Motel

- Non! Tu verras, ce sera meilleur! »

Vers 20H30 elle me dit :

- Bon, maintenant on ne se verra plus avant 22h. J'espère que tu te feras belle pour moi? Je veux te voir un peu plus féminine que l'autre fois avec ton short. A tout à l'heure! » et elle me flanqua dehors.

Je fermais la réception vers 21h30. Les clients passeront par le distributeur automatique ce soir là. Je pris un bon bain, me rasais les jambes, les aisselles et me rafraîchissais le pubis. Après m'être oint le corps d'une pommade parfumée, je mis un string, une guêpière noire et des bas. Je mis une jupe très ample, de gitane, et me rendis le cœur battant à la chambre de la belle.

La porte était restée ouverte. Je frappais et entrais. Elle était dans la salle de bain.

- Attends moi. J'arrive! »

Elle apparut dans une robe fourreau en dentelle transparente. Elle ne portait dessous qu'une minuscule culotte. Près du lit, il y avait un seau à champagne. Me cœur s'emballa. Elle s'était habillée ainsi pour moi.

- Pas mal me dit elle en me voyant. Et moi! Comment me trouves tu? »dit elle en tournant sur elle.

Je m'approchais d'elle, pris ses fesses dans mes mains et l'embrassais fougueusement.

- Je vois que tu apprécies. Tu apprends vite mon amour. »

On s'installa sur le lit et tout et buvant le champagne on se pelotaient mutuellement. J'aimais de plus en plus son corps. Alors que l'on s'embrassait pour la énième fois, je redécouvrais ses seins son mes main, ses fesses et son ventre. Elle ne me laissait pas de répits elle non plus. Je la fis s'allonger sur le lit et ma bouche parcouru son corps à travers la dentelle blanche. Elle gémissait, ses mains plaquées sur mes fesses nues sous la jupe.

- Tu apprends vite mon amour! » dit elle à nouveau.

Je remontais alors le bas de sa robe. Elle m'aida à l'en débarrasser. Ma jupe disparut elle aussi. Je retirais son string et plongeais mon visage entre ses cuisses. Je retrouvais l'odeur enivrante de ses chairs et je me mis à la dévorer sauvagement. Elle me tenait la tête et m'encourageait par des cris et des paroles.

- C'est bon mon amour. Vas y! Mange moi, bouffe ma chatte brûlante! »

Son corps ondulait sous les assauts du plaisir. Elle jouit enfin et je bus sa délicieuse liqueur.

- Viens vite m'embrasser mon amour! »

Je lui offris le nectar de sa fleur dans ma bouche. Elle m'embrassa goulûment.

- Merci mon amour. Je t'ai promis une surprise. Sers moi un verre je reviens! »

Après un léger baisé, elle disparut dans la salle de bain.

- Je suis sûr que cela va te plaire. »

Elle ressortit de la salle de bain une minute plus tard drapé dans son peignoir. Elle s'approcha de moi alors que je lui donnais son verre. Elle le but d'un trait tout en maintenant son peignoir fermé de son autre main. Je restais là me demandant ce qu'elle pouvait bien mijoter. Je déposais le verre qu'elle m'avait redonné.

- Es tu prête? »

- Depuis ton arrivée, je suis prête à tout! »

- Surprise! » dit elle en écartant les pan de son peignoir.

Devant mes yeux ébahis apparut un puissant pénis en plastique blanc. Elle s'était fixée à la taille un superbe godemiché.

- Alors, mon cadeau te plaît? »

Je la regardais, souris et pour seule réponse, je posais mes lèvres sur l'engin. Comme je l'aurais fait pour un homme, je suçais le pieu en plastique remarquant sa similitude à ceux en chair.

- Qu'elle cochonne tu fais! Je vois que tu aimes. Je vais te prendre comme un homme. Allonge toi!»

Je me mis sur le dos. Elle retira mon string et alla boire à ma source à son tour. J'avais attendu ce moment depuis quinze jours. Elle me fit jouir avec panache. Elle s'agenouilla et se mit à frotter mon intimité du bout de son gland. Ma cyprine se déposa sur le sexe de plastique le lubrifiant ainsi. Elle le présenta ensuite face à ma vulve. Je m'écartais et elle le fit glisser dans mes chairs liquéfiées. J'étais aux anges. Elle se commença son mouvement de va et vient qui s'accéléra me faisant hoqueter à chaque coup.

- Hu, hu, hu. »

- Alors tu aimes? »

- Ho oui, c'est bon! »

- Tu aimes que je te bourre? »

- Ho oui, vas y défonce moi comme une chienne! »

Je jouis plusieurs fois sous ses assauts. Elle retira son phallus de ma grotte.

- Non, encore! J'en veux encore! »criais je de désappointement.

