Susan la pute du bureau Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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Et comme elle ignorait même le sens des mots en patois!

Au bout de l'allée, Susan devait grimper un escalier escarpé pour gagner le bureau d'entrée.

Une douzaine d'hommes l'attendait là au pied des marches de métal, elle savait que les spectateurs pourraient facilement reluquer sous sa jupe, plusieurs d'entre eux confirmèrent ce fait en citant la couleur de son string, en commentant les formes de son cul rebondi et la couleur de sa foufounette.

Lorsqu'elle eut trouvé l'imprimé que Gary réclamait, elle dut retourner au fin fond de la "boite" subissant à nouveaux sifflets et commentaires sala-ces, sauf que les sifflets étaient encore plus nombreux et les commentai-res plus salaces.

Les mêmes douze hommes l'attendaient au bas de l'escalier.

L'un d'eux lui pelota rudement les fesses, Susan poussa un cri mais ne se retourna même pas.

Plusieurs mètres plus loin quelqu'un d'autre lui palpa sans vergogne les fesses, cette fois elle se retourna mais ne distingua pas qui était coupa-ble de ce geste déplacé.

Un ouvrier retroussa sa jupe dans son dos, exposant sa croupe dénu-dée.

Quelques caresses osées et une paire de claques sur les fesses plus tard, un ouvrier plus âgé, chauve s'approcha et empoigna son nichon droit au travers de sa brassière.

Lorsqu'elle parvint enfin au bureau du contremaître elle comprit qu'il ne servirait à rien de se plaindre des gestes obscènes qu'elle venait de su-bir en remontant l'allée.

*************************************

Plusieurs semaines après la visite de la "boite", Gary l'appela dans son bureau après le repas de midi.

Il regardait quelque chose sur son écran d'ordinateur.

Gary ne se servait jamais de cet ordinateur. Il l'appela qu'elle vienne re-garder ce qu'il visionnait, bien sûr tout en lui parlant il lui pelotait sans vergogne le fessier.

Elle portait un ensemble assez sophistiqué que Gary lui avait fait enfiler pour la nuit à venir, incluant une jupe bleue plissée et une veste, elle n'avait jamais porté de jupe aussi étroite et moulante.

Elle comprit qu'il regardait une vidéo. Elle reconnut un film de Demi Moore où elle tenait le rôle d'une strip-teaseuse. Elle aurait du savoir qu'il regardait un film chaud.

-Regarde bien sa façon de marcher... Comment elle se tient raide... Cela n'a rien à voir avec des pas de danse... Et maintenant com-ment elle danse.

Gary désignait les séquences en se servant de sa souris alors qu'une autre vidéo débutait.

-Et maintenant regarde bien cette vidéo de rap! Lui intima-t-il avec autorité.

Cette fois il s'agissait d'un simple clip de rap.

Susan en avait déjà vu sur MTV lorsqu'elle surfait pour trouver un canal l'intéressant, bien qu'elle ne goûta pas particulièrement ce genre de mu-sique.

Elle avait déjà remarqué la façon dont ces jeunes bimbos noirs s'exhi-baient, tortillant de la croupe, jetant leur pubis en avant, tout en écartant les cuisses de façon très suggestive.

C'est dégoûtant, pensait-elle dans son fort intérieur, il est vrai qu'elle n'était jamais restée plus d'une minute à les regarder sur ces canaux.

Mais elle n'avait jamais vu de chorégraphie telle que celle que Gary lui faisait découvrir.

Une jeune noire uniquement vêtue d'un string, le cul tourné vers la ca-méra, tortillant du croupion secouant ses fesses avec ardeur.

-Regarde comme elle remue du croupion... Comment elle se tortille!

-Pourquoi ne voit-on que ses fesses? Commenta Susan

-Elle doit vraiment être moche pour ne pas montrer son visage!

Elle fut légèrement désappointée en voyant Gary éteindre l'écran.

-Alors Susan, prête à retourner à la "boite"?

Bordel, Susan haïssait cet endroit.

-Dois-je vraiment y aller?

-Ouais... Phil va conduire un groupe d'employés à la boite. Ils organisent une petite fête pour la ligne de travail qui a produit les meilleurs résultats ce dernier trimestre! On a décidé de les ré-compenser de façon à les encourager à persévérer.

