Un Photographe de Vacances

BÊTA PUBLIQUE

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Je poussais alors un bâillement assez important, à la limite du cri pour signaler ma présence, genre le fauve se réveille, et je les vis me regarder. Albert avança vers moi me cachant Mathilde et je ne vis pas à cet instant qu'elle était seins nus.

Je ne sus plus tard que ce malin d'Albert avait donc mitraillé ma belle habillée pour commencer en la complimentant sur sa beauté, puis en maillot de bain, redoublant de compliments et très rapidement seins nus à côté de la piscine et dans l'eau. Mais vous comprendrez plus tard dans quelles circonstances, j'ai été mis au courant!

Ce soir-là, quand Mathilde sortit de l'eau, elle avait le haut de son maillot donc je ne me doutais de rien. Elle indiqua très vite que vu l'heure très tardive et sa fatigue, il était temps pour nous d'y aller et Albert ne s'offusqua pas en confirmant que la journée avait été très sympa et qu'il allait sans doute développer les pellicules dans la foulée pour nous « tirer » les meilleures « épreuves » pour demain!

Arrivé à notre villa, je voulus saisir Mathilde et la presser contre moi, mais elle se refusa, ce qui n'était vraiment pas courant chez elle, invoquant le besoin de se rincer « de l'eau de la piscine ». Elle prit une assez longue douche effectivement. Je me couchais directement.

Nous nous retrouvâmes au lit et nous nous endormîmes néanmoins dans les bras l'un de l'autre comme des bébés. Mathilde sentait bon, moi sans doute la sueur et l'alcool et elle ne fit aucun signe pour m'indiquer qu'une autre nuit était possible.

La sonnerie de la porte de la villa nous réveilla en un sursaut commun. Mathilde s'étant retournée et ayant saisi un oreiller sous lequel elle avait planqué sa tête, je compris le message. Je me levais passant rapido le bermuda et le tee-shirt de la veille que je trouvais en tas au pied du lit. Je descendis au galop et découvris Albert devant l'entrée avec un grand sac sous le bras.

-Salut Olivier! Bien dormi avec Mathilde? C'est calme ici hein? J'ai des cadeaux pour vous.

Une fois Albert entré dans la maison, je criais à Mathilde qu'Albert était là tout en lançant la cafetière. Mathilde nous répondit qu'elle arrivait dans dix minutes, le temps de se préparer un peu.

Albert amenait avec lui une grande poche de viennoiseries à partager et une bouteille de "jus d'orange extra frais et pressées par ses soins " comme il me l'indiqua.

Albert, un peu énigmatique, sortit une enveloppe plus grande qu'un format actuel A4 et me dit avec un sourire bizarre :

- C'est pour toi Olivier, va planquer cette enveloppe pour le moment. Tu l'ouvriras et tu regarderas ce qu'il y a dedans un peu plus tard, quand tu seras seul. Je pense que cela t'apprendra des choses que tu ne soupçonnais pas sur ta copine, fais-moi confiance.

Je bredouillais un vague remerciement, un peu perturbé par ses propos et pas encore réveillé, l'enveloppe dans les mains, ne sachant qu'en faire. Albert me lança :

-Salon! Sous le canapé!

Je tiltais enfin et j'allais planquer l'enveloppe sous une des assises du canapé lui obéissant ainsi au doigt et à l'œil. Revenu dans la cuisine, je finis d'installer les tasses et je posais les viennoiseries sur une assiette pour Mathilde qui aimait manger sérieusement le matin, même quand elle se levait très tard.

Quand elle descendit, elle se précipita sur Albert et l'embrassa sur les deux joues très chaleureusement devant moi en lui souhaitant bonjour, ce qui me laissa quand même un peu perplexe. Mathilde était amicale de nature, mais là j'avais l'impression qu'ils se connaissaient depuis toujours!

Albert lui dit :

-Cadeaux! Tu peux regarder tout de suite, les meilleurs tirage de l'intégralité de notre séance photo!

Et il lui tendit une seconde enveloppe que je n'avais pas vu et qu'elle ouvrit aussitôt. Il me sembla décrypter sur le visage de Mathilde une légère contraction de ses lèvres comme si quelque chose la gênait tout d'un coup.

