Une Histoire d'Amour Moderne

BÊTA PUBLIQUE

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Finalement, il se ravisa, mais vint vers moi et déclara avec une petite voie remplie de timidité.

_ Heu je vais devoir partir travailler, voilà un double des clé. Est-ce que vous pourriez fermer avant de partir?

Mon cœur fit un bond.

Partir? C'est sans doute ce que je devrais faire. Je devrais rentrer chez moi et le laisser mariner quelques jours avant de revenir à la charge et de demander progressivement de plus en plus d'argent. Mais suite au spectacle de ce matin, j'avais envie d'être plus audacieuse. Et puis j'étais pressé par le temps.

Je pris les clés avec satisfaction et déclarai :

_ Qui t'as dit que j'allais partir esclave? C'est chez moi ici, je te rappelle.

J'attendais avec appréhension sa réaction.

Finalement, il se mit à genoux et déclara :

_ Bien sûr maîtresse, je suis désolé.

_ A quelle heure revient tu?

_ Heu je reviens vers 12 heures pour ma pause-déjeuner

_ Parfait tu pourras te rattraper pour l'offrande minable que tu m'as fait hier.

_ Heu oui d'accord maîtresse. Dit-il sans le franc sourire qu'il m'avait donnée hier.

_Quelque chose te tracasse esclave?

_ Heu non maîtresse. C'est juste que je ne m'attendais pas à ce que vous restiez.

_ Ça ne semble pas te plaire?

_ Si bien sûr maîtresse, c'est juste que c'est tellement rapide et je ne suis pas (...). Enfin, vous comprenez? Et puis vous n'avez pas de travail?

_ Je suis en congé mentis-je rapidement.

Je m'assis sur le lit en sous-vêtement et commençai à lui caresser doucement la tête comme on le ferait avec un chien et puis je lui caressai doucement la joue comme pour rassurer un tout petit enfant.

_Quand au reste je comprends que ce changement te fasse peur, mais tu l'as toi-même écrit : tu n'es qu'un esclave. Ton bien-être n'a aucune importance tout ce qui compte, c'est de satisfaire les désirs de ta maîtresse. Tu es toujours d'accord avec ça n'est-ce pas demandais-je en glissant ma main dans son pantalon pour aller saisir ses couilles. Je constatai alors qu'avant même que je le touche, il était en érection malgré a cage de chasteté.

_ Oui pardon Maîtresse. Fit-il en ayant l'air de regretter sincèrement (à mon grand étonnement)

_ Ce n'est rien. C'est encore nouveau pour toi. Fais-moi confiance, je vais bien prendre soin de toi.

_Merci maîtresse.

Je continuai à le caresser doucement et il sembla énormément apprécié. Beaucoup trop en fait. Ce n'était que de simple caresse et il ne portait la cage que depuis une seule journée.

Après quelques minutes, il dit :

_Heu maîtresse je vais devoir y aller maintenant si je ne veux pas être en retard.

_ Oui bien sûr. Vas-y vîtes dis-je en lui donnant une tape sur les fesses.

Je commençai la matinée en me lavant et en explorant l'unique placard de la pièce. Cela alla très vite. Il possédait peu de chose et tout était très bien rangé. Le placard contenait 6 boites à chaussure en carton. Il y avait aussi une réserve de pattes, riz, lentille, farine et autres denrées non-périssable de base ainsi que quelques fruits/légume et une casserole, un mug, une cuillère, un couteau et une assiette. Et je dis bien un seul. Apparemment, il n'avait pas prévu de recevoir du monde. En fait, il ne devait jamais recevoir personne. Et en y réfléchissant la pièce ne contenait même pas un canapé ou une deuxième chaise pour qu'un invité puisse s'asseoir. Il devait être très seul. Cela me rendit triste pour lui.

