A merci du patron... Pt. 03

BÊTA PUBLIQUE

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Elle s'efforçait de rester sereine et relaxée alors que les deux hommes la martelaient en con et en cul.

Elle jeta un coup d'œil circulaire sur les collègues et les subordonnés de son mari, encerclant le canapé, ils applaudissaient et encourageaient vivement leurs deux patrons.

- oh... ohhhh..." grogna Linda, ses gémissement se transformèrent en grognements alors qu'elle sentait un énième orgasme poindre.

Elle était couverte de sueur, et elle grognait comme une truie. Elle n'avait jamais entendu de sons aussi gutturaux sortir de sa bouche. Elle pouffait comme une vieille locomotive à vapeur et les hommes faisaient chorus.

Tous trois grognaient en chœur sur le sofa bougeant dans tous les sens.

- "UH!.... UH!.... UH!.... UH!.... HUUUGGGGGG!!! ...." coassait Linda éperdue.

Le rythme et l'ampleur de leurs pénétrations croissaient encore, les gro-gnements de Linda tranchaient sur les gémissements plus clairs des deux hommes, mais le tout se mêlait en un cacophonique indescriptible.

Karl explosa dans sa chatte, et elle sentit immédiatement un autre flot de foutre lui tapisser les muqueuses anales.

Les plaintes de Linda se poursuivirent longtemps après que les autres se soient tus.

Comme Ron extirpait sa grosse bite de son fondement ce qui permit à Karl de se relever, l'assistance entière se réunit autour du canapé et leur fit une brillante ovation.

Linda retomba sur le dos sur le canapé et regarda les clients et les em-ployés qui faisaient la queue bite en main attendant leur tour de la sau-ter. Que ce soit par, deux ou trois à la fois la soirée risquait d'être longue.

11° DE RETOUR AU BUREAU :

Deux mois après la convention, en fin de semaine, Ron On frappait à la porte de son bureau, il dit d'entrer, et vit Linda jetant un coup d'œil par la porte entrouverte

Ron ne l'avait pas revue depuis que la convention.

- "Eh Bien, salut, quelle bonne surprise! ..." s'exclama Ron étonné de la voir là.

- "Euh, salut Ron..." répondit Linda calmement. Elle se tenait muette dans l'entrée du bureau.

- "Entre Linda..." l'invita courtoisement Ron.

Elle pénétra dans le bureau et referma la porte dans son dos. Elle se posta face à Ron, de l'autre coté de son bureau.

Ron ne pouvait s'empêcher de la reluquer de la tête aux pieds.

Elle portait une tenue provocante, un tee short bleu ciel moulant et une jupe de jean très très courte montrant ses cuisses nues.

- "Je cherche Glenn... Nous devions nous retrouver pour manger ensemble ce midi! ..."

Ron hésita quelques instants, puis la prévint :

- "Glenn est en rendez-vous clientèle pour toute la journée! .... Je ne crois pas qu'il rentrera aujourd'hui... "

- "Oh, euh... Je n'étais pas au courant..." soupira Linda, mais elle ne faisait pas un geste pour quitter le bureau.

-

- "Je pense que tu le savais pertinemment! .....En fait j'étais dans le bureau de Glenn quand il t'a appelé ce matin.. Je l'ai entendu te dire qu'il ne serait pas dans son bureau de toute la journée! ...."

Prise à mentir, Linda baissa la tête pendant quelques secondes.

- "Euh..... En fait... Je voulais vous remercier d'avoir tiré Glenn de ce mauvais pas! ..."

- "N'en parlons plus! ..." rétorqua Ron se demandant pourquoi diable elle tenait à le remercier après ce qu'il lui avait fait endurer.

- "Glenn est un excellent collaborateur... Je suis très heureux, pour vous deux, que les choses aient pu s'arranger....."

Sur ces mots il recula sa chaise et se leva, puis l'interrogea :

- "Glenn a-t-il appris quelque chose sur ce qui s'est passé pendant la convention? ....."

- "Oh non..... Il n'en sait rien... " répliqua vivement Linda.

