Une Gentille Sissy 06

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Tante Zara passe le week-end avec les filles.
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Partie 6 de la série de 9 pièces

Actualisé 08/25/2023
Créé 07/18/2023
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Chapitre six: Zara

Les jours qui suivirent se déroulèrent sans incident notable. A la demande de Wendy de savoir si il avait pu dépanner Sheila et Cindy, Axel raconta ce qui s'était passé lors de leur venue. Wendy rit beaucoup et caressa gentiment le sexe du garçon. "Pauvre chérie. Je me doutais bien que ces deux filles étaient un peu sadiques. Mais bon, j'imagine qu'une sissy comme toi y a trouvé son compte."

-"Oh, Wendy, je ne me plaindrai jamais de mademoiselle Cindy et mademoiselle Sheila. Elles ont fait ce qu'elles pensaient nécessaire. Ce n'est pas à moi d'en juger".

Wendy apprécia secrètement la loyauté, la franchise et l'humilité d'Axel. En fait, c'est elle qui avait demandé aux filles de tester son obéissance à une autre qu'elle, en leur donnant carte blanche sur le moyen à employer. Et le récit d'Axel corroborait celui de Cindy et Sheila. Axel ne savait mentir. Il devenait la poupée sissy que Zara et elle espéraient.

Après deux autres lavements prodigués par Wendy, le matin du jeudi il se l'administra lui-même, sous le contrôle de sa maîtresse. Le soir même il eut droit à une deuxième traite par Wendy et les filles. Il jouit plus abondamment encore que la fois précédente dans son flacon. Le vendredi, jour prévu de l'arrivée de Zara, Tina vint le réveiller en s'asseyant sur son visage, le régalant de ses sécrétions intimes puis, au petit déjeuner, il eut droit à un deuxième fromage blanc brassé, au goût de sperme plus prononcé et sans miel cette fois-ci. Il apprécia que Wendy veuille parfaire et habituer son palais à ce goût. Elle lui annonça que la fois suivante il aurait droit à un produit pur à cent pour cent. Uniquement de la "crème de bite" ajouta vulgairement Tina qui ne désespérait pas, un jour, d'arriver à l'abreuver à la source. Axel offrit à Wendy en rougissant l'ouvrage qu'il avait réalisé au point de croix et la jeune femme, apparemment émue, lui dit qu'elle le ferait encadrer et qu'elle l'accrocherait ensuite au magasin, au-dessus de sa collection "tenues champêtres".

Zara devait arriver par le train de 19h. Wendy avait demandé aux filles de fermer le magasin. Elle voulait avoir le temps de passer à la maison et habiller Axel pour l'emmener à la gare accueillir sa tante. Elle se disait également qu'elle profiterait du week-end pour - elle ne savait pas encore comment - annoncer à Axel que Zara et elle étaient amoureuses. Il s'agissait de ne pas heurter une jeune sissy aussi sensible. D'autant qu'Axel éprouvait une réelle vénération pour les deux femmes; Zara qui l'avait élevée, éduquée, aimée, avait aiguisé sa sensibilité et sa féminité, et Wendy qui l'avait initiée aux plaisirs du sexe, de la soumission, lui avait révélé sa nature profonde de soumise.

Axel avait profité de sa journée pour faire un grand nettoyage dans la maison. Il avait nettoyé les vitres, fait les lits, épousseté, passé l'aspirateur et la serpillière, lavé le linge en attente qu'il avait ensuite séché, repassé, rangé. Il avait préparé le repas du soir, le pique-nique du lendemain midi pour sa tante et lui, ainsi que le dîner pour toutes les cinq. Il était allongé, nu, sur le ventre, sur l'un des bains de soleil de la terrasse, ses écouteurs dans les oreilles et les fesses se dandinant doucement, presque sensuellement, au rythme de la musique. Il était plongé dans la lecture d'un article qui comparait différentes marques de rouges à lèvres, dans un magazine de beauté acheté à la supérette. Le spectacle était charmant et Wendy déposa un baiser sur chacune de ses fesses. Axel se retourna, surpris, et s'excusa; "pardon Wendy, je ne t'avais pas entendue arriver".

-"Je suis venue t'habiller, ma chérie, nous allons chercher ta tante à la gare".