Deux boites contenaient des vêtements de rechange. Tous ces vêtements tenaient dans deux boites à chaussures. Il avait vraiment un mode de vie très austère. Même elle avait d'avantage de vêtement. La plupart récupérées gratuitement grâce à des associations, mais quand même. Une autre des outils de bricolage, une autre des médicaments de base. Une autre des babioles hétéroclite comme des écouteur de rechange ou des stylos. Le dernier contenait des papiers importants comme des actes de propriété. Et ce coup si, je dis bien DES actes. En plus de l'acte de propriété du studio, il y avait celui de plusieurs hectares de terre agricole et de deux autres appartements. Mais il était putain de riches. Pourquoi est ce qu'il vivait ici? De toute évidence, il n'y avait pas que ses fantasmes qui étaient bizarres chez lui. Je fouillai davantage, mais je ne trouvai rien d'autre. Pas d'effet personnel ou de trace d'une quelqu'onque famille ou amis. Le studio ressemblait plus à une maison témoin IKEA qu'à un lieu de vie.

Je repensai à sa réaction lorsque je l'avais caressé (plutôt chastement si on exceptait le moment où j'ai mis ma main dans son pantalon). Depuis combien de temps n'avait il pas eu de contact intime? Et dans son cas cela ne semblait pas être un choix. Rose commença à légèrement culpabilisé de ce qu'elle avait prévu de lui faire.

Mais je me repris. Il fallait que j'arrête de me faire des films. Il est jeune beau riche et assez intelligent pour devenir ingénieur. Il pouvait avoir toutes les filles qu'il voulait et il avait sûrement des amis parmi ses collègues de travail. Ce studio était sans doute juste un pied-à-terre à côté de son travail ou une garçonnière où il réalisait ses fantasmes inavoués.

Et il était assez grand pour savoir ce qu'il voulait et assez riche pour en payer le prix sans se ruiner.

Je mangeai quelques fruits pour mon petit-déjeuner, puis j'allai explorer le quartier. Mon intuition d'hier soir fut confirmée. Le quartier était très agréable. La rue déboucha rapidement sur un chemin en terre qui longeait une rivière. Je la parcourus et tombai sur un parc où je m'assis quelques instants pour réfléchir à ce que j'allais faire maintenant.

5. Repas avec mon esclave

30 minutes après mon propre retour, il rentra avec énergie dans la pièce.

Dès qu'il passa le pas de la porte, je le regardai d'un air sévère et lui dit de me saluer correctement. J'avais beaucoup réflectif a ce que je devrais lui demander, mais je m'étais dit que le mieux c'était de la laisser lui-même imaginer à partir de ses fantasmes. Ainsi, j'étais sûr de tomber juste.

Il sourit et avec entrain se déshabilla rapidement, puis s'agenouilla et commença à m'embrasser les chaussures et dit :

_Pardon maîtresse. Je n'y ai pas pensé.

_ Ça aurait dû être évident pourtant.

_Désolé maîtresse je suis plutôt stupide.

J'étais un peu désarçonné par cette déclaration et le fait qu'il avait l'air de le penser. Ayant faim, je lui demandai de m'apporter à manger et je m'installai au bureau en poussant l'ordinateur. Il sortit du frigo les seuls plats qui s'y trouvaient, les fit réchauffer aux micro-ondes et me les servit.

Puis sans que je lui demande, il allât sous le bureau et commença à me lécher les pieds pendant que je mangeais le repas qu'il avait à l'origine préparé pour lui. Et putain, c'était bon. C'était pourtant extrêmement simple (et végan). Une soupe (maison faut-il le préciser) suivie d'un mélange bizarre de riz complet, de légume et de haricot rouge. Puis en désert une pomme. J'appris plus tard que les fruits et légume utilisé était tous bio et venait d'une AMAP. Et que le riz contenait de l'huile d'olive et un mélange d'herbe de Provence. Pour moi qui étais habitué aux pattes premier prix et aux plats industriels dont la date venait d'être dépassée, c'était une révolution culinaire encore plus saisissante que le restaurant de la veille. Et puis même si à la base ce n'était pas trop mon délire, je devais admettre que ce n'était pas désagréable de se faire lécher les pieds.

Sans y réfléchir, je le félicitai abondamment entre deux exclamations de plaisir. C'est avec une certaine culpabilité qu'une fois mon ventre plein, je mélangeai un reste de soupe, de riz et les épluchures de la pomme avant de déposer le résultat à ses pieds en disant que mon chien avait bien mérité sa pâté. Elle disparut cependant quand il me sourit et me remercia abondamment. Ensuite, il mangea à quatre pattes ce que je venais de lui servir en en mettant partout (il lécha le sol jusqu'à ce qu'il soit propre sans que je ne lui demande rien). Apparemment, il aimait vraiment ça.

