Valérie - Téléphone Interdit

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Le patron de son fiancé passe à la maison.
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Voici la deuxième partie de la série de Valérie Montarville. Le préambule s'est déroulé dans "Fin de soirée au bureau". Bonne lecture!

- - -

La fin de la publicité est coupée court par Valérie qui éteint la télévision. Reposant sa tête sur le divan, elle soupire légèrement. Un coup d'œil à l'horloge murale et elle voit que Marc est en retard de plus de deux heures. Il est parti pour un voyage d'affaires qui devrait les enrichir... S'il parvient à faire accepter ce contrat sur lequel il travaille depuis trois mois. Elle voulait l'accompagner et jouer la carte de la gentille femme du businessman. Marc avait refusé prétextant qu'ils ne passeraient pas beaucoup de temps ensemble. De plus, ces voyages n'étaient son genre : pino colada, sable chaud et bikini lui ressemblaient beaucoup plus.

Marc est parti depuis près d'une semaine et l'envie de faire l'amour la ronge sans cesse. Une bonne baise avec Marc ce soir était si attendue. À l'origine, il n'avait été qu'une affaire d'une soirée, mais ses prouesses au lit et son salaire l'ont gardée auprès de lui presque trois ans. Néanmoins, elle ne restait satisfaite que peu longtemps. Une aussi longue absence à son jeune âge frivole était un défi pour n'importe quelle nymphomane comme le démontre son aventure avec Francis Leroy.

Deux semaines à peine s'étaient écoulées depuis que Francis Leroy l'avait prise clandestinement dans son bureau. Valérie était passée voir son amoureux et comme Marc se devait de conclure le contrat, elle avait fini dans les bras du supérieur de son fiancé.

Marc a téléphoné après sa réunion du matin, lui annonçant que tout s'était bien déroulé. Valérie devait s'habiller chic pour qu'ils puissent aller fêter son succès. Mais, bien sûr, il n'était pas encore de retour.

Dans le salon, Valérie l'attend, joliment vêtue d'une robe noire pour les soirées cocktails. Toutes ses courbes sont mises en valeur par le tissu moulant. Deux fines languettes ébène glissent de ses épaules et se croisent dans son dos pour rejoindre le haut de ses fesses. Elle croise et décroise ses jambes arrivant au à l'extrême limite de sa patience. Ses talons aiguilles luisent dans le soleil de fin d'après-midi, accentuant sa présence sensuelle.

- Qu'est-ce qu'il fout! C'est bien Marc; il n'est pas capable de respecter un horaire.

Elle est isolée dans sa maison, attendant son fiancé, prête à bondir sur lui et l'embrasser. Un look d'enfer comme d'habitude, ses longs cheveux roux ondulent derrière comme une fontaine. Ses jambes blanches élancées sont couvertes jusqu'à mi-cuisse par cette robe charnelle. Ses yeux bleus semblent encore plus beaux dans cet robe, quasi déshabillé.

Ses pensées reviennent constamment à ses pulsions intimes. Valérie aurait tiré à l'intérieur le livreur de pizza venant de passer chez ses voisins. Elle se dit que si Marc ne confirme pas sa présence pour le diner de ce soir, elle ira volontiers seule en boite se trouver un remplaçant excitant.

Tout avait changé depuis son aventure avec Francis. La présence de Marc était moins nécessaire à son épanouissement. Son avenir professionnel ainsi qu'un béguin encore présent assuraient qu'elle ne fasse pas de folies trop évidentes. Mais, elle ne s'en priverait certainement pas.

La sonnette a fait sursauter la jeune femme. Son 95 C frémit alors qu'elle se lève et va au pas de course ouvrir la porte pour Marc. Prête à embrasser son amoureux tant attendu, quelle n'est pas sa surprise de voir un autre homme. Monsieur Francis Leroy lui fait face. Le patron de Marc, oui un bel et gentilhomme, selon ce que lui avait raconté son copain. Depuis leur rencontre, elle connait maintenant ses charmes et sa puissance : il est fort bien membré. Francis Leroy donnait aux organismes de charité une portion de sa richesse. Toutes ses employées semblent l'adorer, sauf les maris et avec raison.

