Valérie Prend Les Rênes Ch. 10-12

Chantal est assise sur une des toilettes, la jupe relevée, son chemisier grand ouvert, son slip enfoncé dans sa bouche et son soutien sur la tête. Du sperme coule entre ses jambes et son visage n'est qu'une masse gluante où des larmes ont laissé des trainées noires. Elle me regarde complètement hagarde.

-Vous voulez aussi me baiser Monsieur? Je ne suis plus très propre...

-Non Madame, je vais vous frotter. J'ai des lingettes avec moi.

-Casse-toi ducon, je vais te la rincer.

Un type est arrivé derrière moi, il m'a bousculé d'un coup dans les côtes et m'a fait basculer. Il a commencé à pisser sur Chantal, visant en priorité son visage.

-Maintenant ducon tu la lèches pour qu'elle soit propre. Mais d'abord tu frottes son cul avec une de tes lingettes de connard et tu la fous dans ta bouche.

J'ai bien mis 15 minutes pour que Chantal soit plus ou moins présentable. J'avais à peine terminé qu'une voix venant des toilettes pour femmes m'a hurlé : « Amène tes fesses lave-merde ».

-Tu me nettoies le cul avec ta langue et puis tu ramasses tout cela à la main.

-Oui madame, merci madame.

Cette cliente avait simplement chié en plein milieu du local, en face des lave-mains. Je me souviens de ce que j'avais promis à Valérie et Mike, j'avais déjà fait une terrible erreur pendant le service alors malgré mon dégoût je me suis attelé à la tâche. Heureusement son cul était superbe avec de jolies fesses bien rondes. J'ai même senti mon sexe s'agiter dans sa cage alors que je glissais ma langue dans son anus.

Quelle honte ! Comment est-il possible de tomber aussi bas. Simplement parce c'est là ma place, tout en bas. C'est là que je me sens bien, heureux. J'ai besoin d'être humilié car cela signifie que quelqu'un a pris les rênes et m'encadre. Je trouve dès lors une certaine sécurité. Faut-il pour cela lécher des culs et ramasser de la merde? Non bien sûr. C'est à chacun de trouver son équilibre. Moi je suis fait pour servir et être soumis. Et plus on exigera de moi, plus je serai heureux. C'est pourquoi je dis «merci madame » à celle qui m'oblige à ramasser ses excréments, me traite de lave-merde et ne doit éprouver que du mépris envers moi. Elle me considère sans doute comme un détraqué. Non Madame, je vais très bien. Je suis simplement où je veux être et je suis suffisamment conscient pour avoir des limites que je ne dépasserai pas. Je reste toujours capable de me relever et dire non.

Le reste de la soirée s'est passé plus calmement, un simple rôle de monsieur-pipi. Arnaud m'a appelé et m'a fait ranger la salle maintenant vide et puis m'a mis dehors en me disant de revenir le lendemain à 18 heures pour faire le service pour une soirée privée.

-Ah oui Pierre, j'oubliais de te dire que nous savions très bien que cette bouteille était bouchonnée. On avait juste envie de s'amuser un petit peu...Bonne nuit.

Comme ces paroles m'on fait du bien ! Je n'avais pas fait de faute et Valérie et Mike ne seront pas déçu. J'étais même fier de moi.

Chapitre 12 : Soirée surprise.

Le lendemain je n'ai vu ni Valérie ni Mike de la journée et j'étais rentré trop tard hier soir pour les rencontrer. Valérie m'avait juste laissé un mot sur la table de la cuisine :

Tu trouveras ci-joint la clef de ta ceinture de chasteté, tu peux l'enlever mais interdiction de te toucher sans notre autorisation. Ce serait dommage d'en prendre pour trois mois. Quand tu auras fini le ménage ici, tu vas à 12.00 chez Sylvie , la voisine de Mike et tu lui obéis en tout. Elle te libérera à 17.00 pour que tu sois à l'heure au Club. On se verra à ton retour ou bien le lendemain et nous espérons recevoir de bons rapports à ton sujet.

Sans attendre une seconde de plus j'ai libéré mon sexe. Mais je m'empressais de commencer à nettoyer et ranger la maison pour ne pas y penser car j'avais l'impression que même le frôlement d'une plume m'aurait fait bander et jouir.

A midi je me suis rendu chez Sylvie. Sur la porte il y avait un post-it : « c'est ouvert ».

A l'intérieur c'était un chaos épouvantable. Il y avait des verres vides, des bouteilles renversées, des cendriers qui débordent, des piles d'assiettes dans les éviers, des couverts sur le sol, des pièces de sous-vêtements...Le plus horrible c'était la toilette des invités : pisse, merde et vomi....cela sentait tellement mauvais que j'ai manqué vomir à mon tour.

