Une Gentille Sissy 04

Chapitre 4: Une soirée

Axel s'éveilla avec le regard de Wendy posé sur lui. Elle lui souriait.

-"Tu es tellement ravissante dans ce deux-pièces, ma chérie... A partir de maintenant et pendant la durée de ton séjour, j'aimerais que tu me laisses choisir tes tenues quotidiennes."

Et, ne lui laissant pas le temps de répondre, elle continua:

- Évidemment, après les vacances, ta tante prendra le relais, je lui en parlerai si tu veux. Pas besoin de te compliquer la vie à chercher comment t'habiller chaque matin. Elle comme moi nous en chargerons avec plaisir."

Interloqué, les idées encore embrumées, pris au dépourvu au sortir de sa sieste, Axel ne sut que répondre sur l'instant. Il était partagé entre le désir de garder son indépendance vestimentaire - il avait dix-neuf ans, après tout - et celui de faire plaisir à Wendy. Elle possédait un goût si sûr!

-"Je prends ça pour un oui. Tu verras, j'ai plein d'idées pour toi. Allez, à l'eau maintenant. Allons rejoindre les filles!"

Un peu plus tard, alors qu'elles se séchaient au soleil, Wendy reprit:

-"Si tu veux rentrer plus tôt à la maison pour avoir le temps de préparer le dîner, ne te gêne pas. Les filles et moi allons bronzer encore un peu. J'ai fait quelques courses, tu verras. Je les ai déposées au frigo avant de descendre à la plage. Il y a de quoi préparer un gratin de courgettes, avec des œufs, des dés de jambon, du gruyère."

-"Oh bien sûr, Wendy, tu as raison, il est déjà dix-sept heures. J'y vais." Lui répondit Axel.

-"Allez file, chérie", sourit Wendy en lui donnant une petite tape sur le sexe.

De retour à la maison, il mit sa serviette à sécher sur un fil et entreprit de cuisiner. Il venait de terminer sa préparation culinaire quand son téléphone sonna:

-"Axel, comment vas-tu?"

C'était sa tante, Zara.

-"Bien, tantine. Il fait beau et les copines de Wendy sont formidables".

-"C'est parfait. Dis-moi, ton amie vient de m'appeler. Elle me dit que tu souhaites que je m'occupe de ta garde-robe à la rentrée. Comme lorsque tu étais petite. C'est trop mignon. Et c'est une belle preuve d'amour envers moi. Merci, mon petit cœur."

-"Euh, je... De rien, tantine".

-"Allez, je t'embrasse. Je passerai vous voir le week-end prochain".

-"Bisou, tantine".

Avait-il vraiment demandé à Wendy de faire en sorte que sa tante s'occupe de l'habiller à la rentrée? Il n'était plus sûr de rien. C'est à ce moment que les filles arrivèrent de la plage.

-"As-tu pu faire ce que tu voulais?", Questionna Wendy.

-"Oui, le plat est prêt. Je n'ai plus qu'à le passer au four. Vingt-cinq minutes de cuisson."

-"Parfait. Ça nous laisse le temps de prendre une douche et même l'apéritif. Tu nous serviras la même chose qu'hier soir".

-"D'accord, Wendy".

-"Oh, je vois que tu as gardé ton maillot. Je suis contente que tu l'aimes mais tu devrais le quitter pour cuisiner, tu le laveras plus tard, avec les nôtres. Je vais te passer quelque chose de plus approprié ".

Et tandis qu'il se séshabillait, sous les yeux amusés de Tina et Louison, Wendy lui enfila un tablier de cuisine blanc à volant qu'elle noua autour de ses reins. Le tablier, court, couvrait à peine ses testicules. Wendy les soupesa et dit:

"Bien, je vois qu'elles sont pleines à nouveau, c'est parfait". Puis les filles et elle montèrent à l'étage en riant.

