Une Maîtresse inattendue (10)

Ma Maîtresse est invitée ce soir au vernissage d'une exposition d'un grand musée parisien. Elle n'est pas emballée et ne souhaite pas y aller seule.

Elle m'a proposé de l'accompagner et j'ai accepté sans hésiter. Une sortie classique, aucun élément ne peut et ne doit transparaître de notre relation un peu spéciale. Costume cravate en ce qui me concerne, même si je porte le shorty en dentelle et robe très sage pour elle, portée comme toujours avec élégance. Les hommes présents n'ont pu s 'empêcher de lui adresser un mot ou un sourire.

Etant amateur d'art, c'est un double plaisir. Je garde une attitude réservée car je n'oublie pas qu'elle est ma Maîtresse.

La soirée est agréable mais en sortant ma Maîtresse trouve que l'ambiance était sans véritable intérêt. C'est vrai que cela n'a rien à voir avec ce que je connais d'habitude avec Elle.

En rentrant, elle m'annonce qu'elle a besoin de détente.

- J'ai apprécié ta compagnie et tes connaissances en art. Et tu as toujours gardé ta place vis à vis de ta Maîtresse.

Elle attache ma laisse au collier et m'emmène à 4 pattes devant le canapé. Sa robe a déjà volé, il ne lui reste qu'un micro string en dentelle. Elle s'assoit sur le fauteuil.

- Donne moi du plaisir.

Cela veut dire lèche moi, mais je ne suis pas autorisé à la toucher autrement que par ma langue. Je lèche le micro triangle qui cache sa fente et les bords extérieurs de ses grandes lèvres.

- Ecarte le tissu et continue.

Je m'exécute. Je plonge ma langue entre ses petites lèvres, et lèche du bouton qui sort immédiatement de son capuchon jusqu'à son œillet. J'aime lécher son jus sucré et trouver l'amertume de son petit trou. Elle se détend et très vite son ventre bouge, puis ses hanches et elle tire sur ma laisse pour se frotter sur ma bouche et mon visage.

-Tu aimes bien m'occuper de mon œillet. Eh bien mois aussi je vais m'occuper du tien.

Elle revient harnachée d'un god ceinture.

-Tu m'as bien dit que tu ne t'étais jamais fait sodomiser .Eh bien ce soir, ta Maîtresse va te dépuceler. Il est temps que tu connaisses cette sensation quand une queue t'investit.

Bientôt ce sera une vraie queue.

Elle se place derrière moi et enduit mon petit trou de gel, puis pousse son doigt pour enduire le canal, essaie d'élargir l'entrée.

- Tu es serré comme une pucelle, tu auras du succès. Détends toi.

Elle introduit un deuxième doigt, les sors puis à nouveau me perfore.

Je sens son sexe factice se poser sur l'œillet et elle agrippe mes deux hanches et pousse sans s'arrêter.

Je ne peux que laisser échapper une plainte. Bien au fond, elle commence des aller-retour. Je sens son pubis taper de plus en plus fort sur mes fesses.

Elle semble y prendre plaisir. Elle feule comme je l'ai entendue faire avec ses amants, ce qui déclenche une jouissance dans ma tête et quelques gouttes de jus au bout de ma cage.

- Alors mon petit soumis, tu aimes te faire enculer? Encore un point commun avec ta Maîtresse!

Elle enlève son harnachement et je comprends son plaisir. Le god ceinture a une partie plus courte de son côté qui lui a permis de l'introduire dans sa chatte et de frotter sur son clitoris.

Tu vas y prendre goût dans mes soirées, tu verras, tu vas devenir accroc des queues de mes amants.

J'ai prévenu ma Maîtresse que j'avais rendez vous ce soir chez une médecin dermatologue.

- Tu la connais?

- Non, c'est la 1ère fois.

- Je te rappelle notre contrat. Tu ne lui caches rien, y compris si elle t'interroge sur ta cage, mais en aucun cas tu lui révèles que ta Maîtresse est médecin. De toute façon, son nom me dit rien. Je ne la connais pas. Tu me raconteras en détail le rendez vous

- Oui Maîtresse, je m'en rappelle parfaitement.

