Valérie - Téléphone Interdit

BÊTA PUBLIQUE

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- Je te repasse ton directeur, il si charmant avec moi aujourd'hui.

- Ça me rassure, j'avais peur que vous ne vous entendiez pas bien.

Elle frictionne le sexe de Francis tout ce temps et le patron sent qu'il ne pourrait rester de marbre beaucoup plus longtemps. Il ferme ses yeux et son corps se contracta sur le sofa.

- Ta copine est vraiment bonne! Ouf! Elle manie les pinceaux à merveille. Les gros surtout!

Sa bouche contient une bonne partie du membre imposant. Valérie suce le large gland qui lui remplit tout le gosier jusqu'à en dépasser la luette. Quand sa queue est fourrée profondément, il éloigne le combiné :

- Oh merde que tu suces bien!

Valérie est encore plus excitée. Elle se laisse aller le long du pôle, sa gueule avale toute la longueur du membre. Il l'aide à se délecter en forçant un peu : ses mains poussent contre ses cheveux roux pêlemêles.

Elle sait qu'elle peut conserver tout son long en elle; c'est ce qu'elle avait fait la semaine dernière dans la noirceur de son bureau. En ce moment, Marc est sourd aux succions de sa copine sur la queue de son employeur. La respiration difficile, elle remonte et redescend jusqu'à avoir le nez et les lèvres mouillées collés sur le ventre du patron. Leroy n'en peut plus, surtout qu'elle lui masse les couilles.

Pensant qu'il allait jouir, le patron cria :

- Oh merde!

- Qu'est-ce qu'il y a monsieur?

- Oh... Oh rien Marc. J'ai failli l'échappée!

- Comment?

- Euh... une bouchée trop chaude.

Ma semence dans la fine bouche de ta fiancée, pensa vraiment son patron. Plaçant ses mains douces sur les larges hanches de l'homme, Valérie continue à s'élever et à s'administrer le nouvel onguent. Non seulement sa salive coule le long de la queue, mais Francis exulte sa pré semence transparente et plus veloutée encore.

Les gloussements de satisfaction dont remarqués par le supérieur, surtout qu'ils sont accompagnés par les frétillements incessants de la langue de Valérie. La rouquine a les yeux fermés à cause de l'étirement subi par sa mâchoire. Son visage rougit et le Patron est satisfait de la voir manquer de souffle. Ses petites narines ne soutiennent plus le rythme de ses efforts de succion sur le colosse. Il est victorieux.

- Je suis vraiment choyé ici. Les amuse-gueules de Valérie sont dé-li-cieux!

- Je n'en doute pas. Ils sont à quoi?

- C'est quoi votre recette?

Sa réponse est un râle. Elle est trop occupée, il ne faudrait surtout pas la déranger, une erreur qui ferait souffrir M. Leroy.

- Ils sont à une sorte de crème... j'imagine. Elle ne peut pas te répondre Marc parce qu'elle en mange un très en ce moment même.

Elle se caresse entre les cuisses et attend anxieusement le moment où Francis Leroy pénètrerait férocement. En effet, le temps commencerait bientôt à manquer, l'arrivée de Marc pourrait être imminente. Valérie accélère, suce l'homme avec autant de joie et d'énergie qu'elle lui fait de l'effet.

Sa tête semble rebondir sur le pieu et elle est déterminée à le faire venir dès maintenant. Dans sa gorge, quand son gland bute contre le fond de celle-ci, mille feux excitent Leroy. Elle est prête à tout avaler.

- MMmmmmmmmm Mmmmmmm

- Ta copine prend vraiment bien soin de moi. Uhg! Je pourrais même considérer une augmentation de salaire.

- Quoi patron? Mais cela serait magnifique!

- Oui — un bonus parce qu... hmmmm... parce que tu viens de faire signer ce contrat.

- Vraiment monsieur? Je vous implore de dire oui!

Il place sa main à l'arrière de la tête de la ravissante femme et rythme sa progression sur son engin. Le patron la regarde dans les yeux, ses lèvres tout étirées autour de son membre luisant. Valérie aurait voulu lui sourire, mais elle a les traits trop étirés et la langue coincée contre la chaire brulante de M. Leroy. Son regard laissait deviner ses nouveaux sentiments.

