Ma Logeuse Ch. 06

BÊTA PUBLIQUE

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« Je n'ai jamais jouis comme ça..., je ne savais même pas que cela pouvait exister...tu as failli me faire mourir »

Au bout d'un long moment, elle se retourna et me fixa les yeux embués de larme.

« Personne ne m'avait jamais fais ça...et toi, comment tu vas? »

Je la regardais, ne pouvant me détourner de son regard brillant

« Ça va très bien »

« Ça ne t'as pas dégoutté de faire ça? »

« Non Madame, pas une seule seconde... »

« Mais enfin...je veux dire, je n'étais pas propre. »

« Vous avez eu envie que je le fasse...et j'ai eu envie de le faire... »

Elle jeta un œil sur mon membre...je n'avais pas besoin de regarder pour savoir qu'il devait être violet et écrasé contre les parois de la cage. Elle passa un doigt sous mon sexe et se le mit dans la bouche. Je compris qu'elle gouttait ma liqueur et c'était la première fois.

« Ouaouh...je n'en reviens pas encore de la force de mon orgasme...Aller...va me faire couler un bain...il faut que je me relaxe un peu »

Elle passa une bonne demi-heure dans son bain avant de redescendre dans le salon, en sortie de bain avec une serviette nouée sur les cheveux qu'elle enleva en se les frottant.

J'étais assis dans la banquette...elle s'assit par terre, à mes pieds, et posa sa tête sur mes genoux.

« Je t'aime mon puceau...tu viens de me donner peut-être la plus belle preuve d'amour que je n'ai jamais reçue »

Il y eut un silence entre nous. Je n'osais caresser ses cheveux bien que j'en meurs d'envie.

« Maintenant, tu connais absolument tout de mon corps..mais tu sais comme je suis, je ne suis jamais contente...il m'en faut toujours plus...tu sais, mon mari m'avait déjà léché comme tu l'as fait...mais sans trop insister...te sentir essayer de rentrer ta langue...je ne sais pas ce que ça m'a fait...j'ai joui au moins trois fois... »

Je ne savais pas trop quoi répondre.

« Je vous aime Madame, et j'ai adoré chaque seconde où je vous ai donné du plaisir... j'ai tout adoré... »

Elle leva les yeux vers moi.

« Ne me provoque pas petit-puceau parce que tu pourrais te retrouver à me lécher le cul plus souvent que tu ne le crois »

Elle se releva en déclarant.

« Bon aller, on va se coucher »

Le samedi matin quand j'ouvris les yeux, elle était nue devant moi, promenant doucement son pied tout le long de mon corps.

« Bonjour petit-puceau...tu as bien dormi? »

« Euh...oui »

Elle posa son pied sur ma bouche et je l'embrassais amoureusement. Il sentait la lavande.

« Tu vas nous faire le petit-déjeuner pendant que je m'habille? »

« Oui, j'y vais »

Je descendis dans la cuisine et préparais le café et les toasts. Elle descendit une vingtaine de minutes plus tard, habillée et maquillée pour sortir.

Nous déjeunions en silence quand je sentis son pied se frotter contre mes cuisses. Je levais la tète...elle me fixait avec un sourire moqueur.

« Ça fait combien de temps qu'il ne s'est pas vidé mon petit-puceau? »

« Euh...ça va bientôt faire un mois Maîtresse »

J'avais employé pour la première fois ce terme sciemment, pour faire écho au nom d'esclave qu'elle me donnait parfois.

« Maîtresse...tiens, c'est nouveau ça...c'est comme ça que tu me considère? »

« Euh...oui, pas seulement mais oui... »

Elle me regardait dans les yeux.

« Tu serais prêt à tout pour moi? »

« Oui enfin, peut-être pas vraiment tout...je n'accepterais pas que vous mettiez ma vie en jeu, où mon intégrité physique...ou que vous me fassiez faire des choses avec un homme.. »

« Ah oui...et tout le reste oui? »

« Euh...oui, je crois »

Elle continuait à caresser mes cuisses avec son pied de plus en plus près de ma cage et je commençais à ressentir ce que j'appelais dans ma tête 'Les affres de l'érection '»

« Et si je te faisais faire des choses avec une femme? »

Je fus interloqué par cette supposition. Je n'avais jamais désiré une autre femme qu'elle depuis que je vivais sous son toit...quoique, en y réfléchissant bien, certaines chargées de cours, ou même certaines étudiantes auraient pu m'attirer ou même et surtout, mon professeur de physique quantique.

