La femme du gouverneur Ch. 01

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La femme du gouverneur Ch 1

Grand Prize -- The Governor's Wife!

Coulybaca /Black Demon

- Quelle belle salope!

Grogna à voix basse, Cecil Benson, à l'adresse de deux de ses hom-mes, connus en tant qu'agents de recouvrement chargés de récupérer le prix de ses services auprès de certains consommateurs qui réclamaient sa protection.

Ce commerce de la protection rapprochée que dirigeait Cecil l'amenait à fournir des gardes du corps armés pour les clients qui faisaient des affai-res dans la banlieue sud de la ville, qui était sous son contrôle.

Sa boite fournissait une protection contre tous ceux qui étaient assez fous pour s'en prendre à ses clients, ces agresseurs avaient toutes les chances de se retrouver au fond de la rivière s'ils s'en prenaient à ses clients.

- Bordel, ces deux clients m'ont toujours payé rubis sur l'ongle! BORDEL DE MERDE! Les maudit-il à nouveau.

Ces deux clients se refusaient à payer sa protection, depuis qu'ils sa-vaient qu'il contrôlait totalement les activités dans ce quartier.

En fait le volume d'argent qu'ils retiraient de leurs activités chaque semaine était véritablement obscène, une véritable fortune.

Le seul problème était que leur boulot était qualifié d'obscène par le public bon chic bon genre par l'association "Ensemble Contre le Porno (ECP)" qui leur créait un tas de problèmes, tant de problèmes que deux bons clients avaient décidé de planter leur tente ailleurs et de déména-ger dans un coin de l'état ou cette association aurait beaucoup moins d'influence.

- C'est encore un coup de cette ravissante salope! Bordel c'est une vraie calamité! Dire qu'elle s'est fait siffler par le public lorsqu'elle a pris la présidence de l'ECP il y a deux ans! Et voilà que mainte-nant, depuis que son mari a été élu gouverneur elle nous poursuit de toutes ses forces! La maudissait-il à force de frustration.

C'est alors que Bubba Jones, surnommé le marteau, un de ses lieutenants, fit chorus...

- Eh mec, n'aimerai- tu pas mettre au pas cette sublime emmer-deuse! Faut trouver un moyen de l'obliger à se retirer de cette croisade anti-porno... Si je la bourrais avec ma grosse bite noire!

- Cecil rit aux commentaires de Bubba, tout le monde savait qu'il adorait se faire les chatounes blanches, mêle s'il devait parfois payer pour enfourner son épaisse mentule dans la foufoune de ces dames.

- Bordel Bubba, la seule façon, de se faire cette somptueuse salope serait de la violer! Et comme en tant que femme de gouverneur elle se trouve toujours sous l'œil des services de sécurité! En ou-tre, si par hasard on arrivait à se la faire comment éviter les repré-sailles? On se retrouverait vite pendu à un arbre avec les couilles en bouche! Le coupa Cecil avec pessimisme.

Puis il ajouta :

- Ouais ce serait un bon moyen de lui faire fermer la gueule! Je suppose qu'elle ne connaît pas plus d'une douzaine de mots quali-fiant le sexe!

Pensant à ce que Bubba venait de dire, Cecil gloussa

- Hey Bubba tu pourrais lui apprendre ce que c'est qu'une bonne pipe! Riant de plus belle il poursuivit :

- Quant à moi... Je lui apprendrai bien ce que veut dire se faire enculer!

Un de ses hommes de main ajouta alors :

- Ouais, chacun de nous pourrait lui montrer ce qu'est une douche d'or!

Un autre poursuivit :

- Moi j'aimerai lui enseigner ce qu'est un 69!

Un troisième gloussa :

- Moi je lui enseignerai commet se faire prendre en en levrette!

Au fond de la salle un autre poursuivit :

- Je parie qu'elle n'a jamais reçu de traitement facial comme celui que je lui réserve!

- Eh merde alors, on devrait d'abord la partouser pour lui apprendre ce qu'est un vrai gang-bang! Ajouta un autre homme de main hi-lare.