Elle sortit quand même précautionneusement ce qui me sembla être une dizaine de clichés en noir et blanc. Je me rapprochais d'elle pour voir ces photos, je la sentis franchement se raidir quand je me pressais contre elle. La première photo était un portrait superbe de Mathilde cheveux bruns au vent et je lui murmurai :

-Superbe photo, mais le modèle fait tout. Tu es sublime mon amour!

Mathilde commença à regarder les autres photos une par une, lentement, prenant son temps et ponctuant de compliments pour le photographe chaque observation prolongée de sa part. Je m'avouais aussi qu'Albert était vraiment un sacré photographe, toutes les photos étaient assez sublimes et rendaient Mathilde encore plus belle et sensuelle qu'elle n'était.

Les clichés n'étaient pas rangés au hasard. Ils étaient bien classés dans un ordre progressif poussant à se demander quelle serait la prochaine pose du modèle de la journée. C'était une sensation assez bizarre à vivre. Mathilde remerciait Albert pour la qualité de ses prises de vues, mais je la sentais aussi se raidir de plus en plus, à chaque photo comme si elle craignait quelque chose...

Finalement, le dernier tirage se présenta à ses yeux. Je vis ma belle vérifier discrètement avec ses doigts qu'il s'agissait bien du dernier tirage à son attention. C'était bien le cas et je la sentis se détendre.

Laissez-moi vous décrire la photo. Mathilde était prise de profil, allongée sur le sol du bord de la piscine, encore mouillée par son bain, on voyait les gouttes d'eau sur son corps. Les yeux fermés, une jambe à demi pliée, son haut de maillot de bain dénoué, les sangles posées à côté d'elle, comme si un coup de vent aurait pu la dénuder définitivement. Les deux petites attaches du bas de son maillot était dans le même état, allongées sur le sol. Mathilde était nue devant l'objectif tout en étant habillée, c'était très fort et très excitant. J'avoue que serré contre elle, elle due sentir mon érection car elle gigota à mon contact.

Albert nous regardait fixement et j'eus le sentiment qu'il allait nous bouffer tout cru dans la seconde! En fait, non, il choisit pile cet instant pour avaler son café d'une traite, pour nous souhaiter une belle journée en nous annonçant que d'après la météo du jour la température de l'eau serait à 22 degrés et que nous pourrions bien en profiter!

Il s'enfuit comme il était venu, sans prévenir vraiment.

Mathilde rangea aussitôt soigneusement les photos dans leur enveloppe et les apporta dans notre chambre puis elle vint prendre un second café et un croissant, le mangeant d'un air pensif. Nous n'échangeâmes aucun mot, mais je tentais de réchauffer l'ambiance :

-Je regrette de ne pas avoir assisté à cette séance quand je vois le résultat, mon amour.

-Tu n'avais qu'à moins boire et moins manger tout simplement mon chéri fut sa seule réponse.

OK, message compris, je jugeai préférable de m'abstenir de remettre une pièce dans la machine. Je la connaissais suffisamment pour savoir que c'était un de ses très rares moments où pour une raison qui m'était inconnue, je me devais de ne pas insister.

Dans une ambiance assez glaciale, nous nous préparâmes à aller à la plage et rentrâmes assez tard, crevés par cette journée de farniente intégral. La mer était superbe, nous en profitâmes allégrement. Mathilde rejoignit mes bras plusieurs fois, nous nous embrassions amoureusement dans l'eau et sur la plage, la fâcherie du matin semblait passée.

Au retour, nous étions passés par l'hyper du coin pour faire les courses de la semaine. Avant le passage en caisse, je fis mine d'avoir oublié une broutille dont j'avais absolument besoin et je laissais passer Mathilde avec le chariot qui débordait ce qui m'évita de sortir ma carte bleue. Je m'enfuis sans plus d'excuses, m'enfonçant dans les entrailles d'un rayon de produits où elle ne me verrait pas attendre qu'elle ait réglé la note.

