Un Jeu Qui Tourne Mal

BÊTA PUBLIQUE

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L'autre jour, en regardant des prostituées sur un trottoir, il m'avait un peu comparée à elle en plaisantant et m'avait provoqué en me faisant comprendre que je n'aurais jamais le courage de m'habiller comme elles.

J'avoue que ça a toujours été un fantasme pour moi.

Souvent, je me suis imaginée à leur place, vêtue comme une pute et marchant sur le trottoir en montrant aux hommes mon corps très peu vêtu.

J'ai souvent penser à ces hommes, qui viendraient me proposer de l'argent et à qui j'aurais vendu mon corps.

Oui mais voilà, c'était un fantasme et de là à le tenter, il y avait un gouffre. De toute ma vie, je n'avais fait l'amour qu'avec un seul homme et c'était mon mari.

Maintenant, pour montrer à Marc que je n'avais pas peur de me montrer habillée en pute, on se dirigeait vers un parking.

Ce fut lui qui rompit le silence alors que l'on s'approchait du parking

- tu es sure de vouloir le faire. On est samedi midi et il y a pas mal de monde.

- Oui, je me promènerai sur l'aire que quelques minutes histoire de gagner mon pari.

- Comme tu veux mais tu n'es pas obligée.

- Si, je veux te montrer que je n'ai pas que la gueule

En lui disant cela je lui montrais que ces mots m'avaient vexés mais il ne releva pas ma remarque.

En rentrant sur cette aire d'autoroute fréquentée, cela me rassura un peu en le voyant prendre la partie réservée aux camions, qui paraissait déserte. Il arrêta la voiture à la limite du parking mais pas trop loin de quelques poids lourds tout de même.

En silence, je retirais avec difficulté vu le peu de place dans la voiture, la jupe qui cachait ma mini jupe puis je changeais mes chaussures pour les hauts talons.

Je commençais à avoir peur et je tremblais un peu mettant plus longtemps que prévu pour les chausser. Il n'y avait plus qu'à enlever la veste qui recouvrait mon top et j'étais prête à tenter mon pari.

Plusieurs fois il m'avait dit que je n'avais que la gueule pour le faire et j'allais lui montrer que sa petite femme pouvait se dépasser et se conduire comme une vulgaire pute.

- Tu sors de la voiture et tu restes deux ou trois minutes à coté et tu auras gagnée, me dit--il

Si j'acceptais de ne rester qu'a coté de la voiture, cela prouverait qu'il avait raison et que je n'avais pas de courage. Je me forçais à lui sourire et lui répondis.

- non, je vais aller jusqu'aux camions là-bas et revenir et là j'aurais gagné.

- Mais? les camions sont au moins à cents mètres et il y a cinq camions. C'est trop dangereux.

- Je ne risque rien, on est samedi midi. Et je veux te montrer que ta femme n'est pas une peureuse. Tu veux que je fasse la pute et bien je vais aller jusqu'à ces camions.

En regardant ses yeux, je vis que je l'impressionnais et je fus fière de moi. Je sortis de la voiture et lentement, je m'éloignais du véhicule, me dirigeant vers les poids lourds tout en ayant la peur au ventre.

Je n'étais pas habituée a me vêtir aussi sexy et là, j'étais pratiquement à poil. Si je croisais quelqu'un, j'aurais la honte de ma vie même si cela m'excitait d'être dehors habillée comme une prostituée.

Je me dis que je prenais beaucoup moins de risque que si je l'avais fait sur un trottoir en pleine ville mais là je n'étais tout de même pas rassurée.

En m'éloignant de la voiture je dus faire un gros effort pour ne pas me retourner. Il fallait que je montre à Marc ma détermination et surtout il fallait que je ne trahisse pas ma peur.

Pour arriver à mes fins, je marchais lentement, ondulant des hanches tout en respirant doucement afin de rester calme.

Etrangement, j'étais fier de moi et je ressentais une certaine excitation.

Je savais que Marc me fixait et le connaissant il devait s'inquiéter. Je ralentis encore le pas, histoire de jouer un peu avec le feu et surtout pour lui montrer que sa femme n'avait pas que de la gueule comme il aimait souvent le répéter.

