Susan la pute du bureau Ch. 02

Informations sur Récit
Suite de l'asservissement de Susan.
14.2k mots
4.41
52.8k
5
0

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 05/02/2008
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Coulybaca
Coulybaca
103 Admirateurs

Susan la pute du bureau Pt. 02

Susan's Corporate Servitude Pt. 02

Coulybaca / Georges VI

Cette histoire est une oeuvre de fiction. Dans la réalité , tout rap-port sexuel non consenti est immoral et illégal, et sévèrement condamné par l'auteur.

Tous les personnages ont plus de dix-huit.

Chapitre 7 : A la disposition du staff.

Susan rentrait tout juste d'un déjeuner avec un autre client, ce bâtard s'était débrouillé pour la doigter sus la table toute la durée du repas.

Comme Gary lui interdisait le port de petite culotte sous ses jupes cour-tes, dès qu'elle s'était assis dans le bureau de ce client il avait eu un ex-cellent point de vue sur son intimité, visiblement il avait été ravi de cette absence de sous-vêtement.

Elle était pratiquement sure, d'avoir involontairement allumé les quatre jeunes hommes qui se trouvaient à l'opposé de leur table, au restaurant, lorsqu'elle avait pris place écartant en grand ses cuisses.

***************************************

Mais ce n'étai pas pire que la semaine précédente lorsque Gary lui avait fait lire une circulaire concernant la nouvelle prise en charge des frais professionnels devant le staff des vendeurs.

Gary était absent du bureau ce jour-là, mais il lui avait laissé des consi-gnes lui enjoignant de porter sa plus courte jupe sans petite culotte.

Elle avait triché et enfilait une paire de collants, mais les ordres de son patron lui enjoignaient de s'asseoir cuisses écartées sur un tabouret face à son public pour détailler les points critiques de sa lecture.

Elle était heureuse de porter ses collants, mais comme c'était sans culotte elle se sentait exhibée à leurs regards, sa courte jupe remontait sur ses cuisses en dépit de ses efforts pour la redescendre, elle savait que les hommes des premiers rangs devaient distinguer sa toison sous la trame de ses collants et encore plus lorsqu'elle devait s'étendre pour pointer un point particulier sur l'écran.

Au centre du premier rang se tenait Phil. Il avait été son premier supé-rieur lorsqu'elle était entrée dans cette boite dans le département es-compte.

Phil ne se serait jamais permis de lui faire faire les choses que Gary lui imposait maintenant pensait-elle émue.

C'était un homme posé, attentif, entièrement chauve, il portait des lunet-tes. Il était marié, mais il se montrait si réservé et serein qu'elle n'avait jamais pensé à lui comme un objet sexuel.

Elle avait très envie de lui confier le chantage qu'elle subissait, elle ne voyait personne d'autre à qui en parler.

La présentation terminée, le groupe sortit alors que Susan se tournait vers son équipement bureautique.

Phil était resté en arrière attendant que tout le monde soit parti.

Il s'approcha de Susan.

-Susan, si j'avais su que vous vouliez utiliser le sexe pour grimper dans la compagnie, vous auriez avancé rapidement dans mon dé-partement.

Susan qui s'était rendu compte de la façon qu'il avait eu de contempler sa foufoune, comprenait ce qu'il voulait dire, elle était certaine qu'il avait entendu parler de ses dernières aventures.

Elle aurait voulu se confier à lui, lui raconter la vérité, mais avant qu'elle ouvre la bouche, il la serrait contre le mur mais sur ses hanches.

-Si j'avais su que vous étiez si facile, il y a longtemps que j'aurai fait cela lorsque vous travailliez sous mes ordres.

Sa main droite courait sur sa taille remontait pour empaumer son nichon gauche le pinçant au travers de son soutien gorge.

-Oh Phil pleurnicha-t-elle

Mais comme elle ne lui opposait aucune résistance physique il posa sa main gauche sur son nibard droit refermant les doigts sur ses collines jumelles. Ses tétons ne tardèrent pas à tarder sous ses caresses lasci-ves.

Elle regardait son tourmenteur d'un oeil résigné.

