Un Petit Couple Modèle

BÊTA PUBLIQUE

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Ce fut le même raisonnement que se fit Camille, mais elle ne pouvait plus changer d'avis. C'est un peu apeurée qu'elle monta dans le gros 4x4 noir, sentant la panique l'envahir en voyant son homme sur le trottoir en train de les regarder s'éloigner d'un air hébété.

Son mari ne serait pas à coté d'eux puis elle se rassura, l'homme ne l'emmenait que manger et elle retrouverait son chéri très bientôt.

Romain, décida de rechercher dans la petite ville tous les restaurants pour essayer de trouver le gros tout-terrain. Il se mit à avoir peur pour sa petite femme tout en ressentant une certaine excitation de la savoir entre les mains d'un étranger. Depuis qu'il était né, il ne l'avait jamais quitté, même sur les bancs d'écoles où il s'asseyait à coté d'elle.

Se ressaisissant, il commença sa longue marche à la recherche du véhicule.

****

Camille était enfoncée dans le siège passager, se demandant comment elle avait pu en arriver là. Elle n'osait pas parler et avait un nœud au niveau de l'estomac.

Elle n'avait pas spécialement peur pour elle, trouvant le quarantenaire plutôt bel homme. C'était juste qu'elle pensait à Romain seul dans la gare et qui devait s'inquiéter.

De toute façon, quel que soit l'endroit où il l'emmenait manger, elle retrouverait son amour juste après à la maison d'hôtes et cela la rassura.

Lorsqu'elle se rendit compte qu'ils sortaient de la ville, son inquiétude augmenta.

- On ne reste pas en ville? demanda-t'elle d'une petite voix

- Ne t'inquiète pas, on est bientôt arrivé.

C'est quelques paroles ne la rassurèrent pas pour autant. Pourquoi aller à un restaurant hors de la ville alors qu'il y en avait pas mal autour de la gare.

Lorsque la voiture s'arrêta devant un gros portail, la jeune femme comprit que l'homme l'emmenait chez lui. L'ouvrant avec une télécommande, il la regarda avec un sourire de carnassier, lui faisant comprendre qu'ils étaient arrivés.

- Mais, vous m'avez menti, on ne va pas dans un resto! s'exclama Camille, inquiète

- Je n'ai pas menti, je t'ai invité à manger, je ne t'ai juste pas dit où. On est arrivé chez moi et je suis un excellent cuisinier.

- Mais!

Dès que la voiture s'arrêta dans la cour gravillonnée, la jeune femme n'eut d'autre possibilité que de descendre elle aussi. Si l'homme avait de mauvaises intentions, personne ne viendrait à son secours, surtout dans cette maison isolée où la plus proche habitation se trouvait à cinq cents mètres.

Étrangement, cela l'excitait sans qu'elle n'ose le reconnaître. L'homme avait un physique puissant et de savoir qu'elle pouvait être à sa merci la faisait frissonner de plaisir. Jamais encore elle n'avait ressenti ça, elle qui n'avait jamais fréquenté d'autres garçons que Romain.

Ils rentrèrent dans la maison, et après avoir fermé la porte d'entrée, l'homme se tourna vers elle pour lui demander

- Est-ce qu'il y a quelque chose qui te ferait plaisir.

- Je ne sais pas....

Avant même qu'elle ne le réalise, l'homme s'était approché, venant tout contre elle. Elle ne résista pas lorsqu'il l'enlaça et que sa bouche vint se coller à la sienne. Elle était comme hypnotisée, n'ayant pas envie de le repousser.

Elle répondit au baiser lorsque la langue de l'homme vint fouiller sa bouche, lui faisant un French Kiss comme jamais elle n'avait eu. Elle aimait bien embrasser Romain mais jamais elle n'en avait tiré autant de plaisir alors que l'homme s'était mis à lui caresser le dos et les fesses.

Marc n'en croyait pas ses yeux, cette petite bombe était des plus conciliantes et le seul repas qu'il eut envie de consommer, c'était le jeune corps de cette fille.

N'y résistant plus, il cessa de l'embrasser et lui saisit la main. Sans un mot, il la tira vers le gros escalier montant à l'étage.

Camille comprit que ce n'était pas vers la cuisine qu'il l'emmenait mais elle était tellement excitée depuis qu'il l'avait embrassée qu'elle ne résista pas.

