Marcus l'amateur de jeunes asiates

La repoussant contre le mur il la dépouilla de son corsage tout en commentant :

- "Bordel, ton uniforme est drôlement taché! ... Débarrasse-t'en et jette le sur le haut du lit! ..."

Son uniforme gisant sur le sol, elle frémit alors qu'il lui plaçait un genou sur son grand lit, elle tremblait de peur alors qu'il la disposait à sa convenance sur le haut du lit.

- "S'il vous plaiiiiiiittttttttttttt... Je vous en supplie..... Ne me faite pas de mal! ...." se lamentait-elle pitoyablement.

Elle frissonna en sentant sa main rugueuse caressait sa cuisse dénudée.

- "Ce que sa peau est douce et crémeuse! .." S'extasiait Marcus se réjouissant de la voir frissonner sous ses caresses.

- "Je sens qu'on va bien s'amuser tous les deux! ..." ricana-t-il cruellement.

Il se félicitait de sa bonne fortune alors qu'elle larmoyait misérablement :

- "S'il vous plait... Je vous en prie... Je n'ai jamais... Je n'ai jamais appartenu à un homme auparavant! ...."

Il plaqua sa grosse main rugueuse se plaqua sur la face interne de ses cuisses, puis il caressa du pouce sa foufoune affolée tout en gloussant:

- "Ah, uh... Ouiiiii... Ne t'inquiète pas! ... J'adore dépuceler les jeunes vierges! ..."

- "Oh, mon Dieuuuuuuuuu... Je vous en prie. Je vous en supplie.... Ne me violez pas .... Je vous en prieeeeeeeeee! ...." pleurnichait Gwen alors que son infâme agresseur ne cessait pas de la peloter et de la caresser.

Il lui ordonna d'enlever ses hauts talons, craignant que lui désobéir le mette en fureur, elle obéit servilement conservant le secret espoir qu'elle pourrait ainsi l'amadouer, elle recula sa jambe droite et projeta sa chaussure au sol.

Puis tout doucement elle fit de même avec sa chaussure gauche, elle cherchait dans son esprit comment arriver à fuir cet impitoyable assaillant.

- "C'est très bien... Très bien... Je vois qu'on va s'entendre! ..." ironisa-t-il hilare.

Gwen jouait avec le bouton de col de son chemisier blanc observant ses ordres :

- "Et maintenant enlève ton corsage ma petite chérie! ...

A ce moment Gwen fit un effort violent pour se concentrer sur le meilleur moyen d'assurer sa sécurité, elle savait qu'elle devrait bientôt se dépouiller de son corsage selon les désirs de cet ignoble animal.

Elle défit le premier bouton, le second, le troisième et ce fut lorsqu'elle arriva au quatrième qu'il lui caressa la face interne d'une de ses cuisses, elle chercha à esquiver cette caresse dégradante.

Mais Marcus avait escompté son mouvement de retrait, il amplifia sa prise sur ses cuisses sachant pertinemment qu'elle n'était pas de taille à lutter avec lui.

Puis il agrippa le col de son corsage blanc et l'attira en arrière sur le lit, bras bloqués dans le dos.

Lui maintenant ses deux mains d'une seule des siennes au-dessus de la tête, il enfourcha ses hanches se disposant à sa guise au-dessus d'elle.

- "Non... Non... Non! ... S'il vous plait.. . Je vous en prie... Je vous en prieeeeeeeeeee..." se lamentait la ravissante jeune femme désespérée, alors qu'il déchirait le bas de son corsage sans se soucier des boutons restants, puis il saisit par le milieu son soutien-gorge en dentelle.

Alors que la somptueuse pucelle secouait la tête de droite à gauche, Marcus se pencha en avant pour léchouiller ses tétons brunâtres.

Tout en mordillant la chair tendre de ses mamelons, Marcus usait de sa main libre pour déchirer sa fragile petite culotte noire.

S'étant déjà déshabillé alors qu'il se tenait caché dans les toilettes il ne lui restait qu'à se débarrasser de son caleçon ce qu'il fit promptement puis il se branla quelques secondes histoire de se préparer à la suite.

