez Valérie.

- ...

Valérie, elle, reprend ses esprits. Tout semble si éclaté. Quelle idée que d'avoir été baisée par le patron de son copain au téléphone. WOW!

- Hmmm t'es encore en moi...

- Incroyable... murmura-t-il tandis qu'il remue deux doigts près de leur sexe. Le sien s'essouffle et est détrempé par les sucs de la jeune femme.

À travers le boucan, Marc entend clairement le nom de Valérie à plusieurs reprises et de plusieurs intonations différentes. Se doutait-il que sa douce copine est pinée par le président de sa compagnie? C'est étrange comme appel téléphonique, le jet-lag doit faire son effet aussi pensa-t-il.

La levrette est terminée. Assise et fichée sur Frank Leroy qui lui caresse agréablement certaines parties du corps, Valérie ressasse les évènements de la soirée, la tête sur l'épaule du patron. Au mur, les photos d'elle et de Marc rappellent au directeur l'exploit qu'il vient d'accomplir alors que sur sa queue, la fine rousse laisse s'apaiser les dernières exaltations de jouissance.

- Mlle Montarville, vous vous êtes si bien occupée de moi!

- Monsieur Leroy, vous m'avez si bien occupé!

Elle reprend le téléphone pour interrompre son copain.

- Marc, j'ai si hâte de te revoir... Quand arrives-tu?

- Moi aussi mon amour. Je serai là dans moins de trente minutes.

- Hmm... dans une demi-heure... Les travaux t'ont tant retardé. Monsieur Leroy t'attend depuis si longtemps.

- Ne t'inquiète pas, je vous appellerai une fois sortie des voies rapides. C'est difficile avec mon patron?

- C'est un homme dur, tu sais. Tu appelleras avant?

- Bien sûr Valérie. Assure-toi qu'il reste, je veux m'assurer de conserver cette augmentation.

- Je t'attends. Je crois que tu l'auras, j'ai confiance en toi.

Sur ce, les deux se disent au revoir tendrement, Valérie cachant le mieux du monde ses arrières pensés, pour la suite des choses. Cachant surtout ce qu'elle avait en son ventre.

- Allez, venez! dit-elle en tirant par le bras Francis vers la chambre du couple.

Vingt minutes suffirent pour le dernier tiers de ce match frivole. Le patron a ce regard des jeunes hommes devant un top-modèle nu qui s'offrent à eux. Valérie est une femme de ce calibre.

Les deux amants sont dévêtus alors qu'elle le guide au pied du lit en fer forgé. Valérie le tourne dos au lit et le pousse. Ainsi couché, il a un panorama magnifique et il se faufile jusqu'à la tête du lit, entouré par les taies d'oreiller au parfum de rose.

Valérie Montarville avance à califourchon sur le très grand lit. Ses seins d'ange sont suspendus et à portée de main. Leroy ne se gêne pas! Il admire non seulement ses généreux attributs mais aussi taille de guêpe et ses magnifiques yeux bleus.

Autour d'eux, les feuilles de vigne de l'enceinte du lit portent les marques des coups de griffes des menottes du couple Montarville. La douceur du contact des doigts du patron sur sa peau ravive le flirt des deux amants. Être entièrement nue est un soulagement : plus aucun artifice n'est nécessaire à leur tango horizontal.

L'administrateur se délecte de la tigresse au-dessus de lui. La féline Valérie pose ses genoux de chaque côté des hanches du mâle. Sa fente magique est située juste au niveau du sexe raide.

- Viens t'empaler sur moi.

Elle allonge une main entre ses cuisses pour venir chercher le membre raide de Leroy. Sans déculotter le gland du boss, Valérie abaisse ses hanches et prend d'un coup toute la longueur du sexe épais. Elle s'empresse à savourer en son ventre les textures et formes gigantesques de pénis puissant

- Ohhhhh!

Le courant électrique repart dans tous les sens. La sensation dans sa panse fait l'effet d'un bombardement jouissif!

- Merde c'est bon!

- Ça va être la cavale!

Son copain est à quelques minutes d'arriver en taxi et Valérie n'y pense plus du tout : ses hanches swinguent d'avant d'arrière contre le bas-ventre du directeur. À l'intérieur de la maison, les rugissements de la rouquine se renvoient constamment des échos. Elle qui avait dû se restreindre au téléphone. Toute son énergie se focalise maintenant sur la chair masculine en elle.