Je fus tout de même heureuse d'arriver au niveau des camions car j'allais pouvoir rejoindre la voiture et mettre fin à ce pari. J'avais gagné et maintenant je pouvais revenir la tête haute. Plus jamais il ne se moquera de moi.

J'allais faire demi tour lorsque la porte de coté d'une cabine de camion s'ouvrit sur un homme bien en chair. Il portait un jean et une chemise d'une propreté douteuse dont les boutons étaient tendus par un ventre proéminent.

Mon sang se glaça. Qu'allait il penser en me découvrant, vêtue comme une pute, la poitrine visible tant le tissu de mon top était transparent.

Il parut aussi surpris que moi en m'apercevant, ne pensant sûrement pas trouver une prostituée en sortant de son camion.

Que devais je faire?

Partir en courant?, lui expliquer que j'étais déguisée?, lui mentir?...

Je ne savais plus quoi faire et je pensais à marc qui depuis la voiture devait tout voir.

Lui aussi devait être inquiet et il allait sûrement intervenir.

L'Homme se ressaisit et se dirigea vers moi. Je vis dans ses yeux de l'admiration et j'en fus très fière malgré la honte qui m'avait envahit.

- Bonjour jolie demoiselle, tu es à la recherche de clients?

Me prenant pour une vraie pute, l'homme n'hésitait pas à me tutoyer.

Ne sachant quoi répondre, je restais silencieuse, complètement tétanisée.

- Tu as un corps splendide, Combien tu prends?

Ne connaissant absolument pas les tarifs je me repris et dis un peu au hasard.

- heuu.. 300 euros.

En entendant ces mots, le routier éclata de rire

- 300 euros? tu es en or massif... dit-il en se calmant. A ce prix là tu fais la totale.

- Heuu oui mais là je suis en pause. Je vais aller manger

L'homme me regarda longuement puis demanda.

- juste par curiosité, tu fais quoi pour 300 euros.

J'essayais de trouver une réponse qui aurait pu correspondre au tarif que j'avais annoncé aussi je lui répondis.

- pour 300 euros, je fais tout

- tout?

- oui

- sans préservatif?

- oui

Mon sang se glaça lorsque je vis que l'homme me regardait le corps de façon insistante. Il fixa mes seins, mes cuisses et avec un sourire finit par me dire

- 300 euros, finalement tu les vaux peut être. A ce prix là, j'ai le droit à combien de temps

- Heuuu, autant de temps que vous voulez

Un grand sourire apparut sur son visage.

- finalement, je crois que je vais te les donner, tes 300 euros. Je crois que j'ai envie de m'amuser avec toi.

Me rendant compte que j'étais dans une impasse, j'étais à deux doigts de lui dire la vérité. Me ressaisissant je finis par lancer :

- sauf que je suis en pause, je dois aller manger

- et tu vas ou pour te restaurer

- heu.. dans le magasin de la station

- dans cette tenue?

- j'ai ma voiture en bord de parking, je mets une veste....

- C'est ta voiture la-bas mal garée.

- Heuu oui

L'homme me dit alors

- Ok, mais tu ne vas tout de même pas refuser de venir boire un verre dans mon camion.

- Je dois aller manger....

- Juste un verre et j'ai même de la nourriture si tu veux manger avec moi.

Je me sentis prise au piège. Je voyais que l'homme insistait puis je me dis qu'un verre ne pouvait pas être dangereux dans la mesure ou si je mettais trop de temps, marc interviendrait obligatoirement.

Mon homme devait regarder la scène et je savais que je pouvais compter sur lui pour me secourir.

- un verre et c'est tout, après je vais à la station pour manger

- comme tu veux, je n'insisterais pas.

L'homme prit la direction de son camion et malgré ma peur, je le suivais, sachant mon mari prêt à m'aider si besoin. De tous les poids lourds garés sur le parking, celui là avait une cabine très longue et était le seul a avoir une porte sur le coté.

Il ouvrit la porte latérale de son camion et se mit sur le coté.

- Apres toi, jolie demoiselle

Je commençais à grimper les marches quand je sentis sa main se poser sur mes fesses pour m'aider à monter dans la cabine. Le sale porc en profitait mais je préférais ne rien dire.

- Mais je rêve, tu ne portes pas de culotte.... T'es une vrai petite salope, j'adore..

