Susan la pute du bureau Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Coulybaca
Coulybaca
100 Admirateurs

Lana se redressa et souffla :

-Embrasse mes nibards ma chérie!

Docilement Susan baissa la tête regardant fixement les nichons blancs aux larges aréoles brunes.

Susan les embrassa servilement puis les lécha lascivement.

Elle évitait les longs mamelons tendus, se focalisant sur ses larges aréo-les, mais la curiosité ne tarda pas à l'emporter et elle prit le téton droit en bouche, et le suça avidement.

-Mmmmmmm, t'es-tu déjà grouinée auparavant ma chérie?

-Non... souffla-t-elle timidement la tête encastrée entre les nibards de Lana.

-Tu t'en tires très bien la chérie... Caresse ma chatoune comme je caresse la tienne...

Susan posa à son tour sa main gauche sur la cuisse gauche de Lana.

Sa jupe était remontée très haut, Susan distinguait nettement la plus grande part de ses cuisses dénudées jusqu'à son porte-jarretelles.

Lana écartait ses cuisses en grand exhibant le fond de sa petite culotte de satin noir. Susan tendit la main entre ses cuisses accueillantes, sa main courut sur le haut de ses bas et se glissa dans l'entrejambe de sa petite culotte trempée de sa mouille.

Ce faisant Susan continuait de mignoter les nibards de sa partenaire, elle atteint une longue bandelette de poils drus bien taillés.

Elle doigtait maintenant sa chatte lubrifiée imitant en cela ce que Lana lui faisait.

Elles miaulaient toutes deux leur plaisir.

Lana se faisait plus agressive, elle embrassait Susan plus voluptueuse-ment, plus profondément, la doigtant avec tant de vigueur que sa chaise recula sur le plancher.

Il semblait à Susan que c'était un de ces hommes si agressifs qui la manipulait si rudement, mais pas une douce femme.

Lana pinçait ses mamelons tout en serrant fermement ses miches.

Elle empoigna une poignée de cheveux et pressa son visage contre ses nichons.

Lana se redressa soudain, elle retroussa sa jupe sur sa taille exhibant sa ceinture porte-jarretelles et sa petite culotte en dentelle noire alors que ses gros nibards pendaient hors des bonnets de son soutien-gorge noir.

Elle empoigna alors sa petite culotte et la roula sur ses chevilles exhi-bant sa toison châtain sombre.

Elle avait elle aussi la jupe retroussée sur la taille, elle saisit la main de Susan et repoussa sa chaise loin de la table de conférence, puis elle s'étendit sur la moquette et attira Susan à elle.

Susan ne s'attendait pas à tout ça, elle avait perdu tout contrôle de la situation et se laissa tomber sur la carpette juste au coté de Lana, sur le dos à moitié allongée sous la table de conférence.

Lana remonta la jupe de Susan bien au-delà de sa taille exhibant sa pe-tite culotte blanche et son porte-jarretelles coordonné. Elle empoigna sa culotte et la roula vivement sur ses cuisses.

Susan se montra tout d'abord fort hésitante, puis se laissa faire passi-vement laissant Lana lui enlever sa petite culotte

Lana était allongée à son coté, mais tête-bêche. Elle écarta les cuisses de Susan en grand, contemplant son chaton dénudé.

Lana se mit entre les cuisses de Susan alors que leurs jambes s'emmê-laient.

Lana se pencha en avant et se saisit de la jambe de Susan comme l'au-rait fait un lutteur professionnel.

Elle écarta ses cuisses exposant son entrecuisses sous les yeux de Su-san.

Elle pressa fermement sa toison contre celle de Susan se frottant contre son, bas-ventre.

-Ohhh... Couina Susan surprise.

-Uuhhh! Grogna Lana d'une voix enrouée.

Elle frottait sa chatoune contre celle de Susan, cette dernière répondait maintenant à ses caresses.

On aurait dit qu'elles baisaient, leurs entrejambes s'entrechoquaient, el-les roulaient l'une sur l'autre au sol, haletant et grognant comme des bê-tes et non pas comme deux femmes aussi sophistiquées qu'élégantes.

Susan avait espéré que cette femme se montrerait gentille avec elle, mais Lana se comportait avec autant de rudesse que ces hommes qui l'avaient maltraitée dernièrement.