« Non, c'est vous que j'aime »

« Oui, mais si c'était moi qui te le demandais? »

Elle me poussait dans mes retranchements sans que je comprenne où elle voulait en venir. Je résolus de clore le débat

« Je vous obéirai en tout Maîtresse, quoiqu'il puisse m'en coûter »

Elle éclata d'un rire cristallin.

« Tu peux me faire confiance Pascal, je ne te demanderai jamais de faire des choses dont tu n'as pas envie. Tu auras toujours le choix ...et tu as toujours la possibilité de partir...ma proposition reste »

« Jamais, Madame...je veux rester auprès de vous »

La journée fut des plus agréable, nous sortîmes ensemble voir une exposition Magritte comme deux amoureux...moi, je l'étais évidemment...et je me prenais parfois à penser qu'elle éprouvait aussi quelques sentiments pour moi.

Nous finîmes la journée dans un bar spécialisé en thés, à boire un thé noir de Ceylan. J'appréciais la saveur acidulée de ce breuvage chaud qui me rappelait malgré moi une toute autre boisson.

Le dimanche se déroula de manière normale jusque vers 17h, j'étais en train de regarder la télé quand elle m'appela à l'étage. Je pensais qu'elle m'appelait dans sa chambre, mais c'est dans la mienne qu'elle se tenait. En entrant, je remarquai les menottes attachées aux montants du lit.

« Allonge toi »

Sitôt allongé, elle me menotta bras et jambe, comme j'y étais maintenant habitué. Mais c'était la première fois qu'elle m'attachait ainsi dans ma chambre. Chaque fois qu'elle m'avait entravé, ça avait été pour m'épiler... mais là, je n'en avais clairement pas besoin...je ne comprenais pas bien ce qu'elle avait derrière la tête et cela me mettait dans un état d'angoisse qui me parut, curieusement, assez agréable.

Elle quitta un instant la chambre et revint avec un gros rouleau de scotch toilé et une paire de ciseaux. Elle s'approcha de la tête du lit.

« Ouvre la bouche »

Dès que j'eus la bouche ouverte, elle y enfonça une boule de tissu noir. Je reconnu à la texture et au goût acidulé que c'était une culotte sale. Elle découpa une bande de scotch qu'elle m'appliqua fermement sur la bouche, me bâillonnant ainsi pour de bon. Enfin, elle m'enleva ma cage de chasteté. Je me sentais dans un état d'impuissance que je n'avais jamais ressenti, ne pouvant même plus communiquer avec elle. Elle se pencha sur moi, avec un doigt sur la bouche :

« Reste bien tranquille petit-puceau...et surtout, pas un bruit.. »

Elle quitta ma chambre en éteignant la lumière. Elle n'avait pas fermé la porte de ma chambre et je voyais encore assez clair, profitant de la lumière qui venait de sa chambre en face de la mienne. Je l'entendis descendre l'escalier puis plus rien.

Le temps me paraissait long, immobilisé et bâillonné par une culotte imprégnée de sécrétions qui commençaient à couler doucement dans ma gorge au fur et à mesure que ma salive les détrempait. J'étais à l'affût du moindre bruit dans la maison, J'entendais vaguement par moment les talons d'Hélène sur le parquet...il me sembla entendre de la musique...

Et puis soudain, la sonnette de la porte d'entrée. J'entendis Hélène aller ouvrir...un silence, puis des bruits de voix sans que j'arrive à déterminer qui c'était. Qu'allait-elle faire? Allait-elle me montrer à quelqu'un dans cette position humiliante? Je me concentrais sur les bruits mais n'arrivais pas à déterminer ce qui se passait. Cela dura un temps qui me parut infini pendant que je me faisais des scénarios tous plus délirants les uns que les autres.

Enfin, j'entendis Hélène qui montait l'escalier. Elle n'était clairement pas seule. Ils entrèrent dans la chambre d'Hélène sans fermer la porte. Et je reconnus immédiatement la voix de Bertrand :

« Attends, je vais t'aider... »

Je compris immédiatement le plan cruel qu'elle avait bâti. Cette fois, j'allais tout entendre de leurs ébats. Une sorte de terreur me saisit à cette idée. Mon cœur se mit à cogner si fort dans ma poitrine que j'avais l'impression d'entendre ses pulsations dans mes oreilles.