Dans la chambre d'Axel, Wendy déballa la tenue qu'elle avait préparée pour lui. Elle commença par lui faire enfiler un shorty transparent blanc en tulle, sans couture et dont la découpe remontait à mi-fesses. A l'avant, son clitty, gentiment comprimé par le tissu soyeux était presque invisible.

-"Oh ma chérie, c'est parfait. Mets toi de dos, tourne la tête vers moi, souris, pose tes mains sur les hanches, je vais faire une photo. Voilà, merci".

Ce fut ensuite une jupe plissée courte, en mousseline rose, à taille haute, puis un te-shirt blanc à la coupe ajustée, à col rond, sans manches, qui laissait apparaître son nombril. Wendy compléta la tenue par une paire de socquettes en maille de dentelle, roses, et des escarpins vernis blancs avec des petits talons de 3 centimètres, "pour s'habituer", dit-elle. Puis elle glissa un petit bracelet de perles blanches au poignet d'Axel, lui poudra le nez, déposa du blush sur ses joues et lui maquilla les lèvres d'un joli rose corail.

-"Regarde-toi ma chérie. Qu'en dis-tu?

Axel faillit tomber amoureuse de son reflet à qui elle adressa une légère révérence

-"Oh merci Wendy. Je suis si heureuse!"

-"Alors moi aussi, mon chou". Allons accueillir Zara.

A la gare, la tante d'Alex ouvrit de grands yeux en voyant Axel. Elle lui saisit les deux mains et l'observa avec amour avant de le serrer dans ses bras. "Mon petit cœur, que tu es belle! Et quelle transformation en une semaine", fit-elle en s'adressant autant à Axel qu'à Wendy, à qui elle fit un clin d'œil par-dessus l'épaule du "garçon".

Le repas du soir fut une réussite: brochettes de crevettes et de poulet accompagnées de lamelles d'aubergines et de courgettes marinées et grillées, puis charlotte poire-chocolat. Axel en fut félicité et régala l'assemblée par son enthousiasme. Il était enchanté de sa première semaine de vacances. Tout lui avait plu: la rencontre avec Tina et Louison, la maison, la plage, la séance chez l'esthéticienne, le salon de coiffure, les tenues choisies par Wendy, et même Cindy et Sheila. Wendy déboucha une bouteille de champagne et proposa un toast en son honneur: "à notre gentille sissy!"

Axel débarrassa la table pendant que les filles finissaient leurs coupes en papotant. Il chargea le lave-vaisselle puis vint les rejoindre. "Mais où tante Zara va-t-elle dormir?" S'inquiéta-t-il.

-"Pas de souci ma chérie", lui répondit Wendy. "Elle dormira dans ma chambre. Le lit est assez grand et confortable. Nous ne nous gênerons pas".

Une fois dans leur chambre, Wendy attira Zara à elle, retroussa son tee-shirt et dégrafa son soutien-gorge. Elle avait beau être sa cadette de douze ans, c'est souvent elle qui prenait l'initiative dans leurs joutes amoureuses. Elle saisit les seins de sa compagne, en fit le tour des mamelons avec la langue pour finalement sucer, aspirer, mordiller les tétons durcis. "J'adore tes seins, ma chérie. Je pourrais les manger!"

-"Mmmm... Oh ouiii... Tout ce que tu veux... Mais laisse-moi goûter ta chatte... Ça fait trop longtemps..." Et Wendy laissa Zara plonger vers son ventre... Quelques temps plus tard, après la jouissance, Wendy, en position semi-allongée, jouait avec les boucles de la chevelure de Zara. La joue reposant sur le ventre de sa compagne, cette dernière caressait distraitement avec l'index la vulve de sa maîtresse.

-"Merci ma chérie, tu as fait un travail magnifique avec Axel. La féminisation que j'avais entamée toutes ces années a été sublimée. Une semaine à peine et elle est devenue la sissy dont je rêvais."

-"Tu sais, il ne suffisait de pas grand chose. Et puis Tina et Louison m'ont apporté leur concours".

-"Oui, j'imagine que vous vous êtes bien amusées avec elle".

-"Je ne vais pas entrer dans les détails, tu es sa tante, après tout, mais disons que, sexuellement elle est très douée, motivée et endurante".

-"Et docile, j'imagine ".

-"Oh oui, une véritable poupée vivante".

-"Je l'imagine. De toutes façons, l'aspect sexuel est primordial dans la sissyfication et pour ça, je ne pouvais compter que sur toi".