Au premier devait trouver les chambres et elle savait qu'il l'emmenait à l'étage pour la baiser.

Pas une seconde elle ne pensa à se rebeller, excitée comme jamais. Tout son corps vibrait de désir en gravissant les marches et elle eut une pensée concernant son mari qui s'évapora rapidement.

****

Romain commençait à désespérer car il tournait depuis deux heures, faisant tous les restaurants en vain. L'heure tournait et sa chérie avait peut-être était ramenée à la maison d'hôte. Il décida d'y aller, espérant y trouver sa petite femme.

****

Dans la chambre, Camille ne résista pas lorsque l'homme lui retira sa petite robe, la laissant en sous-vêtement.

- Tu es très belle lui dit-il, comment un mari a-t-il put faire du mal à un aussi joli corps.

La jeune femme se rappela du mensonge qu'elle avait raconté dans le train et ne répondit pas. Elle était comme dans un état second se laissant dénuder par l'homme qui y prenait beaucoup de plaisir.

Lorsqu'il lui enleva son soutien-gorge, il resta quelques minutes à admirer sa poitrine, la trouvant exceptionnelle même si elle n'était pas très grosse.

Camille, en voyant l'homme fixer son buste, découvrit qu'elle aimait être regardée. Jamais son mari ne l'avait vu avec de tels yeux et elle adora ça.

Elle qui portait toujours sa chemise de nuit, avait envie d'être nue avec cet homme qu'elle ne connaissait pas.

Elle frissonna lorsqu'il fit courir ses doigts sur ses tétons, les faisant durcir presque instantanément.

- J'adore tes seins, je ne me lasserais pas de les caresser.

Elle ne répondit pas, profitant juste du moment.

Lorsque les deux mains de Marc saisirent les bords de sa petite culotte et qu'il la fit glisser le long de ses cuisses, elle ferma les yeux pour ne pas montrer son émoi. Jamais elle n'aurait pensé montrer son corps nu a quelqu'un d'autre que Romain et là elle le faisait avec une excitation incroyable.

Elle ne résista pas lorsqu'il l'allongea sur le lit et qu'il lui écarta ses cuisses pour se glisser entre elle. Il avait envie de goûter à ce petit abricot lisse de tout poil, et boire le jus de son désir.

Elle avait gardé les paupières baissées et ne put s'empêcher de gémir lorsqu'elle sentit les doigts de l'homme écarter les lèvres de sa chatte. Jamais son mari ne lui avait léché le sexe, trouvant ça dégoûtant alors qu'elle en avait toujours rêvé sans jamais oser lui demander.

Lorsque la langue vint caresser sa moule grande ouverte, elle poussa un petit cri. Elle trouva cela génial et s'en pouvoir se contrôler, se mit à sécréter beaucoup de cyprine.

Romain se plaignait souvent que son vagin était sec mais elle comprit alors qu'elle n'était pas fautive. Jamais encore il ne l'avait préparé ainsi, préférant la prendre sans préliminaire.

Elle trouva ça génial surtout lorsque la langue s'attarda sur son petit bouton. Elle avait la bouche grande ouverte pour mieux respirer alors que l'homme se régalait avec le jus de son intimité.

Elle venait de découvrir une jouissance inconnue jusqu'à ce jour et fut presque déçue lorsque l'homme l'abandonna pour se déshabiller.

Lorsqu'il retira son slip, laissant apparaître son membre en érection, la jeune femme fut prise par des tremblements. Le seul pénis qu'elle n'avait vu jusqu'à ce jour était celui de son mari mais là, il était énorme.

Celui de Romain, en érection, ne devait pas dépasser les douze centimètres alors que là, il était presque deux fois plus gros. Jamais elle ne pourrait recevoir un tel monstre et pourtant elle était pressée de le sentir en elle.

Lorsque l'homme se coucha sur son corps il l'embrassa de nouveau alors que son gland turgescent écartait les lèvres de sa chatte.

Lentement, le membre s'enfonça dans ses chairs, lui procurant un plaisir sans nom.

S'arrêtant de l'embrasser, il lui dit, en la regardant droit dans les yeux.

- Tu aimes ça salope, tu aimes être ma petite pute.

- ...oui.

