Madame Jennifer 04. Aie

Il était 13h lorsque Jennifer m'ouvrit la porte, je m'étais déshabillé et attendait le bip du chronomètre pour entrer dans la chambre (voir épisode 1). Cela faisait une semaine que mes fesses n'étaient plus vierges (voir épisode 3), et je me demandais si aujourd'hui mon corps allait connaître de nouvelles expériences, ou si je reprenais le ménage (voir épisode 2).Le bip du chronomètre retentit, j'allais être fixé.

En entrant, je vis que le lit avait été poussé contre le mur, et à côté de Madame J,j'apercevais quelques accessoires,mais trop peu visible pour que j'arrive à deviner ce que c'était.

- Mon jeune puceau tu vas te mettre en position d'attente ici.

Elle désigna un espace assez grand, là où était habituellement le lit.

-Ferme les yeux ...

Elle me mit un masque qui me couvrait complètement les yeux, ceux habituellement utilisés pour dormir. Je sentis également quelque chose se refermer sur mes poignés. Et elle me glissa un petit carré de plastique dans la main.

-Te voilà aveugle et menotté, je t'ai mis un petit boîtier dans la main, quand tu appuies dessus il bip, essaye.

BIIIIP

-C'est bien, car je ne veux plus t'entendre.

Elle me glissa une boule dans la bouche, maintenue par un collier, m'empêchant ainsi de parler ou de fermer complément ma mâchoire.

-Etant désormais incapable de dire le mot de passe de sécurité, s'il y a un problème, ou que tu veux arrêter la séance, tu appuieras simplement sur le boîtier, tu as compris? Un coup pour oui, deux pour non.

BIIIP

-Bien, la semaine dernière on s'est bien amusé avec ton cul, mais ce n'est pas ton seul organe sexuel n'est-ce pas? Il y en a un autre qui doit se sentir oublié ...

Elle me caressa doucement les testicules, je sentis ma queue tenter de rentrer en érection sous ma cage.

-C'est vrai les pauvres, tu t'es bien éclaté quand je t'ai pénétrée, maintenant ...

Jennifer fit une espèce de va et viens lent et doux sur mes couilles, tandis que ma verge tentait de faire exploser ma cage. Mon esprit n'eut pas le temps de réaliser ni de réfléchir qu'une violente douleur submergea mes testicules, je me pliais en deux instinctivement. Je venais de recevoir un coup de cravache dans les bourses.

-...il est temps d'éclater tes petites noisettes!

Je me redressais et sentais Jennifer tourner autour de moi. Une violente claque réveilla l'une de mes fesses.

-J'aime me servir de ma cravache, mais fesser un petit puceau soumis à main nue est aussi bien. Et tu vas voir j'ai quelques accessoires pour ici également.

Je sentais ma poitrine être sévèrement pincée. Le bruit et la douleur me firent comprendre qu'un autre coup de cravache venait de s'abattre sur mes testicules. Encore une fois je me penchais légèrement pour tenter de calmer la douleur.

-Puisque tu me les donnes ...

Cette fois-ci je sentis une vive sensation sur mes fesses, 2 aller-retour plus tard je me redressais de surprise.

-Que c'est marrant, tu ne gigotes pas dans le même sens, un coup en avant ...

Je me penchais un peu en avant suite à un nouveau coup de cravache sur mes fragiles testicules.

-Et en arrière!

Paf une claque sur mon cul!

Il était vrai que j'avais tendance à me redresser pour éloigner mes fesses de Jennifer après un coup, c'était instinctif. Vu la sensation et le claquement, il était clair qu'elle y allait de toute sa force lorsqu'elle visait mon derrière, il me semblait qu'elle était nettement plus « douce » concernant mes couilles.

-Aller on reprend! En avant ... En arrière ... Et avant ... En arrière! Ah ahah! Et si on continue? En arrière ... En arrière ... Hop hophop on n'avance pas sale garnement. Allez en arrière toute!

Clac ClacClacClacClacClacClacClacClac

-Et en avant toute? Une ... Deux ... Une ... Deux ... Une ... Deux ...

Alors que sous les coups je me penchais jusqu'à être pratiquement accroupi, je sentis ma cage me tirer violemment vers l'avant.

-On ne triche pas!Aller on se redresse petit puceau! Hi hi ton derrière à une jolie teinte rose, comme ta cage!

Elle me dit ça en tournant autour de moi, et en me marchant sur les pieds.

-Tu n'es pas très obéissant! Je t'ai dit de ne pas bouger et tu n'arrêtes pas de gigoter! Enfin je comprends, c'est la première fois qu'une femme s'intéresse à tes petites couilles! Mais sois sage sinon tu seras puni ... Tu vas me prouver que tu as compris, mets-toi bien droit ... Oui c'est bien ... Maintenant je t'ordonne de ne plus bouger du tout!Tu as bien compris? Un bip pour oui et deux pour non.

