Motel

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Une gérante de Motel offrant des services particuliers.
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romane
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Un jour, j'eus la surprise de recevoir, en héritage, un Motel dans le sud de la France. Cela me venait d'un cousin très éloigné avec qui j'avais eus une aventure. Il avait 20 ans de plus que moi, mais il avait été tendre et bon amant. Notre aventure s'arrêta le jour ou sa femme revint de l'hôpital. Elle était gravement malade et notre aventure avait du lui faire du bien dans son chagrin. Elle mourut 2 mois plus tard. Je le consolais une dernière fois sur le canapé du salon le soir de l'enterrement. On ne se revit pas, lui préférant garder un bon souvenir de sa femme et de moi.

L'annonce de sa mort me rendit mélancolique toute la journée. Je ne savais pas sur le moment ce que j'allais faire de ce motel. Je réfléchie pendant une semaine sur ce que j'allais faire. Mon métier de photographe me laissait du temps afin de m'occuper de ce Motel.

Un jour de Juin, je descendis prendre possession des lieux. C'était un motel semblable à ceux que l'on trouve aux Etats-Unis. Cela avait été son rêve et il l'avait réalisé à la mort de sa femme, permettant ainsi de repartir sur de nouvelle base. Le notaire me donna les clés et les livres de comptes. Je les épluchais et constatais que ce n'était pas mirifique. On était éloigné de l'autoroute bien que sur une grande nationale. Il travaillait beaucoup avec des vrp et des routiers. Dans le coffre, je trouvais des photos de sa femme, ainsi que de moi prise au lit à notre insu. Sa femme avait été une très belle femme et me ressemblait un peu d'où la passion qui nous a emporté. Il y en avait d'autre au bord d'un lac de sa femme. Elle acceptait de se faire photographier nue et mon cousin avait du talent. Il y avait d'autre nue de femme, aussi belle les une que les autre et de moi. Je fis un album et les rangeais en souvenir.

Je fis le tour du propriétaire et entamais quelques travaux avant la réouverture.

Les clients habituels revinrent. J'étais obligée de casser les prix afin de garder un peu de clientèle. Je laissais de temps en temps le Motel en gérance à une femme qui avait bien connut mon cousin (elle était dans le lot des photos), le temps que je monte à Paris pour quelques séances de photos. Celles-ci m'étaient d'un grand secoure en fin de mois.

Mon affaire commença à prendre de l'ampleur au mois d'Août, grâce à une personne de passage.

Un homme de 50 ans s'arrêta un soir début Août et pris une chambre. Un ami lui avait parlé du Motel et de sa charmante directrice. Ce n'était pas un canon de la beauté, avec son crâne dégarni et son petit ventre, mais la façon dont il me déshabillait du regard me mis mal à l'aise. Il rejoignit sa chambre à mon grand soulagement. Il faisait si chaud que je ne portais qu'un string blanc sous a robe d'été.

J'étais tranquillement assise derrière le comptoir regardant une redif d'un feuilleton lorsque celui-ci revint à l'accueil.

- Tout va bien mademoiselle? »

- Oui! Et vous! Pas de problème? »

- Aucun mise à part que je m'ennuie. J'aimerais avoir un peu de compagnie. » me dit il d'un air entendu.

- Pardon! »

- Ben oui, quelqu'un avec qui discuter et peut être plus. » me dit il avec un clin d'œil.

Il cherchait une pute le saleau.

- Il n'y a pas de ça ici, monsieur! » lui dis je interloqué.

- Je peux payer 5000 f si il le faut. »

- Je suis désolée monsieur! »

Il quitta la pièce et sur le pas de la porte il me dit.

- Réfléchissez mademoiselle! 5000 f pour un peu de tendresse! Ma porte reste ouverte! »

Il me laissa, moi envahi de doute. Je n'allais pas céder à ce saleau et pourtant 5000 f, ce n'était pas rien. J'avais déjà couché avec des hommes que j'aimais pas pour rien, que par amour pour un certain amant de l'époque. Lui n'était pas pire que les autres, moins aviné surtout.

A10h je fermais le motel. Sur le chemin menant à ma maison, je vis de la lumière chez lui. Je pris une douche et alors que je me séchais, je vis qu'il ne dormait toujours pas.

