Sous l'emprise de la drogue

Informations sur Récit
Une jeune femme droguée subit de multiples turpitudes.
5.1k mots
4.05
60.7k
4
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Coulybaca
Coulybaca
103 Admirateurs

Sous l'emprise de la drogue

Coulybaca / Bitch Monkey

--------------------------------------------------------

Droits d'auteur 2009.

Si vous publiez cette histoire, veuillez noter le nom de l'auteur original.

Vous pouvez poster cette histoire sur des sites non- commerciaux, ou dans la partie libre des sites commerciaux.

--------------------------------------------------------

Chapitre 1 : Au photomaton

Nous avons terminé notre glace à la vanille, je remarquais qu'elle en avait répandu sur son cou.

Je me penchais sur elle, écartais ses longs cheveux noirs et léchais la glace, l'embrassant tendrement en l'enlaçant.

Nous avions passé une merveilleuse journée, elle gémit sourdement en sentant ma bite se presser contre son entrejambe.

Le square était calme, nous étions loin de la maison... Je jetais un œil au fin débardeur de coton qu'elle portait, il moulait étroitement sa ferme poitrine uniquement protégée par un affriolant soutien-gorge de dentelle.

Elle portait une jupe courte, au dessus des genoux, qui, je le savais d'expérience était la plus courte qu'elle se permette de porter...

Elevée dans une famille catholique très stricte elle montrait rarement un bout de peau, seule l'étouffante chaleur du soleil italien avait modifié ses habitudes.

De plus elle se trouvait dans un pays étranger où toutes les filles dévoilaient largement leurs charmes, et comme sa poitrine était bien plus opulente que celles de la plupart des filles locales!

La façon dont les italiens extériorisaient leurs sentiments, s'embrassant à bouche que veux-tu en public, l'avait vivement surprise au début de notre séjour, mais elle s'y était accoutumée.

Je l'embrassais passionnément et l'étreignais fermement, me demandant s'il existait un endroit retiré où nous pourrions nous réfugier.

Je n'avais pas envie de rentrer directement à l'hôtel, une énorme bosse déformait le devant de mon caleçon de bain.

- Là... M'indiqua-t-elle en désignant du doit un vieux photomaton muni d'un grand rideau qui tombait au sol.

Son audace me surprit vivement.

- Es-tu sûre?

Elle caressa mon vit alors que nous nous dirigions vers la cabine... Je la suivais de près alors qu'elle jetait un œil à l'intérieur s'assurant que personne ne s'y trouvait... Elle se trouvait dans un coin éloigné du square, entourée d'arbres de deux cotés et d'une clôture limitant l'accès à une seule approche.

Une fois à l'intérieur je lui embrassais le cou, alors qu'elle me caressait la bite.

Je m'assis sur la chaise et elle m'enfourcha tournée vers moi, ses miches face à mon visage alors que je me démenais pour les mignoter de la bouche.

Je tendis la main dans son dos et dégrafais son soutien-gorge, je pus alors baisser ses bonnets et grignoter avidement ses mamelons.

Elle gémit et commença à frotter son entrecuisse sur mon chibre bandé, uniquement séparé de son entrejambe par la fine épaisseur de mon short de coton.

Elle se tint immobile un bon petit moment puis glissa sa main sous sa jupe très vite sa petite culotte chut sur le plancher.

J'étendais la main, escaladais vivement sa cuisse pour lui titiller ses lèvres vaginales. Immédiatement je sentis à quel point sa chatte était trempée, elle était déjà prête à m'accueillir... Elle dégrafa la ceinture de mon short et le baissa sur mes genoux... je me penchais en avant et lui roulais une pelle baveuse, tandis que l'embrassais je sentis mon gland baigner dans l'humidité de sa fentine entrouverte...

Nous avons gémi avec un bel ensemble comme elle s'empalait sur ma mentule, puis je hurlais de douleur, un violent élancement me traversait les burnes!

- Que se passe-t-il? M'interrogea-t-elle inquiète.

Avant que je puisse répondre, une lumière vive éclaira l'écran devant nous.

- AIE... Cria Tanya en se frottant le bras.

Je vis alors une fine aiguille se rétracter dans une fente du mur.