- Ne t'en fait pas mon amour! » dit elle en m'embrassant. « Allez, mes toi à quatre patte et offre moi ton cul. »

Je me retournais. Une langue coquine parcouru le sillon de mes fesses ce qui me donna un frisson. Elle remit l'engin dans son fourreau et reprit sa besogne. Je lui criais mon bonheur et l'encourageais. Heureusement que je ne plaçais personne autour de la chambre dans laquelle je pratiquais mon petit commerce.

Je sentis qu'elle commençait à s'intéresser à mon anus. Elle l'humidifiait avec de la salive mélangée de mes liqueurs. Un doigt puis deux me caressèrent le petit œillet bleu. Elle finit par les introduire et me dilater l'anus. Elle me sentait réceptive à sa caresse.

- Ma parole, tu aimes aussi par là! Mais tu es encore plus cochonne que je ne le pensais! Je t'aurais donné le bon dieu sans confession. »

- Ho oui, j'aime! Continue! »

- Le prochaine fois je viendrais avec mon gode à double tête. Je pourrais ainsi te prendre par les deux bouts. »

- Miam! »

- Qu'elle gourmande tu fais! »

Elle sortit son sexe de plastique et me pénétra l'anus. Il glissa facilement grâce à son travail préliminaire. Elle me sodomisa merveilleusement tout en m'agaçant le clitoris d'une main. J'eus plusieurs orgasmes. Cela faisait longtemps que je n'avais eu autant d'orgasme en une seule séance. Je finis par la repousser avant que je ne perde la raison. Sa bouche avide vint calmer mes douleurs. Elle avait dégrafé l'engin afin que je puisse lécher mes liqueurs. Je n'avais plus de force pour la satisfaire en retour. Je m'endormis dans ses bras. Elle me réveilla vers 5h du matin.

- Bonjours mon amour. Il faut que te retourne chez toi. »

- Ho, je suis désolée de m'être endormis. »

- Ce n'est pas grave. »

- Si, tu n'a pas eu autant de plaisir que moi. »

Elle m'embrassa goulûment.

- Te voir jouir, mon amour, me donne autant de plaisir que tu crois. Rien que croquer tes seins, lécher ton corps me font jouir intérieurement. Tu te rattraperas la prochaine fois. »

Il y allait avoir une prochaine fois. Je pris sa bouche et l'embrassais fougueusement montrant que j'étais heureuse avec elle.

- La prochaine fois tu viendras chez moi, comme cela on pourra dormir plus longtemps ensemble. Pour mon cachet, tu oublies et si cela te gêne, laisse moi ta robe en dentelle. Cela me permettra de patienter ton retour. »

- Prends la, je te la donne de bon cœur. »

- Au fait, ton mari est il au courant? »

- Il se doute que je m'envoie des femmes de temps en temps. Je l'ai connu pendant une soirée assez chaude et j'étais venue accompagné d'une femme. Au cours de la soirée, j'ai fais l'amour avec elle devant tout les invitées et le trouvant mignon, je l'ai fait aussi avec lui. On s'est marié ensuite mais je lui ai bien dit que si une femme me plaisait, je ferais tout pour coucher avec elle. On est claire la dessus et de temps en temps, il assiste à mes étreintes. Je te l'avoue que cela m'excite beaucoup. »

- Tu vois d'autres femmes? » lui dis je un peu jalouse.

- Non, tu occupes trop mes pensées, mon amour. Je n'honore même plus mes devoirs d'épouse et mon mari m'a posé des questions sur cet état de faite, sachant très bien qu'il y avait une fille la dessous. Si ça continue comme cela, il va falloir que je vous présente. Cela pourrait être sympa. »

- Peut être mais c'est toi que je veux! »

On s'embrassa encore langoureusement et je finis par la quitter à regret.

Elle repartit après avoir payé sa note et laissé un paquet contenant sa robe.

Je dois l'avouer que depuis l'arrivé de Irène dans ma vie, je n'éprouvais plus aucun plaisir dans les bras masculins. Je ne faisais plus que simuler afin de conserver ma notoriété. Les seules fois que je jouissais avec un homme, c'était le fait que je m'imaginais avec elle.

Ce ne fut pas le cas ce soir là.

Une homme blond, bien battit et bien bronzé arriva dans mon Motel. Sur le cahier de la réception, j'avais mis un choix supplémentaire « Digestif offert par la patronne et par ses soins ». Si la personne prenait ce choix, c'est qu'elle m'attendait à la fermeture de l'établissement. L'homme prit cette option.

Trouvant cet homme très classe, je mis se soir là, un chemisier en soie transparent, une jupe longue mais fendue jusque sur le haut de mes cuisses et des escarpins vertigineux. Je frappais à la porte de sa chambre. Celui-ci ouvrit la porte dans un superbe peignoir en soie et me fit le baise main.

- Vous êtes ravissante mademoiselle! Prenez donc un peu de champagne? »

Il mis un CD. Je ne fis pas attention à l'eau de la douche qui coulait dans la salle de bain. Une fois le verre finit, il m'invita à danser. Il posa directement ses mains sur mes fesses. Vive le string ficelle. Une culotte aurait rompu le charme. Au fur et à mesure de la danse je sentais son pénis gonfler sous le peignoir. Il était merveilleusement monté.

