La femme du gouverneur Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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Même s'il était prouvé qu'elle n'était pas consciente lorsque c'était adve-nu, Kyle savait que les cameras disséminées ici et là par ce démoniaque bâtard feraient la différence.

Bubba Jones avait placé des mini cameras aux endroits stratégiques de la chambre lorsqu'il avait prétendu inspecter la suite pour la purger d'éventuels micros-espions, il avait même du en placer dans leur cham-bre qui se déclencheraient au moment venu.

- Doux Jésus, j'espère que les cameras ont enregistré tout cela, j'en voudrai une copie! Se disait-il alors que sa bite tressautait dans on pantalon.

- Allez vas-y... Vas-y... crache-lui ton foutre en pleine bouche! Kyle suppliait silencieusement le pervers chauffeur noir, totalement cap-tivé par l'érotisme fou de cette scène délirante.

Et lorsque Bubba Jones s'écria :

- Je vais jouir chérie... Je vais me vider au fin fond de ta gorge! Kyle empoigna frénétiquement sa bite déployée.

En voyant Bubba Jones crocher solidement sa chevelure, Kyle sur que sa ravissante femme ne tarderait pas à goûter pour la première fois à la saveur de ma semence masculine. Il se demanda alors :

- Va-t-elle avaler son sperme?

Une fois que Bubba Jones eut clairement énoncé sa vile intention, Christine essaya instinctivement de repousser sa grosse bite qu'elle serrait fermement entre ses doigts.

Puis, à la pensée de ce qui allait se passer elle paniqua, Christine ne voulait surtout pas que ce pervers bâtard se soulage dans sa bouche.

En l'entendant souffler et le sentant frissonner, Christine comprenait que l'instant de vérité était tout proche, c'est alors qu'elle sentit nettement ses burnes se contracter au creux de sa main.

Quelques secondes plus tard, ce fut à son tour de frissonner alors qu'elle gargouillait sous le déluge de foutre salé qui lui emplissait soudain la bouche.

Les yeux écarquillés d'horreur elle se trouvait incapable de rejeter le foutre qui lui emplissait la bouche, alors que ses lèvres étaient étroitement pressées sur sa hampe, elle devait soit avaler sa sinistre semence, soit étouffer sous le flot.

Frémissante de dégoût elle engloutit sa première lampée, horrifiée, elle sentit de nouvelles giclées frapper ses muqueuses alors qu'il remplissait à nouveau la bouche. Elle savoura de nouveau son foutre gras... Et en-core... Et encore...

Les bras pendant mollement le long de son corps, Christine regardait d'un air morne un long filet de foutre qui reliait sa bouche à son pénis.

L'estomac retourné, Christine se mit à trembler.

Un frisson la parcourut toute, le second fut suivi d'un flot de foutre chaud qui s'étala sur son menton avant de s'égoutter sur le devant de son élé-gant tailleur.

C'est alors qu'elle entendit ce démoniaque bâtard exploser de rire alors qu'il ironisait :

- Qu'y a-t-il ma petite dame? Ma potion spéciale contient trop de protéines? Ou serait-elle simplement trop crémeuse?

Sa chatoune fourmillant follement, ses nichons gonflés et enflammés au simple contact avec la dentelle de son soutien-gorge, Christine était abasourdie alors qu'un flot de foutre continuait à s'étaler sur son menton et son tailleur définitivement souillé.

Il lui empoigna alors l'épaule et l'emmena vers la chambre.

Poussée à plat dos sur le grand lit, Christine se mit à trembler comme une feuille en voyant son suborneur noir se débarrasser de son gilet et de sa chemise blanche révélant son torse musclé.

Elle ne pouvait que rester allongée sur le dos haletante, alors que ses mains calleuses glissaient sous l'ourlet de sa jupe pour attraper la cein-ture de ses collants et de sa petite culotte de dentelle.

- Oohhhhhhhhhhhhhhhhhh... Ooooooooooooooooooooooooh... Mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu... Mon Dieuuuuuuuuuuuu... Couinait-elle en sentant ce salaud de chauffeur enfouir son visage entre ses cuisses parcourant d'une langue avide les re^lis de sa fentine épanouie.