Il lui écarta les cuisses en grand puis se glissa entre elles se positionnant selon ses vœux, puis il empoigna un oreiller qu'il glissa sous la charmante jeune femme domptée.

Puis il plaqua une main sur sa bouche.

- "Mmmmmffffffffff... Mmmmffffhhhhh... Mmmmmmmfffffhhhhhh... "

Elle poussait ses cris étouffés alors que Marcus d'un formidable coup de boutoir venait de se planter au cœur de son intimité, en dépit de sa résistance désespérée.

Sa bite était bandée comme jamais, Marcus se retira goûtant l'étroitesse de sa chatte jusqu'ici inviolée qui l'étreignait, puis il baissa les yeux regardant la jointure de leurs deux corps et il sourit démoniaque ment.

Sa bite était couverte de traînées sanguinolentes alors que des filets de sang s'étalaient sur le l'oreiller, bourrelé d'orgueil il planta de rechef sa grosse mentule dans la foufoune de la malheureuse dépucelée.

Il allait et venait férocement dans sa chatoune il commenta ravi :

- "Eh bien ma chérie, j'espère que tu as honte! ... Cela fait à peine un jour que t'es fiancée et je m'offre ta fleur... Ton futur n'aura pas l'honneur de la cueillir lui-même! ..."

Gwen ressentait une douleur atroce, il lui semblait qu'il pourfendait sa cramouille en deux. Et ce salopard ajoutait l'insulte à la douleur tout en continuant à la violer sauvagement.

Elle grinçait des dents cherchant à endiguer la douleur, elle était incapable de hurler, la main de Marcus la bâillonnait toujours étroitement, seuls des sons étranglés franchissaient ses lèvres :

- "Slisssshhhhh... Slissssshhhhh... Slisssssshhhhhh..." alors qu'il poursuivait imperturbablement son savoureux viol.

Effondrée Gwen se demandait, éperdue, si Dwight voudrait toujours d'elle après ça! ..."

Voudrait-il encore la toucher? ...

Comme la pleurnicheuse beauté avait cessé de se débattre contre ses entreprises, tout en continuant à coulisser voluptueusement en elle il lâcha ses lais et saisit ses jambes qu'il releva bien haut.

La tenant par les chevilles, Marcus s'enfonçait maintenant en elle jusqu'aux couilles a chaque retour ses burnes frappaient contre la peau tendre blanche de ses fesses

Repoussant encore ses cuisses en arrière, il se tenait maintenant pressé contre elle, ses burnes reposant contre sa croupe, bourré en elle jusqu'à la garde, il se mit alors à grogner :

- "Ahhhhh... Ahhhh... je jouis! ... Je jouissssssssss! ...."

Des flots de foutre chaud giclaient profondément dans le corps martyrisé de sa jeune proie, il lui emplissait l'utérus à ras bord.

Tout en lui mordillant les mamelons, Marcus restait profondément planté dans sa chatte sanguinolente inondée de foutre.

Jetant un oeil sur la jeune femme en larmes, il saisit son visage et le tourna vers la commode en commentant :

- "Pense à ton cornard de promis qui se tenait un genoux en terre devant toi cette nuit pour te demander ta main... Alors que maintenant tu viens de te faire violer par un colosse noir qui s'est régalé de la primeur de tes charmes! ..."

Comme pour toute réponse ses pleurs redoublaient, Marcus sentait sa grosse bite expulser ses dernières salves crémeuses au fin fond de son intimité.

Un peu plus tard, alors que la ravissante jeune femme reniflait recroquevillée en position fœtale, Marcus étendit la main pour lui caresser ses douces fesses crèmeuses, puis il la poussa un peu pour voir le sang marbrant l'oreiller qu'il avait pris la précaution de placer sous ses reins.

- "Bordel, elle a vachement saigné! ...." pensa-t-il voyant les grosses taches de sang souillant la taie.

La bite prête à se remettre en action, il la disposa à quatre pattes sur le lit, elle se laissa faire docilement, Il était trop tard maintenant pour se rebeller encore, les dommages étaient définitifs.

Elle ne poussa qu'une plainte sourde :

- "S'il vous plait! ..." ce qui ne l'empêcha pas de la fourrer en levrette.

