Une Gentille Sissy 05

Chapitre 5: une sissy

Axel finissait de préparer le petit déjeuner quand Wendy fit son apparition dans la cuisine.

-"Tu as bien dormi après notre petite soirée? lui demanda-t-elle, "tu sais, les filles et moi voulions te montrer que nous t'aimons, parce que tu donnes envie qu'on t'aime". Et elle l'attira à elle pour l'embrasser.

-"Oh Wendy, oui, merci, tu es tellement gentille".

-"Et, au fait, as-tu satisfait tes besoins "naturels", ce matin?

-"Je...Euh, oh oui", fit Axel en rougissant.

-"Parfait. Alors file prendre ta douche mais ne te rhabille pas après. Attends-moi".

Lorsque Axel eut terminé ses ablutions, il fut rejoint par Wendy. Elle s'était débarrassée de son peignoir et ne portait qu'une culotte tanga couleur pêche.

-"Mets toi à quatre pattes, ma chérie, oui, dans la douche, ça sera plus approprié. Parfait. Je vois que les rougeurs sur tes fesses ont disparu. Les filles étaient très excitées hier soir. Il faut dire que te donner la fessée était plutôt agréable. Tu as aimé la recevoir?"

-"Oh oui", exagéra Axel, "ce qui vient de toi est toujours un plaisir".

-"Bonne petite". Et Wendy lui flatta un instant la croupe avant d'ajouter: "Présente-moi bien ta chatte, offre-toi au maximum. Voilà, c'est très bien". Puis elle lui enduit l'anus d'une crème onctueuse avant d'y insérer une canule. Axel poussa un petit cri de surprise.

-"C'est agréable, n'est-ce pas? Évidemment, moins que les deux doigts de Tina hier soir, mais pour l'instant, il s'agit juste de t'administrer un lavement. Une question d'hygiène quotidienne. Une jeune fille, ou plutôt une sissy comme toi se doit d'être propre, disponible pour qui a besoin de l'utiliser. Ça peut être moi ou les filles, évidemment mais aussi peut-être, dans l'avenir, pourquoi pas, un garçon".

-"Un garçon? Mais je...

-"Oui, je sais, comme moi, tu préfères les filles, mais une sissy ne choisit pas, mon chou. Ta bouche et ta fente sont au service exclusif de ta maîtresse ou de ton maître. Parfois des deux en même temps. Tu es à leur disposition. Ta nature t'amènera même à apprécier le goût de la bite, j'en suis sûre. Évidemment, je préfèrerais te voir en couple avec une autre sissy. Ce serait si mignon. Mais on ne choisit pas".

A ce moment, Axel sentit un liquide tiède envahir son ventre. Il gémit doucement.

-"Voilà, expulse-le maintenant. Très bien. La couleur est claire, c'est parfait. Si ça n'avait pas été le cas, il aurait fallu recommencer. L'eau que tu évacues doit être claire. Je te le dis pour dans quelques jours, lorsque tu te l'administreras toi-même. Dans un premier temps rassure-toi, les filles ou moi nous en occuperons. Et je te le répète, c'est une hygiène de tous les jours". Wendy lui donna ensuite une petite douche à cet endroit précis puis le sécha. Elle lui passa enfin une crème hydratante au léger parfum de vanille sur le visage et tout le corps, en insistant avec malice sur ses parties génitales.

-"Voilà, maintenant nous allons t'habiller. Je t'ai préparé une tenue qui devrait te plaire.

Sur son lit, Axel découvrit un tanga couleur chair, une robe d'été en coton, fluide, d'un joli rose poudré, avec des manches courtes et un col Claudine. Lorsqu'il l'eut enfiée, la robe lui arrivait à mi-cuisses.

-"Ni trop court, ni trop long, c'est parfait," commenta Wendy. Puis elle compléta la tenue avec des socquettes blanches à revers, des ballerines vernies assorties à la robe, un petit sac à main en cuir blanc pouvant être porté à l'épaule grâce à une longue chaîne dorée et un jonc, doré lui aussi, qu'elle lui passa au poignet. "C'est parfait, ma chérie, une vraie princesse. Viens, allons voir les filles."

Louison et Tina prenaient leur petit déjeuner. A l'arrivée d'Axel elles s'exclamèrent:

-"Nous ne savions pas que nous avions une princesse à la maison!"