Francis Leroy est déjà satisfait de la session de sexe qu'ils avaient eu au travail. Là, elle est de nouveau sienne. Maintenant, elle est à moitié nue, suçant sa trique et il a à l'oreille son employé innocent. Comme tout patron, il s'apprête à demander davantage d'avantages.

La simple et minimaliste robe à cocktail que Valérie porte rend l'image encore plus torride. Il voit parfaitement les seins bouger sous son joli minois et venir se frotter contre l'intérieur de ses cuisses. L'une des bretelles de la robe a glissé au bas de l'épaule de la belle suite aux furieux assauts sur la verge du directeur. Elle gémit sensuellement et respire charnellement, l'extase du patron est proche, son gland lui donne le tournis.

- Elle semble beaucoup apprécier sa bouffe. Je regarde dans la cuisine et elle manie les casseroles avec doigté.

Il garde sa voix neutre et stable malgré les émotions que Valérie lui procure. Sa nouvelle conquête, agenouillée, d'une beauté inouïe continue son travail sur son pénis raide et obèse, pour une fois : une qualité. Quand elle le fait entrer jusque dans sa gorge, tout son corps veut exploser. Mais, il réussit à faire monter la pression encore plus et à attendre quelques minutes supplémentaires.

- Qu'est-ce qu'elle prépare?

- Quelque chose avec de la saucisse dedans.

- Il faut qu'elle se garde de la place, nous devons aller au resto...

- C'est chaud... et bientôt ce sera imbibé de sauce. Hmmm! Ça sent bon! Elle doit vraiment aimer ce qu'elle dresse parce qu'elle en mange en ce moment.

- Hmmmmmfffff!

C'était si érotique d'avoir M. Leroy d'écrire sa pipe à son copain.

- Elle aime les plats de viande rouge, répondit Marc

Il ne se doute pas le moindrement qu'elle a celle de son président en bouche. Ni qu'ils se jouent de lui.

- Oui, on dirait qu'elle en... bave de celle-ci! Ça doit être la plus grosse qu'elle jamais trouvé chez le boucher. Un peu piquant n'est-ce pas?

- Oh chéri! Elles sont tellement bonnes les saucisses que j'ai achetées. Il faudra que je repasse en acheter d'autres.

Et elle reprend sa pipe, lichant goulument la hampe du bas vers le haut pour se l'enfiler entre les lèvres rosées. Francis ne peut en supporter plus; ce traitement de faveur est d'une telle intensité. Elle va le faire jouir dans les prochaines secondes!

- Dis donc Marc, reparle-moi de ce contrat.

Puis, il activa le bouton muet du téléphone et le laisse tomber sur le sofa. Valérie fut prise solidement à la tête.

- Je vais venir dans ta petite et fine bouche Valérie!

Elle suce plus fort, les bruits sont sans équivoque.

- Après, je vais te sauter pendant que tu parleras à Marc.

- Hmmmhmmm

- C'est trèèèèèèèès bien!

La chaude langue glisse contre sa queue. Ses lèvres moites enrobent sa verge jusqu'à la base. Ses yeux restent fixés aux siens qui vont entre le visage tordu aux yeux bleus de Valérie et puis à ses seins quasiment sortis de sa robe. M. Leroy sent ses burnes se contracter, prêtes à gicler dans la rousse.

Quand il sent le fond de sa gorge, il appuie un peu trop violemment sur la tête de Valérie et son gland cogne par delà la luette de la jeune femme. Le cri et le souffle furent étouffés en une contraction de sa chaude gorge autour de la large queue. C'en est trop pour le patron qui vient.

- OOOOOOOHHHHHHH!

Sa queue explose, libérant son liquide laiteux directement dans la gorge et le pharynx de la jeune femme. Quelle pièce de viande qu'elle vient de sucer! Une laitance ruissèle en elle. Valérie avale chaque gorgée, chaque goutte de Monsieur Francis Leroy.

- Ohhhh la lala! T'es vraiment bonne!

Le goût âpre de Leroy lui reste en bouche comme les compliments de tous ceux qu'elle a déjà sucés. C'est une habitude chez elle de ne pas laisser de traces. C'est à regret qu'elle laissa retomber la queue du patron de son copain. Sa mâchoire est un peu engourdie par la grandeur de la batte qu'elle vient d'astiquer. Elle se sent très excitée de tromper Marc une seconde froid.

- Ouff! Tout qu'une giclée!

- T'es super excitante!