Lana relacha Susan. Elle la repoussa sur le dos, Lana se redressa pla-çant ses deux genoux de chaque coté du visage de Susan l'enfourchant véritablement tête bêche.

Susan leva les yeux et vit la chatoune de Lana s'ouvrir sous ses yeux.

Elle avala sa salive sachant déjà ce que voulait Lana, mais lorsque Lana descendit sur son visage, Susan lui saisit les hanches et enfouit son nez dans la toison de sa partenaire.

Elle sentit le nez de Lana en faire de même dans sa cramouille, parcou-rant de la langue sa foufoune épanouie.

-MMMMMPHHHHHH... Marmonna Susan sous cette caresse.

Elle lécha de son mieux la fentine de sa partenaire comme enivrée par l'odeur et la texture de sa féminité.

Elle réagit aux léchouilles de Lana serrant les cuisses sur sa tête, s'ar-quant sur les talons pour mieux s'offrir à ses caresses.

Lana aussi réagissait sous les assauts de Susan qui lui bouffait le gazon, refermant fermement ses cuisses sur la tête de Susan.

D'une main Lana empoigna les fesses de Susan. Elle écarta sa fesse jusqu'au moment o elle dénicha des doigts son trou du cul, elle fit coulis-ser lentement mais sûrement son majeur dans son oeillet anal la faisant sursauter :

-Du calme chérie... Marmotta Lana la tête enfouie dans les poils pubiens de la chatoune de Susan.

Susan avait peur que ce doigt la blesse, mais alors que Lana l'enfonçait profondément dans son intestin, elle sentait croître son excitation.

La combinaison de la bouche de Lana lui fouillant la chatte et de son doigt farfouillant dans son anus la stimulait fortement.

-Fais-m'en autant Susan... Lui ordonna Lana.

Susan tendit les mains et s'empara des larges fesses de son aînée, elle trouva son trou du cul, pas très loin de son nez.

Elle pénétra aisément son goulot du doigt, Lana gémit alors que son majeur la forait profondément.

Les deux femmes se bouffaient réciproquement la chatte tout en se doig-tant, elles gémissaient et miaulaient haletantes.

Susan sursauta à peine en voyant la web caméra qui se dressait dans un coin, cette camera servait à tenir des téléconférences, elle était poin-tée droit sur Lana et Susan et un bouton rouge allumé indiquait qu'elle fonctionnait.

Susan savait que Gary ne voulait surtout pas manquer une chance de la regarder faire sur le web, mais elle se demandait combien d'autres per-sonnes étaient en train de les mater, où les materaient si cet épisode était gravé sur un disque.

Mais Susan se trouvait trop plongée dan son plaisir grandissant pour seulement voiler ses gémissements.

Les deux femmes gémissaient de plus en plus fortement.

Susan poussait des couinements aigus, et Lana des grognements plus sourds, plus rauques, étouffés qu'ils étaient par les poils de la chatte qu'elle butinait.

Lana picorait maintenant le clito de Susan d'habiles coups de langues, Susan dénichait seulement le clito de Lana.

Elles tortillaient toutes deux des hanches, serrant la tête de leurs parte-naires entre leurs cuisses.

-Whuuuuuiiiii... UUMmmmmmm... Mmummmmmmmm... Uurr-rggggghhhhh!

Un orgasme inouï submergea Susan, Lana bouillonnait jusqu'à ce qu'el-les s'écroulent toutes deux éreintées.

Susan se mit à sangloter, elle ressentait un combiné de honte, d'humilia-tion, d'éreintement et un peu de tristesse que son orgasme se soit dissi-pé.

Lana roula sur le flanc à coté de Susan, l'embrassant tout en la cares-sant lascivement.

Chapitre 9 : La punition.

Naturellement, le travail de Susan en souffrait.

Sa concentration son l'enthousiasme décrûrent grandement.

Gary l'avait menacé clairement de mettre en oeuvre son chantage si Su-san les quittait.

Ce n'était pas d'ailleurs dans la nature de Susan de saboter son boulot pour se faire vider, mais elle se disait que la boite ne pouvait pas lui faire grand chose si son boulot n'était pas transcendant, aussi laissait-elle fa-cilement la qualité de son travail décliner.

Lors d'une réunion de l'équipe, Byron semblait être particulièrement de mauvaise humeur

-On m'a rapporté ce matin que nous avons perdu l'affaire Benson... Notre contact m'a révélé que le mois dernier nous n'avons pas te-nu nos engagements ce qui leur a fait perdre un gros client... Aus-si nous ont-ils quitté... Je veux des réponses... Mick?

