Une Famille Prise En Otage

BÊTA PUBLIQUE

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« Prends ça et va fouetter ta mère dans le dos, ça la fera s'activer un peu plus. »

Christelle se leva, évaluant ses chances d'utiliser la ceinture pour frapper un de ses agresseurs par surprise et le désarmer. Elle réussirait peut-être par miracle avec un homme, mais avec les trois... Vaincue, elle se dirigea vers sa mère.

« Je t'aime, maman, » murmura-t-elle en la prenant par les épaules et en les serrant brièvement, avant de se reculer et d'abattre la ceinture pour la première fois sur les reins de sa mère. Le corps d'Eva se cambra avec un cri bref, puis les coups commencèrent à pleuvoir, les trois hommes harcelant Christelle pour qu'elle frappe de plus en plus fort, de plus en plus vite. Pour atténuer la souffrance de sa mère, elle essaya de répartir les coups, cinglant tantôt les épaules, tantôt les reins, tantôt les flancs ou le haut des fesses. Jérémy ne pouvait détacher ses yeux du corps de sa mère qui se tordait sur lui à chaque coup de fouet, de ses seins, où se voyait encore la trace de ses dents, qui ballottaient maintenant à la hauteur de son visage. Il se demanda si les hommes allaient ordonner à Christelle de fouetter aussi ces seins magnifiques, puis il sentit le sperme monter et éjacula comme il ne l'avait jamais fait, remplissant sa mère de sa semence.

Eva s'effondra à terre à côté de son fils, recroquevillée sur elle-même. Pour la première fois depuis le début de l'horrible nuit, elle avait craqué et pleurait à gros sanglots. Elle savait que ses relations avec ses enfants ne seraient plus jamais les mêmes. Chaque fois qu'elle les verrait, chaque fois qu'elle penserait à eux, il lui faudrait repenser aux caresses lesbiennes qu'elle et sa fille avaient dû mimer, au fouet de Christelle sur ses reins, et, plus que tout, à l'expression de plaisir intense sur les traits de son fils lorsqu'il avait éjaculé en elle.

Elle sentit que des mains l'empoignaient à nouveau, lui liaient les mains dans le dos, la bâillonnaient.

« Il est temps qu'on s'en aille, » dit Marc. « Les filles, vous allez nous accompagner un petit moment. »

Eva et Christelle, ligotées et bâillonnées toutes les deux, furent traînées jusqu'à la voiture et enfermées dans le coffre. Abandonnant Jérémy sur place, les trois bandits partirent avec leurs prisonnières. Aux deux femmes, qui se serraient l'une contre l'autre pour se réconforter, il sembla que ce voyage durait plusieurs heures. Enfin, la voiture s'arrêta et le coffre s'ouvrit. Il faisait grand jour. On était devant une cabane isolée, qui semblait être au milieu d'un bois.

« Je reste ici avec la petite, » ordonna Marc à ses hommes, « allez où vous savez avec la mère, et recontactez-moi. »

Comprenant qu'elles allaient être séparées, les deux femmes se débattirent rageusement, mais Eva fut repoussée dans le coffre que Sam et Kevin refermèrent sur elle, tandis que Marc traînait Christelle à l'intérieur de la cabane. Poussée à l'intérieur de l'unique pièce, l'adolescente entendit avec désespoir que la voiture redémarrait, emportant sa mère. Puis Marc referma la porte sur eux.

Dans les heures qui suivirent, il la viola par tous ses orifices, déchirant son anus, la contraignant à sucer sa verge souillée de merde et de sang. Trop occupé à râler de plaisir sous les lèvres de l'adolescente, il ne vit pas que ses mains, mal attachées, s'étaient libérées.

Après lui avoir fait avaler son sperme, il eut un moment de détente qui lui fut fatal. Christelle arracha le revolver qui était resté à sa ceinture, lui appuya le canon sur le bas-ventre et tira. Marc s'écroula à terre en hurlant de douleur, essaya vainement de saisir l'arme. La deuxième balle de Christelle l'atteignit en pleine tête.

Haletante, l'adolescente resta un moment debout auprès du cadavre, la main toujours crispée sur le revolver, sentant le sang de son anus couler le long de ses cuisses. La cabane n'avait évidemment pas le téléphone, et elle ne put trouver le code du portable de Marc. Il lui faudrait marcher pour trouver du secours.

Nue et boitant, elle se dirigea vers la porte. Au moment de sortir, elle aperçut quelque chose posé au pied du mur : la valise contenant les bijoux, que Marc avait gardée avec lui.Aux environs de l'aube, Jérémy avait pu se libérer et prévenir les gendarmes. Christelle fut retrouvée marchant sur une route forestière, à trois kilomètres de la cabane, toujours cramponnée au revolver et à la valise pleine de bijoux. Une semaine après, dans le cadre d'une autre affaire, la police prenait d'assaut un repaire de bandits dans un pays voisin. Il y eut une fusillade qui fit deux morts : Kevin et Sam. Dans l'appartement, les policiers découvrirent Eva, enchaînée par le cou à un mur. Elle portait encore ses bas, ses escarpins et son porte-jarretelles. D'après son témoignage, elle avait servi de jouet sexuel à ses ravisseurs et à une dizaine d'autres personnes.

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