- Qu'est-ce qu'il dit?

- Hein? Oh, je l'avais oublié.

Marc continue de décrire la réunion du matin pour la deuxième foi. Il ne veut pas rappeler à son supérieur qu'il lui avait déjà tout expliqué en détail, de peur de sa réaction. Il veut cette augmentation à tout prix pour faire plaisir à Valérie.

Quant à sa fiancée, elle trouve son string sous sa robe et le jeta au sol. Ses mèches rousses sont rebelles et elle se liche les babines en savourant la saveur Leroy.

- Je ne veux pas que tu me baises. Je vais te chevaucher pendant que je parle à Marc!

L'une ou l'autre des possibilités font plaisir à M. Leroy. Elle s'avance et pose ses genoux de part et d'autre de Francis. Le bas de sa robe est remonté le long de ses cuisses et le patron y passe ses mains, caressant la jeune femme. Valérie colle son ventre à celui plus grassouillet du directeur. Juste sous son nez, le corsage de la rousse se trémousse et il étire la langue pour le traiter gentiment titillant et en la chatouillant avec son nez. Valérie sent le parfum de l'extase.

- Je serai ta cowgirl!

Une si belle femme! Leroy lui a remis le combiné et déplace délicatement les deux franges noires des épaules de la fiancée. Le tissu de la robe descend par à-coups et s'arrête, comme un alpiniste suspendu à son rocher, au milieu des seins de la femme. La robe pend tu bout des tétons hérissés.

- Allo chéri! J'ai fini de manger, c'était délicieux. Je m'assois et on continue de discuter.

Avec ça, elle s'empala sur la queue colossale du patron!

- OOOOOOHHHHHHHH

La grosse queue défriche sa chatte mouillée et s'installe profondément en elle. Valérie ne peut croire la force qu'elle chevauche. En plus, elle baise le supérieur de son copain qui est à l'autre bout du fil. Les yeux plissés par la violence du choc, Francis est en état de grâce. Elle est lâché le téléphone et reste saisie, immobilisée, par la force d'occupation en elle, comme si la queue du patron pouvait ressortir par le nombril!

- Uuuuggggghhhhhhh!

Puis, elle réalise qu'elle a perdu le combiné, Marc est inquiet.

- VALÉRIE! Qu'est-ce qui se passe??!!!

- Euuuu!? Je vais bien... Hmmm Ouch! Je me suis assise sur une fourche-ette.

Elle était fourrée jusqu'à la garde, la moule très dilatée par la verge de monsieur Leroy.

- Comment? Es-tu blessée, tu a crié?

- Non... ça va maintenant.

La douleur diminue vraiment.

- Ça m'a surpris plus qu'autre chose.

La surprise et les petites douleurs font place au plaisir. Le directeur remue sa queue en elle, il vient de faire une nouvelle acquisition. Il a renforcé sa mainmise sur cette jeune rouquine, qui lui était peut-être déjà acquise l'autre soir.

- Faudra que tu fasses plus attention, dit Marc, pensant savoir ce qui se tramait.

- C'est gentil de penser à moi chéri. Je t'aime.

Valérie ondule ses propres hanches sur la verge de Francis, envoyant des éclairs d'électricité à sa chatte tout étirée.

- Tu m'attends un instant?

Elle coupe le son.

- Monsieur Leroy. Je vais vous baiser Francis, ici même en parlant à Marc. Vous ne pensez pas qu'une augmentation serait bienvenue?

Valérie masse la queue du directeur, contractant ses muscles intimes, elle influence positivement la réponse. Ses amies enceintes lui avaient part de leur ami Kegle. Sa mince chatte fait des charmes.

- Je vais vous sauter si fort que vous allez venir dans ma petite chatte, pendant que Marc reste au bout du fil.

- Oh oui! J'accepte toute condition!

Elle continue de bouger des hanches d'avant arrière, glissant la hampe partiellement hors de son fourreau. Le gland du patron frotte agréablement contre ses parois intimes, si sensibles et tendues.

- Où es-tu?

- Toujours dans le bouchon.

- Ohhhhh! vraiment?

Francis frétillait en elle, disséminant des frissons aux quatre points cardinaux.

- Ouais... fais chier... ça ne va pas vite en taxi.

- Nous, on t'attend dans le salon.