Lors du dernier party de Noël, il lui avait pincé les fesses et avait essayé de danser avec elle. Une danse plutôt sensuelle : l'entrejambe clairement intéressé. Saoul. Elle ne rechignait habituellement pas une drague, mais lorsqu'elle débute avec des vapeurs nauséabondes, il y a des limites que la rousse ne dépasse pas.

Par contre, il y a deux semaines, elle avait découvert les plaisirs de se faire prendre par la trique de cet homme quinquagénaire musclé. Dans le bureau de ce dernier, elle avait crié ses jouissances à plus d'une reprise. Même que son fiancé avait été témoin de la trahison de Valérie, mais sans s'en rendre compte.

Francis Leroy a plus de cinquante ans et un crâne lisse comme une boule de bowling. Il sourit à la porte. Il ne peut faire autrement! Leroy est sous le charme du corps de la jeune femme. Valérie remarque que ses yeux quittent souvent les siens pour le sillon de ses seins. Elle y est habituée. Une femme pareille ne s'oublie pas et cela faisait quinze longues nuits qu'il rêve à elle. Prendre Valérie dans son bureau alors que son employé avait pu les surprendre avait été un merveilleux moment.

- M. Leroy, que puis-je pour vous? dit-elle, essayant de cacher la mauvaise surprise qu'il venait de lui faire.

- Valérie. Toujours aussi ravissante! répondit-il un peu naïvement.

Il a momentanément perdu sa confiance. Elle se recula un peu, ne le laissant toutefois pas entrer à l'intérieur. Marc arriverait d'un moment à l'autre.

- Je lui ai dit de venir prendre un verre au bureau, mais il a insisté pour le faire en votre présence. Il est là?

- Pas encore. Il aurait dû arriver il y a longtemps, mais il ne m'a pas téléphoné pour me dire qu'il avait atterri.

- Ah! Les avions, on ne sait jamais s'ils seront à l'heure ou pas.

- Il ne vous avait pas annoncé, mais venez, entrez.

Elle ouvre la porte comme il se doit et le laisse passer. Elle le laisse lui mater le cul, après tout ils s'étaient rencontrer en tenue d'Adam il y a peu. Il passe une de ses mains sur le délicat tissu. Elle porte un string! Tentera-t-il sa chance avant l'arrivée de Marc? Leroy s'assoit dans le sofa, à l'opposé du Lazyboy, la table entre les deux supporte le verre de vin qu'elle sirote depuis des heures.

Valérie se pose sur la chaise, glissant ses mains le long de sa robe pour s'assurer qu'il ne voit rien qui ne lui appartient pas. Pour Francis Leroy, la démarche de la jeune femme lui semble plus que sensuelle. Il se rappelle les bons moments passés, nus, contre la fenêtre de son bureau. Quand elle croise ses jambes l'une sur l'autre, il remarque la finesses de ses cuisses. Quelques minutes passent sans qu'une réelle conversation ne démarre.

- Je vous sers un verre?

- Bien sûr. Rien de trop fort quand même.

Elle se lève, recommençant son manège de protection. Le délicat tissu de sa robe couvre ses formes sensuelles. Elle se dirige vers la cuisine et ses fesses dodelinent de gauche à droite. Il les admire et son cœur bat plus rapidement. C'est une habitude typiquement masculine.

De retour dans le salon, elle lui sert un verre de rouge et il prend sa main. Il est si impénitent! Il regarde nonchalamment son buste penché favorablement vers son visage. Quelques centimètres de plénitude, de chaleur rayonnante! Forçant sa main, Valérie recule encore davantage, étonnée qu'il recommence son manège. Elle pondère l'expulsion de M. Leroy. Ils ne peuvent se rencontrer à nouveau, chez elle : c'est trop dangereux.

- J'aime bien la chanson qui joue à la radio. Est-ce que vous m'offririez cette danse?

- Une danse?

- Juste un petit pas, en souvenir de ce fameux soir, dit-il en souriant presque de façon sincère.

- Oui... d'accord!

Il est déjà debout devant elle et Leroy lui tend la main. Il n'y a rien de mal à danser, Marc comprendra s'il arrive au mauvais moment. Son regard rejoint celui de Valérie qui s'élève avec grâce. La demoiselle devant lui est absolument magnifique dans cette fine et élégante tenue de soirée. Il sent le besoin de la prendre dans ses bras et de l'emporter vers le lit pour lui faire l'amour!