Quand je la retrouvais après les caisses, Mathilde nota mes mains vides et m'en fit la remarque. Je lui répondis d'un air énervé, comme si cela m'embêtait, que je n'avais pas trouvé ce que je cherchais, sans plus d'explications.

En soirée, je regardais un peu la télé après notre diner attendant que Mathilde aille se coucher. Depuis qu'Albert m'avait donné la seconde enveloppe, je voulais l'ouvrir et savoir ce qu'il y avait dedans. Quand elle m'embrassa et monta dans la chambre, je ne fis pas mine de la rejoindre. J'attendis un peu et montais silencieusement à l'étage jeter un œil dans la chambre, Mathilde s'était endormie un livre ouvert sur sa poitrine.

Je lui marquais la page, posais le livre sur la table de chevet et remontais les draps sur son corps, couvrant sa poitrine dénudée en contemplant cette merveille de la nature qui était mienne par la grâce d'un miracle inexplicable. Dire que j'avais le plaisir de caresser, d'embrasser, de pénétrer cette femme depuis quelques mois ne cessait d'être une énigme sans réponse pour moi.

Je redescendis dans le salon après avoir éteint la lumière et fermé la porte de notre chambre. Je me précipitais alors dans le salon et sortis immédiatement l'enveloppe de sous le canapé. Je la décachetais fiévreusement.

Une autre enveloppe de format classique tomba par terre, mon prénom était dessus avec la mention « lettre de ton ami Albert ». Il restait dans mes mains des pages de clichés comportant les tirages des négatifs à leur taille réelle. Albert avait indiqué « planche contact » et visiblement numéroté chaque page. Les deux premières étaient les versions complètes de la séance de pose qui avait donné les photos offertes à ma compagne.

Les deux autres me laissèrent bouche-bée : la première débutait par une série de trois ou quatre clichés assez identiques à la série précédente. Puis le choc des images sans le poids des mots me tomba dessus.

Sur la troisième planche, Mathilde avait carrément enlevé le haut et le bas de son maillot. Elle s'était offerte nue dans toute sa splendeur à Albert qui avait bien dû se rincer les yeux!

Je comprenais mieux son inquiétude matinale à la découverte des tirages offerts sans préavis par ce si gentil Albert : elle s'attendait à avoir sous les yeux les témoignages de son forfait.

Albert avait bien dû rigoler de la voir s'inquiéter pour rien. Je n'osais pas encore découvrir la quatrième planche. Le dernier cliché de la série sur la troisième planche contact que j'avais entre les mains était déjà sacrément explicite. Sur la dernière photo, Mathilde était assise sur une chaise, jambes écartées, offrant une vue complète de sa si belle chatte, ses deux mains empaumant ses seins, un sourire vicieux fixant le photographe. Plus qu'érotique, la pose frôlait le porno, difficile d'en montrer plus!

Je n'avais pas tort de m'inquiéter. La dernière planche montrait tout de Mathilde sous différents angles. Cela restait très beau et très excitant mais aurait pu figurer dans n'importe quelle revue de cul de l'époque!

Allongée sur le ventre, ses fesses rebondies tendue vers l'arrière comme si elles attendaient une pénétration, son sexe en gros plan, son clitoris apparent et visiblement gonflé, ses doigts écartant ses petites lèvres et dévoilant son puits d'amour. Les mains sur ses seins, les remontant vers sa bouche, la langue tendue... Deux doigts dans sa chatte, s'enfonçant en elle. Son visage crispé par le plaisir... Mon Dieu, je devais me retenir pour ne pas aller la prendre de force en plein sommeil.

Albert avait réussi à amener Mathilde à se dévoiler sans aucune pudeur sous son objectif pendant que je dormais. La dernière photo de la série me remua particulièrement les tripes et le bas-ventre. Mathilde était debout face à l'objectif, un peu penché vers l'avant, les jambes bien écartées, sourire équivoque aux lèvres, regardant le photographe franchement.

Plus bas, on voyait clairement les grandes lèvres de son sexe écartées et luisantes même sur ce petit format de cliché pris à la hauteur de ces genoux en contre plongée. Le plus énervant était qu'entre ses jambes, on devinait un mec un peu flou mais parfaitement reconnaissable, allongé en train de dormir sur une chaise longue. Devinez qui?

