Une Passion Inattendue Ch. 07-08

C'est tellement fort de le voir ainsi souffrir dans la frustration, et il n'est soulagé que quand je lui torture les couilles ou les tétons. Je les ai fait percer pour le mariage. Le perceur était fasciné de l'offrande de Yara qui s'est fait percer directement avec une épaisseur d'anneau de 4 mm. Sans anesthésie. J'ai été comblée par son offrande. Les barrettes en place ne sont pas très douloureuses tant que je ne joue pas avec. Mais par contre il atteint de nouveaux sommets de souffrance quand je me mets à les tordre ou les pincer. J'ai déjà changé deux fois de diamètre et à 6 mm il a déjà de très beaux anneaux. Pas encore assez gros, car je souhaite vraiment que cela aille avec sa stature, et j'ai acheté des anneaux de 10 mm qui pèsent chacun 200 g, c'(est impressionnant. Il va me falloir être patiente, mais je le suis.

A certaines cela pourrait être lourd, pour moi pas du tout, bien au contraire. Et au bout de quelques mois c'est maintenant totalement naturel et je n'imagine pas que cela soit autrement. Qu'il se jette à mes pieds dès qu'il me voit. Qu'il tremble de tout son corps quand je lui caresse la tête, que ses yeux lui sortent de la tête quand je me fais jouir à quelques centimètres de son visage et dans tant d'autres situations. C'est délicieux de le frustrer, comme par exemple, lui interdire de me regarder pendant plusieurs jours, cela le met dans des états à la fois de frustration mais aussi extatique. Je suis très consciencieuse de nature et très constante. Depuis le jour où j'ai reçu en présent la cravache de dressage, il est battu matin et soir, chaque fois de 20 coups. Evidemment à force il est vraiment marqué, et j'aime ces boursouflures sur son corps que souvent j'ouvre avec mes ongles acérées pour faire couler un peu de sang.

Nous sommes allés à une soirée fétichiste, une idée d'Alice qui est venue avec nous. J'étais dans une tenue de catwoman, avec mes seins cela faisait une impression énorme. Je ne compte plus les mecs qui se sont jetés à mes pieds m'implorant de les fouetter. Gentille je l'ai fait pour quelques uns et ils l'ont tous regretté : j'ai réalisé que je tapais beaucoup plus fort que les autres femmes, mais alors sans comparaison. C'est vrai que je n'ai jamais appris, alors je me suis dit qu'on tape aussi fort qu'on peut. Et il parait que non, il ne faut pas trop faire mal!

Moi je n'ai surtout pas envie de me limiter, je frappe comme j'ai envie. Yara était en laisse à mes pieds, impressionnant avec ses couilles tellement distendues maintenant. Bientôt à 4 pattes elles toucheront le sol. Il porte environ deux kilos aux couilles et régulièrement je vérifie si je ne peux pas en rajouter. J'aime cette quête du toujours plus, comme avec les anneaux des tétons, ou le fait que sa ceinture de chasteté soit aussi terrible et définitive qu'elle ne l'est. J'ai discuté avec quelques Dominatrices et je pense qu'elles nous prennent pour des dingues. Quand j'ai fouetté Yara attaché sur une croix, le silence était éloquent. D'autant que je ne me suis arrêtée que quand j'étais épuisée soit sans doute plus de 100 coups. Même Alice était impressionnée alors que ce n'était pas la première fois qu'elle assistait.

Seul un Maître est venu me voir, vraiment beau, me disant que c'était si rare de trouver des personnes réellement libres comme moi, laissant s'exprimer toute leur cruauté et leur humanité en même temps. Nous avons échangé nos numéros pour qu'il vienne avec son esclave un soir. Il semblait très attiré par Alice qui n'était pas insensible à l'atmosphère. Jamais nous n'avions été aussi proches toutes les deux et j'ai le sentiment que mon épanouissement dans ce mariage avec mon esclave nous rapprochait encore. Et elle était pleinement rassurée qu'elle passerait toujours avant Yara et le reste de l'humanité!

J'ai invité ce Maître à la maison un soir. Bizarrement je l'ai trouvé bien moins charismatique que lors de la soirée fétichiste. Sa soumise était une jeune femme très ronde avec la peau très douce. Nous avons beaucoup parlé, enfin lui surtout, jusqu'à ce qu'il m'avoue être très attiré par moi et ma domination. Oh Mon Dieu! Ils sont tous pareils finalement?

Je suis encore partie dans tous les sens dans mon récit. J'ai donc accepté de devenir la Maîtresse de Yara dans une relation absolue. De ce jour il a perdu tous droits, mais vraiment tous, et moi j'ai pris pleinement en charge notre vie. Et c'est vrai que cela m'est complètement naturel de tout décider, tout ordonner et d'être ainsi adulée. J'ai expliqué à ma chienne que je ne pouvais pas faire un mariage en grande pompe avec un esclave, cela n'avait pas de sens. Si nous nous marions c'est pour sceller notre relation très particulière et qu'il perde aussi une grande partie de son autonomie. Mais que jamais il ne serait considéré comme mon mari, je voulais vraiment qu'il comprenne cela pleinement. J'ai tellement évolué en quelques semaines, je comprends tellement mieux tout ce que ces livres peuvent décrire. J'ai une réelle et profonde affection pour Yara, mais ce ne sera jamais que mon esclave et rien d'autre. Et j'avais bien compris que c'est ce qu'il désirait et ce à quoi il aspirait. Il n'était plus temps maintenant qu'il se pose la question.