Il descendit ensuite sa main gauche sur ses flancs gagnant le bas de sa hanche, la glissa sous sa jupe dans le dos, il lui pétrit alors les fesses au travers de ses collants.

Il se tenait du coté droit de Susan, il remonta sans vergogne sa courte jupe sur sa taille, trouva la ceinture élastiquée de ses collants et glissa la main dans ses collants malaxant alors ses fesses nues.

Puis il opéra de même sur le devant empaumant sa chatoune d'une main envahissante.

Alors que son index gauche courait de bas en haut dans sa raie culière, et son majeur droit dans sa fentine engorgée de cyprine., ses doigts se rejoignant à chaque aller-retour.

Susan crispa ses fesses sous deux doigts naissaient des éclairs électri-ques qui déferlaient dans son bas-ventre.

Phil descendit ses collants sur ses chevilles, Susan enleva ses chaussu-res et enjamba alors les collants.

Le comptable d'âge mûr, déboucla sa ceinture et descendit sa braguette avant de sortir une épaisse bite bandée.

Il s'accroupit légèrement, leva le genou gauche de Susan et enfouit sa bite raidie dans sa petite chatte accueillante.

Il la sauta debout contre le mur, il avait empoigné ses fesses et ses cuis-ses et la bourrait consciencieusement.

-Avez-vous idée du temps que je suis resté assis dans mon bureau en imaginant te baiser? Me demanda-t-il désappointé.

En un rien de temps il se vida les couilles dans la caverne de Susan tan-dis qu'elle vibrait sous ses assauts.

*********************************

Et, quelques jours avant cet épisode, Gary lui avait ordonné de porter une tenue qu'il venait d'acheter, une courte brassière qui laissait son nombril à l'air coordonné avec une paire de caleçons beige taille basse.

Susan savait que certaines teen-agers portaient ce genre de tenue, mais elles avaient le ventre parfaitement plat, si quelqu'un la regardait de près ils pourraient voir le haut de sa pêche velue couverte de poils pubiens sur le devant et le début de sa raie culière dans le dos.

Lorsque Gary lui fit réorganiser la planche basse des étagères de clas-sement, elle dut s'accroupir, elle savait pertinemment qu'elle exposait le haut de ses fesses aux yeux des employés qui passaient dans son dos.

Elle le savait d'autant plus que Thom et Graig et d'autres employés la plaisantèrent crûment à ce sujet en passant derrière elle.

***********************************

Maintenant Byron, Mick, Emile, Joe et de nombreux employés prenaient des privautés avec Susan à tout moment de la journée, en quelque lieu qu'elle se trouva, ils lui palpaient les nichons à la cafetaria, lui pelotaient les fesses dans le hall, retroussaient sa jupe dans leurs bureaux.

**********************************

Mais cet après-midi elle désirait surtout rester cachée dans son bureau pour éviter les commentaires graveleux et les caresses sournoises dont ses collègues l'accablaient, depuis plusieurs semaines, où qu'elle se trouva.

Elle sentit soudain une présence dans son dos, elle se tourna et vit Louis, un ouvrier d'entretien qui lui souriait affablement, il devait avoir une quarantaine d'années était célibataire, n'était ni particulièrement attirant, ni particulièrement intelligent.

Il était un peu plus petit que la moyenne, une coupe de cheveux assez moche, avec une raie à droite.

Louis traînait des pieds, il sourit largement, et éclaircit sa voix.

-Um, Gary m'adit que vous pourriez venir m'aider dans la remise...

-Dans la remise?

-Que voulez-vous?

Il y avait un grand atelier dans l'embarcadère et la remise de Louis se trouvait derrière. Jusqu'ici, Susan n'avait fait qu'en regarder la porte.

Louis continua affichant un large sourire :

-Allez, tu me suis, Gary m'a dit que tu me suivrais!

Susan se leva lentement et suivit Louis qui descendait le hall pour ga-gner les ateliers d'entretien, il referma la porte dans son dos.

Cet espace incluant l'embarcadère était de la grandeur d'une classe de taille moyenne, l'endroit était poussiéreux et encombré de boites et de cartons.

Susan qui portait sa courte jupe et son chemisier blanc transparent se posta dans un coin entouré de boites.

-Pourquoi avez-vous besoin de mon aide Louis?