Jamais Christine n'avait ressenti de telles sensations de toute sa vie, et, à l'instant même ou ses lèvres s'emparèrent de son petit clito dardé, elle tendit les mains pour agripper sa tête et la presser contre ses lèvres gon-flées, plantant ses talons dans le lit elle s'arqua pour mieux s'offrir à ses caresses alors qu'elle miaulait :

- Mon Dieuuuuuuuuuuuu... Mon Dieuuuuuu... Oh mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuu... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh...

Un orgasme fracassant fit tressauter son petit corps, puis elle s'amollit totalement, relâchent sa prise sur sa tête elle laissa retomber ses bras sur le lit.

Dans la demi-heure suivante, Christine se tétanisa encore à deux repri-ses pieds plantés sur son lit et doigts agrippant fermement sa tête pour la presser contre son pubis.

A chaque fois un incroyable orgasme la terrassa qui se termina alors que son suborneur se régalait de son jus intime qui avait inondé sa fou-foune.

Installée en position assise, elle le sentit dégrafer la fermeture de son dos, puis le vêtement se desserra alors qu'il descendait la fermeture éclair dorsale.

Apparemment la patience n'était pas son fort, il jura sourdement :

- Bordel!

Quelques secondes plus tard il empoigna le col de son tailleur et il lui arracha son élégante et coûteuse tenue.

Sa situation la heurta alors qu'elle cherchait à ramper sur le lit dans une vaine tentative de fuite.

Le colosse noir ne s'en inquiéta même pas, il agrippa les bretelles de son soutien-gorge et les déchira facilement, Christine tremblait de peur alors que son agresseur se dépouillait lestement de son pantalon le lais-sant choir sur le plancher.

Le cœur battant la chamade alors qu'elle tremblait de peur, elle gisait nue comme un ver sur le grand lit, les yeux rivés sur la protubérance noire qui croissait entre les cuisses de son agresseur noir.

Elle ne pouvait ignorer ses intentions maintenant qu'il s'était esclaffé :

- Ca fait longtemps que j'attends cet instant ma chère madame Caldwell! Et maintenant je vais te baiser jusqu'à l'os fieffée chienne!

Bien que la cantharide maintienne son excitation à un haut degré, bien que son esprit ayant repris pied dans la réalité avait bien du admettre toutes ces viles actions auxquelles elle s'était livrée avec son démonia-que "amant", le laisser disposer à sa guise de ses charmes lui semblait totalement hors de propos.

Une nouvelle tentative de fuite en rampant sur le lit s'avéra tout aussi inutile que la première il la rattrapa facilement d'une poigne puissante et la ramena tout contre son corps.

Elle lutta futilement alors qu'il s'installait confortablement sur elle la clouant sans vergogne sur son lit.

Sa bite parcourant lentement sa fentine gonflée la faisait trembler d'ap-préhension.

Le puissant aphrodisiaque agissait toujours, elle se rendait compte qu'elle avait besoin de se faire fourrer par une épaisse mentule, mais elle se refusait à accepter son sort.

- Non ne me violez pas... Je vous en prie... Je ne veux pas coucher avec vous! Le suppliait-elle misérablement.

En fait de gouverneur de l'état, Kyle Caldwell se conduisait maintenant en quelconque mateur qui se tiendrait dans l'entrée de la chambre la bite raide en main.

Comme le corps musclé de Bubba recouvrait entièrement celui de sa ra-vissante petite femme, il ne pouvait voir que ses jambes battant l'air et ses orteils pointés vers le plafond.

Il vit Bubba relever ses fesses, les crisper frottant son gland dans sa fente offerte à ses appétits.

Il avait maintenant les deux mains posées sur les hanches de sa moitié, il le vit soudain prendre son élan et plonger brutalement sa vigoureuse verge dans sa foufoune investie alors qu'elle s'époumonait :

Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!

Sa chatoune distendue comme jamais elle ne l'avait été, Christine fut poignardée par un élancement douloureux qui se répercuta dans tout son corps.

Un second coup de boutoir logea une bonne vingtaine de centimètres de sa grosse mentule dans sa chagatte, il l'a pénétré 5 bons centimètres plus profondément qu'on ne l'avait jamais pénétrée, sa cramouille se crispait instinctivement sur cet énorme envahisseur.