Je restais soufflé par cette dernière image. Mon sexe tendu à l'extrême. Involontairement, ma main droite était plongée dans mon bermuda pour libérer ma queue raidie par le désir et je compris que sans un peu de self control, je me serai branlé immédiatement sur ces photos. J'aurai du être furieux mais elle était si belle et désirable en adorable salope sous l'objectif d'Albert.

Après un long moment d'hébétude peuplé de fantasmes inassouvis, je saisis l'enveloppe restée au sol et je la décachetais pour lire le courrier qu'elle contenait. Elle était évidemment d'Albert et faisait deux bonnes pages :

« Olivier, mon très cher nouvel ami,

Je voulais te remercier pour la séance photos d'hier avec ta sublime Mathilde!

Je pense que quand tu auras lu mon petit mot, tu te sentiras mal, un peu con, tu risques même de pleurer un bon coup, mais sache que je n'y suis pour rien et que tout est de ta faute.

En fait non, soyons francs, j'y suis pour quelque chose, mais si tu avais été un peu plus prudent, rien ne serait arrivé donc pas la peine de m'en vouloir. Ton ami Albert n'a été que l'instrument de ta bêtise!

Je sais que tu as vu les planches contacts. Je suis persuadé que tu en bandes encore! Ton Albert est un bon photographe et le corps d'une telle femme ne peut que l'inspirer et lui donner des idées!

Sache que ta copine, ton amoureuse soi-disant, s'est livrée librement et que je n'ai pas eu à la forcer pour qu'elle me montre tout d'elle. À chaque étape, c'est elle qui m'a suggéré d'aller plus loin et quand tu t'es réveillé, elle était à deux doigts de se caresser à nouveau dans la piscine sous mon objectif! Incontestablement et je vais te parler très sincèrement, ta nana est une chaude qui en plus d'être superbe, n'a pas froid aux yeux.

Tu aurais dû la voir nue pendant que tu roupillais, passant à côté de moi et me frôlant tout en me disant qu'elle aimait beaucoup « les gros objectifs ». Je vais être direct avec toi, mon nouvel ami. Entre nous et entre hommes, j'avais une trique monumentale le soir et je me suis vidé les baloches plusieurs fois tout en développant pour mes archives personnelles certaines des photos les plus chaudes que tu as vues sur les planches.

Je n'ai pas pu m'empêcher d'en envoyer quelques-unes par courrier express à des bons amis dès ce matin. Ta Mathilde ne va laisser personne indifférent, je te le garantis.

En tant que photographe, j'ai croisé quelques modèles qui n'avaient pas froid aux yeux, je puis te certifier que ta copine, c'est quelque chose!

Tout en elle me dit qu'elle va faire plus que s'offrir aux appareils photos du vieil Albert très rapidement! Si tu avais vu à quel point elle m'allumait alors que je la prenais en photos, tu en serais resté sur le cul!

Pour te remercier de toutes ces émotions d'hier et de celles à venir, je te déduis déjà d'office le prix de deux séances à ta future facture et j'ai le plaisir de t'annoncer que demain, elle va te dire qu'elle a prévu d'aller visiter une expo photos avec moi.

Sachant que les expos des autres ce n'est pas mon truc, je te confirme que c'est du pipeau. Mathilde a juste envie d'être avec moi. Je ne sais pas précisément pourquoi, mais j'en ai quand même une petite idée!

Ah ah ah, qui vivra verra, comme on dit, mon petit Olivier!

Bref, tu es donc prié de donner ton feu vert sans discuter et d'aller te trouver une occupation ailleurs.

Au cas où Mathilde aurait juste envie de parler photo, j'ai prévu une séance de poses encore plus chaudes et poussées avec ta sublime copine. J'hésite un peu à lui montrer certains jouets qu'elle devrait adorer et à lui suggérer des usages qui devraient l'enflammer... Il me semble qu'elle devrait se libérer totalement en quelques séances! Tu peux compter sur moi pour l'aider en tout cas!