Jamais encore Romain ne l'avait traitée ainsi et, se connaissant, elle n'aurait sûrement pas apprécié. Mais là, d'être insultée, augmentait son plaisir et elle aima ça.

Lorsque l'homme se mit à accélérer, la jeune femme ne put se contrôler et se mit à gémir presque en continu. Elle découvrait ce que faire l'amour voulait dire, elle qui avait toujours été négligée pendant les rapports. Ce gros pieu de chair qui alésait son ventre était source de bonheur. Elle comprit alors que l'orgasme existait vraiment lorsqu'une vague de jouissance envahit tout son ventre, la faisant hurler de plaisir.

Elle qui avait toujours été silencieuse pendant les rapports avec son bien-aimé, ne pouvait s'empêcher de gueuler tant son corps était transporté. Et pourtant l'homme n'en avait pas fini, continuant ses coups de reins alors qu'elle n'arrivait pas à récupérer.

Elle ne pensait pas qu'un homme pouvait durer aussi longtemps et elle cria de nouveau en sentant les jets chauds de spermes inonder son vagin.

- Oui, je suis ta pute, dit-elle dans un sanglot de bonheur.

- Tu vois, ton mari au lieu de te battre, il aurait mieux fait de te baiser comme il faut.

- Oui...

Étrangement cette phrase lui fit penser à Romain et elle se rendit compte qu'elle découvrait le sexe seulement maintenant.

Mais l'homme n'en avait pas fini avec cette petite pute, et durant les heures qui suivirent, il la prit à plusieurs reprises, la mettant sur les rotules.

****

Il était dix-sept heures lorsque Romain sonna à la porte de la maison. Un homme d'une cinquantaine d'années lui ouvrit la porte un grand sourire aux lèvres.

- Bonjour, vous devez être Romain, je vous attendais, je m'appelle Franck.

- Bonjour, répondit-il en lui tendant la main.

L'homme le fit rentrer, rajoutant

- J'avais peur que vous ne veniez pas car le couple d'octogénaire qui m'avait réservé la chambre double a décommandé.

Le jeune homme mourrait d'envie de demander si la jeune femme qui avait réservé l'autre chambre pour 1 personne était arrivée mais cela aurait paru étrange.

Le propriétaire des lieux lui demanda s'il mangeait le soir ici ou s'il préférait aller souper en ville.

- Non, je mangerais, je crois que j'irai dormir de bonne heure.

- Vous allez voir, ma sœur est très bonne cuisinière

- Votre sœur?

- Oui, comme on est célibataire tous les deux, on s'est associé. Elle, elle fait tout et moi je ne fais rien.

Romain sourit à la plaisanterie et suivit l'homme qui lui montra sa chambre.

- On mange à 20h00 si ça vous va.

- C'est impeccable

- Si vous le voulez, le salon en bas est à votre disposition. Il y a un grand écran et des livres

- Merci

La chambre était toute simple mais efficace. Un petit lit, une armoire et une table de chevet. Une petite salle de douches donnait juste à côté, le seul problème était la taille trop petite qui empêchait d'y mettre un lit double.

Rangeant sans le déballer son sac dans l'armoire, il consulta machinalement son téléphone mais il savait qu'il n'y aurait aucun message de sa chérie vu qu'elle était allergique aux portables.

Ne voulant pas faire d'impair, il retira son alliance qu'il plaça dans le tiroir de la table de nuit.

Une fois prêt, il descendit dans le salon espérant y trouver Camille. Sa petite femme lui manquait et il commençait vraiment à être inquiet.

Dans la pièce commune, il fit la connaissance de la maîtresse de maison, Monica, qui était une jolie femme de cinquante ans. Elle était vraiment belle et malgré son âge, elle avait un corps très harmonieux.

Ce qui plût le plus à Romain était sa poitrine généreuse, que des vêtements un peu serrés mettaient vraiment en valeur.

- Vous voulez boire quelque chose?

- Heu je ne sais pas, je vais peut-être attendre les autres.

- Mais vous êtes tout seul, répondit en souriant la femme, si vous le voulez, je vais boire un verre avec vous.

L'inquiétude qu'éprouvait le jeune homme monta d'un cran en apprenant que sa femme n'était pas arrivée. Ne voulant pas le monter, il accepta l'invitation en essayant de rester impassible.