Il se posta face à elle un sourire railleur sur les lèvres.

-heu, j'ai réparé la voiture de Gary et il m'a dit qu'en récompense je pourrais te peloter les miches!

Le cœur de Susan battît à nouveau la chamade, mais elle ne doutait pas de ses dires.

Gary voulait se servir d'elle pour payer en nature la réparation de sa voi-ture.

Elle se sentit rougir jusqu'aux oreilles, elle se retrouvait toute seule dans cet entrepôt en compagnie de Louis.

Il n'était pas vraiment hideux, mais ce n'était pas quelqu'un avec qui Susan aurait pris un rendez-vous.

Puis Louis poursuivit, tout le monde te pelote les nibards dans cette entreprise.

Susan voulait en finir rapidement, elle s'adossa à son bureau de cuir, elle émit un long soupir :

-C'est d'accord, fais ce que tu veux!

Louis s'avança d'un pas et posa sa main droite sur son nichon droite, au-dessus de son chemisier.

Il le palpa et le malaxa rapidement tout en lui souriant à pleines dents.

Il déboutonna facilement son corsage et pétrit ses nichons au travers de son soutien-gorge, il glissa sans vergogne sa main dans les bonnets de son soutien-gorge et tripota ses nichons de ses mains calleuses.

Susan était gênée, embarrassée de se tenir devant l'ouvrier le moins important de la boite qui lui pelotait allégrement les miches.

Louis respirait difficilement, il était légèrement essoufflé, il posa sa main gauche sur les épaules de Susan, l'attira à lui et lui roula un patin ba-veux.

Elle mit docilement ses bras autour de son cou et lui rendit ses baisers fiévreux.

La main droite dans le soutien-gorge de Susan, Louis glissa sa main gauche sur sa croupe qu'il malaxa au travers de la jupe.

La jupe était si courte qu'il glissa facilement une main sous l'ourlet em-paumant ses fesses dénudées.

Il la pressa contre son torse, elle sentait son érection pointer contre son estomac.

La main de gauche de Louis se dirigea vers son bas-ventre, il entreprit de lui titiller la chatoune. Un doigt rugueux fora son chemin dans sa cha-toune détrempée? Susan écarta les cuisses et s'accroupit légèrement facilitant la pénétration de son doigt au cœur de sa féminité.

Louis lui roula un patin baveux, alors que sa langue plongeait dans sa bouche un filet de salive s'écoula sur son menton.

-Etends-toi sur le dos sur ces caisses que je te baise! lui ordonna Louis

-Gary m'a dit que tu serais d'accord!

Susan jeta un oeil sur l'empilement de caisses sur lequel Louis voulait qu'elle s'étende, était très poussiéreux.

Elle ne voulait pas passer le reste de la matinée avec des taches de poussière dans le dos!

Elle avait observé que déjà la main sale de Louis avait laissé une trace noire sur son nibard droit.

-D'accord, mais c'est trop sale! Laisse-moi le temps de me désha-biller.

Visiblement cela ne lui posait aucun problème, et ravi il la mata enlevant d'abord ses hauts talons, puis déboutonnant son chemisier pour le poser sur un endroit propre, ôtant son soutien-gorge laissant ses nibards oscil-ler doucement sur son torse, se dépouillant de sa jupe lui dévoilant sa toison châtain claire.

Elle grimpa alors sur les caisses.

Louis se déshabilla prestement dévoilant une bite assez courte mais bien épaisse.

Susan s'étendit sur le dos sur les caisses, écarta ses cuisses en grand attendant qu'il l'enfourche.

Elle l'attira sur elle et guida son épaisse mentule lui facilitant l'accès à sa caverne accueillante.

Elle se demandait s'il avait déjà couché avec une femme auparavant. Il la labourait de rudes coups de boutoir. Susan jeta un oeil sur son envi-ronnement, elle était nue dans un entrepôt, allongée sous un homme d'entretien, l'endroit était dégueulasse, cela lui ressemblait si peu, c'était moche, elle était si proche de l'orgasme.

-Uh! UH! UH! UH! Grognait-elle verrouillant ses chevilles dans son dos s'arc-boutant pour l'accueillir de son mieux.