Valérie glisse un doigt de sa bouche à son buste et empoigne un de ses larges seins. À travers le tissu, elle serre fort sa chair ronde et pulpeuse. Sa main quitte ensuite son corsage et se repose sur ses hanches. Son dos fait une courbe en S qui fait rebondir son cul sur lequel Leroy appuie pour la baiser davantage.

- Je pensais que tu allais me sauter solide?

- Chuuttt! Chéri est au téléphone...

- Tu sais, ces taxis ne sont vraiment pas créatifs — aucune possibilité de prendre un autre chemin pour sortir de l'étranglement.

C'est plus sa chatte qui se sentait étranglée par la matraque de Leroy. Depuis quelques minutes, elle souffre le bonheur à cause du président Francis. Le lazyboy sur lequel Marc avait regardé le foot servait maintenant à Valérie et à son employeur. Il émet des craquements peu discrets. Leur tango n'est pas furieux, mais leur activité sexuelle peut exploser à tout moment.

- C'est quoi le son que j'entends?

- Bien, je ne sais pas. On dirait quelque chose qui grince.

Souriant, Valérie n'a pas réalisé qu'il a pu les entendre. Par chance, son patron n'entame pas de conversation osée. Elle le chevauche au petit trot, les muscles de ses cuisses chauffent. Ce n'est pas grave, cela en vaut la peine. En Valérie coulisse sur un membre exquis.

- Je suis dans notre... chambre mon amour. Je viens de monter à l'étage.

- Tu te caresses pendant que mon directeur est dans le living!! Il savait qu'elle aimait le risque, mais, ça, c'était au dessus de tout!

- Il est... occupé en ce moment. Humf... encore la télévision... Non il est sur son... laptop...

- Et tu veux me parler sexy!? dit-il tout bas pour que le chauffeur de taxi ne l'entende pas.

- Mouiiii....

- Seulement quelques minutes parce qu'il faut que tu retournes t'occuper de mon boss. Il ne faudrait pas que tu fasses mauvaise impression.

- Ne t'inquiète — OH! — pas Marc. Elle sent la bite de M. Leroy s'enfoncer ardemment en elle. Je te le promè—è!

Il la maintient aux hanches, l'incitant à plus de vitesse encore. Le patron ondule lui aussi du bassin pour percuter sa nouvelle conquête. Mystifiant son fiancé, Valérie continue son bal masqué. Elle se laisse pieutée par le supérieur de son copain, à son plus grand bonheur. La mascarade est des plus excitante et les trois en profite. Les grincements ne sont plus cachés et sont parfaitement audibles à Marc tant le téléphone était proche.

- Hmmmmm... tu y vas à fond chérie!

Cric-crac-cric-cric-cric

- Tu me donnes envie d'annuler le souper au resto et de te déshabiller dès mon arrivée!

Krak — krak — krak Oufff oufff Hennn

- Hmmmm! Marc! C'est comme si je te - si t'étais en moi!

Leroy ne comprend plus ce qui se passe! Il est venu faire du repérage, juste de quoi jeter un coup d'œil. Et là! Il se tape la rouquine, LA fiancée rêvée par tous les mecs de son entreprise. Cette beauté sauvage avec qui il fait férocement l'amour parle au téléphone avec son petit copain.

Incroyable! Elle le monte comme si c'était le jour du jugement dernier. Des étincelles jonchent le sol autour d'eux. Il est prêt à venir ici même, immédiatement. Après la pipe du siècle, il a maintenant le trophée tant souhaité : la chatte rousse est bel et bien étroite et douce. C'est la confirmation après l'escapade qu'ils avaient eu à l'entreprise.

- Ouiii! t'es en train de me la rentrer fort Hmmmmm! Tu me prends les seins à pleine main. Oh c'est bon.

- Ah oui...

- Plus fort! Plus fort! Plus fort!

Sa verge pénètre rapidement la femme dans la mi-vingtaine alors qu'elle rebondit sur son ventre bombé. Quel sentiment de bonheur que de voir les seins de Valérie se braquer dans toutes les directions! Ses monts luxuriants et charnus rebondissent extraordinairement hors de la robe de soirée qu'elle avait enfilée pour son fiancé. Le fin matériel s'est dérobé des mamelons alors qu'elle chevauche au galop, le dos arqué par le plaisir illicite, le patron de son petit copain.

Crack! Crack! Crak!

- Ouuuuu! uh uh uh uh uh uh grogne la rouquine autour de la trique.

