Susan la pute du bureau Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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Susan jeta un regard sur son environnement sale et bruyant, et les innombrables cris et sifflets des hommes qui la reluquaient, puis sa tête fut tournée de coté et quelqu'un plongea une bite malodorante dans sa bouche.

Elle suçait et baisait alors qu'on lui malaxait durement les nibards sur la bande inconfortable du convoyeur.

Lorsque le colosse qui la grimpait eut projeté une bonne dose de se-mence au fin fond de sa foufoune, il se retira et fut immédiatement rem-placé par un second amateur alors qu'une queue de gens attendant de la fourrer se formait.

Il y eut un trapu chauve de type hispanique qui baragouinait l'espagnol avec une grosse moustache, puis un vieillard aux cheveux gris qui n'avait plus de dents, un colosse noir musclé qui portait des dreadlocks et était doté d'une énorme mentule, un jeune polonais, un autre immigré venant de l'Est européen, l'homme tatoué porteur de piercings, un obèse pesant au moins 150 kg avec son énorme panse. Beaucoup portaient des piercings et des tatouages dans des endroits inimaginables!

Elle accueillit des hommes de toutes tailles, des bites de toutes formes et couleurs, des toisons de textures extrêmement différentes entre ses cuisses et ses lèvres, ils projetaient leur semence sur son torse, son vi-sage et son estomac.

Elle avait cessé de se débattre, personne ne lui tenait plus les bras. En fait ils poussaient leurs grosses bites en elle se laissait faire passive. Pa-rallèlement elle branlait énergiquement des bites, lorsqu'elle refusait de s'exécuter on lui malmenait durement les nibards.

Il n'y avait aucune variété, une foule de travailleurs la baisait en bouche et en chatte. La queue des amateurs attendant leur tour semblait inter-minable.

On se croirait en l'enfer, pensait Susan.

Elle pensait vraiment que c'était une bonne image de l'enfer.

L'obscurité, le feu, la fumée, la chaleur et le bruit, l'impression d'étouffer, tout y était.

Et le rire tonitruant des ces monstres qui se tenaient en ligne en atten-dant de se servir de sa bouche et de sa chatte, et ces nombreuses mains palpant ses chairs. Un véritable enfer.

Avec la première demi-douzaine de baiseurs qu'elle dut subir, elle apprit comment détendre ses muscles vaginaux pour en garder le contrôle.

Elle se rappelait ce que leur disait leur entraîneur de basket :

-Si vous vous faites violer, le mieux c'est de vous étendre sur le dos et de prendre votre pied!

Elle était allongée sur le dos et elle subissait ce viol, elle pensait que si elle ne se débattait pas, sa chatoune resterait détrempée et elle pourrait prendre un certain plaisir physique en dépit de son tourment mental.

Même les constantes malaxages de ses nibards qu'ils soient-ils rudes ou tendres, par ces mains calleuses lui procuraient une certaine jouissance.

Elle se débrouillait pour se tenir sur la frange d'un mini-orgasme, ressen-tant des picotements et des frissons involontaires sous les caresses de cette horde d'amateurs, bien qu'elle soit trop faible que cela lui donnait le vertige.

Elle perdit toute notion du temps.

Elle n'avait aucune idée de l'heure lorsque le contremaître et ses collè-gues de bureau la retrouvèrent et l'emmenèrent, la transportant carré-ment en dehors de l'usine pour la rhabiller et la ramener dans leur mini-van.

Chapitre 12 : Une convention de putes.

Susan reçut l'ordre de prendre l'avion pour se rendre à une convention à Las Vegas.

Quelques mois plus tôt cela aurait été le genre de manifestation qui lui aurait énormément fait plaisir de fréquenter.

Lorsqu'elle travaillait dans le service financier, voyager sous des climats chauds était une des choses qu'elle enviait dans le travail des vendeurs et de l'équipe de vente.

Mais maintenant elle était assez circonspecte, elle se demandait ce que Gary avait en tête lorsqu'elle se trouverait dans une chambre d'hôtel sans espoir de retrouver son mari le soir

Elle prit l'avion le jeudi matin, la conférence devait commencer le lende-main et devait durer les deux jours suivants dans un hôtel de Las Vegas dans le centre des séminaires.

