Ma Logeuse Ch. 06

Informations sur Récit
Une nouvelle vie et de nouvelles humiliations.
6.6k mots
4.38
29.8k
3

Partie 6 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 11/06/2013
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Je me réveillai tôt le matin comme d'habitude, tourmenté par la douleur lancinante dans mon bas ventre. Je me levai en silence. Hélène était couchée en chien de fusil sur sa couette, me révélant ainsi l'intégralité de son corps voluptueux. Je n'avais qu'une envie, c'était de m'allonger contre elle et de la serrer dans mes bras, de sentir la chaleur de sa chair, de m'imprégner de l'odeur de sa peau.

Je descendis sans bruit dans la cuisine pour préparer le petit-déjeuner. Elle descendit peu de temps après, revêtue de son habituelle robe de chambre. Nous déjeunâmes en silence, non pas que cela révèle une quelconque gène, mais c'était au contraire le signe d'une nouvelle complicité.

« Va me faire couler mon bain »

Je me précipitais dans la salle de bain et ouvrit les robinets et tâtant la température de l'eau.

Elle arriva au bout d'un instant et laissa tomber sa robe de chambre, me dévoilant à nouveau sa nudité. Je l'avais vu plusieurs fois nue depuis la dernière fois et je ne ressentis pas le même choc, mais j'étais toujours émerveillé par ses formes pleines.

« Ben alors, tu oublie tous tes devoirs? »

Comprenant ce qu'elle voulait dire, je me penchais pour lui embrasser les pieds.

Levant une main, telle une reine qui attend un baise-main, elle entra dans la baignoire.

« C'est bien Esclave, tu peux disposer »

C'était la première fois qu'elle m'appelait ainsi et j'en ressenti comme un frisson et sortant de la salle de bains.

Une demi-heure après, elle m'appela depuis sa chambre. Elle était assise sur son lit, en sortie de bain, une serviette enroulée autour de ses cheveux.

« Il faut refaire le vernis de mes pieds. Je vais t'apprendre... »

Je passais la demi-heure suivante à enlever le vernis écaillé, passer une, puis deux couches d'un vernis vermillon sur ses ongles, suivant le mieux possible les instructions qu'elle me donnait.

« Bon..c'est pas trop mal...tu vas t'améliorer avec le temps »

Je frémis intérieurement en comprenant que je serai désormais son valet de pied.

« Tu peux aller continuer ce que tu faisais »

Je quittai sa chambre pour retourner à mon ménage.

J'étais en train d'épousseter les étagères du salon quand elle descendit. Je restais un instant subjugué par sa tenue. Je ne l'avais jamais vu habillée comme cela. Elle avait enfilé une robe brodée en satin noir, arrivant aux genoux, et mettant en valeur ses formes épanouies. Elle était simplement sublime.

En me fixant dans les yeux, elle tira de son corsage une chaîne en or, sur laquelle était accrochée la clé dorée qui ouvrait ma cage.

« Tu vois, maintenant, je la porte toujours sur moi...si quelqu'un me demande ce que c'est, il faudra bien que je le lui dise »

Je pâlis devant l'éventualité qu'elle expose à tous mon humiliant secret. Remettant sa chaîne dans sa robe, elle ajouta :

« Bon, je sors...ne m'attends pas ce soir...si tu veux, tu peux dormir dans ma chambre...c'est toi qui choisis »

Je passais une journée étrange. J'étais sûr qu'elle allait rejoindre Bertrand et qu'ils allaient faire l'amour. Je me demandais ce qu'elle avait voulu dire en me laissant le choix de mon couchage. Était-ce un piège, qu'attendait-elle de moi?

Le soir venant, je me résolus à me coucher dans sa chambre, sur le tapis. C'était certes moins confortable que mon lit mais je me sentais plus proche d'elle et ce soir là, c'était important.

Je dormis très mal cette nuit là. Le jour était levé depuis longtemps quand je me décidais à me lever. Je venais de commencer à préparer le café quand j'entendis la clé dans la porte d'entrée. Elle entra dans la cuisine, aussi désirable que je l'avais vue la veille.

« Bonjour...tu as bien dormi? »

« Euh...non...je n'ai pas dormi. »

« Tu n'as pas déjeuner? »

« Non, en fait, je viens de me lever »

« Bon, excuse moi mais il faut que j'aille aux toilettes »

Je ressentais un profond sentiment de tristesse...presque de désespoir. Elle revint quelques instants plus tard.