Tout le monde faisait chorus criant haro sur la salope qui leur créait tant de problèmes, mais ils savaient tous savaient que c'étaient des paroles en l'air, elle s'avérait intouchable dans sa position.

- Bordel, je souhaite depuis longtemps trouver quelque chose sur cette salope qui me permette de mettre la main sur son cul! Mais nos gars n'ont rien trouvé de compromettant la concernant! Tout le monde, depuis l'école maternelle jusqu'en fac ne dit que du bien de cette salope bon chic bon genre! Les informa Cecil furieux.

- Bordel de merde, c'est bien trop honnête pour être vrai! Rien que des bonnes notes, presque tous des A depuis l'école élémentaire jusqu'à la fac, elle ne fume et n'a jamais essayé de drogues... Rien! Même ses ex petits-amis n'ont rien à dire de négatif sur elle! Il faut qu'on trouve quelque chose de bien juteux à son sujet, ou elle va ruiner notre commerce de la pornographie! Ajouta-t-il d'une voix colérique.

C'est alors que Bubba reprit le crachoir :

- Bordel, je n'aurai jamais pensé qu'elle nous crée tant de problèmes! Elle m'apparaissait juste comme une femme très sophistiquée, il était évident qu'elle faisait partie de cette fraction bien pensante de la population! Jamais j'aurai pensé qu'elle s'en serait prix aussi vi-goureusement à notre commerce!

Puis il ajouta en la voyant discourir sur l'écran télé dans une intervention anti-porno :

- Putainl ce qu'elle semble pure et innocente cette salope! On pourrait peut-être nous concentrer sur son connard de mari! Trouver des choses bien compromettantes, bien juteuses sur son époux pourrait peut-être faire cette chienne! Elle a deux points faibles : son amour pour son mari, et la crainte d'être humiliée en public!

- Le gouverneur! Déterrer des saloperies sur le gouverneur! Cet homme particulièrement chiant! Interrogea un des hommes de main.

Bubba répondit :

- Eh oui les mecs! Tous les hommes qui ont épousé des bonnes femmes bon chic bon genre de ce type, ont forcement une vie ca-chée pour satisfaire leurs fantaisies, qu'ils soient gouverneur ou non! En voyant à quel point cette élégante salope semble inno-cente, je parierai ma dernière chemise qu'elle ne couche avec son époux que dans la position du missionnaire! Et que le gouverneur se paye des putes pour le sucer parce que sa femme si bon chic bon genre pense que c'est vraiment très sale de poser ses lèvres sur sa bite! Il doit donc payer de ravissantes bimbos pour se faire sucer puisque sa femme lui refuse toute cajolerie de ce genre! Qu'on déniche des preuves de ses turpitudes avec d'autres fem-mes que la sienne, et vous pouvez imaginer ce que l'on pourra en faire pour qu'elle renonce à sa croisière anti-porno!

Bubba gloussa et lança :

- Merde alors trouvons des preuves bien juteuses concernant les turpitudes du gouverneur et l'on pourra faire ce qu'on veut de cette salope! Elle se mettra à genoux devant moi et j'enfournerai ma grosse bite noire dans sa petite bouche en cul de poule!

Cecil sourit et commenta :

- Putain de merde Bubba, si seulement tu trouvais quelque chose! Une bonne saloperie qui compromette le mari de cette salope, quelque chose qui puisse nous servir pour lui faire renoncer à sa chasse au porno! Si ça marche, tu pourras être le premier à lui fourrer ta grosse bite dans la gorge! Tu auras le privilège d'être le premier à dégrader cette ravissante chienne avant qu'on la par-touse! Tu pourras la fourrer comme une truie et peut-être même la débarrasser du porte-manteau qu'elle a dans le cul!

Cecil éclata alors de rire et poursuivit :

- Peut-être bien que je l'enculerai tandis que tu te feras tailler une pipe... A moins que tu n'aies peur qu'elle te morde la bite à plei-nes dents!

A l'âge de 35 ans, madame Christine Caldwell (es mademoiselle Christine Peters) était en fait la femme la plus respectable et la respectée de l'état. Mère de deux jeunes enfants, elle s'était fait un nom en se livrant à une chasse acharnée des pervers avant de prendre la tête de l'association "Ensemble Contre le Porno ".

