Un Petit Couple Modèle

BÊTA PUBLIQUE

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Il prit alors conscience de tout ce qu'il avait raté avec Camille et il se jura à lui-même, si cela n'était pas trop tard, de rattraper tout ça.

Il finit par s'endormir, la tête entre les seins de Monica, heureux de sa nuit.

A son réveil, il constata qu'il était tout seul, n'ayant pas entendu la femme s'en aller. Regardant sa montre, il constata qu'il n'était pas loin de 09h00. Se lavant en vitesse, il descendit pour déjeuner, affamé par sa nuit.

En arrivant dans la pièce, il fut surpris de découvrir Camille, seule devant son bol, des cernes impressionnants aux yeux.

En le voyant rentrer, elle baissa la tête, n'osant pas lui parler. Si Monica ne l'avait pas rejoint, il lui aurait sûrement fait une scène mais là, il ne lui en voulait pas.

- Bonjour Camille, tu as bien dormi?

La jeune femme ne répondit pas, étonnée par le comportement de son mari. Elle avait peur, se demandant si ce n'était pas un piège. Il posait la question d'une voix tellement calme que c'était déroutant.

C'est alors que Monica arriva, un panier de croissant dans une main.

- Tu es déjà réveillée, je croyais que tu allais dormir au moins jusqu'à midi.

Et tout en disant ça, elle vint embrasser Romain sur la bouche avant de quitter la pièce.

Camille ouvrit de grands yeux, ne comprenant plus rien. Pour Romain, ce fut une petite vengeance en voyant l'expression sur son visage. Reposant sa question, il la regarda droit dans les yeux.

- Alors, bien dormi?

- Heu, non, je suis crevée.

- Ils t'ont baisée jusqu'à quelle heure?

La jeune femme comprit que son mari était au courant pour les deux hommes et étrangement, il ne paraissait pas en colère.

- Je ne sais pas, j'ai perdu connaissance vers 5 heures

- Et tu as aimé?

- ...

- Tu as aimée?

- Oui

Le jeune homme se rendit compte que cela l'excitait.

- Tu me raconteras?

- Oui mais pas tout de suite.

- Il est parti?

- Non, il dort encore.

- Et?

La jeune femme ne savait trop comment lui annoncer ce qui la travaillait puis, se lançant, elle lui dit.

- Comme on ne devait partir qu'après-demain, j'ai accepté d'aller chez lui ce soir. Il organise une petite fête avec quelques amis dont Franck.

- Et je ne suis pas invité

- Non, mais tu pourras rester avec Monica.

- Et il y aura d'autres femmes ou tu seras la seule

Voyant que la jeune femme ne répondait pas il insista

- Alors? vous serez plusieurs femmes?

- Non, je serais seule

- Tu sais ce qui va t'arriver si tu y vas.

- oui

Le jeune homme était partagé entre deux sentiments, l'excitation de l'imaginer entre leurs mains et la joie d'être seul avec Monica. Il se rendait compte que la jalousie ou l'inquiétude avait disparu comme s'il était devenu indifférent à ce qui pouvait lui arriver.

Finalement la quinquagénaire ne le laissait pas indifférent et pouvoir faire l'amour avec elle autrement que dans un petit lit était assez jouissif.

- J'espère que tu t'amuseras bien ce soir, dit-il avec plein de sous-entendu dans la voix.

- J'espère aussi. Tu ne m'en veux pas?

- Non, moi je vais passer une soirée tranquille avec Monica et ça devrait être également très sympa.

Camille ressentit alors une pointe de jalousie, comme si de savoir son mari avec une autre femme était inacceptable. Pourtant elle était mal placée pour lui faire une scène de ménage et préféra se lever même si elle n'avait pas fini de déjeuner.

Finalement, c'était sa vengeance à lui pour l'avoir rendu si malheureux avant l'arrivée de la maîtresse de maison dans sa chambre. Maintenant, il ne pleurera plus quelque soit ce qu'ils feront à son corps. Il se rendit alors compte que même s'il aimait toujours sa femme, cet amour avait évolué.

La journée se passa sans qu'il ne recroise Camille. Avec Marc, elle avait été mangé le midi en ville et l'après-midi ils étaient partis très tôt pour préparer la soirée.