-

Bien plus tard, son violeur enfin parti, Gwen s'assit pendant une bonne heure sur le plancher de la douche espérant que l'eau chaude qui cascadait sur son corps meurtri en effacerait les souillures infâmes.

Elle ne pouvait pas effacer de sa mémoire cette épreuve méprisable qu'elle avait endurée au cours de ces dernières heures, chaque détail en était inscrit en images de feu dans son esprit, tous ces actes révoltants auxquels elle avait du se plier, son dépucelage par cet ignoble agresseur, les viols répétés au cours des heures qui avaient suivi.

Son humiliation ne s'était pas arrêtée au moment où il l'avait sauvagement tringlée à quatre pattes, en levrette.

Il l'avait alors tirée brutalement du lit, l'avait entraînée nue dans la cuisine les cuisses couvertes de sperme et de sang, elle Avit du alors lui faire à manger, il était affamé après cette débauche de plaisir.

Sa tentative de le poignarder avec un couteau de cuisine avait été bien futile, il lavait anticipé son espoir et avait saisi son poignet alors qu'elle levait le bras.

Elle s'était sentie si démoralisée, humiliée, alors qu'assise nue sur une de ses cuisses, des larmes de sang et de foutre s'écoulant de sa chatte, il la caressait intimement tout en savourant le modeste plat qu'elle lui avait préparé.

Puis lorsqu'il avait fini son repas, il lui avait alors annoncé

- "Et maintenant il est temps de prendre un savoureux dessert! ... Allez viens ici, je vais le prendre sur le canapé! ..."

Allongée sur le canapé de cuir elle réalisa tout de suite que c'était elle son dessert alors qu'il lui écartait à nouveau les cuisses en grand.

Elle s'attendait à ce qu'il la viole une fois de plus mais ce qu'il advint la choqua profondément. Cet homme qui venait de lui ravir son pucelage avait enfoui son visage entre ses cuisses et lapait les filets de sang et de sperme qui marbraient la face interne de ses cuisses comme pour fêter son forfait.

Eperdue elle sentit son visage remonter entre ses cuisses sa langue lui titillant son clito avant qu'il ne l'enfouisse dans sa fente inondée de foutre et de sang.

Elle frissonnait encore en se rappelant cette façon qu'elle avait alors haleté :

- "Ahhhhhhhh... Ahhhhhhhhhh... Ehhhhh... Ohhhhhhhhhhhhhh... "

Ce sale bâtard de noir lui bouffait la chatte, alors même que du sang virginal se mêlait au sperme dont il l'avait emplie.

Et lorsque sa langue habile dénicha et titilla son clito ultra sensible, elle oublia toute dignité et toutes ces choses auxquelles elle se raccrochait alors qu'un insupportable orgasme la terrassait.

Lorsqu'elle sortit de sa stupeur, son agresseur tenait ses chevilles, repoussant ses jambes en arrière, la courbant à genoux sur le sofa la lance à la main.

Elle dut feindre un fort mal de tête pour se débarrasser de Dwight le lendemain, prétextant la nécessité de se reposer longuement pour pouvoir faire son vol le lendemain matin, elle lui promit de lui envoyer un mail et de lui téléphoner de l'hôtel que l'équipage rejoindrait pendant l'escale du Japon, lui promettant de le revoir dès son retour..

Ayant vu son image dans le miroir le matin suivant son viol, elle ne pouvait se permettre de se laisser voir dans cet état, elle espérait que le vol du lendemain, le temps de l'escale puis du retour lui permettraient de reprendre une apparence normale.

Incapable de se plaindre de son viol aux forces de police, pas plus que de le confier à qui que ce soit, Gwen se demandait si ce viol ne sonnait pas la fin de ses fiançailles avec Dwight.

- "Pourrai-je ne rien lui dire! ..."

- "Pourrai-je quand même l'épouser? ..."

- "Pourrai-je le tromper en le laissant croire que je suis toujours son innocente et pure promise? ..." se demandait Gwen, elle espérait désespérément ne pas perdre l'homme qu'elle aimait.

Elle avait besoin de temps, le temps de pouvoir y réfléchir calmement, ce vol à longue distance le lui fournirait sûrement.