5000 balles, merde, pour un peu de tendresse. Je renfilais mon string, ma robe et sortis comme un automate. Je m'arrêtais près de sa porte le cœur battant. Comme dans un rêve je frappais la porte.

- Entrez! » entendis je.

J'entrais dans la chambre. La porte n'était pas fermée. Je la bouclais derrière moi. J'entendais la douche couler. Il y avait une liasse de billet sur la commode. Je ne savais quoi dire.

- J'ai vu de la lumière et je me suis demandée si il y avait un problème. »lui dis je malgré moi.

La douche s'arrêta de couler et je l'entendis sortir.

- Plus maintenant! »dit il en sortant de la salle de bain le bassin drapé dans une serviette. « Whisky ma chère? »

Pourquoi pas. Il me fallait un peu de courage pour sauter le pas. Il me tendit un verre.

- Venez dans la lumière que je vous vois un peu mieux! »

La lumière de la table de chevet lui dévoilerait ainsi mon intimité à travers ma robe. Je lui obéis et écartais légèrement mes jambes

- Humm. Tout ceci est merveilleux. Vous ne savez pas le plaisir que vous me faites. » Il tapota le lit près de lui. « Venez près de moi que l'on parle un peu ma belle. »

On se mit à discuter et je finis par trouver sa conversation intéressante. J'étais maintenant tout à fait détendu, surtout grâce au troisième verre de whisky. Pendant tout ce temps là, je n'avais pas remarqué la bosse sous la serviette. Je finis parla voir. Je n'étais pas là que pour l'écouter parler. Il était temps de gagner un peu d'argent.

Je posais le verre que je venais de boire d'un coup sec. Je déboutonnais quelques boutons dans le bas de ma robe et croisais mes jambes dévoilant ma peau douce le plus haut possible. Ses yeux roulèrent dans leurs orbites et je vis la bosse tressaillir. J'avançais une main tremblante vers celle-ci et quand je la touchais, je le vis trembler de tout son être. Je caressais doucement la bosse à travers le tissu de la serviette. Des mains tremblantes déboutonnèrent le haut de ma robe dévoilant ma poitrine généreuse. Il se mit à la pétrir avec douceur. Cela faisait longtemps que des mains autres que les miennes, ne les avaient pétris. Je soupirais de bien être.

Je tirais alors sur la serviette dévoilant son pénis arrogant. Je le branlais alors qu'il me léchait les seins en grognant. Il avait une taille dans la moyenne. Je mouillais comme une folle. Il grogna plus quand il s'en rendit compte en glissant un doigt sur mon string au niveau de mon pistil. Je gémissais sous sa langue et son doigt.

Il n'y avait pas d'autre alternative. Il devait me baiser maintenant. Je me levais, et retirais ma robe et mon string. Il se passa un préservatif. Je souhaitais le chevaucher en premier. Je le poussais en arrière et grimpais sur lui. Je guidais son pénis en moi. Cela me changea du godemiché et du vibromasseur. Il me prit les seins alors que je me lançais dans une furieuse cavalcade. Cela faisait trois mois que je n'avais fait l'amour avec un homme et je me donnais à fond. Je jouis une première fois.

Il me fit basculer sur le lit. Je compris qu'il désirait me prendre en levrette. Je m'agenouillais et me laissais prendre ainsi comme une chienne en chaleur, ce que j'étais devenus. Je jouis à nouveau. J'avais un excellent amant sous la main, malgré son ventre et sa calvitie. Je sentis qu'il jouissait à son tour. Notre étreinte fut rompu. On était tous les deux sur le dos, reprenant notre souffle. Je vis que son sexe n'avait pas encore perdu de son ardeur. Je le pris dans ma main et le caressais.

- Ho, quelle cochonne tu fais? Jamais je ne l'aurais cru en te voyant derrière ton comptoir. »

- Je veux encore sentir ta bite en moi! » lui dis je en le regardant et en léchant mes lèvres.

Ce fut moi qui lui passa son préservatif et je l'accueillit entre mes cuisses et mes bras. Il me pourfendit avec vigueur. Il jouit et s'endormit.

Je récupérais mes vêtements et le quittais en oubliant de prendre mon dû.

J'étais rouge comme un pivoine lorsqu'il vint me payer la chambre le lendemain.