-"Quasiment une fée" précisa Wendy

-"Oui, mais une fée coquine", ajouta Tina en glissant sa main sous la robe d'Axel.

-"Tina, voyons, ce n'est pas la peine d'exciter cette petite!"

-Tu as raison, avec cette robe, ça se verrait".

Et toutes, y compris Axel, éclatèrent de rire.

-"Tu vas déjeuner maintenant ma chérie, ensuite nous avons rendez-vous chez l'esthéticienne et la coiffeuse." Et Wendy sortit du réfrigérateur une coupelle de fromage blanc qu'elle nappa de miel

-"Mmm... C'est bon,," fit Axel après sa première cuillerée. "C'est drôle, c'est sucré et un peu salé en même temps".

-" C'est normal, ma chérie. C'est un fromage brassé auquel j'ai ajouté ton sperme d'hier soir. Il y en avait beaucoup. Et il faut que tu commences à t'habituer au goût, on ne sait jamais", ajouta-t-elle avec un clin d'œil. L'idée qu'il se régalait de son propre sperme parut étrange à Axel. Mais il sentit qu'à terme, il pourrait facilement apprécier ce goût. Et puis Wendy savait très certainement ce qui était bon pour lui. Il finit consciencieusement son bol sous les applaudissements des filles. Il était flatté.

-"Un peu de poitrine ne serait pas de trop", dit Louison qui le détaillait.

-"Je suis bien d'accord", concéda Wendy, "mais pour démarrer un traitement hormonal, je préfère avoir l'accord de sa tante, Zara. Elle sera là le prochain week-end, je lui en parlerai". Puis, changeant de sujet, elle dit avec entrain, s'adressant à Axel: "allons nous faire belle, mademoiselle!"

Charlène, l'esthéticienne, était une amie - et une amante occasionnelle - de Wendy. Cette dernière l'avit mise dans la confidence pour ce qui concernait Axel.

-"Qu'allons nous faire à cette jeune fille?" demanda-t-elle à Wendy.

-" Et bien, maillot et aisselles. Pour le reste elle est complètement imberbe, mais même si elles ne sont pas très fournies, ces deux zones-là sont un peu disgracieuses, évidemment".

-Maillot intégral? Toute lisse, pas de "ticket de métro?"

-"Non. Toute lisse, bien sûr".

-"Je vais faire une épilation à la cire. Elles sera tranquille un bon mois. Ensuite, en fonction de la repousse et si tu le souhaites, nous pourrons envisager une épilation définitive au laser. Mais il faudra plusieurs séances".

-"Ça pourrait être une bonne solution. Mais commençons par la cire aujourd'hui. Et puis j'aimerais bien que tu lui fasses un vernis permanent mains et pieds. Dans les mêmes teintes que sa robe, si possible".

-"Pas de souci, elle sera toute belle. Allez, on se déshabille, mademoiselle!

Lorsqu'il fut nu, Charlène saisit délicatement son pénis. "Quel petit clitty, c'est trop mignon!"

-"Oui, et lorsqu'il est tout raide, il ne dépasse pas six centimètres ".

-"Une vraie sissy!"

-"Tu as bien raison", sourit Wendy en regardant tendrement Axel.

Chez la coiffeuse, Wendy choisit pour lui un carré court effilé avec une frange dégradée. Elle pensa qu'Axel y gagnerait en malice et en féminité. La coiffeuse complimenta sa jeune cliente: "Quelle jolie robe, ma chérie", puis, s'adressant à Wendy : "C'est votre petite soeur? Quel âge a-t-elle?"

-"Non, ma nièce. Elle aura bientôt quatorze ans" répondit spontanément Wendy. Axel ne laissa rien paraître de son étonnement. Et bizarrement, le fait que Wendy le présente comme une pré-ado lui fit plaisir, au final. Il se trouvait plus légitime dans son sentiment d'appartenance. Il décida qu'il serait ce qu'elle voulait. Sa nièce, sa chérie, son petit animal de compagnie, sa poupée sexuelle, sa chose, sa sissy.

-"Un pied dans l'enfance, un autre dans l'adolescence", commenta la coiffeuse

-"Oh, vous savez, elle est encore très enfant.

-"Oui, on voit qu'elle est sage. Certainement une bonne éducation".

-"Nous n'avons pas à nous plaindre. Et puis, son éducation n'est pas terminée", répondit Wendy (qui pensait avec perversité aux apprentissages à venir pour Axel)

-"Bien sûr, comme vous l'avez dit, elle n'a que treize ans."