Elle espérait seulement qu'elle pourrait exécuter ses tâches habituelles durant le vol alors que son corps était encore aussi meurtri et ses muscles douloureux.

C'est au cours de ce vol, que Gwen devait rencontrer un vieux moine qui allait changer sa vie (voir la suite dans la vile vengeance de l'ex criminel de guerre);

Ce moine du temple de Zuten, après l'avoir droguée lui fit subir moult avanies par ses complices tous moines du temple de Zuten pour se venger de la défaite du Japon dans la guerre du pacifique.

Profitant de son état de profonde sidération il implanta des suggestions et des comportements érotiques qu'elle devrait respecter à l'avenir, la transformant en une jeune goulue avide de sexe, la convainquant qu'elle devrait dorénavant utiliser pour faire le bonheur de tous les hommes, les proches de son mari (frère, beau-père... ) comme ses connaissances!

Lui ordonnant par ailleurs de rameuter des proies sur lesquelles il pourrait exercer sa vengeance, ses collègues hôtesse notamment qu'elle devrait amener au temple où il exercerait son pouvoir sur elles, les plaçant comme elle sous sa totale emprise mentale.

Trois jours tard, Dwight Conners était fou de joie de retrouver voir sa ravissante fiancée, il fut très surpris de la façon dont elle se précipita dans ses bras pour l'embrasser passionnément lorsqu'il vint la prendre pour dîner.

Elle semblait radieuse et passionnément amoureuse alors qu'elle se serrait étroitement contre son corps.

En fait, jamais Gwen ne s'était montrée aussi démonstrative, ne repoussant même pas ses mains, comme elle le faisait habituellement, lorsqu'il les posa sur sa croupe aguichante.

Après un excellent repas en tête-à-tête, Gwen lui parla de sa rencontre avec le grand maître sur le vol vers le Japon et de sa visite au temple dont elle était ressortie toute revigorée.

Pendant le repas, elle le surprit encore en se laissant rouler des patins passionnés à plusieurs reprises, le faisant bander comme un âne dans son caleçon.

Sa mâchoire sembla se décrocher de stupéfaction, son corps frémit comme une feuille, alors qu'il en perdait tout contrôle, en sentant la petite main de Gwen bouger sous la table pour se poser sur sa bite tendue.

Ce n'était pas par accident puisqu'elle ne rejeta pas sa main en arrière mais au contraire le caressa doucement au travers de son pantalon.

Jamais Gwen ne s'était permis de caresser aussi intimement Dwight, elle s'y refusait tant qu'ils ne seraient pas mariés, elle ne comprenait pas ce qui lui prenait ce soir alors qu'elle lui étreignait lascivement sa bite.

Cela se passait comme si quelque chose dans son subconscient guidait ses gestes, lui ordonnant qu'elle devait plaire aux hommes, et c'est cette suggestion qui lui avait fait prendre en main les bijoux de famille de son fiancé! ...

En sentant sa virilité raidir, Gwen frissonna alors que sa bouche s'humidifiait, elle avalait sa salive et tremblait tout en se pourléchant les babines.

Alors qu'il ramenait sa fiancée chez elle, Dwight haletait et se tortillait sur le siège du conducteur, il avait avalé sa salive lorsque Gwen avait empoigné sa bite bandée au travers de son pantalon.

En entrant dans le parking collectif du quartier, Dwight se gara dans un des deux box qui leur était alloué, qui se trouvait dans un coin obscur le long d'un mur.

A son grand ébahissement Gwen saisit le curseur de sa fermeture éclair de braguette qu'elle descendit en toute hâte ses mains plongèrent immédiatement dans son caleçon.

Avant de dire ouf, sa mentule reposait dans la main de Gwen qui la caressait habilement avant de le prendre en bouche.

- "Ohhhhh, mon Dieu... Oh, mon Dieuuuuuuu... Ohhhhhhhhhhhh... Mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuu..." couinait Dwight la main posée sur la nuque de Gwen alors qu'il s'arc-boutait sur les talons et éjaculait dans sa bouche accueillante.

Alors qu'elle continuait à le branler extrayant ses dernières gouttes de foutre, Dwight abasourdi lui remplissait la bouche.