BIIIIIIP

-Brave petit...

Je la sentis serrer l'un de mes tétons, elle jouait avec après l'avoir coincé entre ses ongles. Je la sentis serrer très fort ... Je ressentais une vive douleur, mais faisait tout pour ne pas bouger. La pression se relâcha, je respirai, mais pas pour longtemps, je sentis ses doigts m'empoigner le second, le serrer fort, et le tourner ... Je ressentis comme une brûlure tellement la douleur était vive, et à peine relâcha-t-elle son étreinte que sa cravache me fouetta la poitrine ... Encore et encore ... Je sentis les larmes me monter aux yeux, mais réussi à ne pas bouger malgré tout. Ouf les coups cessèrent ... Madame J me caressa doucement ma poitrine, qui était devenue très sensible après ces douleurs.

-Tu vois, maintenant qu'ils sont rouges je suis sûr que tes seins sont devenus aussi sensibles que ceux d'une femme. Je suis contente de toi tu n'as pas bougé. Mais au cas où tu te dandinerais encore j'ai quelque chose.

Je sentis une vive douleur sur mes tétons, l'un après l'autre, qui ne cessa pas, pire je la sentis manipuler quelque chose et les douleurs s'amplifièrent. J'entendis Jennifer s'accroupir, elle me caressa les fesses avec ses mains, puis les ramena autour de mes testicules qu'elle caressa également, et les manipula ... Je sentais comme une pression, j'étais presque sûrqu'elle les ligotait avec une ficelle... Lorsqu'elle eut fini, je ressentais une étrange douleur, quelque chose les tirait.

-Te voilà tout beau, j'ai accroché des poids à tes seins et à tes couilles, ça te va très bien, pour le haut j'ai bien pris soin d'accrocher les dents sur la zone sensible. Je suis gentil hein? Tu vas vite comprendre pourquoi j'aime bien ces petites choses ...

Je compris assez vite en effet, bien que la douleurétait présente elle devenait quelque peu supportable. Mais lorsque je bougeais, les poids bougeaient également (ou Madame J jouait avec exprès), et à ce moment la douleur revenait très vite et très fort.

-Le rose va bien sur un puceau, mais je préfère le rouge.

La main de Jennifer caressa l'une de mes fesses, puis me la frappa violemment.

-Donc ce n'est pas des roses blanches que je vais repeindre en rouge, mais ton petit cul tout rose que je vais faire rougir.

Madame J s'employa alors, tantôt avec les mains, tantôt avec sa fidèle cravache, à me fesser avec force. Elle passa un bon moment sur elles, ne leur laissant aucun répit. Si je bougeais trop, les poids me faisaient souffrir. Elle termina essoufflée. Pour autant, malgré l'arrêt des coups, la douleur ne semblait pas s'estomper, et je ressentais le moindre courant d'air frôlant mes fesses. Les larmes m'étaient montées aux yeux.

-Voilà qui est mieux, plus rouge que rouge!

Clic, une photo venait d'être prise.

-J'y suis tellement allée de bon cœur que j'en suis essoufflée, je ne sens même plus mes mains! Mais ça valait le coup, la photo est magnifique.Oh, mais tes petites couilles aussi ont pris des couleurs! Le poids leur a fait du bien, je les trouvais trop palote!

Je sentis mes testicules se libérer, et entendis Jennifer ranger corde et poids dans la boîte. Puis elle me les caressa avec sa cravache.

-Petites choses bien inutiles... A force de ne plus te vider, j'espère qu'elles ne deviennent pas trop lourdesà porter ...

Elle cessa les caresses et se mis à les frapper, mais pas très fort, juste un petit coup. Mais elle ne s'arrêtait plus, elle continuait doucement, mais sur un rythme constant d'environ 2 coups par seconde.

-En faite elles ne sont pas seulement inutiles, ça ne serait que ça, ce ne serait pas gênant. Mais tes petites noisettes doivent être vidées de temps à autre... Quelle perte de temps... Tout ça pour que tu craches un liquide répugnant qu'aucune femme n'a voulu et ne voudra...

Madame J parlait lentement, ses coups n'avaient pas cessé. Au début la douleur était absente, mais maintenant ça devenait terrible. Sa cravache gardait le rythme, alternant simplement un peu la zone d'impact.

-Si tu veux mon avis, le mieux serait de les couper, comme ça je serais tranquille, et toi tu ne serais même plus obligé de porter de cage. Mais je ne pourrais plus maltraiter tes petites boules ridicules de puceau, çaserait dommage ...

