Une Histoire d'Amour Moderne

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Une femme découvre les bienfaits d’avoir un esclave.
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1. A la recherche d'un esclave

Fatigué.

C'est le mot qui décrivait le mieux Rose depuis un an. Et le pire ce n'était même pas ce sentiment d'épuisement qui ne quittait plus Rose depuis des mois. Le pire, c'est qu'elle ne pouvait pas s'en plaindre auprès de ses proches sans recevoir des regards méprisants (dans le meilleur des cas). Cela faisait un an qu'elle était au RSA. Un an qu'elle passait son temps à essayer de trouver un travail en jonglant (sans y arriver) entre les courses, le loyer et son découvert. Un an qu'elle était devenu pour tous une sorte de profiteuse à éviter. Combien de fois avait-elle entendu qu'elle avait de la chance de ne pas travailler? Qu'eux à sa place, ils arriveraient à s'en sortir financièrement, que ce n'était pas si difficile de trouver du travail même lorsque l'on avait ni diplôme ni expérience à 30 ans et qu'il fallait qu'elle assume les mauvais choix qu'elle a fait dans sa jeunesse?

Et Rose dépite ne pouvait que répondre par le silence. Elle savait qu'elle devrait leur expliquer la situation. Mais elle n'arrivait jamais à trouver les mots. En fait même à elle-même, elle n'arrivait pas à s'expliquer pourquoi c'était si dur. Pourquoi elle n'y arrivait pas. Pourquoi elle n'arrivait pas à convaincre l'un de ses foutus recruteurs de lui donner une chance? Pourquoi il fallait qu'elle craque tous les mois lors des courses et qu'elle s'achète un petit plaisir? Et puis elle était trop fatigué pour se disputer.

Mais malgré sa fatigue elle ne se décourageait pas et continuait d'essayer en mode automatique la tête comme perdue dans une sorte de brouillard. Tant que le soir elle pouvait rentrer chez elle et tout oublié dans les animés, les vidéos YouTube ou les jeux vidéo tout irait bien. Mais ce soir en rentrant chez elle (d'un entretient d'embauche comme caissier dans un magasin pour lequel s'était présenté une dizaine de concurrents au profil probablement bien meilleur que le sien) elle trouva une lettre qui lui fit un électrochoc. Son propriétaire allait l'expulser à la fin du mois. Elle allait soit se retrouver à la rue, soit devoir retourner chez ses parents (elle ne les avait pas vues depuis ses 18 ans et elle préférait encore retourner dans la rue).

Elle cogita toute la soirée pour trouver une solution. Et au bout d'une heure elle décida de se changer les idées et ouvrit YouTube. Dans ses suggestions, apparut une chaîne qu'elle ne connaissait pas : infernet. En visionnant cette vidéo, une idée un peu folle mais terriblement existante lui vint. Mais c'était aussi immoral et un peu dangereux. Deux heures, plus tôt, elle aurait refusé de ne serait qu'envisager cette solution, mais maintenant elle était au pied du mur et n'eut aucun mal à balayer ses scrupules. Elle créa donc un compte sur tous les sites de rencontre qu'elle connaissait et se mit à la recherche de l'amour...

Dès le lendemain à sa stupéfaction, elle constata que sa boite aux lettres était pleine. Sans jamais avoir fréquenté les sites de rencontre elle savait qu'il y avait toujours beaucoup plus d'homme que de femme. Mais elle n'imaginait pas que le déséquilibre était aussi marqué.

Mais au bout de deux semaines elle comprit pourquoi un tel déséquilibre existait. La moitié des messages qu'elle avait reçus, c'était des photos de bite, des insultes ou des demande de rendez-vous dans une ruelle sombre à minuit. Et l'autre moité était presque pire, car elle vous faisait perdre votre temps. Elle avait passé des journées entières à échanger avec des hommes soit disant soumis qui la ghosté dès que les choses devenaient sérieuses ou qui au contraire finissait par la harceler si elle avait le malheur de ne pas dire oui à toute leur envie (heureusement qu'elle ne les avait pas rencontrées IRL). Si c'était la recherche de plaisir qui la motivait ça ferait longtemps qu'elle aurait abandonné. Mais elle ne pouvait pas se le permettre. Peut-être qu'au contraire, elle devait abandonner cette idée folle. Finalement, à force de recherche, elle finit par trouver la perle rare sur un site qu'elle avait découvert très récemment : fetlife. Enfin, elle l'espérait.