Quand la coiffeuse eut terminé, Axel s'admira avec émerveillement. Il était cette jeune fille ravissante, à la fois candide et secrètement coquine. Wendy demanda un maquillage "léger" pour sa nièce et Axel eut droit à un rouge à lèvres rose pastel et un peu de blush sur les joues. Elle compléta son look par l'achat d'un serre-tête à motifs de cœurs roses.

-"Satisfaite?" Demanda la coiffeuse.

-"Oh, oui madame. C'est merveilleux. Merci infiniment."

Wendy se demanda si Axel n'en faisait pas un peu trop, mais en voyant ses yeux briller, conclut que la sissy en lui était en train de l'emporter.

-"Quelle jeune fille polie, c'est si rare", songea la coiffeuse, émue.

Dans la rue, Axel se serra dans les bras de Wendy pour la remercier. Elles s'embrassèrent langoureusement à l'ombre d'une porte cochère.

-"Ma chérie, je t'avais dit que je prendrais soin de toi. Rentrons, maintenant".

A la maison Axel fut accueilli avec admiration par Tina et Louison.

-"Wendy, c'est magnifique! Le papillon sort de sa chrysalide. Quelle beauté!"

-"Oh, vous savez, Axel a une prédisposition naturelle au charme".

Sous les compliments, le garçon se tordait les doigts en rougissant

-"Elle fait sa timide. C'est encore plus excitant!"

-"Dites, il est onze heures, on ouvre à treize heures trente. On pourrait se faire une séance "piscine", et pendant ce temps-là Axel nous préparerait un en-cas dont elle a le secret", proposa Tina.

-"Excellente idée", enchérit Wendy. Puis, s'adressant à Axel: "Mets-toi à l'aise, ma chérie, quitte ta robe pour ne pas risquer de la salir et enfile ton joli tablier. Je te ferai une liste de courses pour cet après-midi. Il y a un vélo dans le garage et la supérette est à deux pas. En attendant tu devrais pouvoir trouver ce qu'il te faut dans le frigo pour nous préparer à manger. Tu nous serviras au bord de la piscine".

-"Oh oui, merci Wendy. Je vais essayer de vous préparer quelque chose de super!

Et Axel passa dans sa chambre pour se changer. Il revint vêtu de son tablier de service.

-"Mais, vilaine, tu as gardé ta culotte!" S'exclama Wendy, moqueuse, en lui donnant une claque sur les fesses. "Veux-tu bien la quitter! Je t'ai demandé de te mettre à l'aise sous ton tablier".

-"Excuse moi, Wendy. Pardon. Je suis sotte, je n'avais pas pensé...

-"Ça n'est pas grave, ma chérie", l'interrompit Wendy. "Tu n'as pas à penser, je le fais pour toi. Tu as juste à obéir. Mais à partir de maintenant, pars du principe que, sauf indication contraire de ma part, quand tu es à la maison, tu restes nue.Tina, Louison et moi devons pouvoir disposer de ton clitty et de ta fente quand nous le désirons. Je t'ai parlé ce matin des devoirs d'une sissy envers sa maîtresse ou son maître.

-"Oh oui, Wendy. Je suis vraiment bête.

-"C'est bien de le reconnaître, ma chérie, c'est vrai, tu es une petite sotte. C'est ta nature de sissy. Et c'est pourquoi je te pardonne. Je vais être plus claire pour que tu comprennes bien: quand tu iras faire les courses, cet après-midi, quand nous serons parties à la boutique, tu ne mettras que ta robe. Rien dessous.Et tu l'enlèveras quand tu seras de retour. Cette consigne reste valide jusqu'à vendredi, jour de l'arrivée de ta tante. T'u ne porteras à nouveau de sous-vêtements qu'à cette occasion."

En alternant câlineries, gestes affectueux et autorité soudaine, Wendy déroutait Axel, affirmait son emprise sur lui, gommait sa personnalité. C'était l'un des moyens pour réussir une bonne sissyfication.

