La femme du gouverneur Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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Détournant les yeux de l'écran pendant un instant pour voir de visu Kyle réalisa qu'il devait s'agir d'un lien transparent, sans doute du fil de pêche.

Il lui lia alors les mains doigts entrelacés.

Il remonta facilement l'ourlet de sa jupe lui caressant le bas ventre expo-sant à l'objectif son vagin et les babines soyeuses de sa fentine.

Bubba Jones prit alors place entre les cuisses de sa ravissante femme hébétée, saisissant ses mains il les posa sur l'arrière de son crane, n'im-porte quel spectateur ne pourrait que constater qu'elle savourait avec délice ses caresses lui agrippant la tête pour presser ses lèvres contre sa chatoune qu'il butinait avidement.

Subjugué par ce qui se passait, la bitte pendant hors de sa braguette le gouverneur Kyle Caldwell regardait dans son viseur et se dépassait de droite et de gauche pour mieux capturer les scènes se déroulant sous ses yeux avides.

Les intentions de ce salopard de Bubba Jones étaient évidentes à la vue de sa longue langue qu'il agitait lubriquement sous l'objectif de la came-ra.

Il se pencha en avant pour offrir un meilleur point de vue sa longue langue dardée disparut lentement dans les replis soyeux de la foufoune de la ravissante jeune droguée.

Au vu des tremblements du corps de sa bien-aimée et à entendre ses couinements de femme en chaleur, il était évident que ces caresses linguales lui faisaient un effet fracassant.

- Aaaaaaaaaaaaah... Aagggggggggggh... Nnnnn... Nnnnnnnnnnnn! Gémissait-elle allongée sur le siège arrière de la limousine.

De son point d'observation le gouverneur Caldwell voyait sa somptueuse femme bander les muscles de ses cuisses, orteils pointés vers le sol, alors qu'elle s'arquait pour mieux profiter de la langue fouineuse de son chauffeur.

La tête rejetée pressée contre l'entrecuisse de sa "maîtresse" dans un spasme d'extase, il paraissait évident que Christine participait avec ravissement à cette scène de débauche se réjouissant de tout son corps de se faire bouffer sa chatoune juteuse.

- Mmmmmmmmmmmmmmm... Mmmmmmmmmmmmmmmmm... Nnnnnnnnnnnnnnnnn... Oohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh! Miaulait-elle folle d'extase alors que des bruits de sussions et de lappe-ments émanaient de la limousine.

Finalement Christine s'effondra totalement molle, la bouche grande ou-verte.

Bubba Jones retira alors que face réjouie de l'entrecuisse de la jeune femme et se tourna vers la camera en se pourléchant les babines avec un grand sourire pervers.

Ses lèvres luisaient de cyprine, la provenance de ce jus d'amour sem-blait évidente... Il provenait tout droit du délicieux entrecuisse de Chris-tine!

Il continuait à filmer alors que Bubba glissait sa tête hors du cercle de ses mains entrelacées, il dénoua alors les liens qui maintenaient ses mains ensemble et les arrangea de façon à ce qu'elles soient juste te-nues par les pouces.

Les mains de Bubba posées sur sa taille, ses doigts entrelacés étaient refermés sur sa grosse bite, Bubba intervint alors :

- Hey gouverneur, pose la camera et approche, tourna la tête de ta salope de femme vers moi!

n le voyant hésiter, Bubba ajouta :

- Grouille-toi de lui tourner la tête vers moi... Je suis sur que tu n'ai-merais que l'on voie que tu tiens ta gentille femme tandis que je frotte ma grosse bite sur son adorable visage!

Quelques instants plus tard, Caldwell se tenait à coté de sa ravissante femme maintenant sa tête alors que Bubba promenait sa grasse mentule sur ses lèvres et ses joues!

- Allez gouverneur, débraguette-toi... Ta bite ne demande qu'à jaillir hors de ton pantalon.

Le fier gouverneur aurait sûrement préféré ne pas participer de façon aussi active à la dégradation de sa malheureuse femme à la demande de son maître chanteur auquel il servait d'assistant.

C'était déjà assez moche de figurer sur une vidéo avec une prostituée lui taillant une pipe, mais ce serait encore pire si quelqu'un le voyait tenir la tête de sa femme pour que son suborneur puisse plus facilement abuser d'elle.