Mais dans qu'elle monde de fou, je suis tombé? Et le pire, c'est que moi aussi, j'aimais ça. En le voyant faire, je commençai à mouiller violemment. Je me rappelai alors certaines choses qu'il avait écrite sur sa page de profil et j' eu une impulsion soudaine. J'interrompis son repas en lui saisissant les cheveux et en amenant sa bouche d'autorité contre ma vulve. Il se mit immédiatement à me lécher jusqu'à ce que je jouisse. Ses débuts étaient maladroits et c'était visiblement la première fois qu'il faisait cela, mais avec quelques indications de ma part, il comprit rapidement comment faire. Une fois satisfait, je l'autorisai à rependre son repas. Ce coût ci, il l'avala rapidement en s'aidant de ses mains, pendant que j'allumais l'ordinateur.

J'avais vraiment pris du plaisir à ce qu'il me serve et je regrettais qu'ils doivent bientôt retourner à son travail. Avant qu'il ne parte, je fouillai le disque dur externe (sans lui demander la permission) et trouve une série qui me plaisait (sans m'inquiéter de ses goûts à lui) et lança un épisode. Nous le regardime ensemble, moi confortablement installé sur la chaise de bureau et lui assis par terre nue et devant lever les yeux. Remarquant que la position devait être inconfortable pour lui, je baissai l'écran et me reculai.

_Merci maîtresse.

_ De rien esclave fit je en lui caressant de nouveau les cheveux.

Quand j'approchai ma main de sa tête, il eut d'abord un mouvement de recul, puis se laissa faire et prit trop de plaisir à mon goût à ce simple contact.

Nous digérâmes ainsi dans un silence confortable en regardants l'épisode.

Ce n'est qu'une fois qu'il fut re-partit travailler que je me rendis compte que je n'avais pas suivi mon plan et que je n'avais donc pas encore le code de sa carte de crédit. Bah, de toute manière, c'était sans doute trop tôt.

6. La punition

Je passai l'essentiel du reste de l'après-midi à geeker tranquillement. C'était agréable pour une fois de se détendre sans avoir à s'inquiéter du futur ou culpabiliser parce que je devrais faire des recherches d'emplois.

Quoique pour le moment le futur continuait à m'inquiéter. Je n'étais pas sorti d'affaire. À tout moment, il pouvait décider qu'il en avait marre et me foutre dehors. En fait, c'est probablement ce qui allait finir par arriver. Je ne pouvais pas sérieusement espérer rester ici éternellement. Et puis à la longue ça allait finir par m'épuiser de jouer un rôle en permanence. Je devais réussir à lui soutirer le maximum d'argent durant ce cour laps de temps. Je devais arrêter de me laisser distraire par mes désirs immédiats.

Mais une fois que je l'aurais essoré, je me retrouverais de nouveau dans la merde au bout de quelques mois. Même si c'était risqué, je devrais peut-être tenter de le convaincre de m'entretenir pendant des années. Au bout d'un moment, j'arriverais peut-être à le convaincre progressivement de me transférer son patrimoine (et notamment ses deux appartements) comme l'a fait cet escroc nigérien dont parlait cet épisode d'infernet. Là, je serais définitivement à l'abri du besoin.

Mais au fond de moi, je savais que la vraie raison qui me poussait à emprunter cette voie-là était que je n'étais pas très à l'aise à l'idée de lui demander de l'argent ou un accès à ses moyens de paiement. Déjà, j'avais peur qu'il comprenne que j'etais une escroc, mais aussi parce que je culpabilisais un peu de lui faire ça.

Je mis de côté, mais quelque remords et me mit à fouiller l'ordinateur à la recherche d'infos. Mais je fis face à un mur. Son navigateur ne contenant aucun mot de passe enregistré et il était en navigation privée permanente (pas de cookie ou d'historique internet). Et j'eus beau chercher, je ne trouvai aucun document ou photo personnelle. Je déduis de la présence de keepass et veracrypt sur son ordinateur que tous ses mots de passe et document étaient dans un dossier crypté qui m'était inaccessible. Et bien sûr, il n'y avait pas de gestionnaire de boite mail comme Outlook ou thunderbird d'installer. En désespoir de cause, j' alla sur mon compte festylife pour relire son profil et lire les histoires érotiques qu'il avait mis en favorite. Quoique je décide, avant de lui demander quoique que ce soit j'allai devoir réaliser quelques-uns de ses fantasmes afin de réduire les chances qu'il ne réfléchisse trop.