Dans la cuisine se trouvait sur une pile d'assiette une grande note : tu te mets à poil, tu nettoies et tu ranges tout. Interdiction de rentrer dans ma chambre et surtout pas de bruit.

Je déposai mes vêtements sur une chaise à l'entrée de l'appartement et je commençai mon travail. La première chose qui importait c'était d'aérer au maximum si je voulais survivre. Je vous jure que c'était vraiment une question de survie. Je ne sais pas ce qui s'était passé ici la nuit précédente mais cela avait dû être une fameuse orgie.

Après avoir ouvert grand les fenêtres, et, à poil, la fraîcheur avait calmé toute velléité d'érection, je me suis mis au travail.

Au bout de deux heures je commençais à y voir plus clair. Les poubelles étaient pleines, l'air respirable et les toilettes dégagées. J'étais en train d'attaquer la cuisine lorsque Sylvie est arrivée dans mon dos.

-Alors, tu t'en sors? cela avance?

-Oui Madame, il ne me reste que la vaisselle et la cuisine et puis nettoyer le salon.

-Doucement la chienne !

Sur ce je me retourne et je vois que Sylvie, simplement vêtue d'un marcel et dont les superbes seins débordent sur les côtés, tient en laisse une jeune femme entièrement nue et qui la suit à quatre pattes

-C'est ma chienne Kino. Pas encore très obéissante mais avec du potentiel. Je dois continuer son dressage.

Kino est une jeune femme asiatique, cheveux noir jais coupé très court, petite poitrine avec des tétons assez longs. Sur son dos et ses fesses des traces encore rouges témoignent du dressage auquel elle est soumise. Dans son anus est enfoncé un gode qui se termine par une queue de chien.

-Tiens, tu ne portes pas ta cage de chasteté?

-Non Madame. Mademoiselle Valérie m'a permis de la retirer mais j'ai l'interdiction de me toucher.

-Et tu résistes?

-Pas facile mais vu la quantité de travail je n'y pense pas trop.

-C'est vrai que c'était une fameuse fête hier. Heureusement que Mike m'avait annoncé qu'il te mettait à ma disposition pour le ménage. Kino, va sucer Pierre. Je veux le voir bander. Mais ne le fais pas jouir.

-Madame, j'ai peur que .....

-Silence ! Je veux que tu bandes pendant que tu fais le ménage. Tu ne peux pas te toucher mais Kino viendra régulièrement t'exciter.

Kino m'a pris dans sa bouche et bien entendu il n'a pas fallu une minute pour mon érection soit au maximum.

-Arrête Kino et laisse-moi voir. C'est une jolie bite Pierre. Pas très grande mais épaisse. Pourquoi ne pas l'utiliser plus souvent?

-Parce que je ne sais pas me retenir et je jouis beaucoup trop vite. Mon épouse trouve, pardon trouvait, cela ridicule et préférait me faire porter une cage de chasteté. Après quelques semaines de privation, j'étais au moins capable de bander plusieurs fois de suite et la deuxième ou troisième fois de me retenir assez longtemps pour que mon épouse éprouve du plaisir.

- Et ton épouse elle est où?

- Sa fille Valérie et Mike ont décidé de l'envoyer en stage, si on peut dire, pour qu'elle se révèle sa véritable personnalité. Mike était son amant mais Valérie a pris sa place. Cela lui a fait beaucoup de mal mais a révélé un côté maso qu'elle avait refoulé.

-J'avais cru comprendre quelque chose de ce genre au cours de mes discussions avec Mike mais il s'était montré assez discret. Bon, assez discuté, tu as encore beaucoup de travail et nous devons être au Club à 17 heures précises. Mike m'a demandé de t'accompagner avec Kino. Une autre soirée nous attend.

J'ai continué mon opération « Mr Propre » avec régulièrement une intervention de Kino pour remettre mon sexe en érection. Plus d'une fois j'ai cru que je n'allais pas pouvoir me retenir mais elle avait l'art de s'arrêter juste à temps. Elle devait aimer cela de m'amener au bord de la jouissance et puis de tout arrêter. Pour une fois c'était elle la maîtresse et un autre qui était soumis à son bon plaisir.

Avant de partir, Sylvie a demandé à Kino de venir la faire jouir avec sa langue et à moi de lécher l'anus de Kino pour la stimuler. C'est incroyable comme elle réagissait à la pression de ma langue sur sa rondelle. Quand elle a eu donné à Sylvie son orgasme, celle-ci lui a dit qu'elle pouvait continuer avec moi. Elle m'a alors tenu par les cheveux pour que je continue de la lécher tout en se caressant le clito. Et bien vite elle s'est cambrée et dans un long cri rauque a laissé éclater sa jouissance sous la forme d'un long jet de fluide. Impressionnant.