- Bien dormit monsieur? »

- Excellemment. Il y a longtemps que je n'avais pris un aussi bon somnifère. »

- J'en suis heureuse pour vous. »

Il me paya la chambre et me tendis une enveloppe bien fournit.

- Vous avez oublié votre dû hier soir. J'y ai rajouté un plus pour le service. Je ferais de la publicité pour votre établissement et je reviendrais pour les charmes de la patronne. »

Il me fit le baise main et quitta la pièce le cœur léger tout comme moi dans la nuit. J'avais eu 1000 f de plus.

Je ne l'ai pas cru lorsqu'il m'avait annoncé qu'il me ferait de la pub. Je gardais un bon souvenir de son passage et cela me suffisait. J'avais matière à fantasme lorsque je me retrouvais seule le soir avec mon godemiché.

Une semaine plus tard, je commençais à recevoir des réservations. L'homme m'appela et me demanda comment cela se passait. C'était extraordinaire. J'avais du monde tous les soirs. Il me dit que certaine personne me demanderait un petit supplément pour un tarif moindre que le sien. Il leur avait vanté mes mérites. J'hésitais un peu et me finit par me résoudre. Cela mettrait du beurre dans les épinards.

Je me mis donc à avoir régulièrement des amants. Il y avait un tarif de base, mais il me donnait toujours un plus. Avec l'argent que je gagnais, je m'achetais une nouvelle voiture, pas trop tape à l'œil, des vêtements et un peu de lingerie qui plaisait beaucoup à mes clients. Le must restait le string et le porte-jarretelles. Certains préféraient me regarder me caresser et me masturber avec mon godemiché ou mon vibromasseur. Ils se masturbaient comme des furieux me regardant jouir sans qu'il n'y ai de contact entre nous.

Un jour, une femme magnifique arriva. Elle me prit une chambre. Cela faisait quinze jours que je n'avais usé de mes charmes. Cela me donnait un peu de répit. Même si je suis une femme, je ne pus m'empêcher de regarder ses fesses moulées dans son jean lorsqu'elle quitta la réception. En la voyant, je revis ma copine Nathalie avec qui j'avais eu ma seule aventure saphique. Une fois que j'eus bouclé la réception, j'allais prendre un bon bain dans mes appartement. Il y avait encore de la lumière chez la femme. Dans l'eau du bain, je me remémorais mon aventure avec Nathalie, d'abord fait de chaste baisé, puis de soupe de langues passionnée et un soir de révision, on s'était mutuellement caressée et branlée afin de faire tomber la tension. Ce fut ma seule expérience saphique et plusieurs fois j'avais rêvé d'elle en voyant un couple de fille se caresser et se lécher. J'avais souvent fait des photos avec des lesbiennes, mais jamais je ne les avais rejoins dans leurs ébats.

J'étais ainsi, dans mes réflexions, mes caressants doucement lorsque le téléphone de l'accueil sonna. Et Merde, jamais tranquille. Je sortais de l'eau sans me sécher et pris le combiné. C'était la femme.

- Pouvez vous venir s'il vous plaît, j'ai un problème de plomberie? »

- Tout de suite madame. »

Bizarre. La plomberie était neuve dans sa chambre. Je me séchais rapidement, passais un string, un short et un tee-shirt. Je frappais à sa porte, les cheveux encore humides.

Le porte s'ouvrit sur elle vêtu d'un peignoir.

- Entrez! Ho vous avez les cheveux mouillés! » dit elle me voyant.

- J'étais dans mon bain. »

- Pardon pour le dérangement. »

Elle me donna une serviette. J'enroulais mes cheveux dedans. Je ne vis pas le renflement au niveau de son bas ventre. Elle m'indiqua la salle de bain.

Il y avait effectivement un fuite, légère. Je mis un seau afin que la salle de bain ne sois pas inondé.

- Je peux vous donner une autre chambre si vous le voulez. »

- Cela ne sera pas nécessaire! Je vous remercie de votre diligence. Vous voulez boire quelque chose. »

- Un doigt de whisky, merci. »

Je la retrouvais dans la chambre tenant deux verres dans les mains.

- Roger était en dessous de la vérité. Vous êtes magnifique mademoiselle. »

J'étais interloquée. Qui était ce Roger. Je devinais qu'il pouvait s'agir de l'homme qui était la cause de mon sucée. Je pris le verre qu'elle me tendait.