Je vais donc à ce rendez vous de médecin avec la cage et ne voulant pas provoquer avec un shorty masculin en coton blanc très classique.

Le soir même ma Maîtresse m'appelle pour avoir les détails.

- C'est une femme blonde très souriante d'une quarantaine d'années. Après m'avoir demandé la raison de mon rendez vous, elle m'a fait déshabiller en gardant mon shorty.

- La cage se voyait? me demande ma Maîtresse

- Oui, la bosse n'est pas très naturelle. Et à un moment elle m'a interrogé si j'avais d'autres grains de beauté sous le shorty. J'ai répondu par la négative, et j'ai un peu plus baissé la ceinture sans faire attention que l'anneau supérieur de la cage était visible. Elle a vu et n'a rien dit. Je dois la revoir dans un mois en toute fin de journée.

En y retournant 1 mois plus tard, je me demande si elle va évoquer sa vision du 1er rendez vous.

Le rendez vous se passe très classiquement. J'ai volontairement baissé la ceinture du shorty au maximum en laissant voir un peu plus le haut de la cage.

- Je vois que vous portez comme au 1er rendez vous une cage de chasteté. Vous avez l'air de l'assumer pleinement. Ca vous dérange si je vous pose à titre personnel, quelques questions?

- Non ça ne me dérange pas docteur, je la porte en permanence et c'est ma Maîtresse qui a les clés.

- Vous êtes soumis? Et votre Maîtresse est une professionnelle? Ce n'est pas votre femme puisque vous m'avez dit que vous n'êtes pas en couple.

- Ma Maîtresse est cadre supérieure comme moi, ce n'est pas une professionnelle. Nous ne vivons pas ensemble et je suis totalement soumis.

- Vous êtes à son service et elle vous impose une chasteté totale? Elle vous punit, vous exhibe? A quoi lui servez vous?

- Je lui suis totalement soumis y compris sexuellement. Je la prépare quand elle rencontre un amant, je m'occupe d 'elle après ses soirées, parfois elle m'y emmène, parfois non. Dans ces soirées, tous ses amis et amies savent que je suis soumis. Ils peuvent m'utiliser aussi, si Ma Maîtresse m'y autorise. Si je désobéis ou si je n'obéis pas assez vite, je suis puni. Mes fesses sont écarlates et marquées

- Vous aimez être humilié?

- Oui docteur.

- De toute façon, avec la micro nouille que vous avez entre les cuisses, vous n'avez jamais du faire jouir une femme, dit elle en riant. Elle devrait vous faire couper.

Donnez lui mon numéro, j'aimerais bien en parler avec elle.

- C'est entendu, je lui transmettrai votre demande, docteur.

Deux semaines plus tard, ma Maîtresse m'indique que j'ai à nouveau rendez vous chez la dermatologue à 19h le lendemain. Je sais maintenant qu'elles se sont téléphonées.

- N'oublie pas de me faire honneur.

Le lendemain soir, je suis pile à l'heure chez la dermato dans le 15ème arrondissement.

C'est elle qui m'ouvre la porte. Visiblement je suis seul avec elle, sa secrétaire est partie.

- Rentre.

Passé la porte de son bureau qui fait aussi salle de soin, l'ordre fuse : A poil! Le ton a changé et le tutoiement est de rigueur.

- Oui docteur.

- Ce soir, c'est Madame, plus de docteur. Dépêche toi, sinon ta Maîtresse te punira. A genoux sur la table, assieds toi sur tes chevilles, mains derrière la tête et jambes écartées. Garde les yeux baissés, soumis.

Mais quand elle me voit avec le shorty féminin en dentelle verte :

- Garde ta culotte de fille. Je vais te prendre en photo en salope.

Elle enfile une paire de gants et tourne autour de moi pour m'inspecter.