Nu, les fesses offertes, vêtu simplement d'un tablier de cuisine, Axel enfourna son gratin dans le four qu'il avait mis à chauffer. Quand les filles redescendirent, en peignoir, leurs cocktails les attendaient. Lorsque Wendy s'assit sur le canapé, aux côtés de Louison, son peignoir s'entrouvrit légèrement, dévoilant un instant sa nudité à Axel. "Ma chérie," lui dit-elle, "voudrais-tu me passer mon daïquiri?" Ce qu'il fit. Mais au moment où il se tenait près d'elle, elle lui caressa les fesses. ""Reste un peu s'il te plaît". Il tenta de contrôler son érection naissante mais la main de Wendy se fit plus insistante. Son tablier commença à se soulever, révélant ses testicules. "Oh les jolies cerises", s'exclama Louison en les prenant à pleine main. "Elle bande encore", commenta Tina, "il va falloir faire quelque chose". "Oui, mais après le repas, commenta Wendy, "passons à table".

Axel se trouvait dans un état second. Il bandait, certes, mais cette situation était humiliante. Pourquoi ne réagissait-il pas? N'était-ce finalement pas le fait d'être humilié qui l'excitait? Le pouvoir de ces trois filles était terrible. Il les servit, coupant des parts de gratin qu'il servit à chacune en subissant leurs caresses insidieuses. "Tu ne manges pas?" Demanda Wendy.

-"N non, j je suis... un peu barbouillé"

-"Peut-être qu'un fruit te ferait du bien?"

Et Wendy prit une banane dans une coupe à fruits. "Tu nous prépares de si bonnes choses. A mon tour de te nourrir. Approche. Ouvre ta bouche." Elle éplucha le fruit. "Ne la croque pas encore, savoure-la avant, suce-la. Voilà, c'est bien"". Et tout en faisant aller et venir, de la main gauche, la banane dans la bouche d'Axel, de la droite elle commença à masturber lentement le garçon. Elle le forçait à simuler une fellation. Étant une lesbienne à cent pour cent, elle n'avait pas l'expérience de cette pratique mais l'avait vue exécuter par des actrices dans les films porno que Tina affectionnait.

-"Est-ce que cette chérie suce bien?" Lui demanda-t-elle. Car Tina était hétéro et amatrice de fellations.

-"C'est une débutante, mais prometteuse. Avec un peu d'expérience, elle fera jouir de grosses queues", lui répondit Tina.

Axel était complètement désorienté. Il n'avait jamais eu de relation sexuelle avant sa rencontre avec Wendy, mais n'était attiré que par les filles. Et le langage de Tina le choquait.

-"Voyons, Tina", fit mine de la gronder Wendy.

-"Oh, excuse-moi, ma petite chérie. Je ne voulais pas te choquer. Je ne sais pas ce qui m'a pris" dit Tina en s'approchant. Et elle se mit à caresser le postérieur d'Axel, glissant un doigt inquisiteur entre ses fesses. Axel songea qu'il pardonnait volontiers la jeune femme.

-"Bon, à table à présent, finis ta banane, mon chou" dit Wendy en relâchant le sexe d'Axel.

Les sentiments d'Axel étaient mêlés. Les filles lui avaient bien fait comprendre qu'il faisait partie de leur petit groupe, mais, en même temps, il avait besoin de se sentir choyé par elles. Choyé et protégé. Comme un enfant. Il ne voulait pas les décevoir. Il appréciait leur autorité sensuelle et commençait à penser que c'est dans l'obéissance absolue (ainsi qu'avait commencé à l'éduquer Zara) qu'il trouverait sa voie et se réaliserait. Il débarrassa la table sur cette pensée optimiste.

Wendy quant à elle songeait combien les choses avaient évolué en quarante-huit heures. Le samedi matin elle avait accueilli un "petit ami", et le dimanche soir elle disposait d'une adorable poupée sexuelle et domestique malléable à merci. La sissyfication était en bonne voie et elle n'en aimait que plus sa "petite chérie".