Son profil ne contenait que peu d'information personnelle, mais moult détail sur ses fantasmes (aussi bizarre que nouveau pour elle), il refusait de donner une photo de son visage et il n'était pas extraordinairement bavard. En fait, on aurait dit que le pauvre chou ne savait pas quoi lui dire.

En fait au début, ce genre de profil n'aurait normalement pas attiré son attention, mais dans une section du site dédié au loisir, il avait posté une courte fanfiction de mass-effect (leurs jeux préférés à tous les deux apparemment) qui lui avait plus. Et puis même si elle n'était pas là pour ça son profil contenait une photo de lui torse-nu qui était très aguicheuse. Après quelques jours d'échanges qui s'étaient bien passé, elle décida de demander à son nouveau soumis une offrande de 100 euros pour sa maîtresse. Malgré les journées qu'elle avait passé à le chauffer (en-tout-cas, elle espérait que c'était le cas, car elle n'avait aucune expérience du BDSM avant cela), il refusa en disant qu'il avait peur des arnaques.

C'était bien sa veine. Pour une fois, qu'elle tombait sur un homme qui ne pensait pas avec sa bite. Elle hésita, mais elle décida de continuer à échanger avec lui et dit qu'exponentiellement sa déesse lui pardonnait, mais qu'elle était déçus de son manque de confiance. À sa grande surprise, il répondit qu'il voulait bien lui donner cent euros si c'était en main propre dans un lieux publique comme un restaurant le lendemain soir.

Une rencontre IRL, ce n'était pas dans ses plans. Enfin si, mais pas aussi vite. D'après son profil, il habitait à Paris et le voyage allait sans doute lui coûter plus de cent euros. Mais avait-elle le choix? Cet homme était son seul ticket gagnant. Le pigeon qu'elle avait temps rechercher depuis deux semaines. Elle décida d'accepter en se disant que de toute façon elle ne pouvait pas être plus dans la merde qu'elle ne l'était déjà. Elle lui donna rendez-vous dans un restaurant prés de la gare du Nords.

Il lui avoua alors piteusement que par soucis de confidentialité, il avait menti sur son profil et qu'il n'habitait pas vraiment à Paris. Il habitait en fait en grande couronne de région parisienne et pour lui, c'était un peu loin et lui proposa un restaurant plus à mi-chemin de sa vraie adresse et de celle qu'elle avait donnée sur le site (elle aussi tenait à sa vie privée). Elle le vilipenda violemment pour avoir osé mentir à sa maîtresse, mais accepta avec indifférence ce nouveau lieu de rendez-vous.

2. Rendez-vous

Le lendemain au coucher du soleil, elle se rendit donc seule, dans une ville dont elle ne savait rien pour rencontrer un homme qu'elle ne connaissait guère plus si ce n'est qu'il était un sacré pervers. Elle se fit plusieurs fois la réflexion que si elle avait ne serait ce qu'un gramme d'instinct de survie, elle aurait refusé ce rendez-vous. La seule chose qui la rassurait, c'est qu'il semblait aussi inquiète qu'elle(si ce n'est plus). Une fois en face du restaurant, elle décida d'appeler au numéro qu'elle lui avait donné. Immédiatement, un téléphone sonna. Elle se retourna et vit qu'il s'agissait d'un antique téléphone à touche et qu'il appartenait à un homme assis en terrasse. Il devait avoir une trentaine d'année au physique idéal (la photo sur son profil n'était donc pas truquée.), rasé de prés et habillé d'un costume très chic. Elle sourit avec sincérité (si elle n'avait pas décidé de rayer les hommes de sa vie 3 ans plus tôt, elle l'aurait dragué avec plaisir).

_ Bonjour madame. Je suppose que c'est avec vous que j'ai rendez-vous. (acquiesça) Installez-vous et commander ce que vous voulez. C'est moi qui régale. Dit-il avec timidité.

_ Merci

Je m'assis et parcourus la carte pendant un moment. Je ne me fie pas prié et commanda à la carte les plats qui me faisant le plus envie sans me soucier du prix. Au moins quoi qu'il arrive, j'aurai bien mangé ce soir. Une fois décidé un silence inconfortable se glissa entre nous qu'il brisa en disant.