Pas de contrat de mariage, un acte de donation au dernier vivant et le voici bien cadenassé. La notaire a failli avaler son stylo en nous voyant arriver, se doutant bien de la nature de notre relation. Peut être le collier en acier de Yara était il très marqué? J'étais retourné chez Gérard et l avait fabriqué un magnifique collier en acier d'une épaisseur de 1cm pour une hauteur de 3 cm. Avec un anneau cela ne fait aucun doute que c'est un collier d'esclave. Et encore chez la notaire je n'avais pas pris la laisse en métal qui vient avec! Yara doit le mettre dès qu'il n'est plus au boulot. Un jour il le portera définitivement, il y a un mécanisme pour cela. Il ne le sait pas encore.

La notaire a même voulu voir Yara seul pour confirmer qu'il était bien consentant. Cela ne m'a pas choquée, franchement, s'il doit changer d'avis autant que ce soit avant. Et moi je vivrai autre chose. Mais évidemment il n'a fait que confirmer et la notaire m'a accueillie à nouveau avec un grand sourire. Tout est en ordre, j'ai le contrôle sur ses comptes bancaires et de placement et je lui ai dit que je ne voulais plus qu'il s'en occupe, à son grand soulagement, il m'a remercié pendant de longues heures à me lécher, tandis que je regardais tout cela en détail, découvrant qu'il était bien plus riche que je ne pensais, ce qui me choqua en fait. Pas assez pour que je donne son argent, je dois dire. Finalement je suis peut être un peu cupide, ou simplement sensée?

Le mariage donc au strict minimum, avec Alice et Elodie comme témoins. Elles connaissent toutes les deux notre relation et son étendue, et cela me convenait très bien. Pour le préparer, Yara, je l'ai fait épiler définitivement à l'électricité. C'est long et douloureux, mais comme c'est pour moi, c'est bien qu'il souffre ainsi. Je ne veux pas de barbe pour les cunis, donc il s'est fait épiler le visage, les sourcils pour les amincir, et les pattes d'éléphant que je n'aime pas chez un homme.

J'avais très envie de marquer ma propriété, aussi je lui ai fait poser un tatouage sur le poignet, avec les mots Owned by CK en dessous d'un triskel symbole du bdsm. Pas très discret, mais pas trop visible non plus. Avec des chemises au bureau, cela passera. Pour faire bonne figure, j'ai fait le même triskel mais avec les mots Owner of the keys et lui très visible puisque je suis souvent bras nus.

Pour le mariage je portais une robe en latex blanc ultra moulante. Tellement que mon pubis se devinait très bien. Quant à mes seins comprimés c'était un vrai appel au viol. Yara était aussi magnifique dans son costume, nous faisons cun couple vraiment glamour. Seul le collier mettait une touche bizarre, voire très bizarre à la scène, mais je n'avais aucun doute et je voulais que personne ne doute qu'il était mon chien obéissant. Elodie était habillée en vraie catin provocante, magnifique comme toujours. Alice évidemment très sage, en pantalon blanc et veste crème. Mais je trouvais que c'était de nous trois la plus belle.

La gêne à la mairie était évidente, le silence des autres mariages en attente éloquents. Je me délectais. La cérémonie fut vite expédiée, le livret de famille en main, nous sommes allés fêter cela dans un club échnagiste ouvert le midi, et pas habitué à avoir trois jeune femmes si belles faire l'animation. Alice est restée sage, peu intéressée malgré quelques beaux jeunes hommes très attirés par elle. Elodie et moi nous nous sommes éclatées toute l'après midi au champagne, tandis que je sentais Yara très heureux malgré la situation. Je suis venue l'embrasser plus d'une fois et chaque fois il tremblait comme une feuille et gémissait de bonheur.

C'est fou comme l'épilation a changé l'image qu'il projette. Il est devenu beaucoup plus doux et bien moins viril. Sans doute que son sexe bien emprisonné depuis de longs mois l'aide aussi, mais j'apprécie énormément de le sentir ainsi plus vulnérable. Il est vrai qu'il est tellement doux et attentionné, et quand je repense au début de notre relation ce n'est plus du tout le même homme. La distance que met le vouvoiement qu'il a mis en place tout seul sans que je le demande, le fait que je sois sa Maîtresse et lui ma chienne, fait que je ne pense pas du tout à lui comme à un mari ou même un amant. Mais comme mon serviteur. Au début c'était le terme de chevalier servant que Alice avait trouvé, mais là il est juste servant, je lui demande de me servir en tout et pour tout, de se plier à toutes mes envies et demandes sans aller plus loin. Le fait qu'il écrive dans son blog me permet de mesurer son mental sans avoir à parler avec lui. Et ce que je peux voir c'est qu'il sombre dans une dévotion dont je me délecte. Je crois qu'heureusement que je le bats tous les jours sans parler des jeux avec ses couilles ou ses tétons, sinon il deviendrait dingue.