Elle se retourna, l'écran bourdonnait alors qu'une étrange lueur bleue l'envahissait.

Je tentais de me relever, mais constatais que j'étais incapable de bouger. J'essayais de parler, mais ma bouche était paralysée.

Une vive panique me submergea, mon corps était incapable de réagir. Je sentais mes yeux s'écarquiller, ma bouche demeurait grande ouverte et mon corps totalement mou.

Tanya avait les yeux rivés sur l'écran, elle était, elle aussi totalement sous l'emprise de cette lumière.

- Un écouteur se trouve dans un tiroir face à vous, mettez le à votre oreille. Ordonna alors une voix métallique...

Tanya tendit la main vers la fente d'où sortaient habituellement les photos, elle y prit quelque chose et le posa à son oreille.

Après quelques minutes elle se leva bras le long du corps.

Je la questionnais, mais elle restait muette.

Puis, à ma grande horreur elle enleva son soutien-gorge et l'envoya rejoindre sa petite culotte qui gisait au sol, puis elle sortit de la cabine.

J'essayais de me secouer mais n'y parvint pas, toujours figé par cette paralysie démoniaque.

Le rideau flottait au vent après sa sortie et elle disparut j'étais totalement incapable de la retenir.

Quelques secondes plus tard, une voix provint d'un micro face à moi.

- Tu as été drogué, ce qui t'empêche de bouger sans mon ordre... On a injecté un cocktail spécial à ta petite amie qui la rendit très réceptive à mon pouvoir hypnotique augmenté per les lumières de la vidéo et la musique qu'on lui a fait entendre... Elle va faire tout ce que je voudrais et tu ne pourras que la regarder faire... J'espère que tu aimeras!

La voix se tut et l'écran s'illumina.

Une caméra zoomait sur Tanya alors qu'elle se dirigeait vers deux vieux italiens.

Ils la virent et la matèrent ouvertement comme le faisait tous les males de ce pays.

Elle se figea sur l'écran, ses expériences dégradantes débutaient.

Elle se mit à danser, tortillant érotiquement ses hanches et son cul sous leurs yeux enthousiastes.

Ils firent quelques commentaires crus en italien, bien entendu elle ne comprit pas ce qu'ils disaient.

Elle se tourna et vacillante remonta son chemisier leur exhibant ses miches bien rondes et ses très longs tétons érigés.

L'un des hommes tendit la main et pinça énergiquement ses mamelons, la caméra zooma sur le visage de Tanya, elle gémissait bien que choquée par la rude caresse.

L'autre homme avança d'un pas et empoigna ses hanches par derrière, se frottant contre elle.

Tanya repoussa un des hommes qui tomba assis sur un banc elle glissa alors sur ses genoux la tête au niveau de son entrejambe.

L'homme réalisa ce qu'elle voulait et déboucla sa ceinture. L'autre momentanément abasourdi, jeta un cou d'œil circulaire s'assurant que personne ne viendrait troubler leurs ébats, puis il s'approcha du couple, glissa sa main sous sa jupe remarquant immédiatement qu'elle ne portait rien en dessous.

Tanya aida l'homme face à elle à ouvrir son jean, sa main plongea dans sa braguette pour en extirper une épaisse mentule, bandée à mort.

Elle entreprit de le branler lubriquement pointant le gland sur ses lèvres disjointes.

L'autre homme releva sa jupe dans son dos et entreprit de doigter sa chatoune velue, introduisant deux puis trois doigts dans sa caverne embrasée.

Totalement désarmé je restais assis regardant des deux hommes abuser de ma petite amie qui semblait consentante.

Elle se remit à téter voracement le chibre d'un des hommes, tandis que celui qui était posté dans son dos frottait son gland dans sa fentine.

Sans aucune protection il pressa son gland sur l'ouverture enflammée de sa caverne et poussa l'air extasié.

Il la poussa en avant, mais sa massive biroute s'engouffra aisément dans sa foufoune accueillante...

Il entreprit alors une frénétique chevauchée la secouant d'importance alors qu'elle suçait goulument son acolyte avec un immonde plaisir...

Il ne fallut pas longtemps pour qu'ils giclent tous les deux en elle, dès qu'ils en eurent terminé, elle se releva remit en place sa brassière et s'en alla abandonnant les deux hommes ébahis.