Je venais de me rappeler que je ne portais rien sous ma mini jupe et je me sentis très mal en entendant l'homme.

Je me jetais dans la gueule du loup mais je savais que mon chevalier servant n'allait pas tarder à intervenir. Marc allait me tirer de là dans quelques minutes.

Je fus surprise par l'intérieur, ne m'attendant pas à trouver une cabine aussi équipée. Sur le fond se trouvait la couchette, plutôt large mais il le fallait bien vu le gabarit de l'homme. Sur le bord face à la porte se trouvait le coin dînette, un évier, un petit frigo et une petite table pour deux. Mais ce qui me surpris le plus, c'était la présence d'une petite cabine de douche à gauche en rentrant qui était sûrement trop étroite pour le camionneur.

Je supposais que le rideau sur le mur de droite cachait le passage vers les sièges de conduite.

Finalement, c'était relativement rangé ce qui me surpris un peu.

- Va t'asseoir sur le lit, je te prépare un verre.

- Heu, je préfère rester debout, je ne vais pas rester longtemps

- J'ai dis va t'asseoir sur le lit, je vais pas te bouffer et je suppose que tu en as vu d'autre

L'homme avait haussé la voix et je commençais vraiment à paniquer. Vivement que marc me tire de là.

Ne voulant pas l'énerver plus, j'allais m'asseoir sur le lit recouvert juste par un drap taché.

- Bière?

- Heuu je n'aime pas trop la bière

- Alors ça sera mon cocktail

L'homme sortit d'un placard un verre plus ou moins propre. Il fouilla dans son frigo pour se sortir une bière puis prit un autre flacon avec lequel il remplit mon verre. Il rajouta une petite dose d'une petite bouteille fine, pour le rendre meilleur me dit-il

Je fus un peu paniquée lorsqu'il vint s'asseoir a coté de moi et lorsqu'il me tendit le verre. J'avais très peur de boire le cocktail, ne sachant pas ce qu'il avait rajouté dedans.

- Bois ma jolie, c'est du fait maison.

Tout en disant ça sa main était venue sur ma cuisse qu'il s'était mise a caresser.

Je n'osais pas lui enlever la main de peur de l'énerver et je commençais à me demander ce que faisait marc. Il n'en avait pas pour si longtemps a traverser jusqu'au camion.

L'homme me lâcha la cuisse et tendit le bras pour prendre sa bière.

- allez, on trinque, et ensuite cul sec.

- Heu....

Il ne me laissa pas finir, toqua mon verre avec sa bière et la but d'une traite.

Une fois cette dernière finit il rota puis me regarda méchamment.

- Tu le bois ton verre oui ou merde. Quand on trinque c'est sacré.

Là, j'étais carrément paniquée et toujours pas de marc pour m'aider.

Du coup, de peur, je portais le verre à mes lèvres et commençais à le boire. Finalement, c'était plutôt sucré, mais ce n'était pas mauvais.

- Cul sec, insista-t'il

Pour en finir et pour pouvoir repartir, je finis le verre tout en remarquant un sourire étrange sur le visage du routier.

Une fois le liquide bu, je décidais de prendre congé et en voulant me relever je sentis mes jambes flageoler.

- on ne supporte pas la liqueur à Paulo? dit- l'homme en riant

- je.... je vais.....

Et sans pouvoir contrôler mon corps, je retombais sur le lit, me posant là ou j'étais assise quelques secondes avant.

- tu sais quoi me dit l'homme, quand une pute me chauffe, je la baise et avec toi je vais prendre mon temps pour le faire.

- Je....vous ne pouvez.....

Je ne sais pas ce qui m'arrivait mais je n'étais même plus capable d'articuler une phrase complète. Je me sentais vidée de toutes forces tout en restant lucide.

La grosse main du routier se glissa sous mon top et saisit un de mes seins. J'aurais du hurler, le repousser, essayer de me sauver mais au lieu de tout ça, je restais immobile alors que sa main me malaxait la poitrine.

- tu sais quoi, me dit-il. Je vais te baiser comme aucun de tes clients ne l'a jamais fait et ça ne me coûtera pas un centime.

L'homme se redressa et m'allongea sur la couchette. Je n'avais plus aucune force et je ne pouvais rien faire pour l'en empêcher.

