L'asservissement d'Ambre

BÊTA PUBLIQUE

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Il me décocha soudain un coup de poing dans l'estomac, je m'effondrais au sol.

Allongée sur le ventre il me saisit aux hanches et m'attira vers lui me disposant à quatre pattes.

Après quelques secondes il engouffra sa grosse bite noir dans ma petite chatte rasée.

- "Oh oui salope ..... On dirait que t'aimes te faire sauter par un frère!..... T'adores te faire bourrer ta chatte de petite blanche par une grosse mentule noire n'est ce pas?....." s'exclama-t-il en commençant à me labourer vigoureusement.

Il me martelait si rudement que mes gros nibards pendants se balançaient au gré de ses coups de boutoirs alors que tout mon corps vibrait sous ses puissants coups d'estoc.

Ils s'étonnaient tous de voir mon cul rouler au rythme de leurs coups de boutoirs.

Je me sentais si humiliée d'être baisée en levrette par ce jeune noir sous les yeux de salauds de copains blancs.

Ma petite chatte rasée enserrait étroitement sa grosse pine, il me dit :

- "De fait ta petite chatte est vraiment très étroite ...... Prépare toi je vais te remplir de mon foutre de nègre!....."

Je hurlais :

- "Nonnnnnnnnn!....."

Il me saisit les hanches et s'enfonça aussi loi qu'il le put dans mon utérus.

Je cherchais à me dégager, mais Ryan posa le revolver d'Eric sur ma tempe m'enjoignant de recevoir sa semence dans mon ventre comme la bonne petite pute que j'étais.

Ses couilles frappaient mes fesses alors qu'il plongeait sa grosse bite au plis profond de mon fourreau.

Je criais lorsqu'il tritura durement mes nibards projetant des flots de foutre dans mon intimité il commenta vulgairement :

- "Prends toute ma semence petite salope d'allumeuse!...."

Je m'effondrais sur la carpette alors qu'il retirait son énorme mentule de ma petite chatte frémissante.

Ils me baisèrent tour pendant tout le reste de la nuit et me prévinrent de ne rien dire si je ne voulais pas qu'ils diffusent la cassette de les exploits.

En tant que chef de la petite bande Eric décréta que je lui appartenais désormais, ses comparses nous quittèrent alors qu'il m'avisait qu'il allait rester avec moi le reste du week-end.

Par chance mon petit ami était retenu dans sa ville, rien ne s'opposait donc à ce qu'il s'installe chez moi ce week-end.

Le lendemain matin il prit une douche e,n ma compagnie, puis il m'invita à visionner les rushs en attente de montage, il me susurra que la cassette serait montée en fin de semaine prochaine.

Horrifiée je vis défiler les images qui me condamnaient à subir son emprise, il disposait d'assez de matériel pour me plier définitivement à sa volonté.

Si je me révoltais, sans aucun doute le scandale briserait ma carrière, je serai bannie de l'enseignement désignée à la vindicte populaire comme la petite pute que je semblais être devenue.

Le meilleur moyen de ne pas être désignée comme une pute de bas étage était de devenir sa petite pute personnelle, bien obéissante, soucieuse de satisfaire ses appétits les plus lubriques.

La journée de samedi, je me comportais en bonne petite ménagère cherchant gagner ses faveurs, je passais la journée entièrement nue, que je regarde la télé ou que je cuisine, restant à son entière disposition le laissant disposer à sa guise de mes charmes.

Le soir même ; dans la chaleur de mon grand lit, allongée sur le ventre, le cul arqué il lubrifiait mon anus sans que je trouve à y redire.

J'étais pucelle du trou du cul mais ne me sentais pas capable de m'opposer à sa volonté, je ne voulais surtout pas provoquer sa colère.

Il introduisit un doigt, puis deux puis trois dans mon œillet rétif, me gahamuchant énergiquement pour m'évaser le goulot tout en le lubrifiant.

Je frissonnais d'appréhension lorsqu'il pointa son chibre sur mon petit anneau crispé de peur.

Seul sans ses comparses comme spectateurs, il se montrait relativement doux, bien sur il ne tolérerait pas que je proteste en quoi que ce soit, mais il s'efforçait de ne pas me brutaliser inutilement.

Son gland franchit relativement aisément le premier obstacle, puis progressivement sans que je ressente la douleur horrible que je craignais de ressentir, par petites saccades, il s'enfouit avec d'amples mouvements au plus profond de mon trou du cul dompté.

Il m'encula longuement , petit à petit des ondes de plaisir naquirent dans mes reins, effarée je compris que j'allais jouir, j'étais une anale qui s'ignorait, réalisant mon émoi il me laboura alors rudement, frénétiquement enfin dans un grand cri il rugit ;

- « Ca y'est ma chérie ... je jouis ... Ahhhhhhhh .... » et il projeta des flots de foutre chauds au fin fond de mes entrailles.

Nous avons passé le dimanche au lit, ne nous levant que pour nous restaurer et faire nos besoins naturels, il me baisa en bouche, en con et en cul un nombre de fois incroyable, je jouissais maintenant sous ses assauts ardents, j'étais sous sa totale emprise.

Il prit l'habitude de me rejoindre dans les vestiaires l'entraînement terminé, là il descendait mon short au bas de les jambes, j'écartais alors les cuisses et il plantait sa bite dans mon con ou mon cul selon son humeur du moment.

Puis je m'agenouillais et nettoyais méticuleusement sa bite d'une langue habile, il m'abandonnait alors nue et gémissante sur le sol du vestiaire.

Bien sur je dus rompre avec mon petit ami, sans toutefois divulguer les véritables motifs de la rupture.

Eric s'installa à demeure chez moi, je devais lui faire la cuisine, entretenir son linge et lui faire l'amour selon son gré. Il n'agitait plus la menace de diffuser la cassette compromettante, je savais cependant qu'il avait monté le film, il me visionnait parfois en présence de ses copains que je servais nue avant de leur accorder mes charmes les plus secrets.

Il m'était interdit de leur refuser quoi que ce soit, cependant ils savaient tous qu'il se réservait l'exclusivité de mon anus, lui seul pouvait m 'enculer.

Par la suite je dus l'entretenir financièrement, ma chambre servait de lieu de rendez-vous, les bourgeois, les notables, de vieux vicieux défilèrent entre mes cuisses sans que je leur refuse quoi que ce soit les honorant de ma bouche et de mon con, n'ayant qu'un but satisfaire leurs appétits lubriques pour m'assurer un cercle de clients assidus assurant le train de vie de mon petit mari.

*

20 mai 2007

Texte de langue anglaise anonyme et incomplet trouvé sur le web

Traduit, remanié et complété par Coulybaca

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 7 ans
Amerlocs

Sans gun un ricain n'est qu'un poltron

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