Sa transformation subtile n'a pas de conséquence professionnelle très graves car nous ne travaillons plus dans la même société. J'ai poussé Yara à accepter un poste dans une agence de publicité qui cherchait un marketeux comme lui pour développer de nouvelles expertises. C'est hyper bien payé, et il ne travaille pas beaucoup. Et ainsi je suis un peu plus libre au travail où j'ai changé d'activité. Notre relation de couple a beaucoup influencé ma façon d'être. Si mes copines me trouvaient déjà autoritaire, maintenant j'assume pleinement et je suis sortie de ma coquille. Comme je l'espérais j'ai eu un poste aux RH et je suis responsable du suivi de carrière des cadres de l'entreprise, une centaine, et en particulier de ceux à potentiel sur lesquels l'entreprise investit beaucoup. C'est un poste fascinant et je prends beaucoup de plaisir.

Je passe du temps avec chacun d'eux, travaillant sur les postes qui pourraient les intéresser, les formations à suivre. Cela me donne aussi une vision de l'entreprise unique puisque mon investissement est bien entendu parfois très personnel. J'ai couché avec plus de la moitié d'entre eux, ou peut être les trois quarts, je n'ai pas calculé. En fait c'est surtout avec les femmes que je reste chaste, quoique deux d'entre elles m'ont fait comprendre qu'elles étaient partantes, mais hormis un câlin appuyé c'est compliqué pour moi.

Du coup j'ai une super presse dans l'entreprise, les cadres me font tous confiance, et j'ai en retour toutes les informations privilégiées. C'est vraiment génial. En général je propose au cadre que nous dînions ensemble pour que nos échanges soient moins formels. Pendant la soirée où je viens en tenue casual, ce qui signifie hyper sexy et provocante, nous buvons un peu, il parle beaucoup, je lui prends la main et nous terminons dans une boîte échangiste ce qi est bien plus facile pour baiser qu'un hôtel. J'adore toujours autant ce basculement quand toutes les résistances cèdent, que le désir se lit sur le visage, et qu'il est prêt à n'importe quoi.

Mais si j'adore ce basculement, ce pouvoir que j'ai, les hommes commencent à me dégouter. Je vois de plus en plus le sale aspect de notre société patriarcale, les brimades que les femmes doivent supporter, voire les humiliations alors qu'on passe tout aux hommes. Le monde professionnel me paraît incroyablement mysogine et plus d'une fois je suis révoltée. J'essaie d'agir à mon niveau, mais c''est compliqué.

Le soir je raconte toujours à Yara, il connaît beaucoup des cadres, et je lui décrit comment il m'a prise, comment mon anus s'est fait défoncer, comme j'ai jouis. J'aime ainsi le provoquer et il est rare que cela ne m'excite pas tant que je me fais jouir à nouveau. Je lui ordonne de prendre mes gros godes et de me remplir le cul, j'ai une fuck machine humaine parfaite, il sait bien maintenant comme me défoncer encore et encore. Je suis au firmament. Je me demande ce que je pourrais avoir pour me rendre encore plus heureuse!

Contre toute attente, le blon de Yara a de plus en plus de succès chaque jour une centaine de personnes viennent lire le post du jour. Il est vrai qu'il a posté une ou deux photos de moi, sans le visage même si je suis reconnaissable. J'ai hésité à les censurer. Mais puisque lui est reconnaissable, autant que je le sois : à moi d'assumer ma position dominante également! Les posts sont en grande majorité d'hommes qui rêvent d'être à sa place. Cela doit le conforter dans ses choix même si je doute que la moitié en serait capable. Les hommes dominateurs croient être avantagés à quêter mes faveurs, comme si dominer un pseudo dominateur avait le moindre intérêt. Il n'y a que Yara que je veux asservir chaque jour un peu plus. Certaines femmes suivent aussi le blog, la plupart soumises ou masochistes, appréciant l'extrême dans lequel nous vivons et regrettant que peu d'hommes soient capables de tenir la cravache ainsi!

Je demande à Yara de baisser le rythme, une fois par jour c'est trop, cela revient du coup à penser toute la journée à ce qu'il va écrire et trouver de nouveau. Nous passons à une fois par semaine et cela me semble très bien. Au grand désespoir de bien des contributeurs. Nous passons aussi à des vidéos, et là cela calme tout le monde. Une fois encore je vais bien trop loin pour la grande majorité!

Pour mon prochain anniversaire de mes 30 ans, sacrée date mais je m'en fous, Alice nous a acheté un billet dans la fosse des cowboys fringants. Un groupe québecois que j'ai découvert à Montréal et que j'adore. J'ai déjà du faire 5 concerts, et là c'est à Bercy, je suis folle de joie. Nous allons nous éclater toutes les deux. Elle m'a promis un autre cadeau ce soir là!