J'entendis des bruits de tissus...puis un bruit de succion. J'imaginais Hélène enfournant dans sa bouche le membre de son amant et je sentis des larmes me monter aux yeux. En même temps, je sentais mon sexe bander inutilement contre mon ventre. Bertrand repris au bout d'un moment

« Arrête...tu vas me faire jouir.. »

Le bruit du sommier lorsqu'ils s'allongèrent sur le lit...la voix d'Hélène

« Non, arrêtes je ne veux pas... »

« Tu aimes ça d'habitude »

« Oui, mais là je ne veux pas...prends moi... »

Et puis une suite ininterrompue de couinements du sommier, de halètements, des gémissements d'Hélène...

« Oh oui, prends moi...Plus vite »

« Je ne peux pas sinon je vais jouir »

« Attends moi...ça y est...je viens...ouiiii »

Les bruits s'arrêtèrent un instant...je savais qu'Hélène était en train de jouir et je pleurais maintenant ouvertement, sans un bruit, sentant un liquide froid couler contre mon ventre...

Et puis les couinements recommencèrent, d'abord lentement, puis plus vite...ils avaient changé d'intensité...peut-être avaient-ils changé de position?

J'entendis à nouveau deux fois les cris d'extase d'Hélène avant que ne retentisse le grognement guttural de Bertrand..

Le calme revint dans la chambre...j'entendais leur voix mais ils parlaient à voix basse et je ne parvenais pas à comprendre. Puis le bruit de la douche...

« Hélène rentra dans la pièce, une main plaquée sur son sexe. Elle ne sembla même par remarquer les larmes qui courraient le long de mes joues. Elle se mit à genoux au-dessus de moi, ses jambes le long de mon corps, arracha brutalement le scotch qui me fermait la bouche et en ôta la culotte pleine de salive. Je n'eus pas le temps de parler, enlevant sa main, elle plaqua sa chatte sur ma bouche et murmura à mon oreille

« Vas-y petit-puceau...lave moi...suce...»

Écœuré par la tâche abjecte qu'elle me demandait, je fermai les yeux et fis pénétrer ma langue dans son vagin béant. Il était rempli du mélange gluant, résultat de leur plaisir commun. J'avalai ce mélange épais et acre avec dégoût...en essayant de me persuader que j'avalais en même temps un peu de sa mouille...cela dura longtemps... je ne sentais plus contre ma langue que les parois soyeuses de son sexe quand le bruit de la douche cessa. Elle se releva d'un bon.

« Surtout, tu ne fais pas un bruit... »

Puis elle rentra précipitamment dans sa chambre. Je restais la, avec dans la bouche un goût acre et salé. Encore stupéfait de ce qu'elle venait de me faire faire. J'avais nettoyé son sexe après qu'un autre homme eut joui en elle. Cette idée me révoltait et m'excitait à la fois. Ce n'était pas l'acte en lui-même qui m'excitait, je n'avais pas du tout apprécié l'ingestion de ce sperme gluant et acre, mais l'absolue dégradation, l'absolue soumission à ses désirs les plus pervers que cela représentait.

J'entendis Bertrand s'habiller...puis je les entendis descendre l'escalier...et la porte d'entrée se refermer. Elle remonta immédiatement, entra dans ma chambre et alluma la lumière. Je clignai des yeux un moment devant cette luminosité brutale. Elle était en robe de chambre...elle s'approcha de moi et passa un doigt sur mes joues emplies de larmes, puis elle le suça en me regardant.

« Tu as pleuré? »

« Oui ... »

Elle tourna la tête vers mon sexe...

« Là aussi, tu as pleuré! »

Je me redressais dans mes liens pour tenter de voir mon membre. J'étais toujours en érection et un long filet transparent courait le long de ma verge.

Puis elle sortit de la chambre et je l'entendis se faire couler un bain...J'entendis toutes ses ablutions comme j'avais entendu leur coït.

Elle revint un moment plus tard, en sortie de bain avec une serviette enturbannée sur la tête..