-Tu as des tétines de salope. Les filles qui ont des tétines aussi longues sont des salopes. Ta Maîtresse te torture les tétines?

- Non? Je lui donnerai l'idée. Ne bouge pas, je vais te poser des pinces avec des dents. Ta Maîtresse m'a dit que tu aimais avoir mal. Tu vas aimer.

En effet, à chacune des pinces je sursaute et la douleur est difficilement supportable.

Je te l'avais dit, me dit elle en riant.

Elle me baisse mon shorty.

- J'avais oublié que c'était aussi minuscule et ridicule, en éclatant de rire. Dommage que tu ais ces deux boules disgracieuses. Je vais dire à ta Maîtresse de te les faire couper. Je peux l'aider.

- A quatre pattes, pose ta tête sur la table et cambre tes fesses.

Tu as de belles fesses mais dommage tes boules qui pendent, ça gâche tout.

Les hommes aiment bien les jolis culs de salope, et les gays aussi. Tu es dépucelé? C'est ta Maîtresse qui t'a dépucelé?

- Oui Madame, ma Maîtresse m'a dépucelé.

- Et tu t'es déjà fait sodomiser ou si tu préfères enculer par une vraie queue de mec?

- Non Madame.

Elle me présente 2 de ses doigts gantés à sucer, juste pour m'humilier.

-Mouille les bien, je vais vérifier.

Elle me titille la rondelle, crache dessus puis enfonce un doigt en une seule fois.

-Tu es serrée comme une vierge. Salope et vierge!

Elle tourne, ressort, rentre , élargit. Puis sans prévenir enfonce 2 doigts.

J'essaye de me décontracter. Elle recommence comme pour le 1er doigt.

Elle laisse ses doigts au bord et c'est moi qui recule mes fesses pour m'empaler.

- Tu as l'air d'aimer ça, salope. Stop, allonge toi sur le dos, la tête au bord de la table.

Ta Maîtresse m'a dit que tu savais te servir de ta langue. On va voir ce que tu sais faire.

Mais avant, je vais te mettre un bandeau sur les yeux. Pas question que tu vois ma chatte. Elle retire les pinces aux tétons, et les broie entre ses doigts. La douleur est aussi vive que quand elle les a mis.

Elle m'enjambe et j'ai la tête sous sa jupe qu'elle a du remonter. J'ai sa chatte sur ma bouche. Je mets toute mon énergie à la lécher pour la faire jouir.

Je la lèche à l'extérieur de ses grandes lèvres, sans chercher son bouton. Puis je viens lui lécher l'intérieur des lèvres pour trouver sa chatte déjà mouillée. Aucune difficulté pour plonger ma langue dans sa chatte et aspirer son bouton.

-Tu aimes mon goût fort? Rien que pour toi je ne suis pas lavée depuis ce matin. Continue, tu vas me faire jouir. Au bout de quelques minutes, je la sens se crisper et je ne peux plus respirer. Ma tête est prise dans l'étau de ses cuisses et elle lâche un torrent de mouille, accompagné d'un feulement.

Elle s'écarte, ne dit rien. Sans que je m'y attende, une nouvelle chatte vient au contact de ma bouche, mais ce n'est pas la sienne. Un goût beaucoup plus sucré et je reconnais le goût de ma Maîtresse. Je redouble mes efforts pour la faire jouir et la remercier de cette séance. Comment est elle rentrée? Etait elle arrivée avant moi?

Elle se frotte pour accélérer sa jouissance. De longs filets de mouille envahissent ma bouche. Ses doigts me pincent les tétines, elle jouit.

- C'est bien vermicelle, tu as reconnu ta Maîtresse.

Avec des tétines comme ça, vous devriez les faire percer et lui mettre des grands anneaux. Vous avez prévu de le castrer? Avec un si petit bout, vous devriez.

- Oui j'y pense, lui répond ma Maîtresse. Ca viendra.

Je ne pense pas que ma Maîtresse lui ait révélé qu'elle était aussi médecin.

FIN