Il rentra vers 18 heures avec l'air fatigué. Je m'assis sur le lit. Sans que je ne lui dise rien, il se déshabilla, remit son collier de chien, se mit à quatre pattes et m'embrassa les pieds. Puis il s'assit sur ses genoux mis ses mains par-dessus sa tête, bomba son torse musclé écarta les cuisses au maximum ce qui exposa totalement son entre-jambe et attendit en silence en ayant un large sourire communicatif. Je l'observai quelques moments. Encore une fois, je me fis la réflexion qu'il était vraiment beau. Je remarquai qu'il devait avoir une tentative d'érection, car l'anneau de sa cage serait ses couilles qui ressortaient énormément. Elle traînait par terre et je me fis la réflexion que ce serait tellement simple de les écraser. Ce bel homme qui était probablement deux fois plus fort que moi était totalement vulnérable et attendait mes ordres. Cette réflexion m'émoustilla un peu. Je ne le savais pas jusqu'à présent, mais en fait, je devais avoir quelque penchant de dominatrice. J'avais envie de toucher cette belle poitrine et de la tordre pour vérifier à qu'elle point les muscle était robuste. Mais je me retins et à la place, je dis :

_ Bien, c'est beaucoup mieux. Cependant, tu as oublié de me réclamer une punition. Dit je sur un ton que je trouvais trop forcé

_Une punition maîtresse? Demanda-t-il sans comprendre

_ Pour ne pas m'avoir saluer correctement ce midi. Viens sur mes genoux. Tu vas recevoir ta première fessée.

Je le vis alors perdre tout sourire. Il s'exécuta néanmoins sans rien dire. Mais pour la première fois, j'avais l'impression qu'il n'était pas heureux de la tournure que prenaient les événements. Je me dis que ce n'était rien et qu'il n'était de toute façon pas censé avoir l'air heureux pendant une punition. Et puis son érection était toujours là. Je n'avais jamais fait ça, mais afin de coller aux histoires qu'il avait aimé, je décidai de lui donner une claque sur les fesses avec le plus de force que je pouvais. Puis une deuxième et une troisième. Je l'entendis à chaque fois pousser un petit cri de douleur et son érection disparus complètement. Ce n'était pas vraiment la réaction que j'espérai. Je levai de nouveau la main pour une quatrième, mais je sentis son corps trembler un peu.

Je me dis que définitivement quelque chose n'allait pas et j' arrêtai mon geste. Je le mis en position assise sur mes genoux en manipulant son corps comme je l'aurais fait avec une poupée et tournai son visage en face du mien. Il baissa immédiatement les yeux, mais j'eus le temps de voir qu'il était au bord des larmes. À ce moment, il avait l'air tellement vulnérable que je ne pus m'empêcher de vouloir le consoler comme on l'aurait fait avec un petit enfant. Timidement, je l'attirai vers moi pour un câlin. Au début, il me le rendit maladroitement puis plus franchement.

_Je suis désolé de t'avoir fait du mal.

_Merci, mais vous n'avez pas à être désolé maîtresse. Je suis votre esclave et vous faite ce que voulez de moi.

Je ne sais pas pourquoi ça réponse m'énerva un peu.

_ Non mais arrête un peu avec tes phantasmes ridicules. Je te parle sérieusement là.

Dès que j'eus prononcé cette phrase, je le regrettai. Qu'est-ce qu'il me prenait encore? Cet état d'esprit était parfait pour atteindre mes objectifs, alors de quoi je me plaignais? Pourquoi prendre le risque de le contrarier?

Il se dégagea de l'étreinte, mais resta sur mes genoux.

_ Désolé je (..) qu'est-ce que vous voulez que je fasse? Vous voulez qu'on arrête le jeu de rôle?