Louis soufflait et grognait, il se releva sur les coudes admirant ses ni-chons qui dansaient en tous sens, visiblement il appréciait de "baiser une véritable femme".

Il se laissa retomber sur elle Susan enfonça ses ongles dans son dos.

Elle le sentit jouir rapidement alors que leur chevauchée s'apaisait.

-Oh Louis... Louis! N'arrêtez pas Louis... Le suppliait Susan.

Elle était si proche de jouir aussi. Elle cherchait à le conserver en elle, donnant des violents coups de rein tout en remuant son pelvis pour profi-ter encore de ses dernières raideurs.

-Umghhhh... Hurla-t-elle en plongeant dans un semi-orgasme la laissant à demi insatisfaite.

Elle restait étendue sous Louis qui lui souriait à pleines dents.

Chapitre 8 : Susan et la cliente.

Susan et Gary passaient l'après-midi avec un autre client.

Mais après avoir joué la pute mise à disposition pour différents clients, Susan se réjouissait de savoir que cette fois il s'agissait d'une cliente.

Lana était une femme très séduisante, la quarantaine bien sonnée avec de longs cheveux bruns.

Elle était grande, un bon mètre soixante quinze et portait des hauts ta-lons qui la grandissaient encore.

Son tailleur bleu marine semblait, de prime abord, très classique, mais une inspection plus fine permettait de constater que le veston se resser-rait sur la taille accentuant l'opulence de sa poitrine, la courte était assez courte et étroite, elle descendait à mi-cuisse.

Une tenue de travail assez sexy finalement, à la différence de Susan qui portait un chandail sans manches sans soutien-gorge, une courte jupe évasée avec un porte-jarretelles blanc et une affriolante petite culotte de satin blanc.

Pour le dîner Susan était assise face à Lana.

Lana tout en fumant cigarette sur cigarette se penchait sur Susan et Ga-ry clignant ses yeux très maquillés.

Elle pressait sa poitrine contre ses bras posés sur la table, l'entrebâille-ment du haut de son veston laissait entrevoir le haut de son soutien-gorge noir brillante sans rien d'autre.

Susan se surprit à mater sa devanture, elle présumait que Gary aussi avait remarqué sa tenue, elle se demandait si Gary avait déjà couché avec elle.

De retour au bureau, Susan se joignit à Lana et Gary pour gagner la salle de réunion.

Après une discussion de haut niveau technique, Gary les quitta les lais-sant régler les ultimes détails entre femmes.

Lana était assise à la droite de Susan, sa chaise était serrée contre celle de son interlocutrice.

Les fesses de Lana reposaient sur le rebord de sa chaise, son visage tout proche de celui de Susan, sa main gauche était posée sur la chaise de Susan, dans son dos.

Susan respirait le capiteux parfum de Lana, qui se mêlait à l'odeur de ses cigarettes.

Susan l'écoutait religieusement exposer les formalités d'embarquement des produits, mais lorsque Lana pressa son genou gauche contre le genou droit de Susan, elle prit vivement conscience de sa proximité.

Les paupières baissées de Lana, son demi-sourire et sa voix ensorce-lante réveillait chez Susan les agissements de ses clients qui l'avaient "séduites".

-Vous me comprenez bien ma chérie? L'interrogea soudain Lana.

Susan répéta les instructions de Lana assurant sa cliente que sa com-pagnie respecterait le programme prévu.

-Mmmmm, c'est très bien... Gary m'avait prévenu que je vous apprécierai... La complimenta Lana pressant plus fermement son genou contre la cuisse de Susan.

Susan se surprit à jeter une nouvelle fois un oeil dans le décolleté de Lana.

La jupe de Lana avait remonté sur ses cuisses Susan distinguait distinctement le haut de ses bas et son porte-jarretelles noir.

Lorsque Lana posa sa main droite sur la cuisse droite de Susan, instinctivement elle chercha à s'écarter de Lana.

Mais la main gauche de cette dernière se posa tout de suite sur les épaules de Susan qui immédiatement se sentit piégée.

-Susan, vous êtes très séduisante... Gary m'a dit que vous me donneriez satisfaction! Travaillez avec moi et je vous apporterai de nombreuses affaires!