Mick s'éclaircit la gorge, il sentait comme tous les spectateurs que Byron était sur le point d'exploser :

-Benson nous a faxé un ordre le mois dernier, nous avons entré cet ordre dans le système, mais ils nous ensuite faxé un ordre contra-dictoire et le changement n'a pas été exécuté. Ce n'est que lorsque l'embarquement des denrées a été effectué que quelqu'un réalisa l'erreur.

-A qui ont-ils adressé le contre-ordre? S'enquérra Byron...

-Ummmm... Susan.. Répliqua Mick gêné.

Susan n'était pas sur ses gardes.

Une onde de la panique la parcourut.

-Oh non! Elle se souvenait avoir reçu ce contre-ordre maintenant!

Il était arrivé tard le soir, alors qu'elle venait subir une longue séance de baise avec Gary, elle avait décidé de s'en préoccuper le lendemain ma-tin, et s'était empressée de l'oublier!

Mais elle n'avait pas été consciente de son erreur jusqu'à cet instant, face à Byron, Gary et la plus grande partie du staff de vente. Elle rougit comme une tomate, les yeux de tous les assistants étaient braqués sur elle.

-Que s'est-il passé Susan? L'interrogea lentement Byron d'une voix contrôlée, lèvres tremblantes de fureur, la transperçant du regard au travers de la table.

-Um, Je ummmm... Balbutia la malheureuse qui ne s'attendait pas à cette attaque.

-QUE S'EST-IL PASSE? Hurla Byron d'une voix aiguë.

-J'ai juste OUBLIE... Répliqua Susan d'une voix tremblante.

-Tu as juste oublié un ordre de cet enculé de Benson? VIENS ICI! MAINTENANT! Hurla-t-il déchaîné, le visage aussi rouge qu'une betterave.

Susan sursauta violemment sur sa chaise, elle sauta sur ses pieds.

Tout le monde se taisait dans la salle de conférence.

Susan contourna la table et se posta face à Byron.

-A GENOUX! Lui enjoigna-t-il furibard.

Susan se jeta immédiatement à genoux devant la chaise de Byron.

Précipitamment, en fureur, il dégrafa sa ceinture et l'arracha de son pan-talon.

Susan pensa un instant qu'il allait la fouetter avec sa ceinture, mais il la jeta contre le mur avec un bruit sec.

Puis il déboutonna la braguette de son pantalon et le laissa tomber sur ses chevilles.

Il empoigna la nuque de Susan et attira son visage contre son entre-cuisse.

Susan se débattit un instant puis elle ouvrit sa bouche et prit la bite semi-érigée entre ses lèvres.

Simultanément Byron tira sa tête en avant et poussa violemment sur ses hanches. Il le fit ces gestes plusieurs reprises.

Il la baisait en bouche au centre en peine réunion dans la salle de confé-rence, il la baisait rapidement, violemment et avec fureur.

Susan étouffait sur sa bite, ce n'est pas qu'elle soit particulièrement lon-gue ou épaisse, mais Byron l'embrochait de toute sa longueur, son gland émergeant dans son arrière-gorge la soulevait de nausées alors qu'elle gargouillait à demi-étouffée.

-Guck guck guck guck!

Il ne lui fit pas longuement sucer sa mentule, pas plus qu'il ne gicla dans sa bouche. Il lui lâcha la tête et cessa de lui plonger son chibre dans la gorge :

-Sur la table! A genoux sur la table! Hurla-t-il déchaîné.

La stupide assistante de direction grimpa sur la table de conférence, sur les genoux. Sa mini-jupe avait remonté bien au-delà de sa taille, elle se tenait à genoux sur ses genoux dénudés.

Byron se releva, la bite toujours pendante entre ses grasses cuisses, il la poussa au milieu de la table face à l'extrémité nord de la table.

Il escalada à son tour la table et s'agenouilla dans son dos.

Son patron toujours aussi courroucé retroussa sa mini-jupe sur sa taille exhibant son petit thong rose. Mais ce n'était pas sa foufoune qui l'intéressait mais bel et bien son oeillet anal vierge.

Il pressa sa mentule lubrifiée de salive sur le goulot étroit.

-UEEEEEEEEEEEEE! NON! Couina-t-elle sous l'effet de la sur-prise.