-"A terme, il va quand même falloir lui apprendre notre relation. Je veux pouvoir t'aimer sans me cacher d'elle. Mais elle a beau nous être soumise, j'ai peur de la blesser en lui apprenant".

-"L'déal serait qu'elle rencontre une sissy comme elle. Quelqu'un de son âge qui est passé par les mêmes étapes et qui la comprendrait. Lui trouver une histoire d'amour... Mais j'ai peut-être une idée! J'échange depuis quelques jours sur un site dédié avec une femme qui éduque son beau-fils de vingt ans, Kimi, comme j'ai pu éduquer Axel. Nous comparons nos méthodes. Il faudrait que..."

Zara s'abîma dans ses pensées.

-"Et aussi, pour parfaire l'aspect "physique" de la chose, je pense qu'il faudrait faire le nécessaire pour qu'Axel développe une vraie poitrine. Ses tétons sont très sensibles, elle en serait heureuse".

-"Oui, mais une hormonothérapie est très longue. Dans un premier temps nous pourrions essayer une augmentation mammaire".

-"De toutes façons, elle n'a pas besoin de deux pamplemousses. Avec son gabarit, deux abricots seraient suffisants". Et Wendy se mit à rire.

-"Oh! Quelle vilaine tu fais. Mais tu as raison, elle serait encore plus charmante. Je vais consulter mon amie Christia, la doctoresse. Elle me conseillera sur les produits à utiliser".

-"Une dernière chose, ma chérie. Dans le cadre du dressage que j'ai mis en place pour les vacances, j'ai obligée Axel à une nudité permanente lorsqu'elle est à la maison. C'est une contrainte humiliante mais le sentiment d'infériorité et le respect qu'elle éprouve envers nous s'en trouve renforcé. Comme tu es là, veux-tu, pour le week-end, que je lui demande de s'habiller?"

-"Non, ne change rien à tes méthodes ou ton programme. Je connais Axel depuis qu'elle a cinq ans et elle n'a rien à me cacher de ce point de vue. Il lui est souvent arrivé, jusqu'à ces dernières semaines de me demander conseil à propos des sous-vêtements féminins qu'elle pouvait porter sous ses tenues masculines pour l'école. Elle les enfilait et les enlevait devant moi pour avoir mon avis. Et puis elle a un joli corps.

-"C'est vrai. Nous l'avons beaucoup utilisé".

-"Coquine! Tu m'excites avec tes allusions. Tu sais que j'ai apporté un double gode, ça te dirait qu'on l'essaie?"

-"Mmm... Je ne sais rien te refuser".

Le lendemain, Axel se leva à sept heures, alla à la boulangerie, en rapporta pain et croissants puis fit sa toilette, lavement compris, et attendit, nue comme a son habitude, le réveil des filles. Elle était plongée dans la lecture d'un article "String ou tanga" dans son magazine beauté, quand Wendy et Zara firent leur apparition. Sa tante l'embrassa dans le cou.

-"Bonjour chérie, tu as bien dormi?

-"Très bien, tantine. Le petit déjeuner vous attend!"

-"Tu es parfaite", lui glissa Wendy avant de lui donner un baiser sur la bouche.

Les deux filles s'installèrent à table et Axel fit le service. Lorsqu'il versa le café de Wendy, il sentit la main de celle-ci caresser doucement l'arrière de ses cuisses. Il se contint pour ne pas entrer en érection devant sa tante. Tina et Louison arrivèrent à ce moment-là et saluèrent le trio. A la demande de Louison, Axel fit griller du pain et lorsque les deux filles furent servies, plus personne n'ayant - provisoirement - besoin de lui, se chargea, avec la permission de Wendy, de vider le lave-vaisselle.

Quand les trois filles furent parties pour l'ouverture de leur boutique et alors que Zara se faisait bronzer sur l'un des bains de soleil du jardin, Axel en profita pour débarrasser, aérer les chambres, faire les lits et lancer un programme de lavage court, pour le linge de ses amies. Il privilégia le fil à linge du jardin pour le séchage de leurs culottes, bas, socquettes, et tee-shirts plutôt que le sèche-linge. Pendant qu'il était ainsi occupé, Zara s'amusa à observer ses petites fesses passer régulièrement dans son champ de vision. Sa nièce (Axel ne serait définivement plus son neveu, en avait-elle décidé) possédait une grâce et une sensualité naturelle qui devait effectivement faire la joie de Wendy et ses amies. Son obéissance, son respect des consignes, sa soumission totale aux désirs d'autrui, sa compréhension des corrections nécessaires qui pouvaient lui être infligées, sa prise en charge complète des tâches ménagères quotidiennes, son plaisir à les accomplir, faisaient de cette "poupée vivante", comme l'avait qualifiée Wendy, une parfaite sissy. Elle en était émue et cherchait comment annoncer à Axel sans la faire souffrir, le lien qui l'unissait à Wendy. Elle se connecta à internet via son smartphone et, sur le site dédié aux tgirls qu'elle fréquentait contacta la belle-mère de Kimi, la jeune sissy qu'elle avait évoquée avec Wendy.