Elle prit ma cage sur la table de nuit, et l'enfila sur mon sexe revenu au repos. Le cliquetis du cadenas qui se fermait me faisait toujours un effet dévastateur. Puis elle me détacha, sans dire un mot. Je m'assis sur mon lit, frottant mes poignets que les menottes avaient martyrisé lorsque dans mon délire, je m'étais contorsionné dans mes liens. Je n'étais pas triste...cela me surprenait moi même mais je ne ressentais pas cette tristesse qui m'avait étreinte lors des précédentes venues de Bertrand. En fait, je n'avais été exclu à aucun moment... j'avais participé à leur partie de jambes en l'air...Hélène m'y avait, en quelque sorte, invité..allant jusqu'à me faire avaler les produits de leur union...Et je savais que j'avais été pour quelque chose dans le plaisir qu'elle avait pris.

« Ça va? »

C'était curieux comme après chaque humiliation, elle me demandait si ça allait, comme pour se rassurer sur le fait qu'elle n'était pas aller trop loin.

« Oui Madame, ça va...ça va bien »

« Tiens, je t'ai apporté un verre d'eau »

Je bus avec plaisir ce verre d'eau fraîche qui rinçait ma bouche du goût âpre du sperme. Elle se pencha sur moi et me fit une bise sur la joue.

« Tu es trempé de sueur...et d'autres choses...je crois que tu devrais aller prendre une douche. »

« Oui...je le crois aussi »

La sensation de l'eau chaude sur ma peau me fit un bien énorme. En me lavant, je me sentais libéré des scories de mes sentiments amers et je reprenais petit à petit le contrôle de mes émotions.

Quand je descendis dans le salon, Hélène avait revêtu sa robe de chambre habituelle. Elle avait un regard comblé que j'avais du mal à soutenir.

« Pascal..je voudrais... »

« Non Hélène...ne dites rien...c'était bien...c'est notre manière de vivre tous les deux...le plaisir pour vous et la souffrance pour moi...mais sachez que j'éprouve un bonheur ineffable à savoir que ma souffrance participe à votre plaisir...vous avez le plaisir du corps ...moi celui de l'esprit mais il est tellement puissant »

« Tu aimes vraiment ce que je te fais vivre? »

« Oui Madame, vraiment... »

Elle tapa avec sa main sur la banquette à côté d'elle.

« Viens là »

Je m'assis a ses côtés. Elle prit ma cage dans sa main.

« Tu sais, j'ai envie de faire plein de choses avec toi, des choses que je n'ai jamais faites avec personnes, j'ai une nouvelle idée tous les jours... si un jour je vais trop loin, si je te fais quelque chose que tu ne peux pas supporter, dis le moi. Mais, il y aura un prix à payer, si tu me dis cela, le jeu sera fini, et nous redeviendrons le gentil locataire de la gentille propriétaire que nous n'aurions peut-être jamais dû cesser d'être. »

« Je ne vous dirai ça pour rien au monde...Madame »

« Tssst tsst...ne dis pas cela...tu ne sais pas jusqu'où je peux aller Bon aller...on mange...j'ai une faim de louve »

Lundi et mardi ne donnèrent lieu à aucune nouveauté. Je passais ma soirée du lundi à lécher les pieds d'Hélène, comme cela arrivait maintenant assez souvent. je ne me lassais pas de respirer leur odeur aigre et de goutter sur ses bas le sel acidulé de sa sueur. Cela provoquait toujours chez moi un sentiment d'humiliation que j'adorais.

Mercredi, soir pendant le repas, Hélène m'apprit que Bertrand partait pour une quinzaine de jours en voyage. Je ne peux pas dire que cette nouvelle m'ait chagriné, d'autant plus qu'elle ajouta une phrase ambiguë qui fit naître chez moi un espoir insensé.

« Alors, petit-puceau, pendant quinze jours, c'est toi seul qui devras t'occuper de moi. »

Le soir, alors que nous étions couchés, moi sur mon tapis et elle dans son lit, j'entendis Hélène se caresser avec des soupirs étouffés. C'était la première fois depuis que je dormais dans sa chambre que je surprenais son activité masturbatoire. Je repensais que tout cela avait commencé parce que, soi-disant, elle ne voulait pas que je me masturbe sous son toit alors qu'elle, ne s'en privait pas. Elle me lança d'une voix précipitée

« Pascal...viens là »

Je montai sur le lit et m'allongeai entre ses jambes écartées. L'obscurité de la chambre me laissait à peine entrevoir la forme de son corps mais je sentais aux vibrations rapides du matelas qu'elle se caressait.