- "Puis-je te poser une question ma petite Linda? ..."

- "Bien sur! ...."

Ron hésitait, bien qu'elle se laissa tutoyer, il ne savait pas encore jus-qu'ou il pouvait pousser le bouchon.

- "Qu'a pensé Glenn de..... De ta chatte rasée? ....".

Linda souriait , visiblement confuse.

- "Oh, il a pensé que c'était une adorable surprise... Mais il n'a pas montré beaucoup d'intérêt pour cette disposition....."

Ron souriait à pleines dents maintenant, cette franche discussion avec Linda lui avait indiqué la voie à suivre..

- "Laisse-tu repousser ta toison? ...?"

- "Euh, oui....."

Ron était fort surpris du changement de tenue de Linda, mais il savait qu'elle-même serait transformée après ce qu'elle avait vécu lors de la convention.

Elle avait trop joui pour ne pas admettre au fond d'elle-même qu'alla avait savouré certains aspects de ce week-end.

- "Approche! ..." lui intima Ron.

Elle contourna le bureau se postant devant Ron. Ses jambes nues étaient halées, sa jupe révélait la plus grande partie de ses cuisses elle se tenait jambes largement écartées.

Il tendit la main et entreprit de remonter sa jupe. Linda avala sa salive mais n'offrit aucune résistance, sa jupe remonta au-dessus de ses han-ches et bouchonna autour de sa taille.

La chatoune dénudée de Linda se trouvait à quelques centimètres du visage de Ron, son mont de vénus était couvert d'une courte toison brune d'environ 1 cm.

Ron la poussa en arrière, elle s'assit sur l'arête de son bureau, il sépara alors ses cuisses, approcha sa chaise et enfouit son visage dans son entrecuisse embrasé, elle referma ses cuisses sur sa tête.

James avait vu Linda pénétrer dans le bureau il jeta un oeil et vit que la porte du bureau de Ron était fermée, il gagna le bureau de Larry pour l'avertir que Linda se trouvait dans les bureaux.

Ils prévinrent les autres employés de sa présence. Ils remontèrent dans le couloir et certains tendirent l'oreille contre la porte de Ron.

Ayant entendu la voix de Linda, James ouvrit discrètement la porte, il je-ta un oeil inquisiteur dans la salle et vit Linda assise sur le bureau face à Ron qui avait le visage enfoui entre ses cuisses.

Ron leva les yeux sur Linda.

- "Montre-moi tes nibards! ..." lui ordonna-t-il.

Linda croisa les bras, attrapa le col de son chemisier et l'enleva le pas-sant au-dessus de sa tête.

Elle portait un soutien-gorge noir, elle le dégrafa et ouvrit son soutien-gorge, ses nichons tout blancs jaillirent sous les yeux de son "amant".

Elle se pencha en arrière alors que Ron lui bouffait la chatte tout en ca-ressant ses miches.

Ron se redressa, se débarrassa de son pantalon et brandit sa bite dé-ployée entre ses cuisses, Linda était assise sur le rebord du bureau alors que Ron la labourait avec ardeur.

Larry, James et les autres employés jetaient des coups d'œil par l'entre-bâillement de la porte.

Linda leur avait manqué à tous depuis qu'ils l'avaient baisée deux mois plus tôt.

Ils observaient Ron qui la pilonnait sans merci. Linda se laissa tomber à plat dos sur le bureau et ils virent ses loches danser au gré des coups de boutoir de Ron.

Le temps de digérer son week-end de stupre, Linda ne pouvait nier l'ex-trême plaisir qu'elle avait pris à se faire ramoner ainsi.

Bien que continuant à avoir des relations sexuelles avec son mari, elle soit très insatisfaite après cette expérience ou tant de grosses bites l'avaient ramonée profondément, son émoi de voir tant d'hommes la dé-sirer et satisfaire leurs appétits en elle et le fait d'avoir été initiée à des actes qu'elle n'avait jamais pratiqués ni même envisagé chez elle.