Petit à petit il réalisait à quel point sa connivence avec Bubba Jones était mise en évidence, depuis qu'il avait refermé la porte du garage dans leur dos Bubba avait pressé un bouton déclenchant la mise en route de trois cameras qui filmaient ce qui se passait dans le garage.

Non seulement il figurait sur le film, mais on l'y voyait facilitant le viol de sa femme par Bubba.

Il reprit alors la camera en main suivant les instructions de son maître-chanteur après avoir reposé la tête de Christine sur l'accoudoir central du siège, Kyle regardait maintenant attentivement ce sale bâtard qui ha-letait visiblement impatient de cracher son venin sur le visage de son adorable petite femme.

Il priait pour qu'il respecte sa parole et n'éjacule pas sur le visage de sa malheureuse proie, évitant de souiller son élégant tailleur... Uh.. Uh... Uhhhhhhhhhhhhhhhhhhh! Grogna soudain Bubba jetant sa gourme sur le siège arrière de la limousine.

Un nouvel arc de foutre jaillit dans les airs poissant les doigts entrelacés de Christine toujours refermés sur sa bite tressautante.

Un chiffon en main que venait de lui donner son chauffeur, le premier homme de l'état se voyait réduit au rôle d'un humble concierge alors qu'il nettoyait soigneusement les jets de foutre qui maculaient le cuir de la li-mousine.

Jetant un coup d'œil par-dessus son épaule il vit le sale bâtard pendre la petite culotte de Christine et s'en servir pour nettoyer les doigts souillés de foutre de son adorable femme.

Puis il vit Bubba la prendre sous les aisselles pour l'asseoir correctement sur le siège arrière de la limousine, puis il avait entrepris de lui remettre sa petite culotte souillée.

Pire encore il pressait le fond de sa petite culotte contre son entrecuisse d'un doigt tendu, espérant visiblement imprégner sa chatoune juteuse de sa vile semence.

De retour à la résidence du gouverneur, Christine s'éveilla lentement, elle étouffa un profond bâillement et s'exclama :

- Je suis épuisée!

Venant en aide à sa femme alors qu'elle levait la main pour étouffer un second bâillement, Kyle s'empara de sa main et l'écarta de son visage dans sa hâte de l'aider à remonter l'allée du garage.

C'était surtout parce qu'il ne voulait pas que sa femme respire le profond remugle du foutre de Bubba qui imprégnait ses doigts, même s'il avait essuyé ces derniers sur le fond de sa petite culotte.

- Viens ma chérie, tu te sentiras mieux après avoir pris une bonne douche! Lui proposa-t-il espérant qu'elle se laverait ainsi de ses activités nocturnes.

Dix jours plus tard, après que Bubba les ait conduit à de nombreuses ré-unions, Christine souhaitait encore récupérer leur chauffeur régulier et voir Bubba Jones disparaître de leur azimut.

Elle détestait particulièrement qu'il la conduise seule, elle avait la sensa-tion confuse que ce bâtard serait capable de les arrêter sur une voie isolée pour l'assaillir... Pour la prendre de force, la violer sans vergogne!

Christine n'avait aucun préjugé en ce qui concerne les noirs, elle côtoyait de nombreux noirs dans son boulot même s'ils ne faisaient pas partie de leur entourage gouvernemental.

Ce week-end, après trois longues heures de route, ils arrivaient au grand hôtel de "Benson County" où se tenait la conférence annuelle des maires du pays.

C'était le premier voyage hors de la ville qu'ils faisaient depuis que leur chauffeur habituel avait été mis hors circuit, c'était donc la première fois que leur nouveau chauffeur les accompagnait.

Bubba Jones agissait comme s'il était un des assistants personnels du gouverneur, s'occupant de leurs bagages, leur servant des boissons ra-fraîchissantes...

Comme le voyage s'était avéré long et fatiguant, Christine n'y prenait pas garde lorsque son mari interpella leur chauffeur lui demandant de lui servir une boisson fraîche une fois qu'il aurait allumé la télé pour suivre les informations locales.

