L'enseignante Pt. 02

BÊTA PUBLIQUE

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Catherine le fixa quand il la regarda et montrant sa robe de son menton lui fit signe discrètement de la remonter. Son bureau sans planche était presque collé contre leur table. Catherine pâlit et fit mine de feindre la colère sachant tout au fond d'elle que la jeune femme était terrorisée et qu'un plaisir diffus la poussait à obéir. Devant son regard, il lui montra Joussouf, qui lui fit comprendre par gestes que la jeune institutrice devait lui obéir ou sinon.....

Elle jeta un regard circulaire et puis discrètement les mains tremblantes, elle fit remonter un peu sa robe jusqu'à ses genoux. Jetant un regard, la jeune femme vit les deux arabes les yeux rivés sur ses jambes et elle en éprouva un dégoût profond pour son obéissance.

N'osant pas les regarder, Catherine tourna la tête mais elle sentit un pied taper contre le sien et levant les yeux la jeune femme comprit que ca ne suffisait pas. Affolée et humiliée la jeune rousse ne savait comment réagir, et elle s'interrogeait sur les conséquences d'un refus. Elle baissa la tête, se replongeant dans la lecture espérant que cela les découragerait mais il n'en fut rien.

Le premier geste d'obéissance de la jeune femme, leur avait fait comprendre qu'ils la tenaient. Sidi lui donna un deuxième coup plus poussé et elle leva les yeux dans un réflexe. Il fixait la jeune rousse, d'un regard dur et cupide, son voisin, Ali faisait de même. Catherine sentit sa force la quitter.

Sidi lui montra une ligne invisible sur sa cuisse et du menton lui ordonna de la relever plus. Heureusement pour la jeune femme, eux seuls pouvaient voir sous le bureau. Complètement soumise et honteuse, la jeune bourgeoise glissa ses mains sur la robe et tournant la tête elle fit remonter le tissu, les cuisses serrées dans un dernier sursaut de dignité. Catherine pouvait sentir leurs regards palper sa chair.

La jeune femme remonta doucement le tissu, leur dévoilant ses cuisses nues et laiteuses et elle s'arrêta, la robe remontée à cinq centimètres de son sexe. L'humiliation lui cuisait les joues, même les cuisses serrées la jeune rousse savait qu'ils pouvaient voir en partie les traces au marqueur. Catherine tourna lentement la tête et elle les vit, penchés sur leur table ne perdant pas une miette du spectacle qu'elle leur offrait.

Elle ferma les yeux un moment, avilie et pourtant la jeune rousse sentait un nouveau plaisir la gagner. En les ouvrant Catherine vit Sidi qui la regardait, l'air moqueur et sûr de lui, puis par gestes il lui montra les hanches. La jeune institutrice fit non de la tête mais au fond de la classe, elle vit Joussouf se lever lentement.

Paniquée, elle obéit et remonta sa jupe sur ses hanches, la jeune rousse mit une main devant ses yeux pour cacher les larmes de honte. Mais Catherine pouvait les voir, Sidi et Ali fixant le haut de ses cuisses puis les boucles de sa toison rousse et enfin une partie de ses hanches nues. La jeune professeur s'exhibait devant ces deux arabes, ayant perdue toute notion de pudeur.

Sidi lui fixa à nouveau et avec ses mains, il lui fit comprendre qu'il désirait qu'elle écarte les cuisses. Comme dans un cauchemar trop réel Catherine obéis, écartant ses cuisses d'un vingtaine de centimètres. La jeune femme les vit sourire en découvrant les dessins obscènes sur ses cuisses. Ali sortit sa langue et il fixa la jeune rousse en caressant sa braguette, murmurant « baisez-moi ».

Catherine pâlit, le ventre s'humidifiant, les pointes des seins dressées malgré elle, en le voyant sortir son sexe en demi-erection. Sidi lui fit encore et encore écarter les cuisses, et la jeune femme obéissait avec de moins en moins de dégoût, jusqu'à ce que la jeune rousse soit complètement ouverte et offerte, le sexe en avant, la vulve bien découverte.

Catherine De Montfort avait honte d'elle, jamais la jeune femme n'aurait pensé que l'on pouvait s'offrir de cette façon. Elle ne pouvait soutenir leurs regards brillants et vicieux alors baissant les yeux la jeune femme réprima ses sanglots.

Soudain Catherine vit un papier roulé que l'on jetait sur son bureau, levant les yeux, inquiète la jeune femme fixa la classe mais tout le monde semblait travailler même Sidi et Ali. Défroissant le papier la jeune institurice lut :

- C'est très bien.....mais maintenant..tu vas remonter ta robe très haut sur tes hanches ma belle....je te veux cul nu sur la chaise...

Tremblante, elle vit Sidi et Ali ricaner, et glissant une main mal assurée vers la robe la jeune rousse obéit. Elle remonta lentement le tissu fin sur ses hanches, la tête baissée, ne pouvant regarder la classe. Il lui semblait que tous savaient ce qu'elle faisait. Doucement, aussi discretement que possible la jeune femme tira sa robe dans son dos, se soulevant un peu. Catherine se rassit posant ses fesses nues et delicates sur le bois de la chaise. A ce contact la jeune femme eut un frisson de honte violent.