« Tu me fais un café »

« Oui...j'avais prévu que vous en voudriez un »

Nous nous assîmes à la table de cuisine, chacun avec notre bol.

« Tu me fais la tête? »

« Euh...non, pourquoi vous dites ça? »

« Je ne sais pas, tu ne m'as pas adressé la parole depuis que je suis rentrée »

« Non...c'est pas ça...je n'ai pas dormi et je suis un peu dans les vaps »

« Pourquoi tu n'as pas dormi? »

Je la fixai, stupéfait qu'elle me pose cette question.

« Parce que vous n'étiez pas là...et parce que je me doutais de ce que vous faisiez »

« Tu es jaloux? »

Je sentis une sorte de colère monter en moi

« Oui Madame, je vous aime et je suis jaloux »

Elle eut un sourire espiègle

« Ça te rend jaloux de savoir que j'ai baisé toute la nuit? »

La crudité de sa sortie renforça ma colère.

« Vous m'empêchez de faire l'amour, vous m'empêchez de jouir, vous m'empêchez même de bander. Et vous, vous me dîtes que vous avez baisé toute la nuit? »

« Oui, j'ai baisé toute la nuit...et j'ai joui comme une folle. Je n'ai jamais eu autant de plaisir avec Bertrand que depuis que je sais qu'il y a un puceau amoureux de moi qui m'attend à la maison. »

Nous nous toisâmes un instant, moi tout à ma colère, elle tout à son défi...puis ses mots commencèrent à parvenir à ma conscience... elle éprouvait du plaisir grâce à moi, grâce à ma détresse. Cette pensée sublimait toute la rancœur que je ressentais. Je baissais les yeux.

« Excusez moi...j'ai du mal à supporter ça »

Sa voix se fit plus calme.

« Je sais Pascal...mais je t'ai prévenu plusieurs fois...chaque fois tu m'as dit que tu voulais rester »

« Oui Madame, je veux rester auprès de vous...mais ça me fait du mal de penser...enfin, vous avec un autre homme.. »

« J'aime baiser Pascal »

« Mais alors, pourquoi pas avec moi? »

« Parce que toi, tu es mon puceau esclave...chacun son rôle...Bertrand me baise et toi tu ne baises pas...Pascal, nous avons entre nous des relations beaucoup plus intimes que celles que je n'aurai jamais avec Bertrand. Tu connais des choses de moi qu'il ne devine même pas et dont il se fout éperdument. Pour lui, je suis un bon coup...bien meilleur depuis quelques semaines sans qu'il cherche à savoir pourquoi...pour toi, je suis bien autre chose non? »

Je relevais les yeux vers elle.

« Madame, comment vous dire...vous êtes la Maîtresse à qui je me donne corps et âme...vous êtes en quelque sorte ma Déesse. »

Elle eut un sourire triste.

« Alors accepte que je prenne du plaisir en dehors de toi...mais rassure toi, tu ne quittes jamais complètement mes pensées »

Des larmes me montaient aux yeux. Je pris sa main et y posait des baisers. Elle me laissait faire sans rien dire en me caressant la tête.

La journée fut un peu triste. Je me sentais dans un état bizarre après ma nuit blanche. Hélène semblait, elle-même fatiguée. Nous fîmes une sieste l'un et l'autre pour essayer de récupérer.

Le soir se passa de manière plus décontractée. Elle me fit à nouveau passer la soirée sous ses pieds que je léchais à n'en plus pouvoir.

Puis nous partîmes nous coucher, moi sur le tapis de sa chambre, elle dans son lit. Elle me réveilla encore une fois par un aller-retour aux toilettes, allant jusqu'à me marcher dessus dans son demi sommeil.

Le début de la semaine suivante se passa sans incident. J'étais assez pris par mes études et Hélène rentrait tard du boulot, semblant un peu préoccupée.

Le jeudi, je rentrais tôt de l'école et, comme c'était maintenant mon habitude, je me déshabillais entièrement pour commencer mon travail. J'avais du mal à me concentrer et je réfléchissais à tout ce qui m'arrivait. J'étais tombé follement amoureux d'une femme un peu sadique...cela faisait quinze jours que je ne m'étais pas 'vidé' comme elle disait, et au moins six semaines depuis que je n'avais pas éprouvé un véritable orgasme.