La main gauche de Lana agrippa gentiment mais fermement la nuque de Susan.

Lana se pencha sur elle et planta ses lèvres sur celles de Susan.

Susan ressemblait à une biche figée dans les phares d'une voiture et se sentait sans défense.

Susan savait qu'elle n'était pas lesbienne, ni même bisexuelle, mais les années passant, elle en venait à se demander ce que cela ferait d'être embrassée par une autre femme et se surprenait à mater le corps des jolies femmes.

JAMAIS elle ne l'aurait fait de sa propre initiative, mais maintenant que Lana L'OBLIGEAIT à subir son baiser elle acceptait son destin, ouvrait la bouche et rendait son baiser à Lana, goûtant pour la première fois aux lèvres d'une autre femme, elle était apeurée, hésitante mais soumise.

En fait, elle devait admettre que ce n'était pas plus révoltant que ce qu'elle avait du subir de la part de l'homme d'entretien.

Lana tendit la main droite et déboutonna sa veste.

Elle prit la main gauche de Susan et la plaça dans le décolleté sur son soutien-gorge.

C'était un soutien-gorge pigeonnant et Susan se sentait toute excitée à la vue d'une large part d'aréole débordant des bonnets.

Tentée, elle entreprit de caresser les bonnets soyeux la caressant en pe-tits cercles s'élargissant, d'elle-même elle glissa sa main dans le sillon mammaire, comme attirée par la chair brûlante de ses nibards.

A son tour Lana tendit la main et caressa les nibards nus de Susan sous son fin corsage.

Elle saisit l'ourlet du vêtement et le lui remonta au-dessus de la tête avant de le poser sur la table.

Susan se sentait vulnérable et gênée de se retrouver torse nu au boulot en face d'une autre femme.

Elle regardait Lana enlever sa veste, puis elle fit glisser les bretelles de son soutien-gorge noir de ses épaules.

Lana lui sourit en laissant tomber le haut de ses bonnets exposant ses larges aréoles à l'adresse de Susan alors que ses nibards reposaient toujours dans leurs bonnets

Lana empoigna son nichon gauche, arqua son dos, et le pressa contre les miches de Susan.

Susan avala sa salive à cet étrange mouvement instinctivement elle se recula et tendit ses miches vers l'avant.

Des vagues électriques couraient dans sa poitrine alors que ses tétons raidissaient.

Lana se pencha en avant et glissa sa langue dans la bouche de Susan, alors que les deux femmes se caressaient mutuellement les miches.

Lana était maîtresse de la situation, Susan se laissait faire, à contre cœur elle prenait du plaisir avec son aînée.

Les grommellements de Susan se différenciaient nettement des sourds miaulements de plaisir de Lana.

C'était une étrange expérience que de caresser les miches d'une autre femme, mais Susan s'était toujours demandé ce que cela pouvait bien faire.

Elle aimait cette expérience.

Les grosses mamelles de sa partenaire étaient moins fermes, plus mol-les mais elles roulaient agréablement dans les mains de Susan.

De plus les caresses de la main d'une autre femme sur ses nichons étaient enivrantes. Lana semblait savoir exactement comment caresse les nichons de Susan pour lui extirper un intense plaisir.

Les lèvres de Lana descendirent dans le cou de Susan et arrivèrent sur ses miches.

La libido de Susan explosa soudainement en sentant les lèvres de son aînée se poser sur une de ses tétons pour le titiller tendrement, la main gauche de Lana glissa de son estomac sur ses cuisses.

Elle progressait remontant la face interne de sa jambe et arriva rapide-ment à l'intervalle de chair tendre et douce séparant le haut des bas du porte-jarretelles.

-Ecarte plus tes cuisses Susan... Lui intima Lana d'une voix en-rouée.

Lana était choquée mais se sentait obligée de lui obéir docilement.

Les doigts de sa tentatrice remontèrent encore jusqu'au fond détrempé de sa petite soyeuse culotte.

Elles en suivaient le bord, palpant doucement son monticule velu, et glissèrent enfin par le coté dans sa toison bouclée.

Lana promenait son majeur dans la fentine de Susan testant l'onctuosité de sa moule engorgée de cyprine.

Coulybaca
Coulybaca
103 Admirateurs