Il s'installa sur le canapé alors que la femme allait chercher deux verres dans un meuble.

- du vin blanc, ça vous va?

- c'est très bien.

La femme s'absenta quelques minutes dans la cuisine pour revenir avec une bouteille à moitié entamée.

Servant les deux verres, elle vint s'asseoir à côté du jeune homme, lui souriant d'un air coquin.

- À vous, dit elle en levant son verre

- À vous

- Ce n'est pas tous les jours que nous avons la chance de recevoir un jeune homme aussi charmant

- Heu merci, et...

Romain fut sauvé par l'arrivée du frère qui en voyant la bouteille sur la table, alla se chercher un verre

- Il n'y a pas de raison que vous buviez sans moi.

Monica fit un peu la moue en voyant surgir son frère mais l'ambiance se décontracta rapidement et Romain, malgré l'inquiétude croissante, passa une bonne fin d'après-midi.

La sœur les abandonna vers 19 heures pour aller préparer le souper, laissant l'homme avec lui.

C'est vers 19h45 que la sonnette de la porte retentit dans la maison et Romain fut de nouveau envahi par le stress. Il pria que ce soit sa petite femme, ne comprenant pas pourquoi elle n'était pas déjà arrivée.

Tournant la tête, son sang se glaça en constatant que l'homme qui venait d'entrer était le voyageur du train et qu'il tenait par la taille sa chérie.

Camille, en passant la porte, jeta un regard dans la pièce. Lorsqu'elle vit Romain assis sur le canapé, elle détourna immédiatement la tête, ne voulant pas de confrontation.

- Ça alors, mais c'est Marc, trop content de te voir. Et qui est cette charmante demoiselle

- C'est ma copine Camille, répondit l'homme en faisant la bise au maître des lieux.

Romain crut défaillir en entendant comment sa femme était présentée par cet homme. Il comprit alors pourquoi elle n'arrivait que maintenant et il l'imagina entre les bras de ce beau mec.

Il avait dû l'emmener dans un endroit tranquille, peut-être dans un hôtel pour la baiser en toute tranquillité.

Non, il se trompait, sa femme ne pouvait pas avoir accepté une telle chose même s'ils avaient décidé de jouer à ce jeu stupide. Il était censé la draguer et jamais elle n'aurait dû laisser quelqu'un d'autre le faire à sa place.

Pourtant, en imaginant son jeune corps souillé par cet inconnu, il ne put s'empêcher d'avoir une érection.

- Tu manges avec nous demanda Franck, il y a longtemps qu'on ne t'a pas vu et Monica sera heureuse de te voir.

- Si tu insistes, et ça me permettra de rester un peu plus longtemps avec Camille qui a réservé une chambre chez toi

C'est alors que le propriétaire des lieux lança une phrase qui paralysa Romain.

- Et si tu restais dormir. La réservation pour la chambre double a été annulée et vous pourriez y passer la nuit. Je n'aime pas voir les amoureux se séparer.

- C'est sympa. Et bien d'accord.

Romain avait le cœur qui s'était mis à s'emballer, ne sachant plus quoi faire. En regardant le couple, il remarqua que sa femme avait le regard fixe et qu'elle était devenue toute blanche.

Il aurait dû intervenir en expliquant qu'il était le mari mais cela aurait été compliqué et pourtant c'était peut-être la seule solution.

Pourquoi Camille ne disait rien, et pourquoi ce n'était pas elle qui leur disait la vérité.

Fallait-il continuer à jouer le jeu et la laisser passer la nuit avec cet homme?

C'est alors que Monica arriva, heureuse de voir son ami. Elle fit la bise aux deux nouveaux arrivants leur demandant de passer à table.

- Vous arrivez juste au moment où j'allais servir. Allez, venez vous asseoir.

Les deux propriétaires, contrairement à d'autres maisons d'hôtes, aimaient manger avec leurs clients et Monica se débrouilla pour se retrouver à coté de Romain. Camille fut placée à l'autre bout de table, entre Marc et Franc et le malaise qui l'habitait était de plus en plus palpable.

Pendant tout le repas, elle ne regarda pas une seule fois Romain qui essaya de ne rien montrer de ses sentiments. À plusieurs reprises le quarantenaire eut des gestes très affectueux auprès de la jeune femme qui ne fit rien pour le repousser.