Valérie est radieuse et lui sourit comme on sourit à un enfant. Son plan pourrait fonctionner. Ultimement, il tomberait et l'entrainerait dans sa chute sur le sofa, son corps contre le sien. Après...

Plaçant la main droite sur sa taille, il la tient gentiment de l'autre et presse à peine sa taille contre la sienne. Ses gestes sont assurés et soignés. Cette valse improvisée pourrait paraitre gênante entre un patron et la fiancée de son employé, mais l'histoire en a voulu autrement.

Néanmoins, il n'est pas garanti que Valérie se laisse emporter par les charmes de M. Leroy. Sa large poitrine brosse légèrement sur le complet de M. Leroy. Il feignt de rien sentir, mais secrètement il se réjouit. Il doit combattre l'impulsion Neandertal de la coller complètement sur lui avant de se jeter sur elle pour la sauter diligemment.

La petite valse continue et le visage de Valérie s'apaise. Elle a dessiné ses lèvres avec un tube d'écarlate, deux fines lignes font le contour de sa bouche. Elle se souvient d'avoir sali de rouge l'épais membre de Leroy.

Il est certain qu'il glisserait passionnément sa queue dans la copine de son employé avant longtemps. Ils dansent quelques pas et il lui fait faire des petits tours. Elle est une bonne danseuse. Cela se voit à ses hanches qui bougent agréablement, frôlant au passage le devant de son pantalon. On remercie les cours de zumba et de salsa!

Quand les paroles arrêtèrent, il la fait tourner une dernière fois sur elle même. Il admire le haut de son cul et le galbe de sa poitrine quand elle n'a plus ses yeux fixés sur les siens. Étonnamment, Valérie semble être à l'aise en sa présence et avoir oublié le retard de son fiancé.

Juste au moment où il la relâche, il sent le coin du divan buter contre son mollet et il perd l'équilibre. Malheur! M. Leroy tombe sur le dos, attirant sur lui la belle rousse. Valérie chute à la renverse, s'assoyant sur lui. Ce n'est pas ce qu'il espérait, la danseuse rousse n'est pas dans ses bras, ni ses seins dans son visage ou encore prête à l'embrasser.

Dans sa chute, Valérie s'est assise sur un morceau dur qui donne contre ses fesses. Elle comprend immédiatement ce que c'est. Le souvenir de ce membre viril surgit en elle. Il la retient par la taille et ce n'est plus pour l'empêcher de tomber! Une stupeur prend possession d'elle : elle a vraiment contre ses cuisses à elle ce qu'il a entre ses cuisses à lui.

- Je dois me lever, pensa-t-elle.

Mais elle ne bouge pas. M. Leroy ne la retient plus du tout. Derrière elle, le patron fait même un geste de recul pour ne pas sabrer à jamais ses chances futures. Pendant ce moment suspendu, il s'apprête à la repousser.

Un déclic en elle se produit, c'est intime. C'est l'angoisse de l'attente de son fiancé. C'est de l'avoir trompé et d'avoir aimé cela. C'est aussi à cause du truc brulant et dur contre sa chatte et Valérie ne put résister à la tournure des évènements.

Le patron n'en croit pas ses yeux. Valérie ne s'est pas relevée et ne l'a pas fustigé. Il est tombé par hasard et voilà qu'il a contre son gland vêtu ce un corps chaud et sensuel à sa portée. Le corps de Valérie qu'il avait pu caresser et prendre avec passion dans son bureau.

Valérie ne pense plus à se relever car elle a sous elle un sexe durcissant en puissance. L'attente de Marc allait prendre fin bientôt, son retour est imminent. Malgré cela, elle a une rage de retrouver son amant.

Elle ondule son bassin; faisant grincer son cul contre le membre viril. Francis devient de plus en plus dur et de plus en plus grand. Son étendard coincé contre Valérie, le directeur s'en délecte. Plus jeune et inexpérimenté, il aurait déjà éclaté en mille perles grâce aux prouesses de la rouquine.

- Oh! dit-il en pressant plus fort Valérie contre lui. Sa queue est directement sous elle, prête à agir.

- Hmmmm!

Sa réaction est claire! Le manche de Francis vient frotter contre sa chatte protégée uniquement par la fine toile de sa robe et de son string.

- Moui!