La piscine était située au centre de l'ensemble résidentiel, ceinturée par les dix-huit maisons qui le composaient. Elle était circulaire, et quinze mètres la séparaient de chacune des demeures. De la fenêtre de la cuisine, Axel pouvait voir les filles papoter au bord de l'eau, à l 'ombre d'un parasol. Il leur prépara une salade - cubes de melon, prosciuto, billes de mozarella, salade romaine et grains de raisin muscat - qu'il partagea dans trois grands bols et déposa sur un plateau. Il s'arma de courage, vêtu de son seul tablier, pour franchir l'espace le séparant de la piscine, pensant que ses fesses nues seraient la cible de tous les regards. Mais les maisons directement voisines avaient leurs volets fermés et il pensa avec soulagement que leurs occupants n'étaient pas encore arrivés, le grand rush des vacances étant prévu pour le samedi suivant. Lorsqu'il arriva au niveau de Wendy et de ses amies, il s'aperçut qu'elles avaient été rejointes par deux jeunes filles - dix-huit ans peut-être - qu'il reconnut aussitôt. C'étaient celles qui avaient assisté en riant à son réveil confus sur la plage, deux jours plus tôt.

-"Axel, viens ma chérie" lui dit Wendy, "je te présente Cindy et Sheila, elles habitent en face, de l'autre côté de la piscine, et travaillent pour la saison à la boutique de piercing et onglerie, juste à côté de "Frivolités". Puis, s'adressant aux deux filles:"voici Axel, notre petite domestique. Elle est débutante mais motivée et efficace. Si vous avez besoin de quoi que ce soit cet après-midi, je sais que votre échoppe n'ouvre qu demain, n'hésitez pas à la solliciter". Toujours tenant son plateau, Axel inclina légèrement le buste en un semblant de révérence:"Bonjour mesdemoiselles, je serai enchantée de vous rendre service".

-"Nous avons vu votre petite bonne samedi, en fait", fit Sheila en adressant un discret clin d'oeil à Axel. "Elle se faisait bronzer sur la plage".

-"Oui, je lui avais conseillé, lorsqu'elle aurait fini ses tâche ménagères, de profiter du soleil. Mais, j'y pense, voudriez vous qu'elle vous prépare un petit quelque chose à manger?

-"Volontiers, ça semble délicieux", dit Cindy en observant le plateau qu'Axel, sur un léger signe de tête de Wendy, avait déposé sur une table basse".

-"Axel, mon chou, y aurait-il de quoi préparer deux autres salades pour Sheila et Cindy?"

-"Bien sûr Wen... Euh, Madame Wendy", dit-il en rougissant, conscient de la déférence qui s'imposait au vu de son nouveau statut de "domestique". Derrière lui, Tina pouffa légèrement.

-"Et bien, ne perds pas de temps, file à la cuisine, ma chérie".

Axel s'exécuta et, se retournant, exhiba son postérieur nu aux cinq filles. Il crut entendre Cindy s'exclamer:"Quel joli petit cul!"

En préparant les deux salades supplémentaires, il eut une érection. Il ne pouvait se détacher de la vision de Cindy et Sheila et de leurs strings minuscules constitués d'un unique galon couleur chair, qui, à l'avant, disparaissait entre leurs grandes lèvres proéminentes pour réapparaître à l'arrière en haut de leur sillon fessier. Il était fixé à une petite chaînerre dorée qui faisait le tour de leur taille à hauteur des hanches. Lorsqu'il revint les servir, il eut beaucoup de mal à ne pas laisser paraître son trouble. D'autant que les deux jeunes filles croisaient et décroisaient les jambes tout en parlant, manifestement à son intention. Le manège amusa beaucoup Wendy, Tina et Louison.

Les filles parties, il s'accorda une pause déjeuner, un demi-pamplemousse et une banane, qu'il s'amusa quelques instants à sucer, comme Wendy lui avait montré. Puis il substitua sa jolie robe rose au tablier, sortit le vélo et, muni de la liste que les filles lui avaient donnée, partit en direction de la supérette. Ses courses effectuées, il reprit son tablier et entreprit de confectionner des brochettes qu'il comptait cuire, le soir, à la plancha. Blancs de poulet, quartiers de citron, morceaux de poivrons, fines herbes, thym et filet d'huile d'olive. Il venait juste de terminer lorsqu'on sonna à la porte. Il se préparait à remettre sa robe pour aller ouvrir quand il se rappela la consigne de Wendy, "à la maison, tu restes nue". Et si c'était elle? C'est donc vêtu de son seul tablier qu'il ouvrit à... Sheila et Cindy.