Elle alla la rejoindre à la cuisine et, profitant du fait qu'Axel était penché sur le lave-vaisselle, se plaqua contre lui en retroussant son tablier. Axel gémit et émit un petit couinement lorsqu'elle lui saisit les testicules. "Viens nous rejoindre au salon, ma chérie, tu finiras de ranger plus tard. Nous avons à discuter". Axel la suivit docilement. Elle reprit sa place dans le canapé et lui détacha son tablier. Il se retrouva nu, en érection, devant ses trois amies qui l'observèrent en souriant et avec gourmandise. "Nous sommes entre nous ", commença Wendy, "pas de fausse pudeur. Tu as un corps ravissant, tu peux en être fière. Nous t'encouragerons toujours à te rendre désirable. C'est un premier point. Ensuite, je te demanderai de ne plus te caresser qu'en notre présence et avec notre autorisation. Je pense que tu apprécieras que nous contrôlions tes pulsions. Ce sera, d'une certaine façon, plus excitant pour toi; je ne souhaite que ton plaisir, ma chérie". Axel était Interloqué. Il ne savait que répondre. Wendy s'amusa de son étonnement et ajouta: "mais rassure-toi. Dans les jours à venir, nous t'apprendrons une autre manière de trouver du plaisir. Tu n'éprouveras même plus le besoin de toucher ton clitty. En attendant, ce soir, nous t'accordons encore la possibilité de jouir d'une façon classique, mais..."

-"C'est nous qui allons te traire!" S'exclama Tina.

-"Exactement", ajouta Wendy. "Mets-toi à quatre pattes, c'est la position appropriée quand on est une petite femelle en chaleur!" Louison et Tina éclatèrent de rire. "Penche-toi, ta joue doit toucher le sol. Et cambre-toi, offre nous ton joli cul. Ecarte bien les cuisses". Dans ce ton soudainement autoritaire, cette vulgarité des mots employés, l'humiliation de cette position demandée, Axel ne reconnut plus Wendy. Où était cette jeune femme qu'il aimait et qui lui avait tant apporté? Mais il lui obéissait, se cambrait et écartait les cuisses. Et puis il se rappela qu'elle lui avait dit ne vouloir que son plaisir. Ces débordements, ces excès dans le langage n'étaient sans doute qu'une preuve plus forte de son amour pour lui. Il l'en adora soudain d'autant plus. Oui, il se soumettrait, à elle, et aussi à Tina, ainsi qu'à Louison. Il leur appartiendrait, il n'aurait plus à penser par lui-même, si ce n'est pour les tâches qu'elles lui confiraient. Plus de tourments, d'inquiétudes, de questions. Il n'aurait qu'à se tourner vers elles, l'esprit vierge de tout ego. Il voulait être amour et dévotion. Il sentit une main soupeser ses testicules et jouer avec, les malaxant, les faisant rouler l'une contre l'autre. Ce traitement lui arracha de petits cris de plaisir et de douleur mêlés. Et à chaque cri il recevait une claque sonore sur les fesses, ce qui faisait rire les filles. Il était content que le fait de le fesser leur apporte cette joie. Elles l'aimeraient encore davantage. A ce moment, une autre main lui écarta les fesses et deux doigts s'introduisirent dans son anus serré. Il cria et reçut une nouvelle claque, plus forte. Les commentaires fusèrent: "Quelle couineuse!", "Quelle petite chatte, elle est toute étroite", "Oui, mais qu'elle vicieuse de nous la présenter comme ça!", "il faudra l'élargir!" Les doigts allaient et venaient, de plus en plus profondément dans son fondement, la fessée ne s'interrompait plus. Puis il sentit qu'on attrapait son pénis et qu'on commençait à le masturber, de manière frénétique. Un spasme annonciateur de la jouissance le secoua, il entendit Wendy s'écrier :"Louison, le flacon!" Et sentit quelque chose de froid toucher son sexe. Il éjacula à longs traits, se vida, anéanti par la jouissance. Triomphalement, Louison lui présenta un petit flacon de verre à demi rempli d'un liquide blanchâtre. "Ta crème, ma chérie, tu en as tellement donné!" Il réalisa qu'il s'agissait de son sperme. Et il réalisa aussi, il ne l'avait pas vu étant donné sa position, que les trois filles étaient nues. Comme lui. Il se remit à bander. "Va passer ton clitty sous l'eau froide ma chérie", lui dit Wendy, "pour le nettoyer et rafraîchir tes ardeurs. Et regarde tes fesses dans le miroir, le rouge leur va si bien!" Ce qui provoqua à nouveau l'hilarité chez ses amies.

Plus tard, lorsqu'il se coucha, Wendy vint le border et lui souhaiter une bonne nuit. Elle lui avait enfilé un nuisette faite d'un voilage semi transparent et doux au contact. "Dors bien ma chérie, demain matin la boutique est fermée et nous aurons plusieurs choses à faire toutes les deux." Elle caressa sa joue et l'embrassa.