Elle sortit du champ de la caméra pendant un bon moment, je me demandais alors quel acte répugnant ils lui réservaient lorsque le rideau frémit et qu'elle me rejoignit dans la cabine photo.

J'étais incapable de bouger, de dire un mot, je ne pouvais que la suivre des yeux alors qu'elle s'approchait de moi, sa bouche se posa sur la mienne.

Elle recracha alors la semence du vieil italien dans ma bouche et se retourna.

Elle se posta alors devant la chaise les cuisses à hauteur de mon visage et pressa sa chatoune inondée contre mes lèvres, une voix impérieuse m'ordonna alors :

- Avale!

Elle décontracta alors ses sphincters vaginaux, une grosse goutte de sperme chaud s'écoula dans ma bouche, rejoignant son premier don, et je me sentis obligé de déguster l'horrible mélange de foutre.

La saveur était salée et crémeuse, cela coula facilement dans ma gorge.

Mais à ma grande surprise, elle se mit à me pisser dans la bouche et j'avalais machinalement le jet d'or avalant l'ensemble de sa mixture. C'était incroyable, jamais je ne m'étais livré à des actes aussi dégradants! Le goût de l'amère breuvage me révulsait, j'aurai voulu la repousser, mais j'étais toujours paralysé, incapable de révolte.

Une trentaine de secondes plus tard le flot d'urine se tarit et elle se redressa.

Au lieu de me réconforter, elle ressortit dans le square, l'écran face à moi s'obscurcit alors que les dernières gouttes de foutre mélangées à l'urine me coulaient dans la gorge.

Chapitre 2 : la librairie

Je restais assis face à l'écran vide, l'immonde goût du foutre en bouche.

Après quelques minutes, l'écran s'anima, transmettant une scène de rue alors que Tanya hélait un taxi.

Je n'entendais pas ce qu'ils disaient, mais je la vis s'installer sur le siège passager et discuter avec le chauffeur.

L'homme qui nous contrôlait lui avait dicté les bons mots, puisque le chauffeur de taxi lui sourit et hocha la tête, tout de suite le véhicule disparut, je me demandais si je reverrais ma petite amie!

S'en suivit une longue attente de plusieurs minutes, il me sembla que cette attente dura des heures. Il ne dut pourtant se passer qu'une dizaine de minutes avant qu'une autre caméra de rue me montra arriver le taxi.

Cette fois la caméra se tenait en contrebas, elle montrait le visage barbu du conducteur alors que Tanya plongeait sous le tableau de bord. Sa tête descendait et montait sur la bite tendue du chauffeur, un sourire extatique éclairait son visage.

Cela ne prit que quelques minutes avant qu'il n'immobilise sa tête quelques instants.

Elle se redressa alors, un filet de foutre pendant de sa lèvre inférieur pour venir s'étaler sur son menton.

Elle le nettoya de la pointe de la langue, savourant avec lubricité le foutre avant de faire arrêter le taxi.

La rue dans laquelle elle se trouvait était fréquentée par de nombreux noirs, qui stationnaient devant les échoppes je me demandais ce qui allait se passer.

Elle se dirigea tout droit vers une petite porte, dès que la caméra zooma sur le magasin je vis qu'il s'agissait d'un sex-shop.

Il y avait quelques clients à l'intérieur et deux colosses noirs au comptoir qui la regardaient entrer en détaillant ses charmes.

Tanya claqua la porte dans son dos et se dirigea droit sur le comptoir siégeant au milieu de la pièce.

Le plus vieux des deux hommes, la quarantaine bien tassée, ouvrit à moitié la porte en s'approchant d'elle, j'avais l'impression qu'il avait l'habitude ce genre de situation.

Il l'empoigna et lui roula un patin passionné sous l'œil indiscret de la caméra, sa langue envahit sa bouche sans qu'elle manifeste de résistance tout en lui écrasant rudement les nibards contre son torse.

Il lui palpa brutalement la croupe tout en frottant son entrejambe contre sa bite tendue.

Après une bonne minute, il la prit par la main et l'entraîna dans un corridor s'ouvrant dans le dos du comptoir.

La caméra les suivit et je la vis se diriger vers une autre pièce meublée d'une table basse.