Crack! Crak! Krac! Krack!

- Tu me feras jouir mon amour! Hm Hm Hm Hm! au téléphone!

C'est tellement bon! C'est vraiment passionnant d'être à cheval comme ça, entre le patron et le fiancé.

- J'appelle ton supérieur. Demande-lui ton bonus.

L'entendre cirer le nom de son patron lui noue l'estomac et lui raidit le membre. Assis qu'il est à arrière du taxi, il ne se doute de rien.

- Prenez le téléphone dans le salon!

Quant à M. Leroy, la savoir si près de l'orgasme lui redonne des forces. Il en a bien besoin, à son âge. Retenant le combiné contre son épaule, Valérie va et vient comme une déchainée contre Francis Leroy. Sa respiration pantelante excite les deux hommes. Bien que son fiancé ne puisse saisir toutes les nuances des sévices que son patron lui prodigue, il apprécie la sonorité de sa copine.

Des saccades sulfureuses de la voix se produisent immanquablement quand le gland cogne contre sa matrice! Valérie se sent presque à bout et quelques spasmes la transfigurent.

- Tu es si bonne! Je vais te faire jouir avant longtemps!

Soudainement, elle lui redonne le téléphone et ralentit sa cadence. Sa réponse courte indique à Marc qu'ils passent une belle soirée et que tout va pour le mieux. Et comment!

- Ne t'inquiète pas Marc, reviens quand tu peux, répondit le patron chauve qui feint être dans une autre pièce.

Sautant l'employeur grassouillet, elle ne se gêne pas de verbaliser son plaisir, le plus discrètement possible. Ses pensées vont au membre vigoureux qui l'assaille. L'insolence de son acte frise la folie.

- Ohhhh... souffla-t-elle.

Embrasée par l'extase, Valérie s'avance et agrippe le haut du divan. Elle cramponne ses cuisses satinées et rebondit allègrement autour de la taille de M. Leroy. Bien centrée sur son sexe, elle est prête à explosée. En place, plantée sur l'homme sur son sofa de cuir, son buste jouxte le visage pourpre du patron. Lui aussi, il a chaud.

- Je me perds dedans!

Sa position sous la compagne de son employé lui permet de suçoter les mamelons. Surtout qu'elle se déchaine contre sa verge entrainant ainsi ses seins à brasse-camarade contre son visage extatique. Pressée contre Francis, elle se sent sur stimulée par ses caresses habiles. De sa main libre posée sur son cul, le patron l'aide à se pieuter contre sa trique si fortement qu'elle pense briser en deux.

Quelle sensation divine de se sentir si près de l'orgasme.

Elle agrippe le divan si fortement que le cuir pourrait rompre à tout moment. Ils font craquer le meuble qui émet de multiples grincements. Haletant maintenant, elle a dépassé le stade des gémissements. Le corps de Valérie irradiait d'électricité sexuelle.

- Si proche Uuuuuhhhh!

Soudainement, M. Leroy prend son cul et la soulève dans les airs pour qu'elle se place debout! Cet arrêt fâche Valérie qui lâcha une insulte que Marc prend pour le climax qu'elle viend de rater.

- Qu'est-ce que!

Il presse le bouton muet, pas seulement pour empêcher Marc d'entendre le climax, mais aussi pour replacer Valérie à ses pieds.

- Viens ici, lui dit-il.

Alors que son employé continuait de déblatérer sur n'importe quoi. Marc aime penser que sa Valérie est nue dans leur lit en train de se caresser pendant que son patron est dans le salon.

Elle marche vers lui, frustrée et en colère contre lui. Cela se lit clairement sur son visage et elle a les bras écartés au dessus de sa tête en signe d'incompréhension. Il réfréna un sifflement d'admiration à propos de son haut du corps nu. Valérie croisa ses bras sur ses magnifiques seins, agréablement comprimés. Leur galbe est magnifique; Marc est un homme chanceux de pouvoir les voir et les prendre à chaque jour. Quant à M. Leroy, il esquissa un sourire alors qu'il jetait ses pantalons dans un coin et sa chemise plus loin.

- À genoux! commande-t-il.

Elle allait dire non, mais la tension sensuelle l'en empêche. Le directeur a été effronté de stopper si abruptement leur baise. Une fois à genoux, elle prend avec force la queue lourde de Francis et commence à le sucer.