-"Bonjour Mona, comment vas-tu? Toujours satisfaite de Kimi?"

-"Toujours et de plus en plus. Cette petite devient une perle".

-"En grandissant, ces sissies sont encore plus faciles à élever, je trouve".

-"C'est vrai. Et puis j'ai eu la chance d'être secondée par ma fille".

-"Oui, tu l'as évoqué la dernière fois".

-"En fait, comme tu le sais, Kimi est le fils de mon deuxième mari, Frank, rencontré alors que ma propre fille, Carina, avait cinq ans. Il avait avec lui ce petit bonhomme de deux ans, timide et effacé. Et puis Frank a disparu. Du jour au lendemain. Parti avec une autre. J'en ai eu marre des hommes. J'ai élevé Kimi avec amour mais autorité, en exigeant de sa part le respect total qu'il nous devait. Plutôt que une mère et une sœur de substitution, nous sommes devenues ses éducatrices, ses maîtresses".

-"Et son père n'a jamais cherché à le revoir?"

-"Il est mort peu de temps après. Kimi a grandi entre Carina et moi. Les années scolaires n'ont pas été faciles pour lui. Son physique, sa taille, sa voix le rendaient différent des autres garçons, mais à la maison il pouvait devenir la fille que nous souhaitions. Comme elles ont trois ans d'écart, jhabillais Kimi avec les anciennes tenues de Carina. Et Carina s'est beaucoup investie dans la sissyfication de Kimi, surtout à l'adolescence".

-"Investie et amusée aussi, j'imagine".

-"Oui, elle a commencé à m'assister pour sa toilette puis je lui en ai donné de plus en plus souvent la charge. Elle riait en le savonnant, surtout à "certains endroits" , elle jouait au docteur avec lui, dabord seule, puis en invitant ses amies proches lors de soirées pyjama. La "petite différence" de Kimi les amusait beaucoup. Elle organisait aussi pour moi des défilés "petite culotte" en habillant Kimi avec d'anciens sous-vêtements à elle".

-"Des moments joyeux".

-"Oui, en parallèle je faisais exécuter à Kimi toutes les tâches ménagères. J'imagine que tu as éduquée Axel de la même manière".

-"Oui, tout à fait". Nos "fifilles" se ressemblent beaucoup, on dirait. As-tu été amenée à la corriger, parfois?".

-"Peu, en fait. Surtout pour le principe, et par plaisir, bien sûr. Elle nous aime et nous en a toujours remerciées, Carina et moi. Je me rappelle qu'une fois, il y a deux ans, Carina la lavait sous la douche. Elle s'amusait à faire durcir son clitty et la petite cochonne a éjaculé sur la paroi de la douche. Et bien je peux te dire qu'elle a reçu une sacrée fessée, de la part de Carina, bien sûr, et de la mienne aussi quand je l'ai appris. Le lendemain, Kimi s'est excusée et je me rappelle encore ses mots: "J'ai été une vilaine fille, je m'en veux beaucoup. Je suis une cochonne et je vous remercie de m'avoir corrigée. Je le méritais et je le mériterai à chaque fois. Je vous aime, maîtresses, je vous respecte tant".

-"C'est touchant. La preuve d'une éducation réussie".

-"Oui, mais Kimi a vingt ans maintenant. Elle attire le regard des hommes et n'y est pas indifférente. Mais elle est encore une petite chose sensible. Plus tard peut-être appartiendra-t-elle à une maîtresse, mais, en attendant je souhaiterais lui faire rencontrer son pendant. Une sissy comme elle. J'aimerais avoir deux petites fiancées que nous pourrions continuer d'éduquer en partage, qui s'aimeraient et ne risqueraient plus ainsi d'être tentées de quitter la maison pour suivre des queues mâles".