-Ta gueule STUPIDE SALOPE!

-AAHHHHHHHHHHHH!

Progressivement Byron insérait sa fine bite dans on trou du cul vierge.

De grosses larmes ruisselaient le long de son nez tombant sur la table de conférence. Son décolleté baillait largement dévoilant ses nichons dénudés aux hommes qui lui faisaient face. L'autre moitié des assistants matait son cul et son patron qui l'enculait impitoyablement.

Le vice-président s'accroupit contre elle et entreprit de la couvrir comme un chien, la fourrant à raides coups de bites tout en haletant. Il se tenait dressé sur ses orteils, genoux pliés. Son pelvis cognait contre les fesses de sa proie à chaque coup de boutoir, il tendit la main vers son torse et tira l'épaule de son chemisier dénudant son nichon droit.

Alors qu'il pendait librement, Byron l'empoigna et entreprit de le pétrir.

Susan la tête basse était éperdue de honte alors que son patron rouge, comme une tomate la baisait comme un chien accroché à ses basques.

Ses cheveux décoiffés pendaient le long de son visage, et elle pleurni-chait.

Mais bientôt elle sentit des sensations érotiques naître dans son trou du cul. Elle ne resterait pas bien longtemps insensible aux délices de la so-domie.

Byron tendit la main entre ses cuisses et pampa sa foufounette. Il déni-cha son clito et le manipula aussi rapidement que rudement.

Susan sentit soudain monter un orgasme inattendu.

-OHHHHHHHHHHH... AAAAAAAAAAHHHHHH... Gémissait-elle involontairement, avouant son émoi.

Susan frissonna, redressa la tête faisant danser ses nibards sur son torse.

-OOOOOOOOHHHHHHHHHHHHH!

Elle sentit alors Byron cracher son foutre dans on intestin asservi, cette sensation provoqua la survenue de son orgasme, elle jeta son cul en arrière tout contre le pubis de son Vice-Président

-OOOHHHHHHHHHHHHHH mon DIEU!

Byron extirpa sa fine mentule de son trou du cul et projeta ses derniers jets de foutre sur ses fesses. Il essuya alors sa bite dans son thong et descendit de la table de conférence, abandonnant son employée punie cul nu sur la table.

-La réunion est remise, retournez à votre boulot!

Chapitre 10 : Susan et son mari.

Lorsque le mari de Susan grimpa dans le lit, Susan faisait semblant de dormir.

Elle savait pertinemment qu'il voulait coucher avec elle, et cela faisait longtemps qu'ils n'avaient pas fait l'amour.

Mais, une fois encore elle se refusait à se plier à cette corvée.

Ces derniers mois elle avait utilisé tous les prétextes : le mal de tête, la fatigue, ses règles... Tout pour dissuader son mari de lui faire l'amour.

En fait, sa chatte avait été sur-utilisée quasiment chaque jour.

Chaque jour après le boulot, chez elle, elle prenait une longue douche pour se débarrasser de toutes traces de ses débordements, pour cacher ses vêtements souillés de sperme et pour se déshabiller dans le noir afin qu'il ne puisse détecter aucune marque ni contusion.

Mais ce soir il refusait toute excuse.

Susan, à contrecœur se retourna laissant son mari la caresser et, sans enthousiasme elle empoigna sa bite.

Mais quels que soient les efforts qu'il déploie, lorsqu'il voulut insérer son doigt dans sa foufoune elle était plus sèche que le désert de Gobi. Il était impossible de feindre une certaine humidité.

Susan s'étendit sur le dos, espérant qu'elle serait suffisamment humide pour qu'il puisse la pénétrer.

Bordel elle n'avait aucun problème de lubrification au boulot, sa chatte était inondée de cyprine à la moindre caresse.

Elle pensait au jour ou Phil l'avait sautée dans son bureau, sa chatte avait été immédiatement gorgée de son jus, De même lorsque Gary l'avait bousculée sur son bureau, lorsque Lana lui avait butiné la foufoune, et même après une simple promenade dans le hall en tenue provocante elle avait du se rendre aux toilettes pour s'essuyer la chatoune qui débordait de cyprine, détrempant le fond de sa petite culotte.

Et maintenant, allongée dans son lit avec son mari elle sentait qu'elle commençait à mouiller, pas sous ses caresses, mais bel et bien après avoir évoqué ces moments où elle avait été prise contre sa volonté. En-fin ses sens s'étaient éveillés.