-"Axel, c'est ça?" Questionna Cindy. "Wendy nous a dit d'utiliser sa machine à laver. La nôtre a un problème et le dépanneur ne peut venir que demain". Les deux filles avaient apporté un ballot de linge qu'elles lui tendirent. "Merci. Je vais m'en occuper, mademoiselle Cindy", fit poliment Axel. "Evidemment", répondit Cindy en levant les yeux au ciel. Et, suivie de Sheila, elle se dirigea vers la lingerie. Axel avait tout d'abord secrètement espéré qu'elles repartent après lui avoir confié leur lessive, puis il se reprocha cette pensée. Cindy et Sheila étaient des personnes qui lui étaient supérieures. Des femmes véritables. La sissy en lui décida aussitôt de les aimer.

-"Quel programme dois-je utiliser pour le linge, mesdemoiselles?"

-"Un cycle de vingt minutes devrait suffire, ce n'est pas du linge très sale.

-"Parfait". Et alors qu'elle se penchait sur le hublot de la machine, elle sentit une main caresser sa croupe offerte.

-"Cette bonniche a un sacré cul", commenta Sheila.

-"Oui, et apparemment, elle aime le montrer. A la plage, à la piscine, et maintenant dans la maison de sa patronne. Quelle petite vicieuse!"

Et Cindy agrémenta son commentaire d'une claque sèche sur les cuisses d'Axel.

'"Tu es une vicieuse, n'est-ce pas?"

Axel choisit la réponse qu'attendait Cindy: -"Oui mademoiselle, une petite vicieuse"

-Et bien, nous allons en profiter. Nous avons vingt minutes devant nous. Le temps de bien nous amuser avec toi. Viens au salon".

Sheila les y avaient précédé et achevait de se déshabiller. Elle s'installa sur le canapé et écarta les jambes. "Allez, la bonniche, à quatre pattes! Viens me laper la chatte, tu m'as trop excitée." Axel s'exécuta, mettant tout son savoir-faire au service du vagin de la jeune femme. Derrière elle, Cindy s'était munie d'une règle métallique et commença à en asséner des coups sur son postérieur. "Alors, cochonne, on aime montrer son cul? Moi je dis que ça mérite une bonne correction Tu n'es pas d'accord?"

-"SI, mademoiselle, vous avez raison".

A ce moment, Sheila fut agitée des spasmes annonciateurs du plaisir. Elle jouit en gémissant, le visage d'Axel pressé entre ses cuisses. Cindy cessa alors ses coups sur les fesses du garçon qui s'étaient colorées d'un beau rouge. "A mon tour maintenant" s'exclama-t-elle en prenant la place de Sheila. Et Axel reprit avec la chatte de la jeune femme le travail commencé sur celle de son amie. Ses fesses étaient en feu et son érection, douloureuse. Sheila à ce moment, s'empara des testicules du garçon qu'elle pinça, tira violemment vers l'arrière et gifla, de manière alternative. Puis elle s'en prit à son. pénis de la même manière. "Non seulement elle nous montre son cul, mais en plus, cette co honne est en train de bander!" Enfin Cindy jouit à son tour et les festivités cessèrent.

"Le cycle de lavage est terminé, va chercher notre linge, nous le ferons sécher à la maison" ordonna Sheila.

Au moment de partir, Cindy emprisonna les testicules douloureuses d'Alex dans sa main en les serrant. "Tu as aimé être notre truie, n'est-ce pas? Et enfoncer ton groin dans nos chattes?"

-"Oh oui, beaucoup, mademoiselle Cindy. Et vous avez eu raison de me corriger" répondit Axel dont la voix n'était plus qu'un gémissement. Sheila, quant à elle, pinça les tétons du garçon: "Au revoir bonniche. Et à bientôt pour un nouveau traitement, j'espère".

Lorsqu'elles furent parties, Axel fit longuement couler de l'eau froide sur ses parties génitales avant de leur appliquer une crème apaisante. Puis il s'allongea sur son lit en ce demandant si de "vicieuse", "cochonne" ou "truie", quel était le terme qui lui correspondait le mieux.

Lorsque Wendy et les filles arrivèrent de la boutique, elles le trouvèrent en train de dresser la table - nu évidemment - à l'extérieur, côté jardin. Le repas fut un bon moment de convivialité, les filles se régalèrent de ses préparations et lui-même se régala de leurs trois minous avant d'aller se coucher.