C'est vers 19h00 que Franck quitta la maison pour aller chez son ami laissant sa sœur et Romain en tête à tête.

Le jeune homme et sa maîtresse mangèrent en amoureux avant de regagner très tôt la chambre de la femme. Cette fois il avait l'intention d'explorer toutes les facettes du sexe et d'apprendre encore des tas de nouvelles choses.

****

Camille était de plus en plus stressée en voyant les heures défilées. Elle ne savait pas trop comment Marc avait réussi à la convaincre en lui proposant au petit matin cette soirée. Elle n'avait pas trop réfléchi après la nuit qu'elle venait de passer elle avait accepté sans trop savoir ce qui l'attendait.

Lorsqu'ils avaient dîné en ville, il lui en avait un peu plus dit et maintenant elle avait peur. Mais comment revenir sur sa décision alors qu'elle avait fait sa courageuse devant Romain.

Il ne s'agissait pas d'une soirée avec souper et musique car tous les invités en avaient cure de manger. C'était pour elle qu'ils venaient, pour profiter de son corps au maximum.

Quand il lui avait dit qu'ils seraient une quinzaine, elle sentit la panique l'envahir. Elle avait perdu connaissance alors qu'ils n'avaient été que deux à profiter de son corps et elle avait fini la nuit complètement épuisée.

Là, ils allaient tout lui faire et cela sans interruption, se relayant sans cesse.

Quinze hommes à la prendre par tous les trous, elle qui avait été sodomisée pour la première fois la nuit dernière.

Marc se dit qu'il avait eu raison de ne pas lui avoir donné le nombre réel de participants. Si elle avait su qu'en réalité, ils allaient être le double, elle serait sûrement partie en courant.

Elle se mit à en vouloir à Romain car c'était de sa faute si elle se retrouvait dans cette situation. Lorsqu'elle l'avait vu au petit déjeuner, il n'avait même pas essayé de l'en dissuader, comme si cela l'indifférait.

Pour sa défense elle ne lui avait pas vraiment dit en quoi consistait cette soirée et pour cause, elle l'ignorait elle-même, du moins pour le nombre d'invités.

Lorsque Marc lui avait dit qu'ils iraient dans l'après-midi chez lui pour préparer la soirée, elle fut étonnée mais accepta. Que pouvaient-ils bien installer pour ce genre de soirée.

- En fait on va préparer ton corps pour qu'il soit parfait pour ce soir

- Préparer mon corps

- Le sublimer si tu préfères mais aussi faire en sorte que ce soit agréable pour tous les invités.

- Comment ça?

- Tu verras, j'ai donné rendez-vous à des professionnels chez moi pour qu'ils apprêtent ton joli petit corps.

La peur s'intensifia encore plus. La jeune femme se demanda pourquoi ils voulaient s'occuper d'elle avant la soirée et surtout qu'est-ce qu'ils allaient lui faire.

Lorsque la voiture rentra dans la cour, elle était paniquée, surtout en découvrant que deux hommes et une femme attendaient devant la porte d'entrée. Tous tenaient une mallette dans leur main ce qui ne rassura pas Camille.

Étrangement, elle se sentait comme une condamnée allant sur l'échafaud lorsqu'elle rentra derrière Marc dans sa grande demeure. Les trois inconnus lui encadrèrent le pas sans un mot.

- On va te préparer sur la grande table de la cuisine

- Hein?

- Oui, c'est l'endroit le plus pratique

- Mais qu'est-ce que vous allez me faire

- Rien de grave je te rassure.

La jeune fille tremblait, ne comprenant pas trop pourquoi cet homme rencontré dans le train la traitait ainsi.

- Mets-toi à poil, ordonna-t-il

- Mais pourquoi?

- Parce que tu n'as pas le corps suffisamment entraîné pour la soirée de ce soir et on doit y remédier

Voyant que la jeune femme hésitait, il lui sourit pour la rassurer.

- Tu sais, c'est toi qui as voulu faire cette soirée et ce serait dommage de téléphoner à tous nos invités pour leur dire que c'est annulé

- Mais, tu ne m'avais pas dit qu'ils seraient quinze

- 5, 10, 15, 20, 30 ... quelle importance. Tu as un corps pour l'amour et on veut juste le sublimer.

