Madame Jennifer 02. Dur Labeur

J'ai beaucoup hésité à écrire cette partie, en effet, elle n'a rien d'excitant ni d'impressionnant. Mais ce dont je vais parler constitue pourtant une part importante en termes d'effort et de temps, je dirais même qu'il constitue l'activité principale du soumis.C'est pourquoi j'ai décidé de ne pas éluder le sujet, même s'il ne passionne pas les foules, car après tout je ne pouvais ne pas parler de ce qui constituait à vue de nez presque la moitié des séances de Madame J, les tâches ménagères! Et puis ça constituera un texte de mise en bouche avant d'autres plus ... intenses.

Cela faisait maintenant 2 semaines que j'étais devenu officiellement le soumis de Jennifer, c'était ainsi que je devais l'appeler, elle n'apprécie guère le terme de Maîtresse, « Mon simple prénom est suffisant, mais le vouvoiement est indispensable ». J'étais sans nouvelle depuis, jusqu'au SMS de ce samedi matin « Je t'attends demain à 10h00 ».

Toujours aussi nerveux, car, après tout, c'était ma première vraie séance en tant que soumis, j'entrais dans l'appartement de Madame, alors que j'allais me rendre directement dans la salle de bain comme convenu (voir épisode 1), elle me stoppa tout en refermant sa porte d'entrée :

-Une minute, contre le mur, face à moi, les mains derrière le dos.

J'obéis, et Jennifer dénoua ma ceinture violemment, et abaissa mon jean et caleçon d'un seul coup sec, elle vérifia le numéro du cadenas de ma cage, et fit aller sa clé, visiblement rassuréede voir que je ne l'avais pas ouverte, elle m'ordonna de remonter mon pantalon et de filer à la salle de bain.

Une anecdote concernant le cadenas :je pensais que c'était un objet premier prix, sûrement un objet de sécurité d'entreprise, quelque chose qui se trouvait facilement en tout cas.Mais j'appris bien plus tard, à une époque où la confiance entre Jennifer et moi était solidement en place, qu'elle l'avait trouvé sur un site particulier, et qu'il valait une bonne soixantaine d'euros. Elle m'avait donné le dernier, le site avait fermé et impossible de retrouver le même modèle.Sa particularité était ses protections contre le crochetage, son mécanisme était à la fois pointu et très fragile,il avait toutes les chances de se briser si on tentait de le forcer. L'objectif du cadenas était non pas de résister à une ouverture en force, mais de s'assurer que l'on n'avait pas essayé de l'ouvrir.

Pour en revenir au jour de ma première séance, je m'étais déshabillé, et avais enfilé la mini-jupe noireaccrochée sur ce porte-manteau bleu (voir épisode 1), une fois les 5 minutes passés,j'entrais et attendais seul dans la chambre. Madame arriva quelques minutes plus tard.

-La jupe te va bien, avance-toi ...

Elle me tourna au tour et souleva la jupe.

-L'épilation ça va, lèche toi le majeur, et met toi le dans le cul bien profondément maintenant.

Je m'exécutais.

-Retire-le et montre-le-moi ... Ça va ... Tu as bien fait ton lavement et ton épilation juste avant de venir?

-Oui comme vous me l'aviez demandé.

-Parfait, tu sais repasser?

-Non désolé.

-Ça m'aurait étonné ... Tu vas prendre un cours aujourd'hui, je me doutais que tu aurais besoin d'entraînement alors j'ai lavé presque tous mes vêtements, et les draps avec! Tu auras droit à ta pause repas quand tu auras tout fini.

Jennifer sortit puis réapparut avec plusieurs tas de linge, et une table à repasser.C'est ainsi que j'appris comment repasser le linge ... Elle me surveilla un long moment, puis lorsqu'elle constata qu'elle n'avait plus besoin de me corriger, partit manger. Il était 14h00 lorsque j'eus fini, j'ignorais si je devais attendre ou la prévenir, finalement après avoir cogité pendant près d'une demi-heure la réponse vins toute seule, c'était elle qui venue voir ou j'en étais :

-C'est fini? Parfait, ça été?

-Honnêtement j'ai des fourmis dans les jambes et un peu mal au dos à force de rester debout.

-Pauvre petit puceau tout fatigué ah ah. Bientôt tu vas me demander de te plaindre non?

-Non bien sûr.

-Brave petit, va dans la salle de bain, tu as 20 minutes de pause, je t'amène un sandwich.

15 minutes plus tard, Jennifer entra dans la salle de bain :

-Aller on y retourne, tu as encore beaucoup à faire, la nourriture était bonne?

-Oui très bonne (et c'était vrai).

-Ah ça, j'ai craché dedans avec amour! Aller suis moi dans le salon.

Mon cœur battit fort, elle savait que je tenais à ma vie privée, et me balader ainsi dans son appartement ... Si on me voyait ... Mais j'eus l'agréable surprise de voir que les volets étaient fermés, ouf, en revanche il y avait de la poudre blanche partout ... Madame J avait répandu de la farine dans le salon ...

-Comme tu le vois j'ai aspergé la pièce de farine, tu nettoieras tout, une fois terminé tu feras la vaisselle et ensuite tu t'en iras.

Le ménage et la vaisselle faite je m'apprêtais à partir, cela avait pris toute l'après-midi, et la fatigue me gagnait. Jennifer venait de vérifier la qualité de mon travail et était satisfaite, j'allais rentrer dans la salle de bain lorsque :

-Oh attend! Tu as bien travaillé aujourd'hui, je suis vraiment contente de toi, après un tel effort je m'en voudrais de te laisser repartir comme ça, rien ne m'y oblige tu es à mon service après tout, mais je suis comme ça, généreuse! Je vais te faire un petit cadeau ...