Susan s'enfonçait dans le siège du mini van de Phil entre Joe et Mick, les deux gars les plus gros.

Sans aucun doute ses collègues avaient maté sa courte jupe moulante lorsqu'elle était grimpée dans le véhicule.

Elle avait des difficultés à s'asseoir avec cette jupe fourreau, elle remon-tait jusque son entrejambes offrant aux quatre hommes assis sur la ban-quette avant et celle du milieu un remarquable point de vue sous sa jupe.

-Heureusement que j'ai mis une petite culotte aujourd'hui... pensait-elle soulagée.

-De toute manière tout le monde ici a déjà vu mon entrecuisses, même si je n'ai pas l"habitude de m'exhiber.

Sur le chemin de la "boite" Joe et Mick avaient tous deux posé une main sur ses cuisses, au-dessus de la frontière de ses bas, mais, de façon tout à fait surprenante ils ne poussèrent pas les choses plus loin.

Lorsqu'ils pénétrèrent dans la "boite" on les dirigea vers l'endroit où de-vait se dérouler la petite fête, dans une petite salle de réception sur le coté de l'allée centrale.

La salle était meublée d'une bonne dizaine de tables de cafétéria et de chaises pliantes, une paire de distributeurs de boissons et quelques pos-ters représentant des monuments nationaux s'affichaient aux murs, quelques poubelles, le sol était couvert d'une moquette sale et usée.

Susan s'approcha d'une barrique de bière, une douzaine d'ouvriers de la "boite" buvaient de la bière dans des timbales de carton, un mélange de blancs, de noirs et d'hispaniques en tee-shirts et jeans.

Une vingtaine d'employés mâles de différents services discutaient de ci delà, en majorité des hommes à la chevelure argentée.

Tous les yeux se tournèrent vers Susan lorsqu'elle entra dans la salle.

Elle était bien mieux habillée que tous ces gens, dans son fourreau étroit sur des bas beiges clairs et ses hauts talons noirs.

Gary capta l'attention de la salle.

Après un court discours condescendant au sujet de l'esprit d'équipe et de la productivité, Gary annonça :

-Il y a maintenant trois mois, lorsque j'ai annoncé ce concours, je sais que certains ont compris que le bonus promis aux premiers ne serait pas seulement constitué d'une prime financière et d'une fête, mais que la fête serait animée par une strip-teaseuse... Et lorsqu'à la moitié de la manifestation ils ont constaté qu'il n'y avait pas strip-teaseuse au programme, ils ont commencé à grogner... Mais notre employée Susan a décidé de se dévouer, et maintenant laissez moi vous présenter Susan!

La salle semblait crouler sous les applaudissements alors que Susan se figeait interdite.

-Avait-elle bien entendu? Il l'avait amenée ici pour faire un strip-tease! NON!

Mais lorsque Joe et Mick lui empoignèrent les deux bras pour la mener jusqu'à une grande table, elle escalada une chaise et se retrouva pous-sée sur la table.

Elle avait de la chance que depuis des mois elle marchait avec des hauts talons, sinon elle serait tombée.

Elle était hébétée, elle jetait des regards affolés sur ces frustes travail-leurs qui s'étaient assis sur des chaises autour de la table alors que le reste des mâles de l'assistance se tenaient derrière eux. Elle était affo-lée, éperdue.

Lorsqu'un lecteur de CD commença à diffuser un air de rap, elle entreprit de remuer ses épaules d'avant en arrière. Elle reconnaissait un des airs de rap d'une vidéo que Gary regardait assez souvent, elle supposa qu'elle devait se mettre à danser comme ces femmes évoluant sur ces vidéos.

Sous contrainte, Susan se mouvait avec raideur.

Sa jupe était si courte qu'elle savait que les hommes assis en contre-bas devaient drôlement se rincer l'œil.

Elle tenta de la rabaisser en tirant sur l'ourlet de chaque coté.

Mais comme un des noirs dans la foule hurla :

-Secoue-toi le popotin, tortille ton cul! En bonne soumise, elle leva les mains et dessus de la tête et claqua des doigts en rythme en tortillant des hanches.

Le résultat le plus immédiat fut que sa jupe remonta de 15 centimètres exposant son porte-jarretelles rouge.