_ Il fait chaud aujourd'hui. Ça vous a pas trop gêné dans les transports?

_ Non ça va le RER était climatisé.

_ Et vous vous n'avez pas eu trop de bouchons

_ Non j'ai pris le RER aussi. Je n'ai pas de voiture de toute façon.

Mince, j'espère que ce n'est pas un galérien en dèche d'argent. Si c'était le cas, j'allais me sentir mal de lui prendre le peu qu'il avait (encore faut il que j'y parvienne).

Puis nous re-tombimes vite dans le silence. Lui n'était pas visiblement pas plus loquace IRL et moi, je n'arrêtais pas de réfléchir a comment orienter la conversation sur une demande d'argent sans que cela ne paraisse trop suspect. Encore une fois, ce fut lui qui reprit la conversation.

_ Sinon vous aussi vous aimer mass-effect. C'est l'un de mes jeux vidéo préféré.

_ Oui je l'adore. Je dirai même que c'est mon jeu vidéo favoris.

_Moi aussi c'est l'un de mes jeux favoris. Mais il y a tellement de bon jeu que je ne sais pas si je le désignerais comme mon favoris. Perso, je dirais que j'ai été plus marqué par Undertal.

_J'ai beaucoup aimé undertal mais c'est pas comparable. Mass effect c'est une fresque épique sur 3 épisodes à la pointe de la technologie de son époque qui renvoie les star-wars à l'age de pierre alors qu'undertal c'est un jeu excellent mais très limité sur plein d'aspects comme les graphiques.

_ Au contraire perso, je trouve que c'est justement parce qu'il est limité que j'aime encore plus undertal. Arriver à nous retourner le cerveau à ce niveau avec une technique aussi limité, c'est incroyable. Ça renforce la surprise que l'on a la première fois qu l'on y joue. Et puis perso ce que j'aime le plus c'est les histoires et la narration d'undertal éclate celle de mass effect.

S'ensuivit un débat plutôt passionnant sur les jeux vidéo entrecoupé de moment de silence pendant que nous mangions. Je me surpris à trouver que c'était très agréable de parler avec lui de notre passion commune. Mais il était temps d'orienter la conversation sur un autre sujet.

_ J'ai vu que vous aviez écrit une fanfic de mass-effect. Vous êtes écrivain?

Pitié faite qu'il dise non. Si c'est le cas, il est peut-être encore plus fauché que moi.

_ Non ingénieur en informatique

YES!

_Oh! Vous devez bien gagner votre vie?

_ Je suis encore débutant donc la paye est pas énorme, mais j'ai pas à me plaindre.

_ C'est à dire? Bien sûr, si ça vous gêne, vous êtes libre de ne pas répondre.

_ Pour le moment je gagne juste 4 000 euros net par mois après prélèvement à la source. Mais j'ai aussi des primes, un intéressement au bénéfice et divers avantages. Et puis mon salaire va augmenter dans le futur

YES!YES!YES! Ma grande, tu as tiré le gros lot. Il est temps de devenir plus entreprenante.

_ Vous savez j'adore parler avec vous de jeux vidéo, mais j'aurais voulu parler de notre autre passion commune.

Puis je lui murmurai dans l'oreille après lui avoir frotté l'entre jambe avec le pied. :

_J'aimerais bien profiter de mon nouvel esclave.

Tout d'un coup, il était gêné et se contenta de dire.

_ Moi aussi, mais je suis un peu mal à l'aise pour en parler ici.

_ Il faudrait qu'on se parle dans un lieu plus privé. Chez vous par exemple. En plus vu l'heure, ça ne va pas être pratique pour moi de rentrer.

_ heu je ne sais pas. Vous savez chez moi, c'est petit. Je vis dans un studio avec un seul lit simple.

_ Ce n'est pas grave, je me contenterai d'un lit simple.

Je lui murmurai à l'oreille :

_ Et les esclaves ça dort par terre

Cette phrase était risquée, mais elle fit mouche et il accepta de me conduire chez lui.