A 17 heures nous sommes arrivés au Club. Patrick était déjà sur place et nous a mené Kino et moi dans la cuisine. Après nous avoir fait déshabiller et porter un tablier de serveur, il nous a briffé sur les plats à préparer. Il y aurait une quinzaine de personnes et nous devions préparer un buffet froid avec une partie poisson, une autre viande et un troisième légume. Enfin un assortiment de réductions de gâteaux pour le dessert, mais celui-ci avait été livré par un traiteur. Nous avions deux heures devant nous et c'était amusant de travailler sous la direction de Patrick. D'autant plus qu'il n'hésitait à nous stimuler avec des coups de cuillère en bois sur nos fesses. Cela ne me gênait pas mais visiblement cela faisait moins plaisir à Kino qui ne semblait pas apprécier que ce soit un homme qui la dirige. Patrick s'en est d'ailleurs plaint auprès de Sylvie qui était en train de préparer l'apéritif et de dresser des tables avec Arnaud et les épouses des deux responsables. Sylvie est arrivée dans la cuisine comme une furie et donné une volée de gifles à Kino, sa tête partait de gauche à droite sans interruption. Puis elle a pris un petit chalumeau de cuisine l'a allumé et l'a approché de la chatte de Kino.

-Si on vient encore me faire une seule remarque à ton sujet, je te jure que je te brûle tous tes poils et que je l'éteindrai dans ta chatte, espèce de petite merde jaune.

Inutile de dire que Kino a repris son travail avec beaucoup plus d'ardeur.

De la cuisine nous entendions les bruits confus de discussions dans la salle, les invités devaient être arrivés. Il allait bientôt être 19 heures et nous étions presque prêts ; il nous restait juste à décorer les plats. Même si c'était simplement un buffet, la qualité des produits choisis par Patrick et Arnaud était remarquable : saumon sauvage d'Ecosse, filets de bar de ligne, tranches de rôti d'Angus, jambon 100% ibérique Bellota , etc... le tout accompagné d'une belle sélection de vin.

Patrick nous a donné à chacun deux bols avec des cubes de fromage et nous a demandé d'aller les porter pour l'apéritif. J'ai voulu tout prendre sur un plateau mais Patrick a refusé. Donc toujours uniquement vêtu d'un tablier, nous nous sommes rendus dans la salle. Heureusement que je n'avais pas un plateau, je l'aurais certainement laissé tomber et Patrick l'avait anticipé.

Les invités je les connaissais tous ! Et je vais me permettre de vous en donner la liste, certains reconnaîtront des personnages de mon premier récit.

Il y avait donc, et ce sans ordre d'importance ou chronologique :

-Valérie et Mike.

-Alicia et deux hommes que je ne connaissais pas, John et Marc

-Julia, l'ancienne femme à journée d'Alicia.

-Julien et son esclave Kate, avec qui nous avons vécu pendant un moment.

-Louise et Michelle, deux amies d'Alicia.

-Claire, ancienne serveuse de restaurant

-Marie, la mère d'Alicia

Et bien entendu Arnaud, Patrick, leurs épouses et Sylvie avec Kino.

Valérie a pris la parole.

-Pierre, arrête de nous regarder, tu connais tout le monde. Dépêche-toi de dresser ce buffet pendant que nous prenons l'apéro. Pendant ce temps-là je fais quelques présentations et mises au point. A côté de moi vous avez Mike, l'ancien amant de maman et avec qui je vis désormais ; Mike avait besoin de jeunesse et ses capacités sexuelles sont incroyables, ce que je recherchais. En même temps maman, Alicia, après avoir dressé Pierre, s'est rendue compte qu'elle avait enfoui en elle sa vraie personnalité maso et elle a décidé, un peu aidée par Mike et moi-même il est vrai, de la mettre à jour. Et cela ne t'a pas étonné Marie, toi la maman d'Alicia?

-Non pas tellement. Alicia aimait beaucoup se faire servir par Pierre mais quand nous vivions ensemble elle acceptait sans problème d'obéir à mes ordres et une bonne fessée avait comme effet premier de la faire mouiller.

-Alors Alicia comment vis-tu ce changement?

Alicia est à genoux entre John et Marc. En arrivant elle portait une cape mais maintenant elle est nue. Elle a les cheveux coupés à ras, deux gros anneaux percent ses tétons et étirent ses seins. Au-dessus de sa chatte rasée elle porte un tatouage « Nympho et Maso ». Son corps porte encore des traces de nombreux coups, surtout son dos, ses fesses et ses seins.