Sa compagnie était très agréable. On parla un peu de tout et de rien. Elle était mariée, sans enfant, et passait beaucoup de temps sur les routes.

Je finis mon deuxième verre et m'apprêtais à prendre congé. Je me levais et je vis qu'elle me regardait avec une lueur particulière au fond de ses yeux.

- Roger m'a dit que vous accordiez, à certains clients, voyons, vos faveurs, ma chère? »

Je rougis.

- Heu, cela m'arrive effectivement, mais ce sont de très proches amis. » balbutie je de peur d'être surprise par un agent de police.

- Vu votre beauté, je suppose que ceux ci son ravis de vos services? »

Certain d'entre eux m'avaient offert des sous vêtements coquins et d'autre quelques bijoux.

- Heu, pour des amis, ils sont enchantés de ma compagnie. »

- N'ayez pas peur! » me dit elle me sentant sur la défensive. « Je ne suis pas de la police. Je me doute que vous ne jouez pas aux cartes avec eux?»

Elle vit que je me détendais.

- Voilà, c'est mieux! Avez vous offert vos charmes qu'à des messieurs? »

Où voulait elle en venir?

- Il reste mes principaux clients. Rare sont les femmes qui fréquentent mon établissement. »

- Eprouvez vous un quelconque dégoût envers elle? »

- Pas du tout, bien que je ne sois pas une connaisseuse envers le sexe faible. »

- Ha bon! J'ai bien sentis votre regard sur mes fesses tout à l'heure quand j'ai quitté votre office! »

Je me sentis rougir jusqu'à la pointe de mes oreilles. Elle rit de bon cœur.

- Mes fesses vous ont plu? »

- Oui! » dis je timidement.

Elle se leva et se rapprocha de moi. Je sentais son parfum qui m'enivrait et la chaleur de son superbe corps.

- Voulez vous mieux les voir? »

Je la regardais prise de panique.

- Et votre mari? »

- Laissez mon mari où il se trouve! C'est moi qui suis là! Alors vous voulez voir mes fesses? »

Elle retira la ceinture de son peignoir et celui-ci chut à ses pieds. Elle avait ce geste le plus naturellement du monde. Elle se retrouva nue. Elle avait un corps merveilleux. Une poitrine qui appelait des lèvres et une langue, un pubis presque imberbe et un cul, ho quel cul.

- Alors! Est il semblable a ce que vous vous imaginiez? »

Je hochais la tête.

Elle me prit une main et le déposa sur sa hanche.

- Avez vous peur de moi? »

- Non! »

- C'est peut être la première fois qu'une femme s'offre ainsi à vous? »

- Oui! Non! Mais il y a bien longtemps quand j'étais encore étudiante avec ma meilleur amie. »

- Vous avez ressentis quoi alors? »

- Beaucoup de plaisir si je m'en souviens. »

- Plus rien depuis? »

- Non, plus rien, malgré les tentations du par mon métier de photographe de charme. »

Elle se rapprocha encore plus de moi et posa un baisé sur mes lèvres. Ma main tressaillit sur sa hanche mais je ne la retirais pas. Elle sourit et sa bouche se posa à nouveau. Elle devait être ravi de ne pas m'avoir vu partir en courant. Une main prit ma hanche et força mon corps à ce coller au sien. Sa langue glissa doucement dans ma bouche. Je fermais les yeux et me retrouvais avec Nathalie. Je posais mon autre main sur l'autre hanche et m'abandonnais au baisé. Elle embrassait mieux que certains hommes, beaucoup mieux. Elle me tenait dans ses bras. Sa bouche me quitta. Elle me regarda souriante.

- Cela vous a plu? »

Je la regardais longuement, les yeux fiévreux et pour toutes réponses, je l'embrassais à mon tour mais plus ardemment.

Ses mains se mirent à bouger et glissèrent sur ma poitrine nue sous le tee-shirt. Je pétrissais son superbe cul, glissant de temps en temps une main entre ses jambes qu'elle m'ouvrait sans retenu. Elle mouillait autant que moi. Elle me débarrassa de mon tee-shirt alors que je déboutonnais mon short. Nos bouches finirent par se désunirent et elle attaqua voracement ma poitrine. Je gémissais. Une main glissa sur mon string. Elle grogna lorsqu'elle sentit la moiteur de mon entre cuisse. Je me tenais à ses fesses pendant qu'elle dévorait mes seins et me branlait sous le string. Je jouis ainsi.