Parlant le plus lentement possible Jennifer se régalait de la situation, la douleur devenait insupportable, j'avais bien de la peine à rester droit, et les poids sur ma poitrine ne cesser de ballotter, entraînant de vives douleurs.Je commençais sérieusement à me poser la question d'utiliser le bip de secours, mais les coups cessèrent... Je fus soulagé, mais la forte douleur avait décidé de rester un peu. Le seul point positif était que je ne pensais plus à mes fesses... Pendant ce temps-là mon cerveau resta suffisamment alerte pour entendre la cravache regagner également sa boîte. Bientôt la fin du supplice? Visiblement pas, je n'arrivais pas à me décider si c'était une bonne ou une mauvaise nouvelle d'ailleurs.

-Dire que je tiens dans ma main tes précieuses petites noisettes, imagine ce qui pourrait se passer... Confier une chose si fragile à la première venue... Les mains attachées...

Elle pressa mes bourses douloureuses assez fortement, joua avec, leur donnant des coups d'ongle en se servant de ses doigts comme ressort, comme si on expédiait au loin une miette restée sur une table, les malaxa, s'amusa à les prendre entre les doigts pour les presser fermement. Lorsqu'elle s'éloigna, je ressentais une douleur sourde dans tout le bas du ventre. Mais j'étais content de moi, j'avais tenu bon.

Une puissante douleur s'empara de l'un de mes tétons, si violente que je sentis certains de mes muscles avoirs des spasmes, puis ce fut au tour de l'autre... Madame J avait retiré les pinces qui mordaient à pleines dents dans ma poitrine en tirant très lentement dessus. Je laissai échapper un cri, mais n'appuya pas sur le biper de sécurité. Puis la lumière ... Jennifer me retira mon masque, elle avait une mine radieuse!

-Je te retire ça (elle parlait de la boule dans ma bouche), mais garde le silence quand même, et tu n'auras plus besoin de ça (elle retira le biper de mes mains) puisque tu peux à nouveau prononcer le mot de sécurité. Ce fut très amusant pour moi, tu vas pouvoir y aller, mais juste avant ...

Elle me mit mon masque, celui qui me couvrait le visage, mais avec des trous aux yeux pour que je puisse voir. Une fois mis, elle déclencha l'enregistrement vidéo.

-Mon puceau je voulais te faire un petit cadeau avant que tu partes, et je te laisse même voir ça! C'est en récompense pour tes efforts jusqu'à aujourd'hui ...

Très souriante elle s'approcha de moi, toujours aussi jolie, me caressa rapidement le torse, puis alla vers mes fesses et termina en effleurant mes testicules. Puis ... me mit un violent coup de genou en plein dans les couilles! J'aurais dû rester sur mes gardes!

La douleur était si intense que je finis par terre, avec toujours les mains attachées dans le dos, au pied de Jennifer qui riait.

Avec difficulté je finis par me relever, elle me détacha et arrêta l'enregistrement.

-Aller file dépêche-toi!

Une fois rhabillé je sortis de la salle de bain, Madame J m'attendait :

-Tu vas bien?

-Oui merci, des douleurs bien sûr, mais ça va.

-Bien, lorsque nous aurons ce type de séances, douloureuses pour toi,tu me feras systématiquement 2 devoirs.

-Très bien.

-Tout d'abord dès que tu arrives chez toi je veux que tu m'écrives ton ressenti, tu feras le compte rendu de ce que tout ce que tu as subi en détail, et tu mettras une note de 1 à 5 sur les différents coups que je t'ai porté. 1 si la douleur était presque insignifiante, 4 si tu étais à deux doigts de te servir de la sécurité pour arrêter la séance, et 5 si tu estimes que la douleur était au-delà de ta limite.

-Je vous envoie ça dès que je rentre.

-Le second devoir à faire sera à m'envoyer demain, à peu près une heure après que tu sois levé. Je veux que tu me dises si tu as mal quelque part, et à quelle intensité sur une échelle de 1 à 3. 1 pour du très léger que tu sens à peine, 2 pour des douleurs moyennes mais qui ne te gêne pas, et enfin 3 pour une douleur vive et/ou handicapante.

Concernant cette séance je mis un 4 pour le retrait des poids de la poitrine ainsi que pour les petits coups aux testicules qui semblaient ne plus s'arrêter.Un 5 pour le coup de genou final, tout en précisant que je pouvais l'endurer à faible dose, mais que je doute de pouvoir en supporter un trop grand nombre sur une séance.

Au final ce type de séance était quelque chose que j'appréciais, la douleur n'est jamais agréable, mais le fait qu'on serve de jouet, qu'on endure ça, juste pour amuser sa maîtresse était quelque chose de très puissant sur le plan psychologique, particulièrement plaisant. Il faut bien sûr avoir toute confiance envers la personne en face.