Ses attaques répétées contre l'industrie du porno, qui pensait-elle était la bible des pervers, mettaient en péril ce secteur d'activité.

Elue mère de l'année deux ans plus tôt, présidente de la ligue des fem-mes vertueuses, elle était maintenant première dame de l'état depuis l'élection de son mari au poste de gouverneur l'année précédente.

Elle avait usé de son statut de première dame et usait de son influence pour obtenir les moyens matériels permettant à l'ECP, son association, de lutter avec sucés contre l'industrie du porno.

Jusqu'au ministre de l'intérieur l'avait assuré de son appuis dans cette lutte lorsqu'il lui avait été présenté, et ce bien que l'objectif principal des forces de l'ordre ne soit pas de lutter contre cette industrie pernicieuse.

Jolie, bien éduquée, instruite, Christine avait été en tête de classe de l'école élémentaire à la fac où elle suivait des études de droit.

Depuis qu'une de ses amies avait été sauvagement violée au lycée, Christine vouait sa vie à pourchasser les pervers et les mettre hors d'état de nuire à la société.

Cherchant à développer son expérience de ce genre d'affaires, elle avait travaillé avec le ministère public de son état dédaignant les nombreuses offres d'emploi juteuses que lui avaient faites des cabinets d'avocats re-nommées.

Quoique bardée d'un doctorat de droit criminel, elle avait accepté un poste de procureur ce qui lui avait permis d'apprendre beaucoup plus sur les conduites criminelles qu'elle ne l'aurait pu dans toute autre fonction.

Jusqu'ici son éducation catholique et bien pensante l'avait tenue à l'abri des atteintes de la vie, sa vie passée au collège, au lycée puis à l'université était quelque peu différente de la vie scolaire ordinaire.

Elle avait exercé le poste de rédactrice en chef de journaux scolaires tout au long de sa scolarité, elle était devenue la représentante des élè-ves.

Elle avait fréquenté une fraternité plus dédiée à l'étude qu'aux plaisirs de la vie.

Elle n'avait jamais eu de rendez-vous amoureux, elle état restée pure et innocente ce qui la désavantageait fortement dans son désir de combat-tre les crimes sexuels.

Son appartenance au bureau des affaires criminelles qui manquait de personnel, lui avait permis de se retrouver sur le terrain, seule ou ac-compagnée d'autres détectives, dès que ses premiers essais avaient été jugés concluants.

L'un des premiers cas qu'elle avait du traiter concernait un client de pros-tituée qui avait cogné une policière en civile avec une cannette.

En lisant le rapport de l'officier de police, elle crut lire de l'hébreu, elle ne savait pas par où commencer.

En interviewant et questionnant de l'officier qui avait rédigé le rapport, il devint apparent qu'elle n'y connaissait rien, la policière roula des yeux et s'enquit :

- Vous n'avez pas compris ce que me voulait ce pervers, n'est ce pas?

Christine rougit et avala sa salive car cette femme avait raison.

Par chance la femme policier eut pitié d'elle et lui précisa :

- Regardez ce qu'il m'a demandé...

Elle lut :

- Combien pour me fournir une douche d'or puis une pipe? Chérie cela veut dire qu'il voulait que je m'agenouille devant lui pour qu'il puisse me pisser sur le visage et, quand il en aurait terminé avec la douche d'or, que je prenne sa mentule en bouche et que je le suce jusqu'à éjaculation!

Sa mâchoire se décrocha à l'audition de ces propos, elle en resta muette pendant un bon moment avant qu'elle ne reprenne pied dans la réalité, ayant bien du mal à croire ce qu'on venait de lui révéler.

Plus tard, le jour de la conciliation, Christine se demanda si elle pouvait se rendre au tribunal pour tenir un rôle effectif dans les poursuites contre cet homme qui avait été arrêté en tant que client de prostituées.

Mais comme c'était la première charge retenue contre lui, le noir plaida coupable et ne reçut pour toute sanction qu'une tape amicale sur les doigts.