Complètement dépassée par les évènements, Valérie met de côté le fait que le patron de son copain est dans son propre salon, en train de la séduire. Tout ce qui compte est ce qui se passe et se passera contre sa moule excitée. Leroy fait rebondir ses genoux pour qu'elle sente frotter sa perche. La réponse de sa maitresse est merveilleuse : des petits gémissements, à peine audibles.

- Tu aimes mon petit jeu?

- UM-UM

- Tu aimes le toucher de ma queue contre ta jeune chatte?

- Oui

Sa conquête s'aide avec ses bras pour rebondir contre son membre encore enfoui, mais solide et grand. Ses genoux montent et descendent toujours, supportant le poids plume de l'ardente et printanière femme sur lui.

Francis prend son temps, il sait de source sure que Marc n'est pas prêt d'arriver. C'est son petit secret. D'une main, il prend le sein droit de Valérie, osant pousser l'audace plus loin. Un frémissement la tenaille quand elle sent les larges doigts vénérables prendre possession de ses plus beaux attributs.

M. Leroy tient ce que tous les collègues de Marc espèrent depuis qu'il avait affiché la photo de leur couple en vacances à la plage. Combien de conversations de coin de bureau ont eu pour sujet la beauté de cette jeune fiancée? L'image montre Marc tenant dans ses bras Valérie, en bikini blanc, allongée sur le ventre sur le sable blanc, les seins entre ses bras croisés.

La grandeur de la masse et brulante que Francis tient dans le creux de ses mains l'excite tellement! Il veut arracher d'un coup la robe de Valérie et la coucher sur le sofa pour les licher et puis, la baiser de fond en comble. En ce moment même, il se remémore comment Marc ne les avait pas surpris en train de faire l'amour dans son bureau.

Valérie avait des sueurs froides, mélange de ses désirs et de sa raison qui persiste à lui rappeler certains principes moraux. L'employeur cajole ses seins depuis l'arrière. Il parvient facilement à pincer les tétons de la magnifique rouquine à travers le soutif.

Ces quelques secondes d'excitation ont tellement fait grandir la queue de M. Leroy que Valérie ne veut plus aucunement se débarrasser du patron de Marc. Elle passe sa main entre ses cuisses et va caresser la trique de son amant.

- Driiiiiing!

Assise sur Francis, elle décroche le combiné et lit sur le petit écran vert « MARC ». Sentant très bien sous elle la pression de la trique de Leroy, les massages sensuels qu'il donne à ses seins ainsi que le feu de sa chatte, Valérie répond fort modestement.

- Allo?

- Mon amour, c'est moi!!!

Leroy remonte une main sur sa cuisse, soulevant sa robe. Il vise juste et ses doigts font contact avec son pubis nu. Son autre main s'attarde sur son merveilleux sein.

- Hmm chéri! dit-elle lorsque le patron lui serre plus fort la pointe d'un mamelon.

- L'avion a atterri, mais j'attends mes bagages. Je suis désolé pour l'attente — je ne pouvais pas appeler dans l'avion.

- Ça va, tu es pardonné!

- Tout va bien à la maison? Je me suis tellement ennuyé de toi.

- Moi aussi, dit sa fiancée, les lèvres pincées.

Son amant s'active entre ses cuisses torrides avec la prudence d'un grizzly.

- Ça va chérie?

- Moui, je me suis assise sur quelque chose de dur. C'est tout.

Dans son dos, Francis Leroy se marre à torturer doucereusement Valérie. Elle profite du fait que Marc est distrait pour se tourner face au supérieur de son copain. Elle le chevauche au grand bonheur du patron qui peut admirer sa poitrine généreuse.

- Je le garde, au téléphone, vous, continuez!

La réponse du patron : il ondula son bassin contre ses hanches.

- J'arrive dans une demi-heure Valérie... Ah merde! On annonce à la l'écran qu'il y a un accident majeur. J'espère vraiment que je serai bientôt.

- Conduit prudemment, lui dit à tort son amoureuse.

Elle avance ses lèvres à celle de l'homme sur lequel elle est assise. Le bougre de chanceux triture sans vergogne ses seins à travers le haut. Son visage est rouge d'excitation.

- Comme tu m'as manqué...

- Toi aussi mon amour. J'ai oublié de t'avertir que M. Leroy allait venir à la maison avant notre resto.