Je ne le savais pas bien moi-même. Enfin, si je le savais, mais je ne pouvais pas lui avouer. Mais ça me rassurait qu'il considère que ce n'était qu'un jeu érotique. Ce n'était pas un fou totalement déconnecté de la réalité. Maintenant, que j'y pensais, je me rendais compte que ce que je faisais était risqué. Encore une fois il était beaucoup plus fort que moi et je ne le connaissais pas. Et le peu que je connaissais de lui me faisait dire que malgré les apparence il n'était pas totalement sain. Son profil contenait des liens qui renvoyaient sur des pages déviant art et certaines étaient vraiment cheloues.

Devant mon silence, il rajouta d'un air interrogatif :

_ Maîtresse?

_ Désolé je réfléchis. Je ne sais pas vraiment. En fait, je crois que j'aimerais qu'on parle un peu.

_Vous voulez que je me rhabille et que j'enlève le collier maîtresse?

_ Non j'adore te voir nu. Lui répondis-je spontanément et avec sincérité. Sauf si ça te gêne?

_ Non j'adore être nu et en position de soumission. J'aimerais bien rester comme ça en permanence.

S'ensuivit un silence un peu gêné ou aucun de nous n'osa prendre la parole. Il finit par prendre l'initiative :

_ De quoi vous vouliez parler maîtresse?

_ Ben, heu pour commencer est ce que t'as apprécié la fessée? Je me suis senti vraiment mal en te la faisant. Est-ce que j'ai mal fait quelque chose? Est-ce que je t'ai fait mal?

_ J'ai eu mal, mais je suppose que c'est le but. Le truc, c'est que les fessées et tout ce qui génère de la douleur, je n'aime vraiment pas ça. C'est pas du tout mon trip.

_Mais j'ai vu que t'as aimé plein d'histoire ou d'image avec des fessées des fouet et d'autre truc du genre.

_ Oui, mais ce n'est pas ça qui me faisait bander, enfin qui m'excitait.

_ Ça va tu peux dire bander. Je ne suis pas une princesse dont il faudrait protéger les chastes oreilles.

_ Désolé. Je ne sais pas vraiment comment m'adresser à vous et j'ai peur d'être vulgaire. Mais bref ce qui me plaît dans ses histoires ce n'est pas les fessées, mais la relation de soumission.

Il rougit :

_La maîtresse a envie de frapper son esclave pour s'amuser, alors elle le fait sans se poser de question et l'esclave se laisse faire. Je sais que c'est un peu bizarre, mais si vous avez envie de me frapper alors j'ai envie que vous le fassiez.

_Non, mais t'es malade. C'est hyper dangereux. Tu ne peux pas juste dire faites ce que vous voulez, je me laisserais faire à une inconnue. Et puis comment tu peux croire que ça pourrait m'écxiter un truc comme ça?

_ Je sais que c'est dangereux. Rien que le fait de vous rencontrer en vraie, de vous dévoiler mon identité et de vous ramener chez moi, c'est un risque insensé. Je n'ai pas arrêté de crever de trouille avant de venir au restaurant. Mais je ne sais pas pourquoi, j'ai décidé de prendre le risque et d'être honnête pour une fois. J'en ai marre de devoir cacher en permanence qui je suis et d'être tout seul. Sinon je vous signale que c'est vous qui avait voulu me fesser en premier. C'est un peu normal que j'en conclue que c'est un des fantasmes que vous voulez réaliser avec moi. Franchement, ce n'est pas plus bizarre que de vouloir que je vous lèche les pieds ou que je dorme par terre.

Je voulus rétorquer que je ne voulais pas qu'il me lèche les pieds ou qu'il dorme par terre, mais je me suis rappelé que le plan, c'est qu'il croie que j'étais amoureux de lui et que je partageais ses fantasmes afin qu'il m'entretienne. Et puis pour être honnête, j'avais vraiment apprécié de le voir me lécher les pieds et dormi par terre. Je trouvais ça bizarre et j'en avais un peu honte, mais je ne pouvais nier que c'était agréable.

_ En fait je voulais vous demander depuis le début. C'est quoi que vous voulez? Un jeu de rôle temporaire? Une relation longs terme? Je ne veux pas vous vexer, mais au début, je pensais que vous étiez juste une professionnelle et que vous me proposiez juste de faire des jeux de rôle régulièrement contre de l'argent. J'ai été très surpris de la tournure des événement hier soir.