La jeune bourgeoise resta dans la même position, cuisses écartées, le sexe en avant, offerte et humiliée, les narines pincées, elle les fixait, les yeux sur leurs sexes sortis et nus, durs. Ils se masturbaient devant elle, fixant la jeune rousse d'un air merdeux et ironique.

La vision de ces gamins hautains, devant lesquels pour la première fois elle s'offrait impudiquement, provoqua un spasme violent qui la secoua entièrement tel un frisson qui lui parcourait le corps.

Catherine ne put soutenir leurs regards lubriques et elle baissa les yeux, essayant d'oublier la situation mais en vain. Quelques minutes après, la jeune femme vit Sidi lancer une feuille pliée sur le bureau.

Catherine ne voulait pas la voir, ayant peur de ce qui pouvait lui être encore demandé. Mais d'une main hésitante l'institutrice prit le papier et l'ouvrit :

Chère madame,

Quelques mots pour dire ce que je vois.... il faut bien que vous appreciez la situation à sa juste valeur. Pour la classe vous êtes très sérieuse avec votre robe classique malgré votre poitrine trop arrogante. Mais il suffit que l'on se penche et là alors tout devient différent. Là, tu es cuisses bien ouvertes, et les inscriptions sur tes jambes ne font que confirmer ce que l'on voit. Tu as une toison superbe, douce et légère mais assez fournie, il parait que tu as la raie très poilue. Mais ces poils roux sur cette peau blanche.. c'est fichtrement bandant..surtout qu'ils dévoilent bien ta fente que je crois un peu mouillée, non???

T'as pas l'habitude de te montrer... hein??.. mais tu vas vite apprendre avec nous.

Complétement avilie, Catherine se rendit compte de sa pose et d'un geste nerveux elle rabattit la robe sur ses cuisses. Les joues cuisantes de honte la jeune femme n'osait les regarder mais elle entendait leurs rires étouffés et leurs remarques obscènes. C'est à ce moment que la cloche se mit a sonner. Dans un brusque réflexe la jeune professeur resserra ses jambes, réajustant sa tenue, afin de retrouver une allure normale.

Mais devant elle, les deux jeunes arabes ne paraissaient ni pressés ni gênés. Ils ne firent que rabattre leurs tee-shirts sur leurs braguettes ouvertes afin de dissimuler leurs sexes que la jeune rousse devinait tendus. Catherine essaya de cacher sa gêne quand les élèves se levaient pour me rendre leurs copies en sortant. Mais son coeur battait de plus en plus fort à chaque fois que la salle se vidait petit a petit.

Elle ne pouvait s'empêcher de jeter un coup d'oeil vers les deux arabes qui semblaient penchés sur leurs copies. Mais son regard se troublait lorsque la jeune femme pensait à leurs tenues. Soudain alors que Catherine les fixait, Sidi leva les yeux et croisa son regard. Il lui sourit avec une lueur ignoble dans les yeux et posa sa main sur son entrecuisse, fixant la jeune rousse d' un air ironique.

Affolée, elle détourna la tête, honteuse et avilie, ne remarquant pas qu'un élève lui tendait sa copie avant de sortir. La jeune femme la prit avec précipitation, les mains tremblantes. Joussouf se leva à ce moment et en lui rendant sa copie, il murmura « Ce n'est qu'un debut », qui la fit frémir et Catherine dut se contrôler afin de ne pas s'enfuir en courant. Les élèves sortirent un par un. Il ne restait plus que Sidi et Ali dans la classe.

A son grand soulagement ils se levèrent rhabillés et Ali lui rendit sa copie et sortit sans un mot. Sidi s'approcha de sa jeune institutrice, elle recula, mais avec un sourire amusé il lui lanca un papier sur le bureau et dit :

- Demain... viens une heure avant les cours pour suivre les instructions que l'on te donnera ....ah! ah!.. et je te rendrais la copie.... si tu es gentille....ah!..ah!..

Surprise et soulagée de le voir partir la jeune femme resta assise quelques minutes pour se calmer puis elle prit le papier et le glissait avec ses copies sans le lire, le ventre noué par la peur. Ce matin Catherine était résolue à arrêter ce chantage odieux mais maintenant la jeune femme faiblissait. Elle se rendait compte avec horreur qu'elle continuerait même si les situations devenaient de plus en plus éprouvantes et humiliantes,... enfin surtout si elles le devenaient......

La faiblesse et ce plaisir nouveau et sale lui faisait perdre toute notion de logique et l'empéchaient de penser aux risques encourus. Catherine rentra chez elle, et seule la jeune rousse resta assise à penser à ce qui s'était passé aujourd'hui et se rappelant de leurs sourires ignobles, des frissons malsains lui parcouraient le corps. Elle se coucha de bonne heure ; lorsque son mari rentra, la jeune femme fit semblant de dormir, espérant qu'il n'oserait pas la reveiller. Au milieu de la nuit, elle se reveilla, haletante, la respiration saccadée, constatant avec honte son ventre trempé. Enfin le matin arriva, et Catherine se leva, laissant dormir son mari et elle courut prendre une douche froide pour effacer les traces de cette nuit agitée et calmer ses sens affolés.

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