Un grand nombre des employés devait les rejoindre la plus grande partie des équipes de vente ainsi que quelques femmes d'autres services.

Ce voyage à Las Vegas paraissait plus être une récompense accordée à ces employés qu'un séminaire de travail présumait Susan.

De fait deux autres séduisantes jeunes femmes avaient pris le même vol.

Marie une très appétissante femme de quarante cinq ans et Kelly une jolie jeune femme de trente et un ans, dont les charmes, en dépit d'un accouchement vieux de neuf mois maintenant faisait l'envie de toutes les femmes de la boite.

Susan savait pertinemment ce qu'elle portait sous son imperméable, mais elle n'avait pas remarqué que Mary portait aussi un long caban sur son chemisier et sa jupe, et Kelly un manteau d'hiver sur son chandail et sa salopette.

A l'arrivée à Las Vegas, Susan et les deux autres femmes se rendirent directement au centre des conventions.

Les trois femmes, avant de fouler le sol du centre des séminaires ôtèrent leurs manteaux et imper.

C'est alors que Susan comprit que les deux femmes se trouvaient dans la même situation qu'elle-même.

Susan avait reçu l'ordre de porter la tenue qu'elle avait portée à la der-nière fête de Noël cependant Gary l'avait fait modifier par un tailleur.

Son plastron plongeait maintenant jusque sa taille offrant sa poitrine aux admirateurs ce qui rendait impossible le port d'un soutien-gorge.

Ses nibards dépassaient les cotés de son décolleté et n'importe qui se tenant à son coté pouvait voir jusqu'à l'autre coté de ses miches.

Le fin tissu du plastron avait été changé au profit d'un voile transparent qui laissait apparent ses aréoles et ses mamelons érigés pointaient continuellement au travers du fin plastron.

Sa jupe avait été sévèrement raccourcie la transformant en micro jupe, et rétrécie au point qu'elle pouvait à peine s'asseoir.

Et il lui était interdit de porter une quelconque combinaison, son string couleur lie de vin était clairement visible que ce soit par-devant ou par derrière.

Elle se rendit alors compte que Kelly portait la même tenue noire et le chandail bleu pâle qu'elle portait fréquemment, elle n'avait pas mis de soutien-gorge et ses nichons se balançaient librement alors que ses longs mamelons bruns sombres pointaient au travers du fin lainage de son chandail.

Mary arborait une courte jupe blanche et un petit corsage blanc, mais comme Susan se tenait à sa gauche elle se rendit compte que son che-misier était déboutonné à mi-buste exhibant clairement sa petite poitrine nue.

Comme Susan regardait ébahie ses nichons, Marie lui jeta un regard plein de honte, mais ne rectifia son boutonnage pour autant. Visiblement elle portait aussi un string de couleur sombre sous sa courte jupe blan-che.

Elles arrivèrent rapidement à la salle abritant leur compagnie, elles por-taient des badges affichant leur prénom et le nom de leur entreprise en grandes lettres.

Susan vit plusieurs autres employées femelles toutes apparemment vê-tues des tenues qu'elles portaient à Noël, mais une inspection plus fine permettait de constater qu'elle ne portait pas de sous-vêtements ou des dessous minimums, exposant une large part de leurs charmes, leurs te-nues paraissaient toutes plus courtes et plus étroites que lors des der-nières fêtes de Noël.

Gary leur avait imparti un certain temps pour visiter les stands des autres exposants avant de retourner aux stands de l'entreprise.

Susan sentait qu'elle n'était qu'un appas déambulant dans le grand hall à la vue et à l'envie de nombreux étrangers.

Elle vit de nombreux hommes qui reluquaient sans vergogne dans le dé-colleté de Marie lorgnant ses petits nibards.

Les gros nibards de Kelly avaient aussi leurs admirateurs qui la suivaient du regard dans le hall.

Beaucoup de ces admirateurs les suivirent jusqu'aux stands de l'entre-prise, où Gary trinquait à leur santé, ravi de voir tant d'admirateurs lor-gner les charmes dévoilés des trois jeunes femmes.