Sirotant son verre de cabernet, Christine commença à ressentir des ef-fets inhabituels, elle serra inconsciemment ses cuisses l'une contre l'au-tre.

Ses tétons la démangeaient en frottant contre la dentelle de son soutien-gorge, elle posa d'abord son avant bras sur ses nichons pour calmer son excitation puis elle se les caressa franchement.

Elle se sentait follement excitée alors qu'elle se tortillait sur le sofa, elle jeta alors un coup d'œil circulaire cherchant à distinguer ou se trouvait son mari, il était assis au bar, bras écartés la tête entre ses bras comme s'il s'était brusquement endormi.

Les fourmillements qui couraient dans tout son corps, atteignaient maintenant un haut niveau Elle avala sa salive en voyant le large sourire qui fleurissait sur les lèvres de son chauffeur alors qu'il buvait une lampée de son verre en s'approchant d'elle en desservant sa cravate.

C'est alors qu'il lui dit :

- Tu t'es montrée très distante avec moi madame Caldwell! Je crois qu'il est temps maintenant qu'on fasse connaissance... Qu'on se connaisse bien mieux!

Voyant le chauffeur déboutonner sa chemise Christine comprit tout de suite ce qu'il entendait par là...

- KYLEEEEEEEEEEEEE! Hurla-t-elle affolée.

- Désolé ma chérie, mais le gouverneur ne risque pas de se réveiller avant longtemps... Avec la dose de somnifère que j'ai versé dans son verre! L'informa-t-il hilare.

- N'approchez pas! N'approchez pas!

Rugit Christine en tendant les bras pour le repousser. Jetant un nouveau coup d'œil sur le bar ou se tenait son mari, elle réalisa qu'effectivement il n'avait pas entendu ses cris et ses appels à l'aide alors que ce pervers bâtard manifestait l'intention de l'agresser sexuellement.

- Tu veux coucher avec moi ma chérie... Je le vois dans tes yeux! Tu te demandes ce que cela peut faire de coucher avec un noir!

- Non... Non, absolument pas... Hurlait Christine en retour.

- Ouais, Pourtant tu ne t'es pas débattue la semaine dernière! Tu vas voir par toi-même! Ajouta-t-il en glissant une cassette dans le lecteur DVD.

Elle se mit à haleter sourdement alors que les informations se voyaient remplacées par un film porno.

Les yeux écarquillés elle s'esclaffa :

- Oh mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu!

On voyait clairement leur démoniaque chauffeur fourrer sa tête entre les cuisses d'une magnifique blonde.

Jamais Christine n'avait assisté à un spectacle aussi obscène, c'était exactement le type de manifestation que son organisation voulait bannir de l'état. Elle grinça des dents en voyant l'épaisse langue se démener dans la fentine de sa jolie proie éperdue.

Comme la camera prenait un certain recul elle put constater que cette salope prenait un plaisir évident à se faire butiner la fleur les doigts en-trelacés sur la nuque de son amant.

Puis elle vit la jeune salope verrouiller ses cuisses sur les épaules de son séducteur, muscles tétanisés, orteils pointant au sol tandis qu'elle s'arquait pour mieux s'offrir aux caresses de la langue agile de son amant.

- Mon Dieuuuuuu... Nonnnnnnn... Nonnnnnnnnnnn.. Cela ne se peut paaaaaaaas! Couina-t-elle alors que la camera faisait un gros plan sur un visage qu'elle reconnaissait comme le sien, cette sa-lope qui se conduisait comme une pute c'était elle!

Sur le film le corps de la vedette s'amollit soudain, alors que le chauffeur se redressait les lèvres enduites de son jus luisant, elle l'entendit alors lui préciser :

- C'est sur ma chérie, t'es vraiment devenue folle d'excitation alors que je me régalais à bouffer ta foufoune trempée de cyprine cette nuit là!

Christine n'avait aucun souvenir de tout cela, elle se demandait même quand cela avait bien pu se passer, cependant il était évident que c'était bien elle sur la vidéo.

Il était tout aussi évident que cette baise se passait sur le siège arrière de la limousine. Jetant un nouvel oeil sur son mari écroulé sur le bar, elle déduisit qu'ils avaient tous deux été drogués cette nuit là tandis que ce démoniaque bâtard la fourrait, visiblement la drogue absorbée avait décuplé ses appétits tout en inhibant ses préventions avant d'en effacer le souvenir dans son esprit.