-Je suis très heureuse Madame Valérie. C'est vrai que je suis devenue ce que j'étais en secret : une salope nympho et maso. Je vis maintenant au service des bûcherons dans leur cabane. Et quand la saison de coupe sera finie, je serai chez eux comme esclave et alors également au service de leurs épouses.

-Et comment les épouses apprécient-elles ta présence?

-Elles en sont très heureuses. Elles préfèrent que ce soit moi qui satisfasse les besoins de leurs maris que de les voir avec des personnes inconnues. Et puis elles disent que la cabane n'a jamais été aussi propre et en ordre. Enfin elles se réjouissent de m'avoir à leurs bottes dès que nous quitterons la cabane. Elles ont plein de boulot à me donner et je passerai un jour par semaine chez chacune d'elles, nous en avons parlé lors de notre dernière visite au campement.

-Lors de cette visite, comment t'ont-elles traitée?

-Bien, enfin je veux dire que j'ai aussi dû les servir et elles ont décidé de me punir pour leur plaisir. J'ai pris beaucoup de coups et elles se sont surtout attardées à frapper mes seins, elles trouvent que ce n'est bien que j'aie une plus belle poitrine qu'elles. J'ai beaucoup joui pendant cette séance, j'en étais très honteuse mais cela amusait les hommes et leurs femmes.

-Et donc tu comptes rester avec eux et les servir.

-Oui Madame Valérie.

-C'est bon pour vous John et Marc?

-Oh oui Valérie, on n'a jamais fait une aussi bonne affaire. Plus on la baise, plus on la punit et plus elle est heureuse. Et elle fait un boulot remarquable.

-Alors adjugé ! Mais Alicia sache que tu peux toujours revenir à la maison si tu estimais ne plus pouvoir satisfaire aux exigences de tes nouveaux maîtres et que ceux-ci ont l'obligation de te laisser partir. Pendant que je continue, tu vas baiser les pieds de toutes et tous et les remercier pour leur attention.

Valérie a alors rapidement fait une présentation des autres membres de cette assemblée avant de m'appeler près d'elle.

-Bon, Pierre il va falloir régler ton cas.

J'avoue que je n'avais pas songé à mon futur, Alicia une fois partie.

- Je termine mes cours de spécialisation et j'ai déjà reçu deux offres d'emploi dans des entreprises de la région. Je vais donc rester à la maison avec Mike et nous te gardons avec nous comme esclave. Tu t'occuperas de tout à la maison, nous on n'en touchera pas une et tout doit être parfait à tout moment. Si ce n'est pas le cas, les punitions vont vite te faire comprendre ce que l'on attend. Ce sera Mike qui s'en occupera et il a carte blanche pour te casser si nécessaire. Tu pourras pleurer, hurler, on s'en fout. Et quand tu n'en pourras plus de supplier que cela s'arrête, tu seras enfermé dans la cave que nous fait aménager. C'est froid, c'est noir et ça pue. Tu es prévenu. En plus, un jour et deux soirées par semaine tu seras au service de Claire dans son nouveau restaurant et un week-end sur deux tu viendras ici travailler au Club. Tu as vu hier ce qui pouvait s'y passer, ce ne sera jamais une partie de plaisir. Je crois avoir tout dit et j'ai été honnête avec toi. Un esclave, ce n'est pas un serviteur. Ce n'est rien, un objet, une chose, on en fait ce qu'on veut. Tu suceras, tu lécheras, tu te feras défoncer le cul, tu te branleras dans de la bouse de vache. Tous les jours tu seras humilié et souvent en public.

Maintenant Pierre tu peux refuser et reprendre ta liberté. Je comprendrais parfaitement que ce soit trop pour toi et que ton besoin de servir et d'être humilié ne soit pas à la hauteur de ce que je viens de te raconter.

-Non, Madame Valérie, je veux rester. Je ne pourrais pas être heureux dans une autre vie, même si celle que vous me proposez sera très dure.

-Bien, mais sache que toi aussi tu auras toujours cette liberté de nous quitter et que nous ne t'en voudrons jamais. Maintenant Alicia, Kiko, Kate et toi Pierre allez vous occuper du service et n'oubliez pas le vin, nous on va faire la fête.

Je connais suffisamment Valérie pour savoir que tout ce qu'elle a mentionné va arriver. Il me faudra beaucoup de courage pour tenir le coup, j'espère que je l'aurai. Mais je sais aussi que si je passe au travers de toutes ces épreuves, après un certain temps elle sera moins cruelle et je rencontrerai de nouveau le plaisir de la servir. Du moins je l'espère, le futur nous le dira. Mais cela c'est une autre histoire.