Son mari l'enfourcha rapidement et la pénétra.

Susan restait étendue dans le noir, yeux fermés, elle se revoyait bourrée par Louis l'ouvrier d'entretien, puis Gary lui léchant avidement le clito, Gary la fourrant face à un groupe d'assistants males. Rien que des mo-ments de soumission, des réminiscences humiliantes!

-Whhhhhoooooooooo... Haaaaaaooooooooooo... Gémit-elle.

Elle se mordait les lèvres pour e pas murmurer le nom de Mick.

-UNNNNNGGGGGGG!

Elle se tordait alors qu'un violent orgasme la terrassait.

Pas aussi intense que ceux qu'elle endurait au boulot, mais cela lui évi-tait de feindre du plaisir avec son mari.

Susan resta longtemps allongée sur le dos, yeux grands ouverts au coté de son époux endormi.

Bordel elle ne pouvait pas se réjouir de devoir baiser à nouveau avec lui à l'avenir.

Ces derniers mois elle avait succombé à des orgasmes d'une intensité inégalée avec son mari, et ce chaque fois qu'on l'assaillait et qu'elle se retrouvait désarmée, sans défense, humiliée et utilisée.

Chapitre11) L'usine

Revenant d'avoir dîné, Susan était penchée sur son patron, elle le suçait servilement alors q'il conduisait.

Elle savait que cela allait prendre un certain temps et il tournait en rond en attendant qu'elle termine sa pipe. Mais quand il éjacula dans sa bou-che et qu'elle eut fini d'avaler son foutre, elle se redressa et ne reconnut pas l'endroit où ils se trouvaient.

-Où sommes-nous?

On va s'amuser à la boite.

J'y ai rencontré les directeurs des opérations, la boite c'était le nom qu'ils donnaient à l'usine où était confectionné les produits qu'ils vendaient, elle se trouvait dans une zone industrielle à quelques 20 kilomètres des bureaux de la compagnie.

Susan n'était jamais venue ici.

Elle jeta un oeil sur l'équipement que lui avait personnellement acheté Gary, la jupe ressemblait à celles que portaient les gamines actuelle-ment, très courte et plissée et la ceinture au bas des hanches.

Sa brassière était minuscule, elle lui laissait le nombril à l'air, son décol-leté dévoilait le haut de son soutien-gorge rouge.

Un thong vert citron, jambes nues, hauts-talons, elle avait tout d'une pute.

Jamais elle n'aurait voulu rencontrer qui que ce soit dans cette tenue.

Vern le contremaître de la boite ne parvenait pas à détacher les yeux de Susan, accompagné de Gary ils firent le tour de la boite, c'était un bâti-ment ancien au plancher usé et sale.

Le bruit sourd et lancinant des machines et des moteurs diesels des ca-mions était assourdissant.

Dans chaque coin se trouvaient des ouvriers lorgnant Susan comme s'ils n'avaient jamais vu de femme auparavant.

Des posters de femmes dénudées aux bustes avantageux découpés dans des magazines pour hommes, étaient placardées sur les machines outils.

Susan était ébahie de voir que de telles choses puissent encore être to-lérées.

Quand ils arrivèrent au bureau du contremaître au fond de la "boite", Ga-ry ordonna à Susan de remonter au bureau d'entrée pour lui ramener u imprimé se trouvant dans son porte-documents.

Dès que Susan remonta l'allée de la "boite" sans les chefs les sifflets retentirent, tout d'abord une paire de sifflements discrets, mais il alertèrent tous les ouvriers qui vinrent la voir évoluer.

Tout d'abord assez sourds, des sifflements aigus ne tardèrent pas à supplanter le halètement des machines.

Les ouvriers abandonnèrent leur machine pour s'approcher d'elle.

Susan sentait cette bande de loups se refermer sur elle.

Elle pressa le pas mais cela ne fit qu'amplifier le balancement de ses ni-bards et souligner l'érection de ses mamelons, alors que sa petite jupe dansait de plus en plus dévoilant son cul dénudé.

Son passage s'accompagnait maintenant d'appels et de commentaires que Susan ne comprenaient pas, d'un part parce que le bruit était trop confus et par ailleurs parce que ces commentaires fleurissaient en diffé-rentes langues et dialectes.

Coulybaca
Coulybaca
100 Admirateurs