Je n'eus pas le temps de me demander ce qu'aller être ma récompense, elle crachat droit sur ma figure. Instinctivement je la remerciais.

-Ah mais de rien mon puceau, par contre vu que j'ai pris la peine de te donner ce petit quelque chose, tu me feras le plaisir de ne pas t'essuyer! Allez ouste!

Je remis mes affaires en prenant soin de ne pas essuyer le crachat, mais ça m'embêtait vraiment de sortir comme ça. Je ne pouvais pas sortir ainsi, après tout dans mon contrat de soumission il était bien spécifié que je refusais d'être humilié en public, mais est-ce que j'oserai protester? Encore une fois, je vis qu'elle faisait attention, en effet elle m'attendait à la sortie de la salle de bain pour m'autoriser à m'essuyer le visage avec mes mains, me regarda même attentivement pour être sûr que je n'avais plus de trace.

La semaine passa et de nouveau plus de nouvelles, vendredi soir elle me demanda de venir samedi à 14h00. J'eus les mêmes tâches à faire, cette fois-ci sans farine et avec uniquement le linge de la semaine à repasser, en guise de cadeau j'obtins cette fois une gifle. Puis 2 semaines sans aucune nouvelle, et à nouveau un rendez-vous dimanche matin, je passai une nouvelle fois la journée à faire le ménage. Jennifer s'était éclipsée dans sa chambre en fin d'après-midi, j'essayais de ne pas y prêter attention pour rester concentrer sur le ménage, mais quand même... Il me semblait l'entendre gémir ... Je sentis mon sexe devenir très à l'étroit dans sa cage ... Mes corvées étaient terminées, mais Jennifer ne réapparaissait pas, de temps à autre il me semblait l'entendre soupirer, gémir, et j'étais certain que le discret ronronnement que j'entendais était celui d'un vibromasseur ... Je décidais de ne pas m'approcher, il me paraissait évident que cela ne lui plairait pas, pourtant rien qu'àl'imaginer j'avais mon pré-sperme qui sortait tout seul ... C'est là que je réalisai qu'effectivement il coulait un peu! Je m'empressais de vite essuyer tout ça! Je ne sais pas comment Jennifer aurait réagi en voyant ça! Je restais immobile à l'autre bout de la pièce en essayant de penser à autre chose ... en vain. Jennifer finit par sortir (malheureusement pour moi elle s'était rhabillée), un vibro de belle taille à la main :

-Eh ben mon petit puceau ça fait du bien! Enfin c'est quelque chose que tu ne connais plus.

-En effet je ... heu ...

-Tu es tout rouge! Ah ah qu'est-ce qui te met dans cet état?De savoir que je prenais mon pied pendant que tu travaillais dur, ou la vue ce vibro, en t'imaginant ou il a pu pénétrer?

-Honnêtement un peu des deux je pense...

-Mais regarder ça! Ya ta petite queue qui est en train de pleurer ah ahah!

Du pré-sperme venait de couler aie aie aie

-Désolé ... Heu ça ne se contrôle pas ... Je vais nettoyer de suite.

-Non laisse je le ferai, va plutôt à côté de la porte de salle de bain en position d'attente.

Elle s'accroupit pour se retrouver face à mon sexe encagé, et lui parla directement.

-Allons allons inutile de pleurer, tu es bien plus jolie dans ta cage toute rose! C'est fini de faire sa grande et d'être soulagé. Tu resteras enfermé, adieu liberté. Et puis bon,de toute façon je crains que tu n'aies pas mangé assez de soupe pour pouvoir satisfaire pleinement une jolie chatte rose.

Elle se redressa.

-Comment se passe la chasteté? Les branlettes ne te manquent pas trop?

-Eh bien en fait c'était frustrant les premiers jours, mais depuis ça va ... Je n'y pense plus trop et ça ne me manque pas plus que ça. Même la cage, bien que désagréable lors d'une érection, ne me dérange pas.

-C'est bien, mais c'est parce que je suis encore gentille, par la suite je m'amuserai à faire baver ta petite queue de puceau, et là je te garantis que la frustration viendra.

-Je suis prêt dès maintenant.

-Tu attendras...Tu vois il suffit qu'il y ait quelque chose qui t'excite pour que tu te mettes à baver.

-Oui ...

-Et tu verras, au fil des mois la frustration sera de plus en plus forte, tu auras tellement envie de te vider que tu me supplieras... Mais j'aime autant te dire que ça sera très rare...

-Et je vous remercie pour ça Jennifer.

-Ouvre le bec

Elle m'enfonça son vibro dans ma bouche, enfin une partie, et fit quelques va et vient, je crus que j'allais vomir, l'engin avait de bonnes mensurations et j'avais du mal à ouvrir suffisamment grande ma mâchoire pour réussir à le faire passer. Cela ne durera que quelques secondes.

-J'arrive à faire rentrer à peine la moitié, c'est sur que c'est plus gros que ta queue ah ah. Aller file.

C'était ce que j'appellerai des séances ménages, ellesconstituerontprès de la moitié des rencontres avec Madame J, c'était aussi celles que j'aimais le moins. Il y aura les séances de frustration, de sodomie, de douleurs, de cunnilingus, et quelques autres d'un autre genre, plus rare, mais bien plus intense, dont je reparlerai en temps voulu. Les séances avec Jennifer étaient totalement aléatoires, cela dépendait de son humeur, le record est de 5 semaines sans séances, mais parfois, j'étais chez elle tout le week-end plusieurs semaines d'affilés.