Bien entendu, je me ferais un plaisir de t'offrir les clichés de toutes les séances à venir. Je compte vraiment passer du bon temps avec ta Mathilde, mais je suis un homme de paroles. Tu sauras tout, tu verras tout et je ne te cacherai rien.

Je te préviens quand même, je pense que tu vas souffrir en découvrant ce qu'elle sera prête à accepter d'après moi. Peut-être devrais-tu finalement rester un peu à l'écart de tout cela et préférer ne pas en savoir plus?

En même temps, j'ai la sensation que tu pourrais apprécier et qu'un fond de masochisme t'habite...

Bref, je pense que tes vacances ne vont pas te coûter très cher, tu pourrais même y gagner de quoi renflouer un peu tes finances parce que ta petite bourge, c'est en fait une sacrée gagneuse et crois-en mon expérience, une affolée du cul, c'est certain.

Je ne sais sincèrement pas jusqu'où cela va nous mener tous les trois, mais je pense qu'à la fin de tes vacances, tu n'auras plus rien à apprendre sur ta copine en plus d'avoir une collection de clichés souvenirs imbattables.

Allez, salut et ne te branle pas trop sur les photos de ta copine, gardes en un peu pour elle, d'après moi, tu as intérêt à être en forme demain matin à ton réveil parce que je crois qu'avant de venir me voir, elle voudra un peu s'échauffer!

Encore merci à toi de te prêter à ce jeu et de ne pas venir perturber ces bons moments que nous vivons car sinon, je serai bien évidemment obligé de lui parler de notre petit accord. J'ai le sentiment que ça ne lui plairait pas du tout!

Amitiés photographiques

Ton Albert particulièrement reconnaissant.

PS : franchement, ton ami Albert est nul question négociation car tu vas gagner des vacances gratos alors que je suis prêt à parier que ta belle se serait laissée photographier sans ton accord! C'est d'ailleurs ce qu'elle a fait hier finalement, la chatte sous ton nez, si je puis dire! Avoue que cette dernière photo, elle est vraiment bandante. Je pense l'exploiter dans une future parution porno sur les maris trompés! Tu savais qu'il y a des clients de ce type de performances, des mecs qui bandent en voyant leur femme baisée par d'autres, étonnant non?

PPS : quand on ne supporte pas l'alcool, faut pas en abuser! Et trop manger, ce n'est pas bon pour la santé! »

Je relus cette lettre plusieurs fois ne comprenant pas ce qui m'arrivait, ni quelle mouche avait piqué Delphine? Pourquoi avait-elle décidé d'offrir la vision de son corps à ce mec de plus de soixante balais?

La dernière photo me restait en travers de la gorge et j'avais en plus la sensation qu'elle se foutait clairement de moi.

Je n'y comprenais rien de rien, mais les clichés que j'avais découvert sur les planches contacts m'avaient quand même filé une trique de tous les diables et étrangement, aucune envie d'aller faire l'amour à Mathilde.

Je tenais toujours les planches contact de ma main gauche et la droite était plongée dans mon pantalon malaxant toujours plus mon sexe à qui mieux-mieux quand je me rendis compte que de se branler au milieu d'un salon éclairé comme un hall de gare en pleine nuit n'était pas la chose la plus intelligente à faire pour rester discret. Surtout qu'une baie vitrée dont les rideaux n'étaient pas tirés permettait à n'importe qui de me voir de la rue!

Je me levais donc pour tirer les rideaux et je partis dans la salle d'eau du rez-de-chaussée. Je posais les planches contacts devant moi sur le lavabo et pantalon baissé, queue bien tendue, j'entrepris de me faire plaisir comme un grand!

Je n'avais qu'une envie, balancer mon jus et prendre mon pied. Je ne retins rien et j'envoyais même quelques gouttes de spermes sur les planches contacts!

Pour tout vous dire, avant de m'endormir, je fantasmais toujours sévèrement sur les séances photos de ma belle. Celle d'hier et celles à venir, imaginant que Mathilde pourrait subir des demandes particulièrement avilissantes d'Albert qui seraient fixées pour l'éternité en photos bien réelles!

Je me disais qu'elle aurait bien cherché ce qui allait lui arriver et tout cela m'excitait carrément!