Quand les stands fermèrent, Gary, Susan et tous leurs collègues partirent dîner dans une salle arrière de l'hôtel.

A sa grande surprise pas un de ses collègues ne chercha à la peloter, puis les femmes durent remonter dans leur chambre pour se rafraîchir, elle devait rejoindre la salle de réception louée par la compagnie à 20 heures, là un vin d'honneur serait servi aux employés, aux clients et aux futurs clients.

Susan avait la ponctualité dans la peau, mais elle se tint éloignée de la salle de réception aussi longtemps qu'elle le put sans risquer de fâcher Gary.

Lorsqu'elle arriva dans la grande pièce, Jon et Walter deux collègues qui la dévoraient des yeux depuis le premier jour, lui ouvrirent la porte. Gary se tenait au bar et lui fit signe de la rejoindre.

La salle était quasiment comble. La plupart des autres femmes visibles étaient disséminées dans toute la pièce, debout ou assises avec des col-lègues ou des clients habituels qui, inspectant leurs charmes, les pelo-taient sans vergogne.

Susan repéra plusieurs jeunes femmes qui venaient d'intégrer les départements ventes de l'entreprise, leurs jambes étaient exposées et leurs décolletés étalaient aux yeux de tous leurs avantages mammaires. Il y avait plusieurs femmes mariées, qui, selon Susan devaient avoir 25 à 30 ans, il y avait aussi quelques femmes qui avaient la quarantaine voire le début de la cinquantaine. Il y avait même plusieurs femmes plus âgées encore qui mettaient en valeur leurs appas.

-Tu arrives juste à temps pour premier spectacle!

-Un spectacle? Quel spectacle?

-Quelques-unes unes de nos amies vont se livrer à un show infor-mel pour distraire la foule...

Susan se recula précipitamment.

-Vous ne voulez tout de même pas que je fasse un strip-tease comme à l'usine!

-Non... Mais Christy va nous en faire un... Regarde!

Susan parcourut du regard le fond de la salle obscurci par les rideaux fermés. Christy se trouvait dans une zone éclairée.

Christy correspondait exactement à la description d'une femme libérée : une ravissante brunette athlétique, elle avait la quarantaine, se trouvait en excellente forme, avec des mollets galbés et fermes et une taille de jeune fille, des gros nibards qui pointaient comme des obus défiant les lois de la gravité.

Susan se demanda soudain si les miches de Christy étaient naturelles, elle allait bientôt le savoir.

Un collègue mit en route un lecteur de CD dans le fond de la salle, un air d'ACDC : "Highway to hell", Christy se mit à danser sur un rythme très lent avec sa robe coupée court et sa poitrine apparente. Elle entama alors son strip-tease.

Elle descendit la fermeture éclair dorsale de sa robe, et lentement re-poussa ses manches sur bras.

Sa robe tirebouchonna autour de sa taille, dévoilant un joli soutien-gorge de dentelle.

Elle se dépouilla de sa robe et apparut en petite culotte lavande avec une ceinture porte-jarretelles assortie, une fois son soutien gorge enlevé ses nibards se retrouvèrent à l'air, elle semblait naturelle, elle se balan-çait et tombait comme une paire de miches naturelle.

Elle ne pouvait lutter contre les lois de la gravité.

Cependant ses miches qui dansaient sur son torse étaient encore très attractives et captivaient ces messieurs.

Lorsqu'elle enleva sa petite culotte, ils purent admirer son ventre plat et son mont de Venus entièrement rasé.

Lorsqu'elle eut terminé sa danse, elle ramassa ses vêtements et repartit entièrement nue sous les applaudissements des mateurs enthousiastes.

-Comment trouves-tu les tenues de ces dames? Demanda Gary à Susan.

Susan répondit par une question.

-As-tu fait transformer toutes leurs robes de la fête de Noël

-La plupart. Elles ont dit à leur mari qu'elles ne pouvaient pas por-ter la même robe de soirée à deux reprises.

-Faites-vous chanter toutes ces femmes?

-Pratiquement toutes... S'étrangla de rire Gary

-Il y une paire de jeunes bimbos qui le font pour obtenir une promo-tion, ou tout simplement parce que ce sont de rude salopes, mais pour la plupart nous détenons des preuves compromettantes de leurs infidélités.