Il coulissait maintenant impitoyablement en elle, sa chatoune s'avérant amplement lubrifiée par sa propre cyprine. Il ironisa alors :

- C'est ça ma petite chérie... enserre-moi de tes soyeuses babines! Bordel ta chatoune me sert ma bite comme un étau!

Elle serrait les dents se refusant à répondre aux assauts enfiévrés de son suborneur, mais sa foufoune n'en avait cure se crispant et se décris-pant sur son muscle tendu.

Il vit alors les muscles des cuisses de son adorable femme se tétaniser alors que ses orteils pointaient dans les airs, ses mains se posèrent lentement sur ses biceps qu'elles caressèrent lascivement.

D'après ce qu'il voyait, sa femme si fidèle et naïve participait activement à cette séance de baise sous l'influence de la forte dose de cantharide qu'elle avait absorbée qui dopait ses sens en gommant toute inhibition de son esprit.

Comme Bubba se penchait sur elle pour s'enfouir plus profondément en elle, Kyle vit à quel point sa femme forçait pour élargir sa chatte afin d'accueillir son épaisse colonne noire au fin fond de son utérus.

Bientôt, sa bite bien lubrifiée coulissait à son aise dans sa chatte épa-nouie. Kyle voyait distinctement la pellicule de cyprine qui recouvrait la bite luisante le piston du chauffeur, elle accompagnait chaque aller et retour dans sa foufoune asservie de feulements rauques :

- Nnnnnnnnnnnnnn... Nnnnnnnnnnnn ... Oooohhhhhhhhhhhhhh... Oohhhhhhhhhhhhhhhhhhh! Entendait-il sa femme vagir sous les assauts frénétiques de son suborneur noir.

Puis il vit les doigts manucurés de son adorable petite femme se planter dans les muscles du bras de son "amant" alors qu'elle essayait faible-ment de le repousser.

- Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... Oh, mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu! Kyle entendit soudain hurler sa femme exposant son extase aux yeux de tous alors que son corps convulsait et tressautait de façon incontrôlable.

Il était évident qu'ils avaient joui de concert, bien sur sans utiliser de pré-servatif, Christine était consciente des risques que lui faisaient encourir cette occurrence! Elle craignait déjà de se voir engrosser par la se-mence de ce salopard de noir!

Quelques instants plus tard, Kyle observa attentivement les flots de foutre qui s'échappaient de la foufoune béante de sa femme au point d'union de leurs deux sexes, à cette vue il imaginait la dose de foutre qui emplir jusqu'à la gorge ses profondeurs fertiles!

Lorsqu'il extirpa sa grosse bite ébène, Christine sentit son maître-chanteur repousser ses jambes arrière, posant ses pieds bien à plat sur le lit avant d'ouvrir ses cuisses en grand.

Il l'entendit alors éclater de rire alors qu'il ironisait :

- Eh oui ma chérie... Ma ravissante première dame... Première dame parmi les salopes... Bordel, regarde-moi ce flot de foutre qui s'écoule de ta chatte béante...

Christine avala sa salive avec honte, sans même réaliser que ses propos étaient enregistrés!

Elle avait accédé à toutes ses demandes perverses, avait sucé sa bite, et avait couché avec lui, elle se demandait encore quel prix elle devrait acquitter pour s'assurer de sa discrétion.

Mais la démangeaison entre ses cuisses s'était quelque peu calmée pour l'instant.

Après une bonne session de levrette alors qu'il enfouissait sa grosse pine ébène au fin fond de sa chatoune asservie, son maître-chanteur lui avait enjoint de prendre une douche.

Une fois sortie de la douche Christine retrouva son mari paisiblement endormi dans leur lit elle en conclut qu'avant de rejoindre sa chambre adjacente à la leur, il l'avait guidé du bar au lit.

Christine savait que désormais elle devrait mettre fin à son travail au sein de l'association anti-porno, encore ne se doutait-elle pas que ce n'était que le début de son calvaire qu'allait lui faire endurer Cecil Ben-son, le démoniaque patron de l'industrie locale du porno qui avait l'inten-tion de lui montrer ce qu'était la vie d'une bonne pute aussi disponible que docile se faisant baiser à tour de bras dans toutes les positions!

18/juillet 2008

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Black Demon

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