Elle avait braqué les yeux sur cet infâme salaud qui avait plaidé coupa-ble et s'en tirait avec une sanction symbolique, il la regardait en retour un sourire démoniaque sur son visage et se pourlécha les babines comme s'il lui faisait les mêmes propositions ici au cœur du tribunal. C'était clai-rement lisible sur son visage qu'il lui offrait 100 $ pour lui faire les mêmes choses qui lui valaient sa comparution devant le tribunal... La faire s'agenouiller pour lui pisser sur le visage avant de lui faire sucer sa bite et d'éjaculer bien au fond de son arrière-gorge.

Depuis elle avait des cauchemars récurrents provoqués par cette proposition aussi indécente qu'informulée.

Se tournant et se retournant dans son lit, elle se réveillait de son cau-chemar à l'instant ou le sale pervers lui noyait le visage d'urine chaude.

Parfois même elle s'était réveillée incapable de respirer, étouffée par l'in-nommable pénis noir enfoncé dans sa gorge qui lui coupait la respira-tion.

D'autre fois le cauchemar se terminait alors qu'il éjaculait son ignoble semence dans son arrière-gorge et sa bouche.

Chaque fois elle se réveillait le corps baignant dans une sueur froide ce qui la persuadait encore plus de lutter contre ces pervers sexuels.

Elle rencontra l'aimable Kyle Caldwell au tribunal dans le cadre d'une affaire de vandalisme contre les biens de l'état. Elle poursuivait un jeune adolescent coupable de ces méfaits que Kyle était chargé de défendre.

Une semaine après le jugement ils eurent un premier rendez-vous.

Ils avaient tous deux le coup de foudre et Kyle était le premier homme de sa vie!

Bien sur elle avait au quelques rendez-vous dans ses années lycée puis fac, mais rien de bien sérieux en fait, elles n'avaient que des relations tout à fait platoniques avec ces premiers petits amis, et encore cela ne durait-il que quelques semaines.

Ils se fiancèrent rapidement et se marièrent dans la foulée.

Kyle Caldwell, était né dans une éminente famille de la côte est, il avait suivi ses études dans un lycée prestigieux, puis dans une fac de tout premier plan, y obtenant ses diplômes de droit.

Etant donné son pedigree, il paraissait naturel qu'il fasse une carrière politique à l'image de ses oncles et de son père.

La défense de ce jeune adolescent, fils d'un des gros clients du cabinet d'avocat était la meilleur chose qui lui était arrivée dans la mesure ou cela lui avait permis de rencontrer la ravissante procureur du ministère public qui le poursuivait pour l'état.

Sa famille lui organisa de fabuleuses noces, tout gotha était présent, Kyle ne parvenait pas à croire en sa chance d'épouser une aussi ravissante jeune femme que Christine Peters.

Kyle avait profité de tous les avantages que lui conférait le nom de sa prestigieuse famille, ce qui incluait un grand nombre de filles pendant ses années de lycée puis de fac, jusqu'au jour de l'enterrement de sa vie de garçon, beaucoup de filles étaient prêtes à l'épouser pour jouir de la fortune de sa famille.

Kyle n'était pas timide, il avait tiré tous les avantages que la fortune de ses parents lui offraient, mettant de nombreuses filles dans son lit et adorant plus particulièrement se faire sucer.

Lorsqu'il avait proposé à Christine de le cajoler, il avait compris qu'elle n'était pas du même bois que toutes ces filles qu'il s'était faite, elle n'était pas particulièrement intéressée par la richesse de sa famille et entendait rester vierge jusqu'au jour de leur nuit de noce.

Tout le long de leurs fiançailles, de chaste rendez-vous en chaste ren-dez-vous Kyle avait recours, discrètement aux service d'escort-girls qui le soulageaient de toute cette pression accumulée.

Ainsi pendant la durée de leurs fiançailles, un an, Kyle continua à payer les services des filles qui le soulageaient de sa forte tension sexuelle.

Après s'être embrassé et peloté avec sa ravissante promise il se retrouvait avec la bandaison d'un âne, il faisait alors un détour dans des endroits ou d'aimables hôtesses le soulageaient aimablement de toute cette pression.