Un fort sentiment d'humiliation maintenant familier montait en elle.

Il semblait qu'elle agissait maintenant comme dans un rêve, sans avoir véritablement conscience de ses actes, elle tortillait du cul alors que son corps ondulait érotiquement selon les vœux de l'assistance.

Elle avait les jambes largement écartées, les genoux fléchis ce qui ame-nait sa jupe à remonter encore et encore.

Elle balançait rapidement ses hanches caressant de ses doigts ses longs cheveux noirs.

Un vieux blanc complètement chauve assis au-dessous d'elle s'époumo-nait :

-A poil! Fous-toi à poil!

C'est exactement ce Gary attendait qu'elle fasse. Et lentement, pour le satisfaire, elle entreprit de déboutonner sa veste.

La foule des admirateurs réagit fortement en entrevoyant son soutien-gorge rouge et applaudit en la voyant ôter son blazer.

Son petit soutien-gorge de dentelle rouge moulait ses nichons exacer-bant ses mamelons alors que ses miches débordaient des bonnets, ils dansaient et se balançaient sur son torse.

Susan se posta dos tourné vers la foule et tortilla de la croupe comme les filles noires qu passaient sur MTV elle cherchait à les imiter au plus près.

Sa petite jupe étroite dévoilait maintenant plus de la moitié de ses fes-ses.

Les spectateurs trépignaient à la vue de ses bas rouges vifs, de son soutien-gorge coordonné à sa petite culotte, qui laissait les trois quarts de ses fesses à l'air. Ils rêvaient tous d'étreindre son magnifique cul.

Susan tendit le bras et dégrafa l'attache de sa jupe.

Elle tira lentement la fermeture éclair vers le bas, exposant une grande partie de sa parure rouge.

Même dégrafé sa jupe restait hyper moulante et elle dut la tirer par petits à coup vers le bas, jusqu'à ce qu'il glisse au bas ses jambes, elle s'en débarrassa alors d'un coup de pied chassé.

Elle dansait maintenant vêtue petit soutien-gorge de dentelle rouge, son shorty rouge, son porte-jarretelles rouge, et son bustier beige et ses hauts talons, Susan se retourna alors faisant face à la foule der ses ad-mirateurs.

Elle n'était pas un modèle au corps parfaitement découpé elle était juste une très jolie femme.

Elle avait un tout petit ventre arrondi. Ses hanches étaient juste opulen-tes, son cul trop rond, bien qu'il soit plus beau que celui de certaines danseuses qu'on voyait dans ces clips érotiques.

La foule semblait enchantée de ce qu'elle voyait et poussait des cris enthousiastes.

En dépit de sa répulsion elle sentait son corps s'exciter au vu de la ré-ponse enthousiaste de ses admirateurs.

Elle empoigna la ceinture de son shorty et le roula sur les hanches.

En dessous, elle ne portait qu'un string rouge, elle roula le shorty sur ses chevilles et l'enjamba souplement cuisses grandes écartées.

Son string n'était une bande soyeuse, enfoncée profondément dans sa chatte en son centre, moulant de façon fort suggestive son mont de Ve-nus.

Il était trempé de mouille, enfoncé dans sa fentine engorgée de cyprine.

Quelques poils bruns follets dépassaient au-dessus de son string et par les cotés.

Susan se retourna montrant à ses admirateurs sa croupe dénudée.

Elle secouait ses fesses comme une danseuse de bastringue noire tortil-lant du cul d'une façon incroyable pour une bimbo blanche.

Un hispanique trapu se leva un billet d'un dollar à la main. Elle ne com-prit pas de prime abord ce qu'il lui voulait, il baragouinait un patois hispanique incompréhensible.

Tout en dansant, elle se rapprocha du bord de la table et l'homme glissa le billet d'un dollar dans l'élastique de son string, elle frissonna en sen-tant sa main toucher sa chair dénudée.

Une paire d'autres travailleurs s'approchèrent leurs billets d'un dollar à la main suivit des autres spectateurs enthousiastes.

Ils glissaient des billets sous la bande de son porte-jarretelles, dans la bande élastique de ses bas, à l'avant à l'arrière de son string.

Ses nombreuses mains qui frôlaient ses charmes faisaient monter sa fièvre.