Elle ne pouvait pas se l'expliquer clairement, mais elle s'était sentie obli-gée de venir au bureau de son mari lors de son absence, obsédée par son envie de voir ses appétits sexuels satisfaits par Ron et ses cruels employés.

Comme un violeur qui ne peut s'empêcher de trouver des victimes, elle ne pouvait s'empêcher de désirer être violentée encore et encore. En fait elle était son propre tourmenteur.

Linda dut se lever et se retourner.

Ron l'obligea à se pencher sur le bureau et il la baisa comme une chienne.

Comme il la martelait de violents coups de boutoir, ses dansaient de droite à gauche, les employés captivés par le spectacle regardaient ses fesses s'ouvrir et se fermer à chaque assaut.

Linda couina et gémit, submergée par le plus intense orgasme qu'elle ait eut ces deux derniers mois, elle jouit juste à l'instant ou Ron se vidait en elle, lui aspergeant les muqueuses de sa crème grasse.

Elle gisait sur le dos reprenant lentement son souffle.

C'est alors qu'ils entendirent la porte couiner, et qu'ils virent qu'ils avaient des spectateurs enthousiastes.

Linda baissa la tête et sourit gênée.

Ron se contenta de dire :

- "Très bien les gars, vous feriez aussi bien de rentrer dans le bu-reau! ...."

Linda se releva entièrement nue, si l'on excepte ses chaussures et sa jupe bouchonnée autour de sa taille.

Larry et James murmurèrent :

- "Salut Linda... »

Larry lui roula une pelle tandis que James empoignait ses nichons.

Brett, Will, Mick et les autres la doigtèrent chacun à leur tour.

Bientôt Larry s'assit dans le fauteuil de Ron, et Linda s'assit sur lui tour-nant le dos, sa bite bien ancrée dans sa petite chatte accueillante.

Elle faisait une pipe à James assit sur le rebord du bureau, les autres lui palpaient les nibards, se faisaient branler, ou se tenaient en arrière plan se régalant du spectacle érotique en attendant leur tour..

Cette fois même le jeune Brett put l'embrasser et la baiser à couilles ra-battues.

Linda pris alla de bureau en bureau le reste de l'après-midi, se faisant caresser et baiser.

Ils furent peu à travailler cet après-midi là, pourtant ils avaient tous pro-grammés des coups de fil et des ventes.

Entre les appels ils pouvaient se rendre dans n'importe quel bureau où Linda se faisait sauter pour lui peloter les miches ou se faire sucer.

Larry allait jusqu'à téléphoner tout en lui pelotant sévèrement les loches.

Ils avaient commandé des pizzas et Linda dur se rendre dans le hall d'entrée, seule et nue, pour recevoir les pizzas des mains d'un livreur ravi de l'aubaine.

Elle signa aussi pour réceptionner un colis et du demander au facteur :

- "Aimeriez vous une récompense rapide? ...."

Le facteur empoigna ses nibards avec concupiscence, et lorsqu'il eut dé-livré son colis il eut droit à une délicieuse pipe en guise de pourboire.

Ils la prirent une dernière fois sur la photocopieuse avant de la laisser partir.

Son nichon droit était pressé contre la vitre et fut photocopié, ainsi ses "amants" purent garder en souvenir l'image des ses larges aréoles.

Will épingla même une copie sur son mur, juste à coté de son soutien-gorge noir.

Le lendemain Glenn lui dit de les enlever, ignorant qu'il regardait des souvenirs de la partie de baise à laquelle venait de participer sa femme avec tous les membres du bureau.

Il ne pouvait d'ailleurs se douter qu'elle s'était jurée de revenir à la moin-dre occasion, elle ne pouvait plus se contenter de ses maigres presta-tions après une telle fête des sens.

12 août 2007

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Georges VI (Literotica)

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 16 ans
Merci Coulybaca

J'apprécie toujours beaucoup les histoires rapportées par coulybaca.. mais celle-ci plus que les autres... non seulement elle est perverse à souhait mais la soumission de Linda est ici progressive... est j'ai souvent pensé à ma femme.. qui pourrait être cette Linda...et ça m'a furieusement excité

Merci Coulybaca

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