3. Je prends possession de mon esclave

Après 30 minutes de RER, nous arrivâmes dans une petite ville plutôt jolie. Il me conduisit dans une rue plutôt chic avec des maisons immenses entourées de verdure qui devait valoir très cher et au bout de 15 minutes nous arrivèrent devant un petit immeuble de trois étages. Au fond du hall de l'immeuble, se trouvait un couloir sombre qui donnait sur 6 portes dont une sur un petit studio ou habitait mon bien-aimé. Et quand je dis petit, c'est petit. Le studio devait faire au maximum 15 m² et était pauvrement meublé. Il était constitué de deux-pièces. Une minuscule salle de bain où on avait réussi à caser une douche et un WC et un petit salon équipé du minimum vital : un coin cuisine avec un évier, une table de cuisson et un micro-onde, un lit simple, une armoire, un bureau avec un ordinateur dessus et une chaise de bureau. En bref mis à part l'ordinateur, c'était une cellule de moine. Sur le moment, je me demandai s'il ne m'avait pas menti sur son salaire. Une fois la porte refermée, il déclara :

_Voila, c'est chez moi. C'est petit mais confortable. Et puis j'ai pu l'acheter sans avoir à m'endetter.

J'eu un petit peu peur du ridicule, mais je finis par dire :

_ Est ce que tu trouves que c'est une manière convenable d'accueillir ta déesse chez elle?

Suite à cette phrase, il me sourit et cela dissipa d'un coup mes inquiétudes. Il s'agenouilla alors devant moi et dit :

_ Je suis désolé déesse. Veuillez pardonner au mâle stupide que je suis.

Il m'embrassa les chaussures et rajouta.

_Bienvenue chez vous maîtresse.

En le voyant faire j'eut beaucoup de mal à ne pas rire. Je ne comprenais vraiment pas quel plaisir il pouvait tirer à faire ça.

_ C'est mieux. À partir de maintenant, tu n'es plus un homme, mais mon esclave, ma propriété, ma chose. Tu obéiras à tous mes ordres sans me poser de question.

_oui maîtresse

_ Et dorénavant toi et tout ce que tu possèdes m'appartient.

_oui maîtresse

_Parfait. Maintenant, enlève tes vêtements. Un animal tel que toi ne devrait pas en porter. Et puis je veux examiner ma nouvelle acquisition.

_ Oui maîtresse

Il se releva et devant mes yeux, il s'exécuta. D'un coup de pied, il envoya valdinguer ses chaussures et ses chaussettes. Puis il déboutonna sa ceinture et enleva sans la moindre grâce son pantalon qu'il accrocha sur un porte-manteau. Je vis alors à travers son boxer, qu'il avait une érection. Puis il fit de même avec la chemise. Il était maintenant en sous-vêtement devant moi et je ne pus m'empêcher de reluquer ses magnifiques abdos. Il était déjà beau en photos, mais en vrai, il était carrément existant. Et en plus, il se proposait d'obéir au moindre de mes désirs.

Je me fis une claque mentale. Je n'étais pas là pour ça et je ne devais pas m'attacher à lui.

Finalement, il mit ses pouces dans son boxer et le descendit d'un geste puis le rangea avec les chaussures et les boxer dans un coin de la pièce prévus à cet effet. Je fus alors choqué par son pénis. Il était si petit. Pas qu'il avait un micropénis ou autre problème médical. Il était de taille suffisante, mais c'était le plus petit que j'avais vu. Il se ré-agenouila à quatre pattes devant moi en attendant la suite de mes ordres. Je fut pris une d'une bouffée de désir et sous une impulsion irréfléchis, je lui demandai d'un geste de se relever et je pris son entrejambe entre mes mains et en examinant la taille pendant que je caressais ses sublimes abdos. Il ne fallut pas longtemps pour qu'il entre dans une énorme érection. Malgré cela, elle restait plus petite que la plupart de celle de ses anciens partenaires lorsqu'il était au repos.

_ hum! C'est pas mal. La marchandise est de plutôt bonne qualité. Il y a juste le pénis qui est beaucoup trop petit. J'hésite à demander un remboursement. Et puis tu es affreusement mal dressé. Est-ce que je t'ai permis d'avoir une érection?

_ Excuser moi déesse. Pour empêcher cela, votre esclave est livré avec deux accessoires. Une cage de chaste et un collier. Souhaitez-vous que l'esclave les mette.

Voilà qu'il parle de lui à la troisième personne. J'ai l'impression que ça ne lui fait pas que du bien de réaliser ses phantasmes.

_ Bien sûr. Il est hors de question que tu sois libre de faire ce que tu veux de cette petite chose.