« Lèche moi »

Je me penchais vers elle, m'immergeant dans l'odeur forte de son sexe. Je commençai par passer ma langue sur ses lèvres gonflées, sentant sa main taper contre mon front dans son geste effréné.

« Non...vas-y...rentre ta langue »

Docilement, j'introduisis ma langue dans son vagin, me noyant dans un flot de sécrétions douceâtres que j'avalais avec délectation, je continuais un moment à agiter ma langue au plus profond d'elle. Je sentais sa mouille couler doucement sur mon menton et je devinais, à sa respiration haletante et au rythme plus rapide de sa caresse qu'elle approchait de l'orgasme, elle souffla dans un sorte de soupir

« Oui...vas-y...surtout n'arrête pas »

Je n'avais pas l'intention de m'arrêter et je continuais ma tâche avec application, perdu dans cet univers de goûts et d'odeurs.

Soudain, elle se raidit, laissant échapper une plainte douloureuse tandis que son corps s'arc-boutait sur le lit. Coincé entre ses cuisses qui m'écrasaient, je ne pouvais plus bouger et je restais là, sentant ses sécrétions couler doucement dans ma bouche. Puis elle retomba, affalée sur le lit, tentant de reprendre sa respiration et relâchant l'étau de ses cuisses. Je n'osai pas bouger, le visage toujours plaqué contre sa vulve trempée.

Au bout d'un moment, elle reprit ses esprits et se remit à l'aise sur sa couche.

« Tu peux aller te recoucher maintenant »

Elle avait dit cela doucement, sans le moindre remerciement. Descendant du lit, je me rallongeai sur le tapis, le visage collant, inondé par l'odeur fauve de sa mouille qui m'emplissait les narines et par sa saveur acidulée sur ma langue.

La douleur aiguë provoquée par la cage me maintint longtemps éveillé tandis que j'entendais à sa respiration lourde, qu'elle s'était immédiatement endormi.

Le lendemain matin, elle devait partir tôt, je fus réveillé par le bruit de la douche, j'avais encore pas mal de temps devant moi avant de partir pour l'école. Je me levai et descendis préparer notre petit déjeuner. Quand elle me rejoignit, elle était déjà habillée.

« J'ai juste le temps de prendre un café et j'y vais »

Elle se servit une tasse de café chaud et la but rapidement, soufflant dessus pour la refroidir puis reposant la tasse vide sur la table

« Bon, aller...j'y vais...à ce soir »

Elle se pencha pour me faire la bise et me lança, avec un sourire moqueur.

« Tu devrais aller te débarbouiller, tu sens la femme.. »

Prenant ses affaires au vol, elle partit presque en courant.

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4 Commentaires
AnicetteAnicetteil y a 10 mois

Le vernissage des ongles d'orteils est très agréable à lire. La succion du gode noir mouillé de cyprine me fait penser à Mamadou. Je l'ai quitté, et aussi le cours de danses africaines, Mamadou a gentiment voulu me prostituer à un homme de 60 ans. J'ai envoyé promener tout çà, c'est dégoutant! Je préfère lire l'aventure de Pascal, il y a de l'amour et j'ai toujours l'espoir que la cage s'ouvrira que le puceau s'épanouira dans Hélène ,en un orgasme d'apothéose! Quelle idée de lui fourrer la culotte sale dans la bouche! Les jeux de l'amour sont infinis! Aimons l'AMOUR!!

AnonymousAnonymeil y a 10 mois

"Vous avez eu envie que je le fasse...et j'ai eu envie de le faire"

Merci, c'est la meilleure histoire de ce genre que j'ai lu; la relation est si bien transcrite, les sentiments et les actes mêlés, être l'objet de la jouissance de l'autre... Quelle chance de connaitre pareille femme, les plaisirs de la soumission (mais sans la cage, nu et exposé, quitte à en être durement puni).

lolo3110lolo3110il y a presque 10 ans
superbe histoire

J'adore cette histoire!!! Bravo continuez!!

AnonymousAnonymeil y a plus de 10 ans
super

a poursuivre. je pense que ce garçon devrait être sodomisé par sa maîtresse et que l'amant en fasse autant. une copine d'étude serait aussi bienvenue en découvrant la cage du garçon. du coup un peu de lesbianisme...

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