Pour la première fois, la femme qui était restée en retrait, la rassura en lui expliquant qu'elle ne risquait rien.

Malgré toutes ses réticences, Camille finit par céder et se déshabilla. Depuis la nuit dernière, elle avait perdu beaucoup de sa pudeur, trouvant même un certain plaisir à s'exhiber.

Les hommes et même la femme apprécièrent la beauté de son corps et lorsqu'elle fut entièrement nue, elle obéit à l'homme en s'allongeant sur le meuble...

Marc, s'approcha d'elle et la caressa pendant que ses invités posaient leurs mallettes sur un bord de la grande table. Camille, ne pouvait pas voir leur contenu, essayant surtout de se calmer en respirant lentement.

- Décontractes-toi, cela ne va pas durer longtemps

- J'ai peur!

- Il n'y a aucune raison, on veut juste que tu sois prête pour ce soir

Tout en parlant au quarantenaire, elle ne se rendit pas compte que la femme venait de sortir une seringue qu'elle préparait un peu à l'écart

Camille ne poussa qu'un petit cri de surprise lorsqu'elle sentit l'aiguille s'enfoncer dans son bras

- Il vaut mieux que tu dormes un peu ma chérie. ce sera plus pratique pour tout le monde.

Lorsque la jeune fille s'endormit, les trois invités commencèrent à préparer leurs matériels. L'un des hommes, sortant un écarteur anal en métal, demanda à Marc jusqu'à quel diamètre il pouvait aller.

- Tu lui ouvres le cul au maximum, je veux que ça rentre comme dans un hall de gare. Une fois que l'écarteur sera en place vous vous occuperez de sa chatte.

- Je lui injecte quelle quantité dans le clito.

- Tu lui doubles de volume avant que Luc vienne y mettre l'anneau.

La femme et Luc commencèrent à œuvrer alors que le troisième, qui était un tatoueur, attendait sagement ses consignes.

- Pendant qu'ils s'occupent de son sexe et en attendant qu'ils rendent ses seins hypersensibles tu peux commencer à modifier ses aréoles pour qu'ils soient rouge vif. Ensuite lorsqu'ils en auront finis avec sa chatte, tu lui tatoueras sur le pubis « Pute à baiser ». Les clients adorent ça.

- Pour les aréoles et le pubis, ça sera irréversible

- Ça lui fera un souvenir.

Les laissant avec le corps de la jeune Camille, il alla remplir de viagras un gros saladier qu'il laisserait à la disposition de ses clients. Il avait les chiffres pour ce soir et ils seraient finalement trente et un à la fête.

Il sourit en imaginant sa tête s'il lui avait donné le bon chiffre.

****

Romain passait une soirée de rêve, Monica étant aux petits soins pour lui. Cette femme était incroyable et plus il explorait son corps, plus il découvrait des plaisirs insoupçonnés. Il ne pensait pas retirer autant de jouissance à venir lécher l'intérieur de sa chatte, bien plus charnue que celle de Camille qu'il avait toujours négligée.

Il adorait le goût légèrement sucré de ses chaires et aimait entendre les gémissements sincères de cette femme d'expérience.

À 21 ans, il se rendait compte qu'il ne connaissait vraiment rien au sexe avant de venir dans cette maison et il eut une pensée pour Camille avec qui il s'était toujours contenté de coïts rapides.

D'ailleurs, il ne devait pas être loin de 21 h00, et il se demanda ce que pouvait faire sa femme seule avec cette poignée d'hommes.

- tu rêvasses mon cœur!

Romain, en pensant à sa chérie, s'était arrêté de lécher le clito de sa maîtresse. Se reprenant, il se remit à lui déguster le petit bouton d'amour pour son plus grand plaisir.

*****

Lorsque Camille émergea de son coma, elle était allongée dans un lit devant faire dans les deux mètres de large. Elle avait mal dans tout le corps et ne comprenait pas ce qui lui arrivait.

C'est alors qu'elle les vit, nus et nombreux, entourant la couche où elle gisait entièrement nue. La peur fit place à la panique surtout lorsqu'elle reconnut une voix qui lança

- La petite pute est enfin réveillée, vous pouvez y aller. Amusez-vous bien.

Marc venait de donner le signal de la soirée et Camille sut qu'elle allait vivre la pire nuit de sa vie.