Elle me fit allonger sur le lit et retira ma culotte.

- Humm, cela fait longtemps que je ne me suis aussi bien régalée. » dit elle. « Je vais te donner du plaisir ma belle et tu vas aimer cela. »

Sa bouche plongea entre mes cuisses et une langue vorace me lécha mon intimité. On n'avait pas été jusque là avec Nathalie. C'était nouveau et j'aimais beaucoup. Mes cris de plaisir l'encouragèrent à sa besogne. Quelle sensation de sentir une langue glisser dans la partie la plus intime de sa personne. Aucun de mes amants n'avaient été aussi bon à ce jeu. Je jouis encore sous sa langue. Elle ne me lâcha pas. Je sentis une odeur bien particulière près de mes narines. J'ouvris les yeux et vis son superbe pubis. Je saisis ses fesses et lui prodiguais le même supplice. Je dévorais, léchais, mordais, avalais tout ce que je pouvais. Nos deux corps s'agitaient violemment sur le lit. Je finis par avoir mon orgasme et le sien ne tarda pas non plus. J'étais détruite par tant de plaisir. Je somnolais un peu et regardais l'horloge. Il était déjà 2h du matin. La belle dormait. Cela faisait 4h que l'on était ensemble. Je me rhabillais et quittais sa chambre. Je me masturbais violemment avant de trouver le sommeil.

Elle me paya le lendemain et me donna un superbe pourboire.

- Je reviens dans quinze jours. Réserve ta soirée mon amour! »

Il n'y avait personne dans les parages. On s'embrassa tendrement.

Le soir de son départ, je fouillais dans les cartons que je n'avais pas encore défait, une cassette vidéo qu'une amie m'avait offerte, pensant me faire basculer dans le saphisme. Je l'avais regardé à l'époque et cela n'avais éveillé en moi qu'un léger frisson. C'était une cassette qu'elle avait faite avec une amie à elle. Bien quel soit marié, elle s'adonnait régulièrement au saphisme et je soupçonne son mari d'assister à ses séances.

Je la trouvais. Je pris une bonne douche et nue dans mon canapé, je regardais la cassette. Je ressentais ce qu'elles éprouvaient maintenant et je me caressais comme une folle. Chaque fois que je fermais les yeux, je voyais mon amante de la veille.

Les quinze jours me parurent une éternité. J'eus quelques aventures, mais je ne pensais plus qu'à elle. Le jour dit, je n'eus aucune nouvelle. Deux jours passèrent sans aucune nouvelle. J'étais désappointée. Elle avait du m'oublier.

Elle arriva le troisième jour en fin d'après-midi. Elle arriva à la réception dans une robe d'été légèrement transparente. Il y avait du monde. Je contenais difficilement ma joie. Elle signa le registre et quitta la pièce après m'avoir adressé un clin d'œil avec un superbe sourire. Je vis ses fesses, que je connaissais trop bien maintenant, à travers sa robe. Je vis qu'elle avait mis un mot sur le registre. « J'ai une surprise pour se soir. Je t'attends avec impatience. Je mouille depuis ce matin. »

Le téléphone de l'accueil sonna. C'était elle.

- Pouvez vous venir mademoiselle! Il y a un problème! »

Je me précipitais. Une fois la porte fermé, je me jetais dans ses bras et l'embrassais goulûment. J'en tremblais de joie. Je quittais sa bouche accueillante.

- Oh, je ne t'espérais plus! Tu m'as beaucoup manqué! »

- A moi aussi mon amour! »

- Je ne sais si je pourrais attendre 22 heures! »

Elle glissa sa main sous sa robe. Elle en ressortit un doigt humide.

- Tiens! Pour te faire patienter! »

Elle glissa son doigt humide de sa liqueur dans ma bouche. Je le suçais avidement et la quittais à regret.

- A ce soir! »

22 heures arriva lentement, surtout qu'elle prenait un malin plaisir à faire monter la pression. Elle m'appela plusieurs fois. On se retrouvait immanquablement dans les bras, nous pétrissant les corps en fusion. A la fin, elle m'attendait nue. Je n'avais qu'une envie, y glisser ma langue mais elle m'en empêchait.

- Non! Attends ce soir! »

- Je veux te boire! »

romane
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