- Chéri!

- Il insistait quand je lui ai annoncé que le contrat était signé.

Bien qu'il savait que c'était une erreur d'accepter l'invitation, Valérie ne l'appréciant que trop peu, il redoutait encore plus de déplaire à son patron. À présent, l'erreur était bien pire, il venait d'offrir sa fiancée pour la deuxième fois.

- Oui, je le sais chéri. Je m'occupe de lui et je crois même arriver à le divertir.

Un peu! Elle peine à maintenir le téléphone près d'elle, ne voulant pas risquer d'être prise au piège. C'est pourtant si excitant.

La réponse surprit Marc, mais le chauffeur klaxonna, libérant cette pensée de son esprit.

- Il est arrivé drôlement tôt...

- Ton avion est en retard, lui reproche-t-elle.

- Bien, j'arrive bientôt.

- J'ai hâte que tu arrives.

Tout le plaisir qu'elle ressent en elle l'émoustille grandement. Valérie a besoin de faire l'amour, de sentir la queue de M. Leroy en elle dès maintenant. Elle a une idée terrifiante.

- Mon amour, tu sais que je me suis ennuyée de toi.

- Moi aussi!

- Je vais te laisser parler à ton patron. Pendant ce temps, je vais aller préparer des amuse-gueules pour ton arrivée et pour M. Leroy.

- Okay, je t'aime.

Son son patron laisse à regret les sein de Valérie et prend le combiné. De l'autre oreille, il entend :

- Je vais te sucer pendant que tu parles à mon copain.

Avec un sourire de délinquante juvénile, elle s'agenouille entre les genoux de Francis. Elle se prépare à engouffrer la queue cachée sous la fermeture éclair. Les murmures du téléphone lui parviennent, mais elle est surtout intriguée de revoir la grosseur du membre de son amant.

- Elle est si gentille Marc.

Le bruit de la fermeture éclair ne parvint pas à l'oreille de Marc. Ni celle de la stupéfaction de Valérie lorsqu'elle redécouvret le grand pan de tissu de caleçon tendu par le sexe de Francis.

- Tu es très chanceux Marc d'avoir une femme aussi attentive aux besoins de ses invités.

Contre sa queue, il sent sa main fugace faire un long massage.

- Aimes-tu ça?

- Ah bon, vous n'êtes pas mariés.

Il hocha de la tête, son sourire en disait tout autant.

- C'est pour cet été... dans les Îles...

Le patron se tortille et son hôtesse tire le caleçon pour faire apparaitre d'un bond la queue colossale de Monsieur Francis Leroy. Valérie ne peut s'empêcher de s'exclamer d'admiration devant un membre aussi masculin. Certains sont atteints par l'âge ingrat, pas Leroy.

Ne disant que le strict minimum pour maintenir la conversation, Francis repose fièrement sur le sofa, les genoux écartés. La copine de son employé est penchée sur sa barre de fer dans une robe aguichante et ses seins sont à peine recouverts.

- C'est vraiment beau! dit-il! Oh, erm... Valérie me montre des peintures d'elle.

Valérie étouffe son rire, c'est trop tordu et elle prend entre ses lèvres la bête Leroy. C'est à son tour d'avoir un frémissement en sentant la langue progresser de plus en plus loin le long de son sexe. La chaleur et l'onctuosité de sa bouche le déstabilisent.

- Bien! Très bien, répond Leroy!

Ces paroles sont plus indiquées pour Valérie et la pipe qu'elle lui prodigue. Contre toute attente, il lui tend le téléphone.

- Hey bébé, qu'est-ce qui se passe

- De quelles peintures parles-tu?

Valérie relève la tête et ses lèvres exquises du sexe de Leroy, mais elle continue à le pomper de sa main libre. Il lui tient la chevelure, la forçant à cambrer le dos et à faire ressortir sa poitrine blanche et rebondie. Comme il rêve d'arracher d'un trait la robe et faire apparaitre ses joufflus fourrés. M. Leroy ne se gêne pas de fourrer sa main libre dans le clivage pour pétrir son buste.

- Celle sur le bateau, lors de notre premier voyage ensemble.

- Ah oui, tu étais si belle sur la plage quand tu peignais. J'en ai toujours une de toi au travail.