C'est trois par trois qu'ils s'occupèrent d'elle, et elle ne comprit pas pourquoi elle eut si mal lorsque le premier membre glissa tout au fond de sa vulve. Même les sensations au niveau de ses seins lui étaient inconnues, mélangeant plaisir et douleurs lorsqu'on lui mordillait ses tétons très sensibles.

Lorsqu'elle subit sa première sodomie, elle fut surprise de constater que la queue rentra en elle sans forcer.

Elle qui avait connu la douceur entre les bras de Marc et de Franck, était apeurée de constater que là, ce n'était que hargne et violence.

Malgré toute la souffrance qui irradiait de son corps, elle finit par se laisser aller, manipulée telle une marionnette. Elle n'aurait jamais imaginé qu'elle puisse être tordue de toutes ces façons, subissant des doubles voire même des triples pénétrations.

Malgré l'horreur de la situation, elle finit par éprouver parfois du plaisir, oubliant qu'elle était une femme. La drogue qu'on lui avait injectée juste avant son réveil y était pour beaucoup car aucune femme saine n'aurait enduré une telle chose.

Cette nuit-là, elle fut le jouet de tous ces hommes qui la remplirent par tous les trous. Vers minuit ils arrêtèrent temporairement pour changer les draps et la vider un peu.

De son sexe et son anus, le sperme débordait et il fallait faire redescendre son cœur qui battait la chamade.

Elle ne réagit pas lorsque de nouveau on lui piqua le bras pour calmer son jeune corps. Il ne fallait surtout pas qu'elle ait une crise cardiaque.

Bien sûr, dès qu'ils eurent de nouveau carte blanche, elle fut reprise d'assaut, baisée sans ménagement.

Camille avait complètement décroché, ne sachant plus vraiment où elle était. Elle les sentait en elle mais ne les voyait plus car elle avait franchi un seuil ou son esprit avait complètement disjoncté.

Vers trois heures elle fut de nouveau nettoyée et une autre piqûre lui fut administrée. Les hommes étaient insatiables et en voulaient encore. Ceux qui avaient un petit coup de mou prenaient la pilule magique pour repartir de plus belle.

Pour Camille, la nuit ne faisait que commencer et ses pertes de connaissance furent de plus en plus nombreuses. Même lorsqu'elle était inconsciente, les hommes continuaient à la baiser, se moquant qu'elle soit endormie.

Elle était leur pute, leur garage à bites et ils en voulaient pour leur argent.

****

C'était la troisième nuit qu'il venait de passer dans la maison d'hôte et elle avait été aussi merveilleuse que les autres. Franck n'était pas revenu mais surtout Romain n'avait plus de nouvelles de Camille depuis 48 heures.

Même s'il ne voulait pas le reconnaître, il était vraiment très inquiet, chose qu'il s'était interdit vis-à-vis de sa femme. Dans moins de deux heures il avait son train de retour et il n'avait encore pris aucune décision concernant son épouse...

Monica était triste de savoir que son ange allait bientôt le quitter mais il lui avait promis de revenir. Par contre, il ne savait pas quoi faire pour Camille.

Il ne pouvait pas la laisser ici ou prévenir la police, ni même en parler à Monica qui le croyait célibataire.

En plus c'est lui qui avait le ticket de train pour sa petite femme.

Il décida tout de même d'aller jusqu'à la gare, comme si une petite voix le guidait vers ce lieu. Malgré qu'il ait le temps pour son train, il préféra partir et embrassa longuement sa maîtresse pour lui dire au revoir.

- Tu me donneras de tes nouvelles

- là, tu peux compter sur moi. J'ai adoré être avec toi durant ces trois jours.

C'était un peu le cœur gros qu'il laissa sur le pas de la porte celle qui lui avait tout appris. Non seulement elle lui avait fait découvrir plein de plaisirs charnels mais en plus elle lui avait permis d'accepter les tromperies de sa femme.

Il ne lui fallut pas plus de trente minutes pour rejoindre la gare, presque vide à cette heure-là.

C'est alors qu'il la vit, immobile, appuyée contre un mur. Elle était dans la même petite robe qu'elle avait à l'aller. Son teint était d'une pâleur incroyable et les yeux dans le vide, elle ne voyait personne.

Parfois, un spasme parcourait tout son corps qui tremblait un peu comme si elle était possédée par le diable.