-Vous avez des photos de toutes ces femmes en train de baiser?

-Nous nous les procurons par différents biais... Beaucoup de gens ont commis des actes illégaux dans leur vie... Et nous avons de nombreux amis dans les services de police et dans les tribunaux d'état... Nous employons aussi des détectives privés... Nous amassons ainsi les documents compromettants... Parfois ce sont leurs maris qui se sont rendus coupables d'exaction! Alana, par exemple, son mari est supposé être extradé, mais nous pouvons intervenir pour le faire rester! Le bébé de Kelly a besoin d'une in-tervention chirurgicale extrêmement risquée, le chirurgien refuse d'intervenir s'il n'est pas couvert par une importante assurance, et son assurance refuse de couvrir le risque si la demande n'émane pas de la compagnie? Dès que l'on trouve des documents com-promettants sur quelqu'un, on les utilise pour faire chanter la femme!

Levant les yeux, Susan vit Marie, bras droit de Byron, sa secrétaire personnelle une brune d'une soixantaine d'années, au buste opulent dont la tête allait et venait entre les cuisses d'un homme appuyé au mur.

-Marie aussi? Elle travaille pour la compagnie depuis des décades!

-Son mari a de gros problèmes de jeu... Elle est la meilleure fella-trice de l'entreprise!

-Mais pourquoi les forcer à ça? Pourquoi ne pas louer les services d'un groupe de prostituées pour satisfaire vos clients?

-Il y a plusieurs raisons. En premier un tas d'entreprise agissent ainsi et le risque de se faire prendre est important! Si des flics de Las Vegas apprennent qu'un groupe de prostituées se rend à notre réception, soit on accepte de leur payer un pot de vin, soit ils nous arrêtent sur le champ... Les clients le savent... De plus je ne dis-pose pas d'un budget suffisant pour leur offrir des putes... Gloussa Gary hilare.

-Mais principalement parce que de nombreux clients préfèrent se taper de véritables amatrices à de vulgaires putes!

-Certaines de ces femmes sont assez âgées... Une paire d'entre el-les ne sont même pas séduisantes! Commenta Susan.

Gary lui rétorqua :

-Nos clients veulent des femmes de types différents, évidemment les plus jeunes sont très réclamées, mais certains préfèrent des femmes matures, expérimentées. Certaines de nos plus collabora-trices les plus collet-montées sont très appréciées.

La musique reprit et Susan leva les yeux vers Julie qui dansait dans le fond. Julie était une femme assez rondouillarde en fin de cinquantaine, qui n'était pas dans la meilleure des formes. Grosse? Plutôt enveloppée que grosse!

-Un peu enveloppée la Julie... Commenta Gary

-Ni la plus jeune, ni la plus jolie. Mais comme je te disais certains hommes préfèrent les vieilles... Certains hommes aiment les gros-ses femmes... Bien plus grosse que Julie d'ailleurs... Et elle a de grosses miches! Se marra Gary.

Gary avait raison sur ce point. Lorsque Julie enleva son soutien-gorge pour danser uniquement vête de bas nylon, de son porte-jarretelles noir, d'une culotte noire, une guêpière noire maintenant son ventre ses gros nichons jaillirent au grand air se balançant lourdement sur son torse.

Susan estima que chacun de ses nichons avait la taille d'une boule de bowling.

Julie quitta la pièce sous les nombreux applaudissements, Susan vit alors arriver Molly qui sortait d'une chambre. Elle portait une robe de ma-riée. Molly était une jeune mariée, elle avait épousé son mari quelques semaines plus tôt.

Voyant l'étonnement de Susan, Gary gloussa, elle lui demanda ébahie :

-Est-ce sa véritable robe de mariée?

Il se marra comme une brute et répondit :

-Eh oui, une de mes dernières bonnes inspiration... C'est sa vérita-ble robe de mariée, et je lui ai donné de porter les mêmes sous-vêtements que le jour de son mariage, seule jarretière est nouvelle!

Susan regardait avec sympathie la jeune, ravissante quasi virginale jeune mariée qui dansait dans sa magnifique robe sans bretelles.