-"Wendy et moi avons le même rêve pour Axel. Ne crois-tu pas que..."

-"Nous pourrions arranger une rencontre, ce serait merveilleux!"

Vers treize heures, Tina passa chercher les en-cas qu'Axel avait préparés pour Wendy, Louison et elle. Zara qui commençait à avoir faim, demanda à sa nièce si leur pique-nique était prêt.

"Bien sûr tantine. Je prends la glacière et nous y allons quand tu veux".

Elles descendirent à la plage. Axel portait le maillot offert par Wendy quelques jours plus tôt.

-"Ton amie Wendy est une personne charmante, Et très belle",

-"Oh oui, tantine, si belle". Et, curieusement, à cet instant, Axel se rappela les paroles de Wendy, "comme moi, tu préfères les filles". Et si Wendy tombait amoureuse de Zara? Elle en eut un pincement au cœur. Mais très vite, sa nature soumise et positive reprit le dessus. Elle se dit que si cela devait être le cas, elle aurait la chance d'appartenir en même temps aux deux personnes qu'elle aimait le plus. Et puis ces pensées s'envolèrent lorsqu'elle déplia la nappe et sortit les couverts. Sa tante, puis Wendy lui avaient appris à n'utiliser son cerveau que pour des choses pratiques telles que : choisir le bon programme pour la machine à laver, placer les chemises sur un cintre plutôt que les plier après le repassage, se positionner derrière l'invité et à sa gauche pour desservir à table, harmoniser vernis à ongles et rouge à lèvres, etc, etc... Pour le reste, elles pensaient pour elle. Elle en fut rassurée.

Le repas fut un moment délicieux. Tante et nièce parlèrent de l'avenir proche, de la rentrée d'Axel à l'école de stylisme et de son emploi du temps. Elle y serait occupée du lundi au mercredi, disposerait du jeudi pour les devoirs et exercices, prendrait un petit job le vendredi (Zara avait pensé que ce pourrait être à la boutique de sous-vêtements que Wendy gérait en ville le reste de l'année) et aurait tout son samedi pour gérer les tâches domestiques. Repos et sorties éventuelles le dimanche. Elles allèrent ensuite se baigner, consacrèrent du temps au bronzage, et Axel rentra la première pour faire un peu de rangement et dresser la table du soir.

Le dîner fut un succès. Axel avait préparé un tartare de saumon, servi avec un demi avocat au citron et de fines lamelles de pomme verte.

Zara et les filles se retirèrent ensuite au salon pour boire un petit verre d'alcool en papotant. Axel débarrassa la table, mit le lave-vaisselle à tourner et les rejoignit. Elle s'assit sagement face à elles, les écoutant la complimenter pour son joli bronzage. A la demande générale elle se leva et tourna sur elle-même. "Malgré sa blondeur, elle n'a pas pris de coup de soleil", fit remarquer Louison. "Non, elle a toujours eu une peau qui prenait bien le soleil", répondit Zara. "Ses petites fesses dorées sont à croquer", ajouta Louison qui avait fait s'avancer Axel, "on a toujours plaisir à les caresser". Et elle joignit le geste à la parole. "Oui, elles sont un atout pour elle, rondes et bien formées, je lui ai toujours appris à les mettre en valeur", dit Zara, qui était fière de sa nièce.

-" C'est pour cela que je lui ai fait porter de petits talons hier quand nous sommes allées à la gare", fit Wendy, "ils donnent une jolie cambrure".

-"Tu pourrais même lui en faire essayer de plus hauts", ajouta Zara, "six centimètres, peut-être. Je te les rembourserai". Et elle imagina la silhouette d'Axel, de profil, son joli cul devenu plus proéminent.

-"Un vrai appel à la main", commenta Louison qui, sans le savoir, prologeait la pensée de Zara. Toutes se mirent à rire.

-"Et son clitty n'est-il pas charmant?" fit malicieusement Tina en soupesant les boules toutes lisses d'Axel. "On dirait un bébé carotte tout rose et deux cerises prêtes à mûrir. Rien à voir avec un bite de mâle. D'ailleurs j'ai toujours pensé que les sissies étaient un genre à part. Ni filles, ni garçons, très douces, toujours prêtes à l'emploi, avec un petit pois qui leur tient lieu de cerveau". Le compliment fit rougir Axel qui commença à avoir un début d'érection.

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