Ils avaient dû la vêtir à la hâte pour s'en débarrasser car elle ne portait aucun de ses sous-vêtements. Les boutons mal agrafés sur le devant laisser voir un de ses seins, magnifié par un mamelon rouge sang.

Ça ne pouvait pas être sa femme si gaie et énergique en temps normal. Là, il s'agissait d'un zombie, d'une épave que les autres voyageurs regardaient bizarrement.

Certains la prenaient même en photo pour la montrer comme une curiosité. Pour tous c'était sûrement une droguée violée et qui méritait largement son sort.

Il s'approcha d'elle lentement, comme s'il avait peur qu'elle se sauve. Elle ne le remarqua même pas alors qu'il se tenait devant elle. De son corps émanait une forte odeur de foutre mélangée à de la sueur et ses cheveux collés par le sperme lui donnaient un air misérable.

Avec beaucoup de précautions, il boutonna sa robe pour cacher sa poitrine.

La jeune femme n'avait pas bougé depuis qu'ils l'avaient déposés contre ce mur, l'abandonnant à son triste sort. Ils s'étaient amusés avec elle durant près de deux jours mais comme tous les jouets cassés, il fallait ensuite les jeter.

- Camille?

- ....

- Camille, c'est moi, c'est Romain.

Pour la jeune femme tout n'était que brouillard pourtant un mot la fit réagir. « Romain », elle connaissait ce nom et se battait pour s'en rappeler.

- Camille? réagis... c'est Romain ton mari.

Le jeune homme vit alors dans les yeux de sa femme, comme une petite lueur.

- Romain?

- Oui ma puce, c'est moi.

Ce fut comme un déclic pour la jeune femme qui se mit à pleurer. Le jeune homme, en voyant dans quel désespoir se trouvait sa chérie, l'enlaça dans ses bras.

- On rentre à la maison, je vais prendre soin de toi.

- oui, je veux rentrer chez nous.

- Et plus jamais on joue à ce jeu stupide.

- Oui

Épilogue

Il fallut plusieurs jours pour que Camille ne retrouve sa joie de vivre, traumatisée par ce séjour.

Romain adora le nouveau corps de sa chérie voulant qu'elle reste nue dès qu'ils étaient chez eux, ne se lassant pas des aréoles rouge vif.

Pour Camille, elle redécouvrit l'amour avec Romain qui sut mettre en pratique tout ce que Monica lui avait enseigné.

Elle était devenue sa petite pute à lui, marquée à vie au niveau du pubis.

Il n'avait plus aucun tabou lorsqu'il jouait avec le corps de sa petite chérie, la prenant de toutes les façons possibles. Elle était devenue passive et consentante, le laissant expérimenter tout ce qu'il voulait sur elle.

Elle était devenue son jouet sexuel, sa chienne et il pouvait se laisser aller à tous ses penchants pervers.

Parfois, il l'attachait, la godant toute une nuit juste pour la punir sans aucune raison.

C'était leur nouveau jeu et ils adoraient ça tous les deux. Elle était devenue son jouet, son défouloir, et elle était heureuse comme ça.

Pour tous les autres c'était toujours le petit couple modèle à qui tout le monde rêvait de ressembler, ignorant qu'en privé, c'était une autre paire de manches.

****

À plusieurs centaines de kilomètres, dans la pièce où se tenait le couple, la tension était plus que palpable.

L'homme tenait la main de sa sœur, essayant de la dissuader de le faire.

Même si quinze ans plus tôt, alors qu'elle sortait avec Marc, elle avait offert son corps à l'une de ses soirées, c'était très différent. Elle était bien plus jeune et ils n'étaient que neuf pour une tournante qui n'avait duré que cinq heures.

Lorsque quelques semaines plus tôt, il lui avait raconté comment s'était passé la soirée de tous les records, Monica n'avait pu s'empêcher de ressentir de la jalousie pour cette jeune femme d'à peine vingt ans.

Ils étaient une trentaine pendant plus de 36 heures à avoir pris leur pied avec cette jeune pute et elle s'imagina être à sa place.

Était-ce la peur de vieillir qui l'avait poussé à prendre cette décision ou bien l'envie de ressentir une dernière fois ce sentiment extrême d'abandon.