Puis la pensée des dommages que pouvait créer cette vidéo à son orga-nisation si elle était diffusée dans le public, la frappa quant à son impact dur la carrière politique de son mari.

Elle se sentait totalement désarmée alors que sa vie se déroulait derrière ses paupières, elle balbutia affolée :

- S'il vous plait... Je vous en prie... Personne ne doit jamais voir cette horrible vidéo! Ma vie serait ruinée! Personne... Personne ne me respecterait plus... Je vous en prie, cela détruirait la car-rière de mon mari... Il divorcerait à coup sur! S'il vous plait... J'ai de l'argent en banque... Combien... Combien voulez-vous me vendre cette vidéo et ses copies? Il répliqua sardoniquement :

- Je ne veux pas de ton fric ma petite chérie! Je veux que tu te met-tes à genoux devant moi fieffée salope! Ouais à genoux, juste en-tre mes cuisses, salope!

Du bar, au travers de la fente de ses yeux presque entièrement fermés, le soi disant mari drogué regardait sa femme pleurnicher et gémir trem-blant pathétiquement de peur.

- Grouille-toi salope! A genoux chienne! Juste face à moi! Entendit-il Bubba gronder, et il vit sa malheureuse femme se glisser en tremblant sur le rebord du sofa.

- Viens ici salope! Ou ton association anti-porno recevra prochainement la vidéo de ta performance! En déduiront-ils que tu as un comportement particulièrement hypocrite? Imagines ce que penseront tes amies bon chic bon genre en voyant comment tu aimes te faire brouter le minou par un noir? Entendit-il Bubba menacer sa femme traumatisée.

- Va-t-elle le faire? Va-t-elle faire ce qu'il veut? Se demandait-il an-xieusement.

Toutes inhibitions effacées par la puissante drogue courant au travers de corps, le tout couplé avec son affreux dilemme, amena Christine a conclure qu'il ne fallait surtout pas que cette vidéo tombe dans le domaine public, sa vie et celle de son époux en seraient dévastées, et que pour cela elle devait utiliser tous les moyens de dissuader son in-terlocuteur.

Se glissant sur le rebord du sofa elle se laissa tomber à genoux à quatre pas de son tourmenteur.

- Ici salope! Lui ordonna Bubba avec impatience.

Se mordant les lèvres elle se força à avancer vers lui en rampant sur ses genoux, tremblante de peur elle gardait les yeux rivés sur l'énorme bosse qui déformait le devant de son pantalon. Elle se sentait malade en l'entendant préciser :

- Allez ma chérie, tend la main et tâte une véritable bite d'homme!

Kyle, la bite tressautant dans son pantalon observait attentivement les courbes voluptueuses du corps de sa femme chérie.

- Elle va le faire! Pensa-t-il soudainement en la voyant tendre la main gauche, toute tremblante d'angoisse elle frôla l'énorme bosse qui déformait l'avant du pantalon de son chauffeur.

Il voyait les lèvres pulpeuses de sa femme s'entrouvrir alors qu'elle hale-tait de honte alors que sa main s'approchait de la bite de son suborneur qui se tenait face à elle jambes grandes écartées, les mains posées sur ses hanches lui conseillant :

- Allez ma petite salope, on n'a pas toute la nuit!

- Mon Dieu... Elle le fait! Elle palpe son mandrin au travers de sa braguette, elle détaille les mesures de sa mentule! Pensait Kyle alors qu'il la voyait faire sous ses yeux.

Mais il voulait en voir encore plus, espérant qu'elle allait sortir rapide-ment son chibre de son écrin, mais cette fois consciente de ce qu'elle faisait.

Christine respirait bruyamment par le nez tant elle serrait les dents pour réprimer les nausées qui secouaient son estomac alors qu'elle s'efforçait de complaire à la demande de son suborneur, descendant la fermeture éclair de sa braguette avant de plonger la main dans son pantalon pour localiser son outil sexuel. Elle crissa des dents et frémit en découvrant que cet infâme bâtard ne portait aucun sous-vêtement sous son pantalon!