Il faisait comme si c'était sa somptueuse fiancée qui le suçait avec appli-cation, il avait hâte d'épouser sa future pour que ses rêves se réalisent.

Mais alors que son rêve se réalisait, qu"il épousait la ravissante jeune femme dont il était tombé follement amoureux il constata que cela ne voulait pas dire pour autant qu'elle allait satisfaire tous ses désirs.

En fait, dès le retour de leur lune de miel il comprit qu'il était inutile de nourrir l'espoir qu'elle puisse un jour refermer ses lèvres pulpeuses sur sa bite palpitante.

Cela avait été le motif de leur première brouille, la première fois qu'il avait dormi dans la chambre d'ami après que sa femme l'ait chassé de sa chambre et verrouillait la porte dans son dos.

Il avait été choqué de la voir réagir aussi violemment à sa demande, le regardant horrifiée, révulsée alors qu'il luttait main posée sur sa nuque pour presser son gland turgescent contre ses lèvres fermées.

Ne s'attendant pas à une réaction aussi farouche il s'était retrouvé avec stupéfaction propulsé de force hors de leur lit.

Devant se limiter à lui faire l'amour dans la position du missionnaire ou de s'exposer à un renvoi de sa chambre, il avait rangé son envie de voir ses lèvres se refermer sur sa bite au rang de pure fantasme.

De ce fait, bien que marié, il continua à fréquenter les escort-girls qui sa-tisfaisaient ses appétits lubriques que se refusait à satisfaire son accorte épouse.

Il avait rapidement était promu associé dans le cabinet d'avocat qui l'employait tant les vieux routiers du cabinet étaient conscients de côtoyer une star montante de la politique.

Rien que son nom leur apportait une publicité énorme dans les magazi-nes people tant sa photo apparaissait fréquemment en première page, il avait rapidement été élu gouverneur de l'état sans expérience particu-lière de la gestion d'un état.

Après avoir filé pendant deux semaines le gouverneur à la recherche de sujets le compromettant, Bubba souriait de toutes ses dents en consta-tant que Kyle faisait souvent appel aux services d'agence d'escort-girls pour avoir recours à leurs "accompagnatrices".

Se renseignant d'ici de là, glissant un bon nombre de pourboires aux bonnes personnes, Bubba apprit que le grand homme avait souvent re-cours aux services de ces call-girls lorsqu'il voyageait hors de la ville.

Il apprit tout aussi rapidement qu'il rétribuait très largement leurs servi-ces, une certaine partie revenant d'ailleurs à leurs agences.

L'une de ces accompagnatrices lui avait même confié :

- Oh mec, il adore se faire cajoler la pine si tu vois ce que je veux dire!

Normalement, le gouverneur Kyle Caldwell ignorait totalement les don-nées qu"il laissait aux mains de ses collaborateurs ou dans celles de son assistant personnel. Il les laissait gérer bien des affaires mineures, à moins que ce ne soit des solliciteurs qu'il connaissait personnellement, il comptait sur son équipe gérer le tout venant.

Ce jour même, après avoir scruté attentivement la liste des appels téléphoniques, il tomba sur le nom d'une personne qui lui semblait familier.

Le nom d'une des personnes l'ayant appelé alluma un signal d'alarme dans son esprit, il reconnut assez rapidement le nom d'une fille qu'il fré-quentait alors qu'il était célibataire avant qu'il ne décide de ne plus faire appel qu'à des filles dont il rétribuerait les services!

Il se rappelait aussi le nom de l'agence dont il requerrait les services à l'époque de ses années universitaires, lorsqu'il n'avait aucun besoin de dissimuler ses frasques alors qu'il payait les services des call-girls en se servant de sa carte de crédit, et c'était au nom de cette entreprise qu'elle le contactait.

Le motif de cet appel indiquait ;

- Je désirerai discuter avec vous, ou votre femme des bénéfices réalisés par notre compagnie, j'envisage de faire une donation conséquente pour votre prochaine campagne électorale ou pour l'association dirigée par votre femme.

Sachant que la croisade de sa femme contre l'industrie du porno por-tait ses fruits Kyle avala sa salive sachant très bien que la compagnie en question était dans le collimateur de l'association de sa femme!

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