Variante

Apres avoir dîner pour l'anniversaire d'Elizabeth ma femme dans un restaurant , je la sort .

Nous déambulons main dans la main . Et arrivons devant une porte, aucun videur à l'extérieur, juste un écriteau en cuivre sur la porte, « Club privé .Je demande à Elizabeth de remonter ses seins pour accroître son décolleté et de regarder la caméra . La porte s'ouvre, un homme noire, grand, costaud élégant nous accueille et nous indique la direction à suivre.

« Ton charme nous ouvre des portes ma ravissante chérie»

Nous pénétrons dans une salle avec de la musique, Elizabeth s'assoit sur un fauteuil être je vais chercher des verres .

Après mettre frayer un chemin parmi la foule jusqu'au bar qui se trouve de l'autre côté de la salle et les conseils du barman, je prends deux cocktails maison à base de rhum .

Lorsque je reviens, Elizabeth est assise avec trois hommes, il y a Bernard mon père et deux copains à lui Pierre et Alain , mon père me sert la main fermement et me tend un verre

« Qu'elle coïncidence de vous voir ici » me dit il avec un grand sourire

Il me présente Pierre et Alain qui eux aussi ont environs le même âge . Nous trinquons, buvons , nos verres ne désemplissent pas, j'oriente la conversation s'oriente sur le sex, Elizabeth pompette rougis lorsque Bernard en me regardant lui demande

« Il paraît que tu fantasme beaucoup sur ma bite, c est vrai ça? »

Elizabeth me regarde ,souris et avec une gêne de pucelle lui répond honteuse.

« Oui Bernard, c'est vrai »

Je vis cette scène au ralenti, ma femme en face de moi avec ses seins qui ballottent , son décolleté qui ne cache plus grand chose, elle suit le rythme de la musique, sa croupe se dandine , Mon père a une main sous sa robe , Karine laisse échappée un soupir qui en dit long, lorsque tout d'un coup plus ne sera jamais comment avant .

Bernard mon père prends la tête de ma femme qu'il pousse entre son entre jambe ouvre simultanément sa braguette , sort sa verge tendue , la bouche de Karine qui il y a encore une minutes me souriait, ferme ses lèvres maquillées ,pulpeuses sur cet hamas de chair. Je bande.

Pierre c'est rapproché, il relève la robe dévoile le cul de ma femme qui n'a pas de culotte , écarte de ses doigts les globes charnues et joue de sa langue avec le trou du cul de ma chérie , Alain de son côté n'a pas perdu son temps, lui a aussi sorti sa bite qu'il tente d'alterner avec celle de mon père dans la bouche de ma femme .

Elizabeth suce avec délectation celle qui se présente , elle est belle, je l'aime, le spectacle qu'elle offre est subjuguant.

Depuis le temps que j'en rêvais et qu'on le fantasmait.

Je regarde mon père d'un regard complice

«Il n'y a que moi qui la baise »

Je suis obscène j'adore ça, je bois en caressant ma verge par dessus mon pantalon.

La nuit ne fais que commencer