Il se dirigea vers l'armoire et en sorti une petite cage noire et un collier. Il enfila un collier de chien autour de son cou puis la cage avec difficulté et me remit un collier contenant les clés que j'enfilai autour de mon coup.

_C'est beaucoup mieux comme ça, tu ne trouves pas?

_ Oui déesse. Que faisons-nous maintenant?

_ Moi rien je vais aller me coucher. Je suis fatigué de ce long voyage. Toi par contre tu dois remettre ton offrande du jour à ta déesse. Si elle est suffisante, je t'autoriserai à me lécher les pieds avant que je ne m'endorme. Sinon je te punirais.

Il me remit alors comme convenu un billet de cent euros qu'il sortit de la poche du pantalon qu'il portait plus tôt.

_Ceci est une offrande suffisante. Suffisante mais bien mince. En fait, elle est limite insultante. Ta maîtresse ne mérite t'elle pas plus que le minimum vital. Ton manque de dévotion ne mérite pas d'être récompensé. Peut-être que demain, tu seras serviable.

Puis sans un mot, je me mis en sous-vêtement et m'endormis dans son lit pendant que lui s'allongeait sur le sol dur et froid. Je le regardai un moment. Il se retournait souvent probablement en quête d'une positon confortable. Il n'avait de toute évidence jamais dormi par terre de toute sa vie. Et il tirait aussi de temps en temps sur le collier. Cela devait être très inconfortable. Curieusement, je trouvais cela assez existant, mais j'espérais néanmoins qu'il n'allait pas changer d'avis.

4. Nouvelle journée avec mon esclave

Tutututututu

_ Putain de téléphone, tu vas t'éteindre. Entendis-je quelqu'un s'exclamer à travers mon esprit embrumé par le sommeil.

Je m'alarmai alors et me redressai d'un bon. Que faisait ce type chez moi? Je le sentis alors se déplacer jusqu'à la fenêtre et ouvrir légèrement les volets et un peu de lumière pénétrât dans l'appartement et mon regard se concentrât sur ses fesses sublimes qu'il affichait sans la moindre once de pudeur. Il se retourna et dit :

_Désolé de vous avoir réveillé maîtresse. Je dois me préparer pour aller au travail. Vous souhaitez quelque chose?

Je m'alarmai alors et me redressai d'un bon. Je n'étais plus habitué à me lever tôt le matin et mon cerveau fonctionnait au ralenti. Désireux qu'il s'en aille, je dis négligemment.

_ Non fait comme tu en as l'habitude en silence et vas travailler. Esclave (rajoutais-je au bout d'un moment).

_ Oui maîtresse. Dit-il timidement.

Il se mit alors à genou et commença à faire des pompes par terre et en silence. Puis au bout de 5-10 minutes, il s'accrocha à une barre fixée au mur et commença à faire des tractions. Malgré moi, je ne pus m'empêcher de le regarder et de trouver cela incroyablement sexy (surtout quand il commença à transpirer). Quand il vit que je le matais, j'eus le réflexe de cacher mon regard, mais je me repris. Je n'avais pas à me sentir gêné. J'étais la maîtresse et lui l'esclave et je pouvais faire tout ce que je voulais sans me soucier de ses sentiments. Bon en fait, je devais surtout accomplir ses fantasmes sans me soucier d'à quel pont je trouvais ça ridicule ou dérangeant, mais ça ne voulais pas dire que je ne pouvais pas faire certaines choses pour moi. Je me mit donc à le mater ouvertement et lui redoubla d'efforts comme pour m'impressionner. Au bout d'un moment que je trouva trop court, il s'arrêtât et partit dans la minuscule salle de bain et j'entendis très vite le bruit de l'eau qui coule dans une douche. Puis il sortit encore mouillé de la minuscule salle de bain, se sécha rapidement. Après avoir semblé hésiter à me dire quelque chose, il retira le collier de chien, mais garda la cage de chasteté et s'habilla de nouveau en costume avec une chemise propre sorti de l'armoire.

Il semblait sur le point de partir, mais il se tenait là visiblement en plein débat intérieur. Je me demandais ce qu'il attendait pour partir et me laisser enfin tranquille. Je n'avais plus vraiment sommeil, mais j'avais hâte de ne plus avoir à jouer la comédie et de pouvoir être moi-même. Et aussi d'utiliser les toilettes et il était hors de question que je fasse cela devant lui.