Assis dans la voiture, ébahi, Gwen releva la tête un filet de sperme s'étirant de ses lèvres au méat de son fiancé éberlué, il eut alors tout le temps de contempler la grimace horrifiée qu'afficha alors son visage.

Il vit soudain les yeux de Gwen s'écarquiller d'horreur alors qu'elle posait main tremblante sur ses lèvres poisseuses de foutre s'esclaffant :

- "Mon Dieu... Mon Dieu, qu'ai-je fait? ..."

Et, un quart de seconde plus tard, Gwen sortait de la voiture et se ruait chez elle tandis que Dwight se débattait pour dégrafer sa ceinture avant de sortit à son tour du véhicule.

Il frappait à la porte, appellant doucement Gwen afin ne pas déranger les voisins, Dwight n'obtenait pas qu'elle lui ouvre sa porte.

Puis il l'entendit lui dire au travers de la maudite porte :

- "Je... je suis désolée... Je t'aime... Je ne sais pas ce qui m'a pris... Je... Je... Appelle-moi demain... Non, après-demain... Demain j'ai un long vol et je ne rentrerai que très tard le soir! ..."

- "C'est d'accord ma chérie! ... Je comprends... Nous nous retrouverons dans ta pizzeria favorite! ..." lui murmura-t-il au travers de la porte.

De retour chez lui, Dwight tenta de se remémorer cette fantastique pipe que Gwen venait de lui faire cette nuit.

Il était presque sûr d'une chose : ce n'était pas sa première pipe, elle avait déjà sucé des hommes! ...

Dans ses années lycée il avait payé plusieurs fois des prostituées pour se faire faire des pipes, avant d'enseigner à quelques pucelles comment le sucer.

Gwen avait certainement extrêmement honte, elle ne pourrait plus prétendre qu'elle n'avait jamais sucé de bites auparavant.

L'ayant demandé en mariage, un genoux en terre, le week-end précédent, Dwight se demandait s'il avait été dupé alors qu'elle jouait à la prude et innocente jeune fille.

Quoique qu'il ne soit pas essentiel pour lui d'épouser une jeune femme n'ayant jamais fait l'amour avec un autre, cette façon dont elle avait prétendu être pure et innocente jusqu'à cette dernière nuit l'exaspérait, il avait toujours pensé qu'elle était pucelle.

Dwight se demandait seulement si elle l'avait totalement berné, si elle lui avait juste joué la comédie de la jeune fille pure et innocente.

Allongé sur son lit, Dwight était en pleine confusion, il se demandait pourquoi elle l'avait sucé, se pourléchant les lèvres enrobées de sperme avant de reprendre son rôle de vierge innocente, elle devait cacher un sacré tempérament sous son aspect coincé et guindé.

Etait-elle vraiment encore pucelle comme elle prétendait l'être? ...

Dire qu'elle lui avait dit et répété :

- "Tu seras le premier à me prendre lorsque nous serons mariées! ..."

- "Ouiiiiiiiii, c'était bon! ..." Dwight était déterminé à ne pas la laisser se refuser la prochaine qu'ils se verraient.

Pendant ce temps, Gwen allongée sur son lit dans sa chambre, se léchait les lèvres, se demandant juste ce qui lui était arrivé pour qu'elle adopte un comportement aussi dégradant.

Elle pensait que cela avait comblé les désirs de Dwight c'était l'évidence même si elle en croyait le goût de son sperme sur ses lèvres et les gargouillis de son estomac plein de son foutre.

- "Mon Dieu, que m'arrive-t-il? .... Dès que j'ai touché sa virilité c'était comme si quelque chose en moi m'avait obligé à faire ce que j'ai fait? ...»

- "Que m'arrive-t-il? ... Ca s'est passé exactement comme si je voulais qu'il se vide les couilles dans ma bouche, c'est d'ailleurs ce qui est arrivé! ..."

Gwen se sentait encore plus confuse lorsque obéissant à ses sens elle glissa sa main dans sa petite culotte pour apaiser des appétits sexuels qui lui étaient totalement étrangers jusqu'ici! ...

FIN DE L'HISTOIRE.

10 juillet 2007

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Black Demon