Une Justicière Mise à Nu

- Oui... Oui... Oui! AAAAAAH!

Son con palpite alors que son corps convulse. Les parois de son vagin se contractent violemment provoquant les grognements de l'inconnu qui continue de la secouer de grands coups de queue. Enfouie dans l'intimité de la jeune femme, la tige du chauve crache sa lave tel un volcan. Les cris de plaisir fouettent les murs de cette ruelle et se répètent dans un écho lubrique. Lorsqu'il retire sa queue, Véronica sent le foutre couler entre ses cuisses de coton. Elle s'écroule sur ses genoux, toujours tremblante, pendant qu'il remballe son engin encore poisseux dans son jean. L'inconnu récupère sa ceinture d'un geste précis avant de tourner les talons :

- Brave fille.

Ryan observe son agresseur et maintenant complice de débauche s'éloigner avant de ramener son regard sur la jeune blonde maintenant allongée sur l'asphalte. Visiblement exténuée, elle frotte ses poignets marqués et endoloris dans un silence de plomb.

Pensif, Ryan la fixe de ses yeux bleus puis lorsqu'elle lève enfin les siens, il lui indique sa verge encore raide. Dix longues secondes passent sans que l'un ou l'autre baisse le regard. Finalement, Véronica cède. Sa soif d'obéir à la perversité de ces hommes est trop forte. Salivant devant cette queue appétissante, elle s'approche en rampant et ouvre sa bouche. Ryan l'arrête :

- Sans le masque.

La bouche se ferme dans un claquement presque imperceptible. Ces mots résonnent dans la tête de la blonde et lui glacent les tripes. Pourtant, il les répète tout en astiquant sa bite trapue :

- Le masque. Tu l'enlèves.

Véronica ne se l'explique pas mais son ventre glacé se réchauffe. La perspective d'assumer son comportement déluré à visage découvert embrase une fièvre en elle. Elle se surprend à contracter, à frotter ses cuisses stimulant ainsi sa vulve. Sa main droite glisse le long de son abdomen. Elle lubrifie la pulpe de ses doigts du mélange de mouille et de foutre qui s'échappe lentement de sa fente. Finalement, elle fixe le regard de Ryan tout en faisant danser ses doigts sur son clitoris durci par l'envie. Le beau brun observe la scène avec délice. De la main gauche, la jeune femme vient retirer le masque de son visage. Elle le fait glisser le long de sa belle chevelure blonde dévoilant des sourcils châtains qui donnent une toute autre expression à son visage rougi par l'excitation. Elle le pose au sol et fixe Ryan d'un regard plein d'assurance.

Les cuisses poilues et musclées s'approchent du visage de Véronica. Ryan lui enfourne son engin dans la bouche. Il est en ébullition et veut baiser ce beau visage jusqu'à l'explosion. Véronica, elle, s'enivre de l'odeur, de la texture et du goût de cette queue qui s'apprête à lui cracher son désir. Elle pompe, se branle et sent qu'ils ne tiendront pas longtemps. La fièvre les consume. Ils gémissent de plus en plus fort. Lorsqu'il lui attrape le visage pour mieux s'y enfoncer, elle l'accueille avec plaisir en déroulant le tapis rosé de sa langue saliveuse. Leurs corps se raidissent. Prête à jouir, elle entoure enfin la tige du brun de sa main afin de le branler avec la maladresse et la vigueur inhérent au désir brûlant :

- Oh, petite pute... Oh, oui! OOOOOOh!

Ryan maintient la tête de la jeune femme avec force et laisse son chibre gicler une épaisse purée chaude contre la gorge de celle-ci. Il éjacule en abondance et elle se résout rapidement à tout avaler. Les images de sa bouche et de son con souillés par le jus de deux inconnus s'impriment derrière les rétines de Véronica et elle jouit, une deuxième fois, du bout de ses doigts. L'un contre l'autre, ils frémissent puis, redeviennent étrangers l'un pour l'autre.

Lorsqu'elle voit Ryan quitter la ruelle sans lui adresser un regard, elle ne s'en offusque pas le moins du monde. Ce qui l'inquiète, c'est plutôt cette pensée qui s'empare d'elle : "Si seulement, ils avaient été trois..."