On dansa une deuxième fois et il retourna remplir les coupes de champagne. En s'asseyant sur le bord du lit, son pénis sortit de dessous le peignoir. Il resta ainsi. Je bus le verre cul sec et m'agenouillais près de lui. Il ne me quitta pas des yeux. J'ouvris ma bouche, sortis ma langue et la posais délicatement sur le dessus de son pénis décalotté. Un, deux et trois coup de langue et je l'avalais. Son corps tressaillit et il gémit. Je me mis à l'œuvre avec application. Il m'encourageait. Je pompais dessus. Je n'entendis pas l'eau s'arrêter de couler. J'avais les yeux fermés et je l'astiquais avec passion.

J'étais penché en avant, les fesses tendu et dansant au rythme de ma fellation. Je sentis que l'on retroussait ma robe. Etonnant, vu que je sentais bien deux mains qui caressaient mes cheveux. Deux mains, petites et froides, passèrent sur mon cul tendu. Je reconnu des mains de femmes. Je recrachais le pénis et regardais dans mon dos. Il y avait une superbe blonde aussi bronzée que mon amant, dans un déshabillé en dentelle, à genoux me pelotant les fesses.

- Ne vous arrêtez pas ma chère? »

Je repris mon œuvre un peu interdite.

- Est elle bonne suceuse mon cher époux? »

- Elle est divine! Elle n'est pas loin de vous ma chère! »

- Ha bon! »

Un doigt glissa sur ma grotte humide.

- Elle me semble prête à vous accueillir mon amour! »

- Est elle bonne? »

- Attendez! »

Une langue glissa sur mes chairs liquéfiées.

- Nectar divin! Cela vous dérange que je m'en délecte un peu avant tout mélange? »

- Faites donc ma mie! Abusez en si vous le voulez! »

Je sentis ses mains me débarrasser de mon string et une langue vorace attaqua ma vulve. Je criais la bouche emplit du sexe du mari. J'avais affaire pour la première fois à un couple.

La belle n'était pas à sa première expérience féminine. Elle me suçait aussi bien que Irène. J'avais du mal à situer sa langue tellement elle virevoltait dans mon sexe. Elle me fit jouir très vite et lui éclata dans ma bouche. Je bus avidement son sperme.

Elle abandonna mon clitoris pour venir m'aider à lui redonner de la vigueur. Malgré notre acharnement, celui-ci resta bas. Il était un peu dépité.

- Je crois, ma chère, que l'on va se passer de ses services pour l'instant. » dit le femme.

- J'en ai bien l'impression! »

Elle alla près d'un grand sac et se mit a fouiller. Je me relevais à mon tour. Ma jupe se remit en place cachant mes charmes. Je vis mon string blanc, gisant sur le sol.

- Voyons! Où es tu mon petit amour? »

Elle sortit un godemiché ceinture.

- Pas maintenant! » dit elle. « A te voilà mon coquin! »

Elle sortit un godemiché à double tête en plastique souple, rouge et transparent. Il semblait se tordre à la base. Elle me regarda triomphalement.

- Voilà ma chère! On va pouvoir continuer toutes les deux! ».

Elle fit un signe à son mari qui quitta le lit pour se carrer dans le fauteuil avec une coupe de champagne, le pénis toujours sortie. Au passage, il prit mon string et le portait de temps en temps à ses narines, le humant avec bonheur.

Elle s'approcha du lit. Elle s'installa dessus et se mit à lécher l'un des bouts du gadget. Je défis le lien qui retenait ma longue jupe. Celle-ci chut à mes pieds. Le bas du corps nue, je rejoignais la splendeur blonde sur le lit. Je pris l'autre extrémité de l'engin et le léchais également. On s'appliquait avec avidité. Le mari se caressait le pénis qui avait du mal à prendre de la vigueur.

On était proche l'une de l'autre les cuisses grandes ouvertes. Je reluquais sa petite touffe blonde et l'humidité de sa chatte. J'y avançais ma main et caressais son intimité brûlante et humide. Elle gémissait sous ma caresse. J'introduis deux doigts dans sa chatte et la masturbais rapidement. Une main prit possession de ma chatte et la belle me prodigua le même plaisir en retour. Nous gémissions la bouche occupée par l'engin en latex.

On s'installa ensuite, l'une en face de l'autre, nos cuisses ouvertes et nos jambes entrelacées. J'embrassais enfin cette bouche qui m'avait déjà fait jouir d'une merveilleuse façon. Elle m'aida à introduire le godemiché en moi et s'introduit l'autre bout en elle. Nos bassins se mirent alors à danser la danse de saint gui, nous pénétrant ainsi du pieu à double tête. C'était divin comme sensation.