Il commença par m'arracher mon top, me faisant un peu mal car le tissu résistait un peu puis me déboutonna ma mini jupe et la fit glisser le long de mes cuisses.

Je n'eus aucune réaction alors qu'il me mettait a poil mais je continuais à avoir toujours aussi peur.

Le gros routier allait me violer et Marc n'était pas là.

Alors que j'étais nue, l'homme se mit à me caresser. Il me pelota les seins puis ses doigts vinrent entre mes cuisses.

Je tressaillis lorsqu'ils s'insinuèrent entre les lèvres de mon sexe et bizarrement, la peur laissa la place à de l'excitation.

J'avais souvent eu comme fantasme de me comporter comme une pute et là, j'étais nue et un inconnu me doigtait. Jamais je n'aurais pu me l'avouer mais les caresses de l'homme ne me laissaient pas insensibles.

- Mais tu mouilles!!! le petit cocktail que tu as bu fait déjà de l'effet.

Se redressant, il quitta la couchette pour aller jusqu'à la table ou se trouvait son portable.

Le prenant, il passa un appel.

- Allo Franck? c'est Paulo................ J'ai vu ton camion sur le parking........ j'ai une petite surprise pour toi, que j'ai envie de partager avec des potes............. Oui à tout à l'heure.

Il reposa son téléphone et commença à se dévêtir.

Il était aussi laid nu qu'habillé et après avoir réussi à tourner la tête après un gros effort, je remarquais un sexe énorme qui m'excita malgré l'horreur de la situation.

Qu'est ce qui m'arrivait. Pourquoi cette situation ne m'offusquait plus moi qui n'avais connu que Marc.

Je tressaillis lorsque le gros s'approcha de moi en se masturbant pour faire grossir son membre déjà impressionnant. Lorsqu'il estima son érection suffisante, il écarta mes cuisses puis se coucha sur moi.

J'étais dans l'incapacité de me dérober mais le pire, c'est que je n'en avais plus envie. Il ne m'écrasait pas trop malgré son poids et lorsque je sentis son gland se placer à l'entrée de ma vulve, je ne pus m'empêcher de pousser un petit gémissement

- tu vas adorer la bite a Paulo me dit-il avec une voix doucereuse

A peine eut-il prononcé ces mots que je sentis son gros membre glisser en moi, écartant mes chairs de façon incroyable

Mon mari avait un sexe dans la moyenne, du moins le croyais-je par manque de comparaison mais là, il me faisait un bien fou et je me mis à gémir immédiatement. Me voyant réceptive, il commença par de lents va et vient dans ma chatte

Jamais je n'avais ressenti une telle chose et tout mon corps fut irradié par un plaisir inconnu

- Putain, tu es vachement serrée pour une pute, je n'ai jamais pris autant mon pied.

Tout en me prenant il posa sa bouche sur la mienne et commença à m'embrasser.

J'étais de plus en plus excitée et même si je ne pouvais presque pas bouger mes membres, je répondis à son baiser comme je l'aurais fait avec mon mari....

Il se mit à accélérer de plus en plus fort et je commençais a avoir tout le corps qui criait son contentement. Je sentais un orgasme montait en moi tellement c'était bon.

Mais que m'arrivait-il, comment pouvais-je trouver du plaisir avec un autre homme que mon mari.

Je me mis à gémir de plus en plus fort alors que le routier me prenait tel un bûcheron. Il avait laissé tombé la douceur et se défouler dans mon corps. Je n'entendis même pas les bruits de tambourinement contre la porte de la cabine tellement j'étais dans un autre monde.

Il se déversa d'un coup en moi alors que j'étais en plein orgasme, ne comprenant pas comment l'on pouvait prendre autant de plaisir.

Je sentis les jets chauds inonder l'intérieur de mon sexe puis il se retira pour aller ouvrir a son pote qui venait de retaper à la porte,.

J'eus encore pendant de longues secondes des spasmes alors qu'il n'était plus en moi mais je découvrais un nouveau plaisir qui et je ne le savais pas, était amplifié par la drogue qu'il m'avait fait boire.

- Ouahhhh, mais c'est quoi ce canon?

- C'est une pute que j'ai trouvée en bas de ma cabine

- Elle est shootée?