Le mur opposé était constitué d'une vitre, quelques clients étaient assis de l'autre coté de la vitre attendant visiblement son show.

Tanya leur fit face et se mit à danser, promenant langoureusement ses mains sur corps, pressant son cul, jupe relevée, contre la vitre...

Elle avait les yeux fermés et se mignotait farouchement les nibards, se pinçait âprement les mamelons les tendant vers les spectateurs enthousiastes.

Je remarquais alors une grosse bite noire jaillissant d'un glory-hole à sa gauche, son regard se braqua immédiatement dessus.

Elle s'agenouilla et la lécha sur toute sa longueur.

Quelques hommes de l'autre coté de la vitre avaient sortis leurs mentules de leurs pantalons et se branlaient machinalement.

Tanya emboucha le gros chibre et tête montant et descendant sur la hampe elle entreprit de lécher et de sucer la grosse mentule avec avidité.

Soudain, elle s'accorda une pause et la vis regarder le sol et se saisir de quelque chose.

Elle se releva et tendit l'objet vers les hommes de l'autre coté de la vitre. Il s'agissait d'un vieux préservatif usagé.

Elle se frotta les nichons d'une main et disposa la capote au-dessus de sa tête.

La caméra zoomait sur elle sous un autre angle et se polarisa sur un filet de foutre s'échappant du préservatif pour s'écraser sur sa langue tendue.

Elle ouvrait grand la bouche pour recueillir chaque goutte s'échappant du condom usagé, puis elle savourait le foutre en souriant aux spectateurs ravis de ce spectacle inattendu, certains applaudissaient, d'autres sifflaient au vu de sa performance.

Elle enfonça alors sa langue dans la capote léchant les restes de foutre jusqu'à la dernière trace, puis elle la retourna et termina son petit ménage.

Lorsqu'elle en eut terminé avec la capote, elle la balança par dessus son épaule et se remit à sucer la grosse bite débordant du mur.

Elle continua à le sucer pendant quelques minutes avant de se retourner relevant sa croupe pour frotter sa fentine épanouie sur le gland de son client.

Ses mains étaient posées au sol, juste face à la caméra qui zoomait sur le gros chibre cherchant sa voie dans sa foufoune.

Soudainement Tanya s'empala sur la bite turgescente et son cul vint frapper le mur, un sourd grognement s'échappait de ses lèvres.

Elle n'avait encore absorbé qu'une quinzaine de centimètres de ses 25 dans ses profondeurs, je savais pertinemment que c'était la plus grosse chose qu'elle ait jamais enfourné dans sa chagatte.

Elle gémissait et grognait de plaisir, la foule de spectateurs sentait que c'était authentique.

Elle rebondissait d'avant en arrière, ses miches se balançant au rythme de ses empalements, elle luttait âprement pour rester debout.

La grosse bite noire coulissait de plus en plus vite s'enfonçant un peu plus en elle à chaque coup de boutoir, elle s'efforçait de l'accueillir au plus profond de son intimité.

Elle se figea soudain et les spectateurs comprirent qu'il se vidait les couilles dans sa féminité.

Finalement elle se redressa et se retourna, empoignant fermement sa bite gluante, elle frottait son visage contre la hampe tout en la léchant avidement.

Elle récupérait de la langue tout le sperme étalé sur le mur. Une fois la bite et le trou nettoyés, une e autre caméra révéla les filets de foutre s'échappant de sa moule juteuse pour choir au sol.

Elle tendit la main et récupéra le foutre en grattant sa fentine sur toute sa longueur avant de l'étaler sur ses miches, avant d'enrober son clito du reste de foutre suintant de sa fentine.

Elle s'allongea ensuite sur la table, un groupe d'homme pénétra dans la petite pièce.

Ils avaient tous sortis leurs épaisse mentules et l'un deux commença à frotter son gland dans sa fentine sirupeuse. Les autres se postèrent à sa tête et entreprirent de se branler énergiquement.

Tanya tendit la main, empoigna une bite et la fourra dans sa grotte embrasée, il se mit immédiatement à coulisser en elle.

L'homme s'était mis à la chevaucher avidement, sa poitrine oscillait sensuellement entre ses mains.