Je finissais par m'habituer à ce manque de plaisir, à éprouver même une étrange délectation à ce désir continuel qui me brûlait, à la douleur parfois très vive que ma cage m'infligeait. Je donnais ma jouissance à Hélène et cette pensée m'enthousiasmait. Je savais qu'elle éprouvait un plaisir pervers à voir mes grimaces quand les barreaux d'acier mordait les chairs tendre de mon gland à cause de mon désir pour elle. Alors que j'étais perdu dans mes pensées, Hélène rentra. Il était 17h15 inhabituellement tôt pour elle.

« Pascal, où es tu...je suis rentrée »

Je descendis l'escalier pour venir lui dire bonjour. Nous nous fîmes la bise comme deux camarades. Elle semblait énervée.

« Madame, ça va? »

« Oui, oui, ça va »

Je remontais dans ma chambre pour reprendre mon travail. Je l'entendis monter dans sa chambre, et fermer la porte. Un quart d'heure plus tard, elle m'appela à travers la porte.

« Pascal, viens là »

Je m'approchais et frappais à la porte.

« Entre »

Je rentrais pour découvrir un spectacle incroyable. Elle était allongée sur son lit, genoux relevés, jambes écartées, nue jusqu'à la taille en dehors des bas qu'elle avait conservé. Elle se caressait le clitoris de manière effréné d'une main, tandis qu'elle faisait aller-et-venir dans son vagin un godemiché noir de l'autre, l'odeur diffuse de son sexe avait envahie la chambre. Je ressentis immédiatement une douleur familière dans mon membre.

Elle me dit d'une voix pressante.

« Viens m'aider...prends le gode »

Me mettant à genoux entre ses jambes, je pris le phallus noir de ses mains pour continuer ses va-et-vient. Elle profita de sa main libre pour sortir ses seins de son corsage et en titiller les mamelons. je compris à sa respiration haletante qu'elle n'était pas loin de l'orgasme. Je me concentrais davantage sur le membre factice que j'avais dans la main. Elle cria d'une voix pressante

« Plus vite...va plus vite »

J'accélérais la pénétration du membre dans son corps. Je n'avais jamais vu une femme être pénétrée et la première fois, ce serait avec un jouet en silicone.

« Oooh...ouiiiiis »

Elle se cambra, écrasant entre ses doigts son téton érigé, appuyant fermement sa main contre sa chatte. Ne sachant trop quoi faire, j'arrêtais mes mouvements. lorsqu'enfin elle se détendit pour retomber alanguie sur le lit. Je restais là, le godemiché profondément fiché en elle.

Elle avait fermé les yeux cherchant à reprendre sa respiration..au bout d'un moment, elle rouvrit des yeux embrumés.

« Retire le doucement »

Je retirais le plus doucement possible le phallus noir. Des dépôts épais d'une mouille laiteuse en maculait la surface.

« Suce le »

Je portais le jouet à ma bouche. L'odeur forte de son sexe m'inonda, je léchais les traces crémeuses de son plaisir, gouttant avec délice leur saveur salée un peu métallique. Je suçais ce membre factice jusqu'à ce que ma salive ait remplacé ses sécrétions vaginales.

« Bon..merci...tu peux me laisser maintenant...je vais me reposer un peu »

Je quittais la chambre en refermant la porte derrière moi, encore imprégné de son odeur et de son goût. Je comprenais que je n'avais été qu'un jouet dans le plaisir qu'elle se donnait, comme le gode que j'avais manipulé.

Elle redescendit trois quarts d'heure après. Elle avait passée une robe de chambre et chaussée des mules qui avaient dû connaître de meilleurs jours. Pendant notre repas, je me décidais à poser une question qui me tourmentait depuis longtemps.

« Madame...je peux vous poser une question? »

« Oui, vas-y »

« Ma cage...vous m'avez dit que c'était celle de votre mari...quelles étaient vos relations avec lui »

Elle me regarda fixement un moment, comme perdue dans ses pensées

« C'est assez dur à expliquer mais toi, tu es sans doute le seul à pouvoir comprendre. Robert, mon mari, et moi avons été marié 22 ans. Et, disons qu'au fil du temps, ma libido était un peu tombée en berne. Un jour, il me fit lire un article d'une sexothérapeute américaine qui prétendait que, pour développer la libido d'une femme, rien ne valait le fait de lui donner un contrôle complet sur la sexualité du couple, et qui parlait des ceintures ou des cages de chasteté.