- Juste un peu répondit en riant le gros routier. Elle préférait aller manger plutôt que me donner son cul.

Le dénommé Franck ne demanda même pas l'autorisation à son copain. Il se dévêtit rapidement et je vis qu'il bandait déjà.

Étrangement, j'étais comme détaché par ce qui arrivait, ne réalisant pas vraiment l'horreur de la situation. La seule chose que je voyais c'est que j'allais encore jouir et j'en frémissais d'avance.

Le sexe du jeune était moins imposant que celui du gros même si sa taille était tout de même supérieure à celui de mon mari.

Je poussais un long gémissement en me sentant de nouveau prise et les minutes qui suivirent furent un concentré de pur bonheur.

Alors que la queue de l'homme labourait ma vulve, j'en étais venue à souhaiter que mon mari ne vienne plus. Je découvrais vraiment ce que baiser voulait dire et je n'avais plus toute ma tête.

A chaque coup de rein, je poussais un petit cri ce qui plaisait beaucoup à mon violeur.

Lorsqu'il cessa d'un coup de me prendre, je fus un peu frustrée mais j'eus très peur lorsqu'il quitta le lit pour me retourner. Je me retrouvais alors sur le ventre sans pouvoir bouger.

- Regardes moi ce cul, j'ai trop envie de l'enculer

- Ne te prives pas Franky, cette pute est à nous.

J'eus très peur lorsque homme s'allongea sur moi. Tenant fermement son sexe, il plaça son gland à l'entrée de mon petit trou.

Il allait me prendre alors que j'étais vierge pour ce qui concernait la sodomie et je ne pus m'empêcher de pousser un cri de douleur lorsqu'il commença à forcer.

- Putain, elle est méga serrée, à croire qu'elle ne s'est jamais fait enculer.

- Pour une pute ça la fout mal, répondit le gros en riant.

Millimètre par, il me perfora, m'enculant inexorablement La douleur était intense et j'avais la bouche grande ouverte, essayant de ne pas hurler

Comment des femmes pouvaient aimer ça?

Je crus tourner de l'œil lorsque, tout d'un coup, mon cul céda alors que le membre plongeait en entier dans mes entrailles

- Tu es sur que c'est une pute, demanda alors Franck, elle ne s'est jamais fait prendre par le cul

- Si, du moins je le croyais

- Ce n'est pas grave, je vais la défoncer

L'homme commença alors a faire des vas et viens dans mon cul La oduleur était tres forte au début puis elle a commençait à s'atténuer alors qu'il me sodomisait

Finalement, même si la jeune femme ne prit pas de plaisir à se faire enculer, elle constata que cela aurait pu être beaucoup plus désagréable

L'homme finit par se déverser dans mes entrailles et lorsqu'il se retira, il me donna une grande claque sur les fesses qui ne me fit même pas gémit tant j'étais anesthésiée par le produit

- Si ce n'est pas une pute on risque d'avoir des problèmes, remarqua Paul

- Oui mais j'ai peut être une idée Sur l'autoroute, j'ai suivi le camion de Wang pendant au moins 50 kms avant qu'il ne tourne dans l'aire juste avant celle-ci-

- Wang, mais c'est un vautour

- Peut-être, mais il cherche toujours des filles et en plus il paye bien

Le gros routier réfléchit quelques secondes puis dit

- Je vais lui téléphoner et fumer une clope. Amuses toi encore avec elle pendant que je l'appelle Si il est encore dans son aire je lui propose la pute.

- Ok pour moi, prends ton temps

Même si je les avais entendu, avec la drogue je n'avais pas tout compris. L'homme s'essaya sur le bord du lit et me fit rouler sur le dos. et commença à s'amuser avec mes seins avant de me pincer les tétons, puis me dit.

- Je ne sais pas qui tu es, mais une chose est sure tu n'es pas une pute.

- Je......

- Mais c'est pas grave, si Paulo arrive à joindre Mr Wang, tu le deviendras....

Il continua à jouer avec ma poitrine lorsqu'il se rendit compte qu'il bandait à nouveau.

- Putain, ton corps est aphrodisiaque.. dit-il en riant.

A nouveau, il s'allongea sur moi et me pénétra.

Immédiatement, le plaisir m'envahit surtout qu'ayant déjà éjaculé, il fut beaucoup plus performant.

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