Le sommet de son nichon droit était maintenant à l'air libre depuis qu'un billet avait atterri dans le bonnet du soutien-gorge, une bonne partie de sa toison intime était maintenant exposée.

Un type tenta de glisser un billet dans sa raie du cul, c'est alors qu'elle vit Gary prendre des photos d'elle en arbre à billets, avec son portable.

Comme obéissant aux nombreux encouragements de se foutre à poil, Susan descendit la bretelle droite de son soutien-gorge, puis la gauche.

Elle dégrafa la fermeture entre les deux bonnets et l'ouvrit doucement avant de le laisser choir au sol.

Ses collines dodues pointaient sur son torse dansant au rythme de ses mouvements saccadés.

Elle était mortifiée de se voir tortiller des nichons pour une meute d'admirateurs en liesse, mais elle n'avait jamais reçu d'ovation aussi chaleureuse quoi qu'elle ait fait dans sa vie.

Elle accompagna ses mouvements de ses mains laissant ses nibards danser librement sous leurs yeux ravis. Elle secouait les épaules d'avant en arrière, ses seins se balançaient d'avant en arrière, les spectateurs étaient de plus en plus écarlates.

Susan se tenait sur l'extrême rebord de la table, elle roula lentement son string sur ses hanches dévoilant entièrement sa toison pubienne. Elle enjamba son string tombait sur ses chevilles, elle ne portait plus que son porte-jarretelles rouge, ses bas, ses chaussures et ses bijoux.

Comme elle dansait quasiment nue, elle vit plusieurs de ses admirateurs la supplier du geste de faire quelque chose.

Elle baissa les yeux et vit un de des spectateurs de type hispanique se branler frénétiquement la bite sortie de son pantalon.

Elle tortilla des hanches dans sa direction, il pointa sa mentule sur elle.

Il mimait un coït frénétique à 1 mètre d'elle, Susan était follement aussi gênée qu'excitée.

Puis elle vit un second spectateur se branlant sur le même rythme. Un des blancs à l'accent prononcé tendit la main et empoigna sa croupe.

Une grosse main noire recouvrit son nibard droit et le palpa rudement. Dès lors une bonne douzaine de mains palpèrent rudement ses charmes exposés.

Ils la descendirent de son piédestal, elle passait de mains en mains tra-versant de part en part la petite salle.

Elle se retrouva finalement au centre de la pièce. Elle ne voyait plus les gens qui assistaient au spectacle au travers des fenêtres.

Elle se sentait seule livrée aux mains de ces ouvriers malodorants, suants et moitié ivres.

Une main fouilla sa foufoune, un doigt s'engouffra profondément dans sa caverne.

Une autre main lui écartait les fesses en grand alors qu'un doigt fouineur s'enfonçait dans son trou du cul rétif.

Alors que d'autres mains palpaient ses nichons et son torse, Susan se tenait debout cuisses grandes écartées, des doigts fouineurs fouillant sa chatoune et son trou du cul, se touchant au travers du périnée.

Elle couinait, les suppliait d'arrêter, mais personne ne l'entendait dans le brouhaha.

C'est alors qu'un colosse noir l'empoigna par les cheveux.

Il était assis sur le rebord de la table, il la força à s'agenouiller face à lui.

Il la tenait par les cheveux alors qu'il extirpait sa grosse bite de son cale-çon.

Puis il lui empoigna la nuque à deux mains la forçant à ingurgiter sa grosse bite massive.

Susan ouvrit docilement la bouche en grand pour le recevoir servile-ment.

Elle devait distendre ses mâchoires au maximum pour admettre le champignon turgescent et plusieurs centimètres de mentule dans sa gorge.

Mais le colosse noir n'était pas satisfait pour autant.

Il se tenait debout, lui tenant la tête à deux mains la forçant à coulisser rapidement sur sa hampe, la baisant énergiquement en bouche.

Susan s'étouffait sur l'énorme bite chaque fois que son gland venait heurter le fond de son arrière gorge.

-Guck, guck, guck, guck... vagissait-elle la bouche pleine.

Ses nichons son cul et sa foufoune étaient pelotés par de nombreux amateurs alors qu'elle se tenait agenouillée entre les cuisses de ce co-losse qui la baisait énergiquement en bouche.