Monica, quant à elle, draguait ouvertement Romain qui finit par se prendre au jeu.

C'est après le café que le jeune homme eut un coup au cœur lorsque Marc s'étira en leur disant qu'ils allaient se coucher. Il regarda, impuissant, l'homme et sa bien-aimée se lever et prendre congé du petit groupe.

Pendant tout le repas il s'était imaginé que jamais ce moment ne viendrait et pourtant il vit le couple disparaître par la porte.

- Elle va prendre chère, dit en rigolant Monica. Je connais Marc et il va la démonter.

- Hein!

- Je l'ai fréquenté il y a quelques années et il est insatiable.

Romain, assis sur sa chaise avait du mal à réaliser qu'elle parlait de sa femme. Depuis que le couple était monté, il avait un peu décroché.

- Tu veux un petit digestif, demanda Monica au jeune homme, se mettant à le tutoyer.

- Heu... je ne sais pas... oui

- Viens on va le prendre dans le canapé

Le frère, qui sentait qu'il était de trop, prit congé. De toute façon en invitant son copain il avait une idée derrière la tête, surtout en découvrant le canon qu'il avait dégotté.

En temps normal c'était chez Marc qu'il profitait des femmes que son copain trouvait. La dernière fois ils s'étaient amusés avec la petite rousse qu'il avait ramassée alors qu'elle faisait de l'autostop.

Mais là, il n'allait pas faire la fine bouche surtout qu'elle était vraiment belle.

Lorsque au bout d'une demi-heure, Romain voulut prendre lui aussi congé, la maîtresse de maison le retint par le bras. Sans trop savoir comment, il se retrouva en train de l'embrasser, trouvant ce baiser Incroyable. La femme avait de l'expérience et il s'en rendait compte.

Il réussit tout de même à lui dire bonne nuit, lui disant qu'il était fatigué.

- J'aurais pu te redonner un peu d'énergie

- Je n'en doute pas.

Laissant Monica dans la grande pièce à vivre, Romain monta à l'étage complètement désabusé. Il avait offert sa femme à cet homme et ne pouvait plus rien faire.

En passant près d'une porte, il entendit les cris de sa femme. Elle se faisait baiser et avait l'air d'aimer ça, elle qui était inexpressive lorsqu'il lui faisait l'amour.

Ce n'était pas possible, il avait dû se tromper, ce ne pouvait pas être elle.

Il resta quelques minutes immobiles, attendant qu'elle se calme mais plus il patientait et plus elle se déchaînait.

C'est alors qu'il vit Franck sortir d'une chambre au fond du couloir, se dirigeant vers lui.

- Toi aussi tu as envie de cette pute, mais je crois qu'il n'y en aura que pour deux ou alors il faudra venir à une soirée.

- Une pute?

- Il sait les choisir et celle-là m'a l'air chaude comme la braise. Bonne nuit Romain

Et tout en disant ça, il ouvrit la porte et rentra dans la chambre.

Lorsqu'il regagnât sa chambre, Romain, pour la première fois de sa vie pleurait. La femme qu'il avait épousée n'était plus la jolie petite biche mais une pute aimant le sexe.

Ils allaient la démonter comme l'avait prédit Monica et il ne pouvait plus rien faire pour l'empêcher.

La sachant entre leurs mains, il ne réussit pas à s'endormir, allant même jusqu'à se caresser en pensant à sa femme.

Étrangement, il ne fut pas étonné, vers une heure du matin, de voir Monica le rejoindre. Elle aussi avait envie de sexe et voulait profiter de son petit jeune homme. Pour la première fois de sa vie, il découvrit ce que voulait dire faire l'amour.

Il adora les seins lourds de la femme, sa chatte poilue et sa bouche qui vint le sucer plusieurs fois pour lui redonner vie. Il en oublia presque sa femme qui, pas loin de lui, se faisait prendre par deux hommes.

Il était captivé par les courbes généreuses de cette femme mûre qui en redemandait tout le temps.

Étrangement, ce fut la meilleure nuit de sa vie, malgré ce que devait subir Camille.

Cette nuit-là, il fit des choses qu'il jugea incroyables comme lorsque la femme lui demanda de la sodomiser. En enfonçant son sexe dans le cul bien rodé de sa jolie maîtresse, il ressentit un plaisir incroyable.