Le lecteur de Cd jouait "Celebrate good times come on!".

Molly tendit le bras dans son dos et déboutonna difficilement jusqu'à ce qu'elle en eut assez dégrafé pour rabattre sa robe sur sa taille exposant son soutien-gorge blanc sans bretelles.

Lorsqu'elle se fut dépouillée de sa robe et de ses jupons, elle continua à danser vêtue de ses bas blancs, de son porte-jarretelles blanc et de sa petite culotte de satin blanc, et de sa jarretière bleue.

Elle tendit à nouveau la main dans son et dégrafa son soutien-gorge et se retrouva en un rien de temps à danser torse nue, montrant à la foule ses gros nibards qui se balançaient au rythme de ses pas, les démarca-tions de sa peau brunie lors de son voyage de noce au soleil, bien visi-bles.

Et, lorsqu'elle se dépouilla de sa petite culotte de satin blanc, elle leur exposa sa petite touffe de poils châtains et ses petites fesses blanches bien rondes.

Rose une nouvelle employée assez menue, et Donna une femme de quarante cinq ans entamèrent un show lesbien, se roulant des pelles ba-veuses en se déshabillant mutuellement face à la foule.

Gary appela ses deux collègues Jon et Walter.

Il leur intima :

-Jouez un peu avec les appas de Susan, pas trop, juste assez pour la mettre en forme!

-Je croyais que vous me resserviez pour de nouveaux clients? L'in-terrogea Susan surprise.

-Effectivement, je veux juste t'échauffer la touffe... Commenta Gary vulgairement.

-M'échauffer?

-Eh oui, exactement comme l'o, échauffe les vedettes du porno... Juste pour les préparer à leur performance!

Susan eut une brusque montée d'adrénaline.

-Quelle performance?

Tandis que Jon plongeait la main dans son bustier pour jouer avec ses tétons, Walter avait glissé la main sous sa jupe, écarté la bande de son string pour lui masser gentiment les babines.

L'attention de Susan était partagée entre les agissements des deux jeu-nes gens et l'annonce de Gary concernant sa performance.

Il ajouta :

-Tu devras enlever tes vêtements, t'étendre sur la moquette et te branler!

-Tu veux que je me masturbe en public!

-Exactement! Que tu te branle jusqu'à jouir! Je veux dire un VERITABLE orgasme, mais si tu n'y parviens pas directement tu pourras feindre un petit peu... J'ai ici quelque chose pour toi si tu as besoin d'aide...

Il tendit la main derrière le bar et ramena deux jouets sexuels : un petit vibromasseur jaune, et un godemiché rose d'un bon treize centimètres!

-Oh je t'en prie, ne me fais pas faire cela! Le supplia Susan.

-Je ne t'y oblige pas, ils seront juste là au cas ou tu en aurais be-soin!

Susan ne gaspilla pas plus longtemps de salive à argumenter avec Gary.

Lorsque les deux gouines eurent fini de jouer entre elles, elles disparu-rent derrière les rideaux du fond, Susan hésita quelques instants puis s'installa face à la foule des spectateurs, jetant les deux jouets sur la moquette.

Quelqu'un renouvela la musique? Susan parcourut des yeux l'assis-tance, des douzaines de collègues, mâles et femelles mélangés avec des étrangers, certains qu'elle avait rencontré à la convention un peu plus tôt, et des clients plus familiers.

Susan dégrafa sa robe et remonta son bustier au-dessus de ses épau-les.

Lorsque sa robe tomba au sol, Susan se tint en string lie de vin, ses gros nichons pendants arrachant des "Ohhh" admiratifs aux spectateurs.

La jeune femme glissa la ficelle son thong sur ses chevilles et l'enjamba avant d'ôter ses hauts talons.

Elle ne portait plus qu'un collier et ses boucles d'oreille, elle s'allongea sur la moquette.

Un de ses collègues lui tendit un épais oreiller qu'elle posa dans son dos.

Susan s'avouait à elle-même que c'était drôlement érotique de se voir reluquée par des dizaines d'homme et de femmes. Mais elle décida de faire comme elle se trouvait seule dans la chaleur de son lit à se mastur-ber.

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