Sans aucun signe précurseur, la grosse bite explosa, lui projetant une énorme dose de foutre en pleine gorge.

La jeune blanche savoura chaque lampée, gargouillant alors qu'un mince filet de semence lui repassait par le nez, alors qu'une petite partie s'échappait à la commissure de ses lèvres.

Finalement il relâcha sa tête et la grosse bite mollissante glissa hors de sa bouche.

C'est alors qu'elle vit trois hommes de diverses couleurs se branler face à son visage.

Un jet de foutre s'écrasa sur sa joue gauche, puis un second sur sa joue droite et le dernier sur son nez.

Son visage dégoulinait maintenant de semence mâle.

Ils la relevèrent et la posèrent sur le rebord de la table. Un colosse de type hispanique engouffra son chibre dans sa chatoune, ses pieds repo-saient sur les épaules de son suborneur. On la força à tourner la tête vers la gauche, un blanc enfonça son épais braquemart entre ses lèvres.

Elle suçait une bite tout en se faisant baiser frénétiquement alors que plusieurs mains palpaient rudement ses miches.

-MMMPPHHHHHHH! MMMBBLLLMMMMMPH! Gémissait Susan en dépit de la bite qui la bâillonnait.

Une suite ininterrompue d'orgasmes la terrassait successivement sous les assauts de ces hommes.

-MMMUMMMMMUUMMMMMMM!

Enfin ils extirpèrent leurs bites de ses trous embrasés.

D'autres candidats la roulèrent sur le ventre, le cul pendant hors d'un co-té de la table, la tête de l'autre.

Une bite s'engouffra dans sa chagatte, une autre dans sa gorge.

Malgré tout le bruit environnant, elle pouvait entendre les bruits de chair des hanches de l'inconnu frappant sa croupe.

Les deux bites dans sa chatoune et dans sa bouche semblaient la labou-rer à l'unisson, sur le même rythme, elle poussait des grognements exta-siés à chaque coup de boutoir dans sa chatte.

-OUUUUWWWWMMMMPH!

Elle était quasiment dans les vapes, terrassée par de multiples orgas-mes quand elle sentit qu'on la relevait.

Ils la transportèrent hors de la cafétéria, dans l'usine, un grand nombre d'ouvriers la suivaient comme à la parade.

Ils la transportèrent quelque part dans les profondeurs de l'usine, remon-tant d'étroites allées, passant devant des machines extrêmement bruyantes, si bruyante que personne ne pouvait entendre ses cris alors qu'ils l'étreignaient fermement.

A chaque machine elle voyait de plus en plus d'ouvriers qui posaient leurs gants de travail et se joignaient à la foule de ses suivants.

Ils la jetèrent sur le dos au bout d'un large transporteur sur la bande de tissu qui roulait sur des rouleaux d'acier. Il était arrêté, son corps oscillait de droite à gauche alors qu'ils la positionnaient selon leurs vœux.

Elle leva les yeux sur le colosse qui l'avait emmenée ici et qui se tenait debout entre ses cuisses. Cet homme aux cheveux taillés en brosse por-tait un étroit tee-shirt sale qui lui moulait le torse, déboutonna son panta-lon extirpant une grosse bite non circoncise qu'il pointa sur la grotte fié-vreuse de Susan.

Susan se débattait, mais ses bras et ses jambes étaient maintenues si fermement par ses agresseurs qu'elle ne pouvait vraiment se défendre.

Ils applaudirent en voyant le gros coiffé en brosse plonger profondément sa mentule dans le tunnel d'amour de Susan, il plaça ses pieds sur ses épaules comme s'il s'agissait d'une poupée, et la laboura énergique-ment.

Elle jeta un coup d'œil circulaire.

Les nombreux ouvriers d'usine portaient des fringues graisseuses, avaient les cheveux grisonnants et les dents pourries, ils se tenaient devant de nombreuses machines outils extrêmement bruyantes.

Ces machines crachaient des flammes et de la fumée et pulsaient sur des rythmes totalement incohérents. Ce rythme que semblait adopter son baiseur. Ma combinaison des lumières fluorescentes du plafond, des flammes oranges et des voyants multicolores des machines faisaient baigner cet univers particulier dans une étrange luminosité diffuse.

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