Révulsée, son estomac protestant vigoureusement elle empoigna son épaisse hampe entre le pouce et l'index afin, de l'extirper de son panta-lon.

De son point d'observation le long du bar, Kyle se demandait si c'était la puissante dose de cantharide que Bubba Jones avait mélangé au vin qui l'avait amenée à surmonter ses inhibitions initiales.

Il s'était bien rendu compte qu'au départ elle avait frémi de peur à l'idée de ce qu'elle allait subir, et voila que maintenant elle passait la langue sur ses babines, les humectant inconsciemment en attendant d'absorber la grosse bite qu'elle branlait maintenant à deux mains.

Comme Bubba avait posé sa main dans sa chevelure emmêlée, il savait pertinemment qu'elle ne parviendrait pas à reculer sa tête quand bien même elle voudrait éviter d'avaler le flux chaud et crémeux que crache-rait sa grosse bite dans sa gorge. Bubba re^prit :

- Suce moi salope! Referme tes lèvres pulpeuses sur ma grosse bite!

Le corps fourmillant d'excitation, les tétons érigés, la foufoune enflam-mée Christine ne comprenait pas pourquoi elle se demandait avec curio-sité ce qu'allait lui faire d'avoir pour la première fois une bite de mâle en bouche.

Les inhibitions mentales habituelles qui auraient dû la révulser à cette idée avaient été effacées par le puissant aphrodisiaque la faisant saliver d'anticipation à l'idée de se faire dépuceler la bouche.

Et lorsqu'il pressa son épais gland turgescent contre ses lèvres soyeu-ses, elle ne rejeta pas la tête en arrière, mais bien au contraire elle testa de la pointe la langue son méat provoquant un rugissement de son su-borneur ravi :

- Oh oui ma petite chérie... caresse-moi de la langue!

Sexuellement excitée, mentalement débarrassée de ses inhibitions, Christine s'excitait à la vue de ce colosse noir sursautant à chaque caresse de sa langue qui décrivait de petits cercles délicieux sur son gland enflammé avant de l'engouffrer au fin fond de sa gorge.

- Oh chérie, chérie, chérieeeeeeeeeeee! Haletait Bubba la retenant par la chevelure de peur qu'elle recule son visage.

Essoufflé, il épiait attentivement le gouverneur qui yeux écarquillés re-gardait son exquise femme le sucer obligeamment.

- Oh oui ma chérie... grommelait-il en enfournant encore plusieurs centi-mètres de son épais braquemart dans sa gorge asservie.

- Allez ma chérie, savoure ma bite! Savoure là! Lui intima-t-il en pres-sant ses hanches contre son visage.

- Ahhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... C'est ça... Oh oui, continue... Ohhhhhh... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! Alors que son petit nez s'enfouissait dans la toison crépue de son pubis.

Les mains maintenant posées sur les hanches puisqu'elle n'avait plus aucune bite à tenir, Christine sentit qu'il empoignait sa main droite et la fourrait dans sa braguette en lui enjoignant :

- Et maintenant cajole mes grosses burnes... Prends les bien en main pour les mignoter... Sens es... Sens les bien lorsque je te cracherai mon foutre en pleine gorge.

Sur ces mots il replaça ses doigts dans sa chevelure pressant toujours son visage contre son pelvis alors qu'elle caressait obligeamment ses grosses burnes d'une main exploratrice, se demandant ce qu'il entendait par "sens les lorsque j'éjaculerai"...

Le nez enfoui dans sa toison pubienne, Christine réalisa alors qu'elle avait réussi à avaler ses trente cm de long de bite dans son arrière-gorge vierge jusqu'à ce jour, et qu'elle avait fait de son mieux pour lui complaire servilement.

Bien qu'il feignit de rester froid à la vue de sa ravissante épouse prenant sa première leçon de fellatrice Kyle comprenait que sa charmante femme n'allait pas tarder à devoir infléchir la position de sa damnée as-sociation qui avait pour but d'anéantir l'industrie du porno dans leur état.

Il savait après avoir visionné la vidéo où sa ravissante femme jouissait follement en se faisant brouter le gazon par Bubba Jones qu'elle ne pourrait jamais laisser diffuser cette cassette dans le public.

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