- Oh putain!

Leroy, couché, regarde la bombe rousse se griser et il lui imprime d'une main aux hanches un rythme endiablé. Avec l'autre paume, il se la coule douce en froissant le sein droit, maintenant devenu rouge comme son mamelon. Larges et charnels et juteux, ils semblent le fixer malgré le baladi de Valérie.

La jeune femme crie combien c'est bon, combien c'est meilleur qu'avec Marc, combien elle veut que M. Leroy vienne en elle une troisième fois. Lui, il ne comprend comment tout cela est arrivé. Carpe diem!

Sa verge est aussi solide et fière que jamais. Valérie lui laisse sentir les moindres replis de ses parois intimes. Sa danse du cul, sa poitrine splendide et sa chevelure de plus en plus en bataille mettent au défi le plus tenace des clichés. Cette femme est si étroite, si sexuée; Franck Leroy se doit de se la taper à nouveau à son bureau. Jamais deux sans trois, dit-on.

- Hmmm!

L'idée de baiser ce diamant, fiancée de son propre employé. Héhéhé! Se faire monter par la copine de son subalterne dans son propre lit conjugal. WOW! Tout cela est suffisant pour remettre l'addition. Le président savoure chaque seconde, chaque bond de Valérie sur son pénis gommé par leurs sucs mutuels. Le lit gronde sous l'inépuisable Valérie et son étalon.

Valérie fait quelque chose qui le fait presque jouir. La rousse arque son dos, propulsant ses seins joufflus aussi loin que possible. Elle place ses mains dernières sur les jambes du directeur de son conjoint pour se supporter et jette sa tête vers l'arrière, fouettant ses cheveux dans la lumière tamisée de la chambre à coucher.

Oh! Comme il la foudroyait! Oh! Comme elle le chevauchait rapidement!

C'est la vue nouvelle de sa poitrine abondante et branlante qui fait chavirer le corps de Leroy. Complètement nue, il voit ses mamelons durcis de plaisir et défier la gravité à chaque instant de la cavalcade de Valérie.

Il sait qu'il était proche du gouffre de l'extase. Il ne peut se retenir plus longtemps. Pas en regardant les seins de Valérie! Délaissant le bassin de sa maitresse, il prend possession manu militari de sa poitrine luxuriante, triturant cette chair si sensuelle. L'unique réponse de la cowgirl est un long râle et un sourire extatique.

Elle se pousse plus en avant, comprimant davantage ses tétons dans les mains du quinquagénaire. Son regard perçant aurait pu effrayer n'importe quel autre homme. Pas Leroy, expert dans les liaisons fougueuses avec femmes de toute origine. C'est tellement différent lorsqu'elle était avec Marc. C'était torride, mais c'était du connu.

- Si... bon!

- J'ai la promotion!

- Je continue les paiements!

- Sur demande seulement... mais je peux considérer le travail sur place...

- Ouais, je vais t'engager comme secrétaire personnelle.

- Tu veux que je te suce quand tu seras au téléphone?

- Tu me feras une pipe quand je donnerai des ordres à ton fiancé!

Prenant une dernière fois les melons de Valérie, Leroy poursuit et la saisit à la taille et amène son visage contre le sien. Posant ses lèvres aux siennes, il insère sa langue dans la jeune femme. Sa poitrine vient à la rencontre de ses pectoraux, reposant ses seins contre un corps chaud et viril. Elle remue toujours son cul ne laissant qu'une petite partie de la queue du patron ressortir. Le baiser dure et Leroy glisse ses mains le long des flancs de la rouquine étendue sur lui. Son propre bassin imprime des vagues contre la moule de la jeune femme.

Passant une main dans la ravissante chevelure, Leroy roule la rousse sur le dos et la surmonte à présent. Brisant le baiser, il fixe les yeux bleus de son audacieuse déesse. Sa verge se fraie un passage rapidement, ne stoppant qu'à la rencontre du tréfonds de Valérie. Le patron voit les effets d'empaler complètement toute la longueur de sa verge dans le corps si fin de la copine de son employé. Plus il la pénètre, plus elle réagit bruyamment, criant à tue-tête, son visage contorsionné. Plus il plonge fortement, plus Valérie est envahie de sensation d'ivresse.