Elle tourna la tête de coté et emboucha une bite raidie, la suçant avec énergie tout en en empoignant une autre pour la branler résolument.

Je vis alors les hommes se tenant derrière la vitre se lever et quitter l'un après l'autre leurs places, la caméra zooma alors sur une queue d'une quinzaine d'individus qui s'était formée à l'entrée de la salle où Tanya se faisait partouser.

Elle était secouée d'importance par ses baiseurs mais se débrouillait néanmoins pour les sucer comme une vraie pro, engloutissant les grosses mentules en pleine gorge avant qu'ils ne déchargent dans son arrière-gorge, sur son visage ou dans ses cheveux, les filets blanchâtres contrastant fortement avec ses cheveux noirs.

Chaque fois qu'un client s'était vidé les couilles dans sa bouche sur son visage ou dans ses cheveux, un autre le remplaçait immédiatement.

L'un des spectateurs qui se branlait énergiquement s'avança d'un pas et l'enfourcha come il l'aurait fait d'une jument. Il plaça sa grosse bite entre ses nibards et s'en servit comme d'une gaine pour se branler entre eux.

La mentule qu'elle serrait entre ses doigts soubresauta soudain et gicla spasmodiquement sur son visage, elle n'eut que le temps de l'emboucher pour profiter ensuite de son jus sirupeux.

Une fois qu'elle se fut régalé de son foutre crémeux, elle se retourna pour accueillir la seconde broute alors qu'elle saisissait un autre chibre entre ses doigts fébriles.

La caméra zooma sur le gars qui s'agitait entre ses cuisses et on le vit promener son gland baveux sur son trou du cul, resserré, avant d'y insérer un doigt fouineur.

Elle tortilla des hanches en réaction, visiblement impatiente d'affronter la suite.

Le foutre dégorgeant de sa chatte lui lubrifiait le trou du cul, son doigt coulissait aisément dans son anus accueillant.

Il lui évasa quelques minutes le goulot avant d'adjoindre un second doigt à ce premier envahisseur.

Je ne voyais pas son visage à cet instant mais je savais qu'elle devait souffrir mille maux pour parvenir à distendre son œillet récalcitrant.

Bientôt il constata que ses doigts coulissaient aisément dans son trou du cul dilaté, il pressa alors son gland contre son anus s'alignant parfaitement.

Il ne cherchait pas à lui plaire, il enfouit quelques centimètres dans son œillet élargi, elle poussa alors un cri étouffé et la caméra zooma sur sa bouche refermée sur un chibre imposant étouffant ses cris.

Son visage était couvert de foutre, je compris alors qu'un nouveau client avait éjaculé sa figure. L'autre continuait à la baiser entre ses nichons, mais la caméra retourna rapidement au clou du spectacle.

Le gars coulissait avec énergie dans son trou du cul rétif, s'enfonçant de plus en plus à chaque coup de boutoir. Il fut bientôt évident qu'il lui fourrait maintenant une bonne vingtaine de centimètres dans son intestin distendu; j'imaginais facilement la douleur qu'elle devait ressentir alors qu'il la pilonnait de plus belle sans se soucier le moins du monde de son plaisir.

Il semblait avoir fortement apprécié l'étroitesse de son trou du cul, il extirpa rapidement sa mentule de son annelet plus du tout secret, projeta des flots de foutre sur ses fesses avant de se retirer.

Moins de deux secondes plus tard un des spectateurs le remplaçait, une autre queue plus fine et plus courte plongea dans son intestin fumant, le foutre qui s'écoulait de son anus ravagé facilitait d'autant la pénétration.

Les trente minutes qui suivirent, les gars se relayèrent sans arrêt se vider les couilles sur son visage ou dans sa bouche et quelques uns mêmes sur ses nichons.

Elle sautait d'u bite à l'autre, les embouchant avec appétit sous l'œil de la caméra.

Pas un ne réalisa qu'en fait tout cela se déroulait en dehors de sa volonté.

Certains préféraient son trou du cul, d'autres sa chatoune mais ils jouissaient tous profondément enfoncés en elle, des flots de sperme s'échappaient de son a nus ravagé et de sa cramouille gonflée, s'étalant sur ses cuisses, le banc lui même était tout poisseux.

Coulybaca
Coulybaca
103 Admirateurs
12