Je n'étais pas très chaude pour essayer, cela ne me paraissait pas naturel, pervers. Mais quand mon mari avait une idée derrière la tête, il était têtu. Il arriva un beau jour avec cette cage qu'il s'était faite faire sur mesure et me demanda de la lui mettre. Je dois avouer que cela m'amusa d'encager ainsi le pénis de mon époux.

Au début, c'était juste un jeu érotique. Je lui mettais la cage pendant un jour ou deux, m'amusant à l'exciter et à le voir essayer de bander dans sa prison. Et puis les choses changèrent. je le maintenais chaste de plus en plus longtemps. Les premiers temps, c'était avec sa bénédiction mais quand la période de chasteté commençait à dépasser une semaine, il me demandait de le libérer...c'est alors que je commençais à prendre véritablement du plaisir à cette situation et je refusais obstinément...il finit par me supplier, comme tu l'as fait...et là, j'ai découvert ma vraie nature et le plaisir que je prenais à le faire souffrir...voilà...tu sais tout »

« Mais...vous m'avez dit l'autre jour que vous aimiez faire l'amour...ça ne vous manquait pas? »

« Si, ça me manquait un peu...mais le jeu en valait la chandelle...et puis, quand je le libérais...nous faisions l'amour comme des fous...et nous avons acheté des jouets... »

« Des jouets? »

« Oui... tu viens d'en voir un...je te montrerai peut-être les autres...si tu es sage »

Elle se tut un instant et reprit.

« Aujourd'hui, j'ai la meilleure position, toi pour satisfaire mes penchants sadiques, et Bertrand pour me baiser quand j'en ai envie »

Elle demeurait pensive

« Je dois tout à Robert, il m'a fais me découvrir...il m'a enlevé toutes mes pudeurs...il m'a fais découvrir des tas de moyens d'exciter un homme que je n'aurais jamais deviné... que j'aurais trouvé dégradantes...sales... »

Puis elle revint au présent.

« Enfin, toi, tu m'en a fait découvrir d'autres... » « Vous..vous avez eu d'autres...euh...enfin...je veux dire d'autres soumis... »

« Non...j'avais complètement oublié tout ça...jusqu'à ce que je te prenne à renifler mes culottes... »

Je baissais les yeux en me rappelant la honte que j'avais éprouvé ce jour là.

Nous avions fini notre repas et je débarrassais la table pendant qu'Hélène s'installait calmement devant la télé.

Le lendemain, Hélène devait se rendre à un salon et se leva tôt. Malgré le soin qu'elle pris à essayer de ne pas me réveiller, j'ouvris les yeux en entendant la douche couler. Ayant encore un peu de temps avant de me lever, je restais allongé sur le tapis, remontant ma couverture sous mon menton. Elle sortie de la douche entièrement nue, en frottant ses cheveux avec une serviette.

« Je t'ai réveillé? »

« Non, je me suis réveillé tout seul... »

De mon poste d'observation privilégié, je la vis s'habiller de pied en cap. Je fus surpris de la voir mettre un porte-jarretelles, à ma connaissance, c'était la première fois qu'elle en portait depuis que j'étais là. Une fois vêtue, très élégante, comme à son habitude, elle se mit à genoux à côté de moi et me déposa un baiser sur les lèvres.

« Je risque de rentrer tard...je t'appelle »

Je l'entendis partir...j'étais trop énervé pour me rendormir et je me levai une bonne heure avant mon réveil.

La journée me paru formidable. J'étais euphorique et prenais du plaisir à tout. Même les cours de chimie que je détestais trouvèrent grâce à mes yeux.

Je rentrais vers 17h et, après m'être déshabillé, me mis à mes études. Vers 18h, Hélène m'appela

« Allô, Pascal »

« Oui, bonsoir Hélène, comment allez vous? »

« Ça va à part qu'il fait une chaleur à crever...je vais rentrer vers 21h »

« D'accord »

« Ne m'attends pas, j'aurais mangé un bout ici »

« Bien alors à tout à l'heure »

Elle arriva à 21h15, sa veste sous le bras, les cheveux collés pas la sueur. Elle semblait dans un état pitoyable.

« Ouf...je crois que je n'ai jamais eu aussi chaud de ma vie...sert moi à boire »

Je revins avec un grand verre d'eau tandis qu'elle se mettait à l'aise. Une large auréole de sueur rendait transparent son chemisier sous les bras et on distinguait la tâche noire de ses poils.

Elle but le verre d'un trait... puis se leva.

« Bon, je vais me doucher! »

Je l'entendis monter lentement l'escalier. Quelques minutes plus tard, elle m'appela dans sa chambre. Quand j'arrivai, elle était étendue sur son lit, elle avait enlevé son chemisier et son soutien-gorge et avait les bras levés au-dessus de sa tête Je restais en arrêt devant la vision de ses seins lourds et de la touffe de poils drue sous ses bras quelle exposait ostensiblement.

« Viens me rafraîchir...viens souffler... »

Je me mis à genoux sur le lit à côté d'elle et me penchait vers ses aisselles, en respirant l'odeur aigre, je commençais à souffler doucement. Elle me regardait faire par-dessus son épaule.

« C'est bon...continue »

Je continuais ma tâche, enivré par l'odeur chaude de sa peau.

« Lèche »

Obéissant, je m'approchai et passai la langue sur ses poils collés pas la transpiration. L'odeur forte et la saveur salée m'envahirent. Je les pris dans ma bouche en aspirant la sueur qu'ils contenaient comme un nectar. Je me noyais dans ce monde olfactif, m'imprégnant des senteurs de ma Déesse.

Au bout d'un moment, elle me fit faire pareil avec son autre bras.

« J'ai une idée...tu vas faire ma toilette avant ma douche. »

Elle se leva et finit de se déshabiller, puis elle se rallongea sur le dos. Obéissant à ces ordres, je dû lécher ses seins dont les mamelons durcirent sous ma langue, insister sur le dessous de sa poitrine ou la sueur s'était accumulée, puis son ventre, ensuite je suçai longuement ces pieds, prenant chacun de ses orteils dans ma bouche, ses jambes jusqu'aux cuisses. Partout, la même saveur salée et acidulée m'accueillit, plus ou moins intense selon les endroits, mais les parfums et de sa peau était tous différents. Enfin, elle m'ordonna de lécher son sexe. Et je me noyais à nouveau dans son odeur fauve qui rendis plus aiguë la douleur lancinante de mon pénis.

Elle se retourna, s'allongeant sur le ventre et je recommençais mon léchage. Ma langue devenait sèche et j'avais du mal à humecter sa peau pour la nettoyer des séquelles de la journée. je léchais d'abord son dos, puis je recommençai aux talons pour remonter lentement vers ses fesses dont je léchais consciencieusement la surface.

Enfin, elle écarta ses fesses à deux mains, me montrant pour la première fois l'anneau brun de son anus, entouré d'un fin duvet. J'hésitais un moment à m'approcher, ressentant une sorte de délectation à l'acte avilissant que j'allais accomplir.

Je me penchai...l'odeur était lourde, pas vraiment désagréable...comme une odeur de terre chaude. Je fermais les yeux, pris ses fesses pour mieux les écarter, et passait ma langue sur la chair plissée. La saveur aigre et amère me transporta.

Je léchais longuement, immergé dans ce monde d'odeurs et de goût. Je sentais aux frémissements du corps d'Hélène qu'elle se caressait pendant mon hommage. Par moment, je tentais de pointer ma langue sur le sphincter, sans réussir à le forcer. Et puis, tout à coup, il s'ouvrit comme une fleur et ma langue pénétra un peu dans ce temple secret. j'insistais alors et parvins à la rentrer presque entièrement, L'amertume était plus forte dans cette chair onctueuse qui m'enserrait.

Et brusquement, elle se raidit de tous son corps, contractant son sphincter et me chassant violemment de cet écrin soyeux. Son corps était agité de soubresauts et elle poussait un grand cri rauque tandis que l'orgasme l'emportait...cela dura un long moment, je crû l'entendre éclater en sanglots, alors qu'elle ne cessait de s'agiter en tout sens.

J'avais relevé la tête et contemplais sans comprendre son corps qui se contorsionnait sur le lit. Enfin, elle s'immobilisa, retombant lascivement sur la couche, la tête sur un bras. Sa respiration si rapide que je cru un instant qu'elle avait eu un malaise. Longtemps, nous restâmes ainsi, moi à genoux entre ses jambes, elle étendue de tout son long. Cette fois, je perçus plus distinctement ses pleurs contenus. Au bout d'un moment et sans changer de position, elle dit d'une voix cassée

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